Article : Par Matisse sylvain -le 02-02-2021 à 06h10.

Oumuamua a été détecté le 19 octobre 2017 par le télescope Pan-STARRS 1 installé sur l’Observatoire du Haleakalā, à Hawaï, alors qu’il se trouvait à 0,2 unité astronomique (30 millions de kilomètres . Il n’existe pas encore de photo de ce corps céleste, seulement des illustrations qui semblent correspondre à la taille et la vitesse de cet objet,etc . Pour l’heure nous en sommes au stade des hypothèses, et parmi elles Avi Loeb l’un des meilleurs spécialistes au monde, professeur d’astrophysique à l’université d’Harvard aux Etats-Unis pense possible que cet étrange objet ait une nature artificielle, ce qui reviendrait à dire , que son origine serait de nature exotique manœuvré par une civilisation. Ci-dessous l’interview de Avi Loeb réalisé sur les ondes de la radio France Inter est intéressante et nous éclaire sur ce que pense le scientifique .
Avi Loeb a écrit un livre à ce sujet dont le titre est : Extraterrestre : le premier signe d’une vie intelligente aux éditions Seuil.
Je salue le courage et l’audace de ce scientifique de haut niveau qui ose montrer l’exemple en suggérant une théorie qui va à contre sens des idées préconçues. Bien évidemment il attend bien plus d’informations que celles en sa possession actuellement pour affirmer quoi que ce soit. Soulignons le fait qu’il prend ses responsabilités avec cet état d’esprit d’ouverture ce qui est un grand pas pour un scientifique de ce calibre . Tout simplement il veut dire au monde scientifique et même aux citoyens, et bien voilà Oumuamua est de nature pour l’heure inconnue. Alors, dans le domaine des probabilités en état actuel des informations, pourquoi écarter la possibilité qu’une ou plusieurs civilisations aient envoyé des sondes pour explorer, espionner , sonder l’espace et son contenu ? Après tout c’est bien ce que l’humanité à sa petite échelle est en train de faire . Alors rien que le fait de proposer cette alternative , ceci marginalise un peu moins notre filière ufologique, même si nous attendons tous des résultats probants concernant Oumuamua, qui peut aussi bien être simplement un autre type d’astéroïde ou un autre corps céleste. Pour nous les ufologues et les chercheurs sans oublier les très nombreux témoins d’OVNIS, la porte est enfin ouverte surtout si nous rajoutons à cela les révélations du Pentagone concernant le dossier de l’AATIP et du porte avions Nimitz et de la marine américaine confrontée depuis longtemps à des phénomènes inexpliqués et récurrents. Le monde lambda va t-il enfin réfléchir et se poser les bonnes questions ? C’est une autre histoire , mais j’y crois, mon curseur est réglé aux alentours de 2035 pour qu’enfin les gens admettent que nous ne sommes pas seuls dans l’univers, grâce notamment aux progrès de la science et de ses instruments, et ceci combiné aux compétences des scientifiques d’un côté et grâce aux lanceurs d’alerte venant de certains hauts responsables ,de militaires ainsi que des contrôleurs aériens, des pilotes ,des marins, des spationautes ,etc d’autre part , même si parmi les témoins , nombreux sont déjà ceux qui figurent dans ma petite short-list dans ce paragraphe.
Bref il faut encore plus de gens sincères et courageux , honnêtes en vers eux même et qui oseront rompre le mur du silence pour aviser la population. Demandons des comptes aux politiciens pour qu’ils se mouillent ne serait-ce qu’en se renseignant auprès des responsables militaires et du renseignement . Alain Juillet , ancien patron du Renseignement à la DGSE,( services du renseignement extérieur français) , s’est exprimé sans détour en publique lors du reportage intitulé « »Ovnis: une affaire d’Etats », où Dominique Filhol aborde le sujet des objets volants non identifiés . Pour ma part je pense que les gens devront s’adapter à cette réalité et vivre avec. Après tout ,c’est bien ce qui s’est passé lorsque le microscope à prouvé que notre corps abritait des microbes etc .
Les microbes furent les premiers organismes vivants apparus sur Terre il y a plus de trois milliards d’années. La preuve ,c’ était le 10 juillet 1676, dans une infusion de poire, avec un microscope rudimentaire, Antoine van Leeuwenhoek ( ,commerçant et savant néerlandais, connu pour ses améliorations du microscope et comme l’un des précurseurs de la biologie cellulaire et de la microbiologie) , fut le premier être humain à observer des bactéries. Depuis l’homme fait avec cette réalité sans y prêter attention . Récemment le virus COVID 19 n’a t’il pas bousculé notre vie plus ou moins tranquille ? Là encore nous faisons avec ! Alors pour les extraterrestres cela sera la même chose, après le choc, la vie continue , les gens n’en sont plus à un choc près !!!
Interview ci dessous de Avi Loeb
France Inter
Avi Loeb : « La nature a une imagination qui dépasse de loin la nôtre«

Crédit article et images : .rtbf.be/tendance

Par Chloé Rosier le mercredi 06 janvier 2021 – pour RTBF.be
La Nasa découvre une barrière artificielle entourant et protégeant la Terre.
Chloé Rosier Publié le mercredi 06 janvier 2021 –
En 2017, les sondes spatiales de la Nasa ont détecté une « barrière » artificielle autour de la Terre et des tests ont confirmé qu’elle avait un effet sur la météo spatiale, bien au-delà de l’atmosphère de notre planète.
Au-delà du changement climatique actuel, déjà induit par l’activité humaine, nous sommes en train de changer également « la météo de l’espace ». Certains scientifiques demandent qu’une toute nouvelle époque géologique porte notre nom tant notre activité a d’impact autour de nous.
La différence avec cette découverte de « changement climatique » c’est qu’il joue en notre faveur comme l’explique l’article scientifique publié dans Science Space Reviews.
Une nouvelle ceinture qui nous protège

En 2012, la Nasa a lancé deux sondes spatiales pour travailler en tandem sur les ceintures de Van Allen. Ces ceintures sont une région de la magnétosphère qui protège la Terre, dans laquelle les particules chargées à haute énergie sont piégées par le champ magnétique de la planète.
En 2017, les sondes ont détecté quelque chose d’étrange en surveillant l’activité des particules capturées dans le champ magnétique terrestre : les décharges solaires dangereuses étaient tenues à distance par une sorte de barrière basse fréquence.
Les chercheurs ont découvert que cette barrière avait activement éloigné les ceintures de Van Allen de la Terre au cours des dernières décennies. Aujourd’hui, les limites internes de ces ceintures sont plus éloignées de nous qu’elles ne l’étaient dans les années 1960.
Les communications radio à très basse fréquence en cause
Un certain type de transmission, appelé communications radio à très basse fréquence (VLF), est devenu beaucoup plus courant aujourd’hui que dans les années 60, et l’équipe de la Nasa a confirmé qu’elles pouvaient influencer sur la manière de se déplacer et l’emplacement de certaines particules dans l’espace.
« Un certain nombre d’expériences et d’observations ont montré que, dans les bonnes conditions, les signaux de radiocommunication dans la gamme de fréquences VLF peuvent en fait affecter les propriétés de l’environnement de rayonnement à haute énergie autour de la Terre« , a déclaré l’un des membres de l’équipe, Phil Erickson de l’observatoire MIT Haystack dans le Massachusetts, en 2017.
D’où viennent les VLF ?

Ce genre de fréquence n’est pas utilisé par le commun des mortels mais elles sont un pilier de nombreuses opérations d’ingénierie, scientifiques et militaires. Avec des fréquences comprises entre 3 et 30 kilohertz, elles sont beaucoup trop faibles pour transporter des transmissions audio, mais elles sont parfaites pour diffuser des messages codés sur de longues distances ou sous l’eau.
L’une des utilisations les plus courantes des signaux VLF est de communiquer avec les sous-marins de haute mer.
Les signaux VLF n’ont pas été créés dans l’intention d’être utilisés ailleurs que sur Terre mais il s’avère qu’ils se sont infiltrés dans l’espace, ils entourent aujourd’hui notre planète et ils sont là depuis suffisamment longtemps pour former une bulle protectrice géante.
La ceinture artificielle repousse les ceintures naturelles
Lors des premières observations, les chercheurs ont vu que « l’étendue extérieure de la bulle VLF correspond presque exactement au bord intérieur du rayonnement des ceintures de Van Allen« , a déclaré la Nasa.
Cependant, une fois qu’ils ont réalisé que les signaux VLF peuvent influencer le mouvement des particules chargées à l’intérieur de ces ceintures de rayonnement, ils se sont rendu compte que notre barrière artificielle repoussait progressivement les ceintures de Van Allen.
A voir ce que cela signifie pour le futur mais l’un des membres de l’équipe, Dan Baker, du Laboratoire de physique atmosphérique et spatiale de l’Université du Colorado, la qualifie de « barrière impénétrable ».
Mise à jour investigations ufoetscience le : 11 /01:2021 à 11h25.


Des physiciens réussissent une téléportation quantique sur 44 km
par Adrien Vlahovic | 4 janvier 2021– traduction pour ulyces.co -crédit: Daily Mail
Une connexion internet quantique, ultra-rapide et ultra-sécurisée, est sur le point de voir le jour. Un groupe de chercheurs de l’Institut de technologie de Californie (Caltech), du Fermilab et de la NASA ont réussi à téléporter des informations entre deux laboratoires séparés par 44 kilomètres, rapportait le DailyMail le 22 décembre.
Pour « téléporter » ces données, les scientifiques se servent des qubits, les bits quantiques. Ces derniers, inextricablement liés les uns aux autres, interagissent quelque soit la distance qui les séparent. Dans le cas d’une paire, si le premier bit à une valeur de 1, le second sera un 0. En liant 3 qubits, ils est donc possible d’obtenir la même valeur pour le premier et le troisième, faisant voyager l’information rien qu’en modifiant les données au point de départ. Mais afin de créer ces réseaux de communication du futur, il est nécessaire d’améliorer la portée et la fiabilité de cette technologie. Dans leur étude publiée le 4 décembre, les résultats ont montré une réussite de 90 % dans la transmission de l’information.
« Nous sommes ravis de ses résultats », annonce Panagiotis Spentzouris, chercheur au Fermilab, dans le journal de l’université de Chicago UChicago. « Avec cette démonstration, nous commençons a poser les bases de la construction d’un réseau quantique de la taille de Chicago. » Imaginez un internet instantané couvrant toute l’Île-de-France. La 5G et les autres technologies classiques seraient bien vite rendues obsolètes. La physicienne Maria Spiropulu, de Caltech, ajoute d’ailleurs que « les résultats seront encore améliorés avec les mises à niveau du système que nous prévoyons d’achever d’ici le deuxième trimestre 2021 ».
Depuis le début des études sur les technologies quantiques, les limites du possible semblent être repoussées toujours plus loin. On voit apparaître des calculateurs surpuissants capables de réaliser des opérations qui auraient pris des milliers d’années aux meilleurs ordinateurs, ou encore des sécurités inviolables qu’aucun hacker au monde ne saurait contourner.
Source : The DailyMail
Mise à jour investigations ufoetscience le : 05 /01:2021 à 11h10.

La France doit s’adapter et adapter une structure engendre des modifications plus ou moins importantes au sein du commandement et du management, puis des services, du personnel et bien entendu de la logistique.
Nous connaissons déjà ce genre de changement pour celles et ceux qui travaillent dans des grands groupes industriels .
Les militaires connaissent aussi certains chamboulements dans leur carrière.
Pourquoi l’Armée de l’Air et de l’Espace veut essaimer ses généraux ?
( Crédit air-cosmos.com ).
Le dernier comité stratégique de l’Armée de l’Air et de l’Espace (AAE), qui s’est tenu mi-décembre 2020, a entériné une décision du général Lavigne, Chef d’Etat-Major de l’Armée de l’Air et de l’Espace (CEMAAE).
L’actuel commandement des forces aériennes va exploser .
Le dernier comité stratégique de l’Armée de l’Air et de l’Espace (AAE), qui s’est tenu mi-décembre, a entériné une décision du général Lavigne, Chef d’Etat-Major de l’Armée de l’Air et de l’Espace (CEMAAE). L’actuel commandement des forces aériennes, implanté à Bordeaux, va exploser, et ses actuelles brigades vont être réparties, avec leurs généraux, sur les bases aériennes existantes. L’application de la décision pourrait intervenir à la fin 2021, ou en 2022. Des apports qui pourraient servir la communication du ministère des Armées sur le thème de l’aménagement du territoire (il faudra aussi rénover de l’infrastructure ou la construire, c’est donc injecter de l’argent frais dans les territoires), mais aussi la visibilité de l’AAE. (fin du résumé – article air-cosmos.com )
Les super puissances ont activé un plan, une stratégie militaire , notamment les américains et leur flotte spatiale officialisée , la Russie et ses armes hypersoniques, sans oublier la Chine et le Royaume uni, ce dernier pays a activé ses recherches & développement sur les armes à énergie dirigée( lasers et sans doute les armes à faisceaux de particules) par exemple .
En mai 2020, Pékin a annoncé une hausse de 6,6 % de son budget de défense. Ceci est un ralentissement puisque ce pays avait augmenté son budget défense de 7,5 % en 2019 .
La Chine a prévu néanmoins de dépenser 1.268 milliards de yuans (178 milliards de dollars, 163 milliards d’euros) pour sa défense pour l’ année 2020.
L’armée chinoise a notamment présenté son nouveau missile balistique intercontinental DF-41 (multi-têtes nucléaires) réputé capable de frapper n’importe quel point des Etats-Unis. La marine a pris officiellement possession en décembre du « Shandong » son deuxième porte-avions, et d’un nouveau destroyer de pointe. Objectif : renforcer sa défense face à l’US Navy, qui croise près des côtes chinoises. (source les echos )
En résumé notons les restructurations au sein des armées qui englobent aussi bien les emplacements stratégiques, que le commandement , l’espionnage ( le renseignement et la surveillance) et bien entendu les réalisations qui pour certaines d’entre elles ne rassurent pas !
Ces acteurs misent sur la technologie de plus en plus performante et qui offre bien des avantages comme les nanotechnologies, les nouveaux matériaux et alliages certains étant plus légers pour une même résistance, que ceux utilisés dans le passé ou actuellement, des satellites dont la résolution a augmenté exponentiellement ces dix dernières années, certains sont probablement armés et si ce n’est pas le cas les jours sont comptés , ce n’est qu’une simple question de temps.
Les super calculateurs offrent des calculs plus rapides ce qui n’est pas rien pour certaines applications, comme pour identifier orienter des trajectoires de tir par exemple . L’intelligence artificielle est adaptable à souhait, elle peut intégrer un robot, un PC, un ascenseur, une arme et pouvant être utilisée en médecine notamment et tout ce que vous voulez, là aussi tout n’est q’une question de temps , selon les besoins, les stratégies et l’économie !
J’entend certains dire que l’homme n’est pas capable de réaliser certaines choses que seule une autre physique peut permettre des avancées significatives. Ce n’est pas faux l’humanité est limitée surtout dans notre phase d’évolution actuelle, mais toutefois prenons garde avec de telles allégations car en secret nul ne sait l’état d’avancée actuelle en science dont des applications et de la technologie peuvent bénéficier .
N’excluons rien et ne croyons à rien ,être cartésien n’exclut pas que l’impossible peut ne pas l’être !
Nous savons que des choses inexpliquées existent . Certaines semblent être d’un autre âge, pas de notre époque ce qui ne veut pas dire obligatoirement que l’origine soit d’un autre monde et le contraire non plus!
Le monde ne cesse de bouger, les événements liés au COVID nous invite à plus de vigilance.Cette épreuve a surtout a permis de voir que le monde tel que nous le connaissons peut tout simplement changer et peut-être même disparaître au fil du temps , ceci au gré des événements et des découvertes plus ou moins fastes . Gardons bien ceci en tête . Nul n’est impossible !
Auteur Matisse sylvain pour investigations ufoetscience
Sources pour les besoins de l’article:
Les Echos
air-cosmos.com
clubic.com (pour le logo armée de l’air et de l’espace)

Mise à jour investigations ufoetscience le : 04 /01:2021 à 13h10.

18 septembre :
Le numéro 441 est prêt, pour ceux qui ne sont pas abonnés ou réabonnés il est encore temps..
https://www.facebook.com/revueLDLN
Cette revue partenaire a maintenant sa catégorie dans les menus verticaux situés à droite en descendant sur ce site ( catégories rangées je le rappelle par ordre alphabétique)
Pour avancer il faut travailler et ceci permet d’engranger de l’expérience et de la connaissance.

Matisse sylvain webmaster et auteur – Crédit photo / revue Sparse par Cédric de Montceau © 2019 photo soumise à autorisation pour être reprise.
Nous nous sommes engagés et nous avons signé avec Emma ( ERA blog AREA51) dans un projet pour un groupe qui veut s’appuyer sur le collectif d’intervenants sur le Phénomène OVNI ( voir photo ci-dessus juste au-dessus de celle du MUFON ) dont l’idée a germé au fil du temps pour mettre en place une structure qui interpelle l’état, l’armée, et les médias officiels afin que les observations inexpliquées soient traitées sérieusement et pas pour amuser la galerie qui tourne trop souvent le sujet en ridicule pour ne pas dire en dérision absurde et ce, sans aucun débat constructif et objectif de haut niveau. Cette organisation a été possible grâce à plusieurs personnes et plus particulièrement Isaure ( Responsable des repas ufologiques toulousains) et Franc Maurin auteur et coordinateur CPO. Nous pensons qu’il est temps d’unir nos efforts concrètement en laissant de côté nos différences et de ne parler que d’une seule voix pour espérer être entendus et pris au sérieux par les autorités de ce pays ainsi que les médias qui accusent tous les deux un retard significatif par rapport aux USA notamment sur ce sujet complexe que les OVNI représentent.
Pour ma part j’étend ma progression et me forme encore et toujours sur la méthode pour enquêter autour des dossiers inexpliqués. Ainsi , j’intègre l’organisation américaine MUFON et plus particulièrement l’antenne MUFON FRANCE, car cette structure de renommée internationale possède une logistique intéressante et surtout, elle est représenté et pilotée en France et les territoires ultra marins par des gens sérieux à commencer par la directrice Janny Charrueau enquêtrice internationale qui a dirigé le MUFON Québec puisqu’elle a vécu là bas . J’ai été conseillé par notre ami Hugues Noel qui était directeur MUFON pour les caraïbes. J’ai étudié le fonctionnement de cette structure et je me suis assuré que les gens en place étaient sérieux, crédibles et méticuleux et c’est le cas, alors j’ai donné suite, et après avoir obtenu le manuel de l’enquêteur, j’ai travaillé sur ce manuel pour satisfaire à l’examen obligatoire pour devenir enquêteur MUFON FRANCE.
J’ai obtenu 88 % des réponses justes, il fallait un minimum de 80% de bonnes réponses pour devenir enquêteur et il faudra réaliser une dizaine d’enquêtes pour être certifié (et devenir enquêteur certifié MUFON). Donc , le travail à ce propos ne fait que commencer.
Je remercie Janny Charrueau, Hugues Noel, Franck Depaillat (directeur des enquêtes MUFON France, Karen Lagnel (enquêtrice MUFON), Eric Barrouillet ( enquêteur MUFON ) et Bruno Dupont ( enquêteur MUFON) pour leur aide et soutien, ce qui a facilité mon intégration au sein de cette institution.
Nous remercions la chaîne de Nora &Guillaume Nurea TV pour leur soutien au projet groupe pour le collectif d’intervenants sur le Phénomène OVNI et le live ( le direct) assumé hier soir par leurs soins.
Continuons la lutte car s’en est une, pour faire entendre aux sourds et aux allergiques que les OVNIS (Objets Volants Non-identifiés) ou les PAN ( Phénomènes Aériens et/ ou aérospatiaux Non-identifiés) ne sont pas des fables mais la réalité de ce monde, nous nous basons sur des faits !
Ci -dessous retrouvez Nurea TV et cette soirée historique pour l’ufologie. Vidéo ci dessous via YouTube ou le titre en cliquant sur ce lien ce qui amène sur Nurea TV .
Événement UFO en duplex avec les Repas Ufologiques de Toulouse
Vidéo Nurea TV
Si cette vidéo ne fonctionne pas cliquez ici
Mise à jour investigations ufoetscience le : 18/09:2020 à 13h30.

Planète Vénus: La phosphine est détectée aux latitudes moyennes
Crédit : ÉQUIPE DE PROJET JAXA / ISAS / AKATSUKI

Matisse sylvain webmaster et auteur – Crédit photo / revue Sparse par Cédric de Montceau © 2019 photo soumise à autorisation pour être reprise.
Focus sur » l’étoile du berger » Vénus qui en fait est une planète pas une étoile , elle attire une attention toute particulière en ce moment au sein de la communauté scientifique puis des médias.



Planète Vénus: La phosphine est détectée aux latitudes moyennes.
Crédit : ÉQUIPE DE PROJET JAXA / ISAS / AKATSUKI
Y a-t-il de la vie qui flotte dans les nuages de Vénus?
Article source : bbc.com/
Par Jonathan Amos
Correspondant scientifique de la BBC
C’est une possibilité extraordinaire – l’idée que des organismes vivants flottent dans les nuages de la planète Vénus.
Mais c’est ce que les astronomes envisagent maintenant après avoir détecté un gaz dans l’atmosphère qu’ils ne peuvent pas expliquer.
Ce gaz est la phosphine – une molécule composée d’un atome de phosphore et de trois atomes d’hydrogène.
Sur Terre, la phosphine est associée à la vie, avec des microbes vivant dans les intestins d’animaux comme les manchots, ou dans des environnements pauvres en oxygène tels que les marais.
Bien sûr, vous pouvez le fabriquer industriellement, mais il n’y a pas d’usines sur Vénus; et il n’y a certainement pas de pingouins.
Alors pourquoi ce gaz est-il là, à 50 km de la surface de la planète? Le professeur Jane Greaves, de l’Université de Cardiff, au Royaume-Uni, et ses collègues posent précisément cette question.
Ils ont publié un article dans la revue Nature Astronomy détaillant leurs observations de la phosphine à Vénus, ainsi que les recherches qu’ils ont menées pour essayer de montrer que cette molécule pourrait avoir une origine naturelle et non biologique.
Mais pour le moment, ils sont perplexes – comme ils le disent au programme Sky At Night de la BBC, qui a longuement parlé à l’équipe. Vous pouvez voir l’émission sur BBC Four ce soir (lundi) à 22h30 BST .
Compte tenu de tout ce que nous savons sur Vénus et les conditions qui y existent, personne n’a encore été en mesure de décrire une voie abiotique vers la phosphine, pas dans les quantités qui ont été détectées. Cela signifie qu’une source de vie mérite considération.
«Tout au long de ma carrière, je me suis intéressé à la recherche de la vie ailleurs dans l’Univers, donc je suis tout simplement époustouflé que cela soit même possible», a déclaré le professeur Greaves. « Mais, oui, nous encourageons véritablement d’autres personnes à nous dire ce que nous aurions pu manquer. Notre papier et nos données sont en libre accès; c’est ainsi que fonctionne la science. »
Qu’est-ce que l’équipe a détecté exactement?
L’équipe du professeur Greaves a d’abord identifié la phosphine à Vénus à l’aide du télescope James Clerk Maxwell à Hawaï, puis a confirmé sa présence à l’aide du réseau Atacama Large Millimeter / submillimeter Array au Chili.
La phosphine a une «ligne d’absorption» distinctive que ces radiotélescopes discernent à une longueur d’onde d’environ 1 mm. Le gaz est observé aux latitudes moyennes de la planète à environ 50 à 60 km d’altitude. La concentration est faible – ne représentant que 10 à 20 parties dans chaque milliard de molécules atmosphériques – mais dans ce contexte, c’est beaucoup.

Pourquoi est-ce si intéressant?
Vénus n’est pas en tête de liste lorsqu’on pense à la vie ailleurs dans notre système solaire. Comparé à la Terre, c’est un enfer. Avec 96% de l’atmosphère composée de dioxyde de carbone, elle a subi un effet de serre incontrôlable. Les températures de surface sont comme celles d’un four à pizza – plus de 400 degrés.
Les sondes spatiales qui ont atterri sur la planète ont survécu quelques minutes avant de tomber en panne. Et pourtant, montez 50 km et c’est en fait des « conditions de manches de chemise ». Donc, s’il y a vraiment de la vie sur Vénus, c’est exactement là que nous pourrions nous attendre à la trouver.
Mise à jour investigations ufoetscience, le : 14/09/2020 à 18h40.

Ballon stratosphérique –
Crédit photo : ZEPHALTO
Information crédit : techniques-ingenieur.fr
Vincent Farret d’Astiès est fondateur de Zephalto. Ingénieur aéronautique, il a créé l’entreprise en 2016. Quelques années de recherche et de développement plus tard, il fait voler son prototype de ballon. Objectif : atteindre les 25 km d’altitude d’ici 2024.
Le gaz utilisé dans le ballon porteur peut être de l’hélium ou de l’hydrogène. L’hélium est plus cher, l’hydrogène est plus léger et plus efficace, mais inflammable, ce qui demande des précautions dans la conception de l’enveloppe. Un autre avantage de l’hydrogène est qu’il peut être obtenu par électrolyse de l’eau. Nous devrions plutôt partir sur l’hydrogène mais le choix final dépendra des étapes de certification à venir.
Mise à jour investigations ufoetscience, le : 07/09/2020 à 11h25.

Illustration montrant une étoile éclairant l’atmosphère d’une exoplanète. NASA’s Goddard Space Flight Center

Matisse sylvain webmaster et auteur – Crédit photo / revue Sparse par Cédric de Montceau © 2019 photo soumise à autorisation pour être reprise.
L’intelligence artificielle à tous les étages, applications, commerciales, militaires, médecine, etc, l’astronomie aussi bénéficie de cette technologie aujourd’hui. La chasse aux exoplanètes lancée depuis deux décennies environ progresse. Ce ne sera pas la seule avancée. Je pense, que l’exobiologie bénéficie et si ce n’est pas encore le cas, cela viendra ou elle aussi aura cet outils à sa disposition . Et à partir de la combinaison entre les exoterres , les mystères de la vie et son processus , les algorithmes de l’intelligence artificielle vont aussi dénicher des exoplanètes non plus habitables,mais habitées, c’est juste mon impression . Entre 2030 et 2040 il est possible que les réponses arrivent enfin avec quelques preuves. Si tel est le cas, alors la perception du monde qui entoure notre planète ne sera plus la même qu’à présent! Alors vivement, « cette ère nouvelle qui s’ouvre à nous »surtout pour les sceptiques et autres bornés du genre qui sont encore convaincus que nous sommes un hasard de l’univers et que seule la terre héberge la vie . Alors j’ai hâte de me retrouver en 2035 ! Pour l’instant l’article ci-dessous mentionne juste une première avancée qualitative pour cette discipline scientifique en attendant d’autres plus probantes à venir . Bonne lecture.
La recherche d’autres planètes vient de recevoir une énorme amélioration.
Article source : futurism.com traduction
Un algorithme d’apprentissage automatique vient de confirmer l’existence de 50 nouvelles planètes.
L’équipe derrière l’algorithme, de l’Université de Warwick, l’a alimenté d’énormes ensembles de données provenant de la mission Kepler de la NASA maintenant retirée et du Transiting Exoplanet Survey Satellite (TESS), un télescope spatial lancé en 2018.
Les scientifiques espèrent que leurs recherches pourraient ouvrir la voie à de futures techniques de validation des planètes. Les techniques actuelles de repérage et de confirmation de l’existence d’autres planètes sont facilement influencées par le bruit, les interférences d’un objet en arrière-plan ou même les erreurs de la caméra.
L’équipe a formé son algorithme en lui apprenant la différence entre les planètes confirmées et les faux positifs. Ils l’ont ensuite lâché sur un ensemble de données distinct qui n’a pas encore été validé pour les candidats planétaires.
L’algorithme a pu confirmer 50 nouvelles planètes – une première dans l’histoire de l’astronomie, selon l’équipe.
«L’algorithme que nous avons développé nous permet d’amener cinquante candidats à franchir le seuil de validation de la planète, en les mettant à niveau vers de vraies planètes», David Armstrong, du département de physique de l’Université de Warwick, et auteur principal de l’article publié dans la revue Monthly Notices of la Royal Astronomical Society la semaine dernière, a déclaré dans un communiqué .
Les planètes sont de différentes tailles. Certains sont aussi grands que Neptune, tandis que d’autres sont encore plus petits que la Terre.
«Plutôt que de dire quels candidats sont plus susceptibles d’être des planètes, nous pouvons maintenant dire quelle est la probabilité statistique précise», a expliqué Armstrong. «Là où il y a moins de 1 pour cent de chances qu’un candidat soit un faux positif, il est considéré comme une planète validée.»
Ce n’est pas seulement extrêmement efficace, l’algorithme fonctionne très rapidement tout seul. «Nous devons encore passer du temps à former l’algorithme, mais une fois que cela est fait, il devient beaucoup plus facile de l’appliquer aux futurs candidats», a ajouté Armstrong.
«Nous espérons appliquer cette technique à de larges échantillons de candidats issus de missions actuelles et futures telles que TESS et PLATO (PLAnetary Transits and Oscillations of stars, un télescope spatial devant être lancé en 2026].»
Mise à jour investigations ufoetscience, le : 26/08/2020 à : 21h10.