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De nombreux documents sont révélés, ayant pour origine un groupe secret, au sein du gouvernement des Etats-Unis.
Les documents « Majestic 12 », sont arrivés dans le cercle des enquêteurs sur le phénomène Ovni à la fin des années quatre-vingt.
Tout commença lorsqu’en 1987, l’enquêteur William « Bill » Moore – qui avait été le premier à soulever l’histoire du crash de Roswell – dévoila publiquement un document sur les recherches et les activités des autorités Américaines au sujet des ovnis en général et mettant l’accent sur un groupe secret, du nom de « Majestic 12 », en particulier. D’autres documents sortiront en 1992. Moore ne sera pas le seul à y porter un intérêt et il sera suivit par d’autres enquêteurs: James Shandera, Stanton Friedman, Timothy Good et Linda Milton Howe. Ces derniers s’impliqueront chacun à divers niveaux, dans la controverse qui naîtra de ces documents, dans les milieux ufologique.
Et il y aura un autre acteur de l’affaire, du nom de Richard Doty (un ancien agent spécial de l’AFOSI, « Air Force Office of Spécial Investigation »), qui collaborait à l’époque depuis quelques années avec William Moore.
1987: La divulgation du tout premier document.
C’est en juillet 1987, lors du symposium annuel du MUFON, que William Moore présenta un document de 5 pages, classé « Top Secret/Majic Eyes Only » (1). Le document intitulé « Briefing Document: Operation Majestic 12. Prepared for President Elect Dwight Eisenhower », sera d’ailleurs publié au même moment par Timothy Good dans son ouvrage, « Above Top Secret » (Good dira l’avoir obtenu par un agent de la CIA, qui restera anonyme).
Mais l’affaire avait en fait commencée quelques années auparavant. C’est Jaimie Shandera, qui avait reçu le document par un envoi par la poste, d’un courrier anonyme, en décembre 1984 (le document figurait sur une pellicule non développé). Friedman se montrera très intéressé et s’associera à Moore et Shandera, pour déclarer sa conviction, dans l’authenticité du document.
1992-1994: La divulgation d’un autre document, encore plus spectaculaire.
Après une longue période de sommeil (où il y aura tout-de-même durant cet intervale, des vagues de révèlations n’ayant pas de rapport avec les document « Majestic »), d’autres documents feront leur apparition, dont l’un qui fera grand bruit.
En 1992, un personnage nommé Timothy « Tim » Cooper, fera parvenir à Stanton Friedman, plusieurs dcuments en relation avec Majestic 12. Dont un mémorandum pour le président Truman, signé de l’amiral Hillenkoetter (à l’époque directeur de la CIA) qui l’informe qu’il va le tenir au courant de l’étude des soucoupes récupérées. Friedman connait bien Tim Cooper. Ce dernier a été très actif dans l’obtention de documents officiels par la loi FOIA, « Freedon of Infromation Act », et lui en a déjà communiquer plusieurs (et il a des contacts dans le milieu militaire) (2). Mais à part le Mémo pour Truman, les autres documents – tout comme ceux sur Majestic 12 que lui fournira Cooper par la suite – s’avéreront être des faux.
Mais ensuite il y aura un nouveau document, qui sera plus étonnant. Ce document, intitulé « SOM1-01 Majestic 12 Group Special Operation Manual, Extraterrestrial Entities and Technology, Recovery and Disposal », « Manuel d’Opérations Spéciales du Groupe Majestic 12 SOM1-01, Entités et Technologie Extraterrestre, Récupération et Disposition ».
Ce dernier était arrivé par un envoi anonyme postal, à Don Berliner (du « Fund for UFO Research ») en 1994, d’une pellicule non développée. Après développement, le film montrera une vingtaine de pages, d’un manuel d’opérations. Visiblement, concernant les procédures de récupération d’ovnis accidentés et de cadavres extraterrestres retrouvés, par l’armée Américaine.
1998-1999: La divulgation continue, avec plusieurs centaines de pages de documents.
A la fin des années quatre-vingt dix, arrivera un afflux considérable de documents (toujours à propos de Majestic 12). Ce sera 125 pages en 1998, puis plusieurs centaine de pages en 1999, pour atteindre un total de près de 2000 pages. Ils seront reçut par le Dr Robert Woods et son fils Ryan, qui étudient alors soigneusement depuis un moment des documents Majestic, apportés par Timothy Cooper (qui dira les avoir reçu d’un agent des services secrets, Thomas Cantwheel, un pseudonyme, disant être un ancien lieutenant-colonel de l’US Army du « CIC », « CounterIntelligence Corps », le service de contre-espionnage de l’armée).
Le premier lot de nouveaux documents, sera dévoilé publiquement lors d’une conférence à New Haven le 11 octobre 1998. Ils parlent de l’étude secrète d’ovnis découverts depuis 1947. Les documents suivants ont rapport avec un ou plusieurs ovnis accidentés et de leur récupération en 1947.
Le déroulement de l’expertise des documents « Majestic 12 ».
La première préoccupation des enquêteurs sera bien-sûr d’établir l’authenticité véritable ou non des documents.
Il faut savoir que bon nombre des documents de Majestic ne sont pas issu des sources officielles, telles que la FOIA (« Freedom of Information Act »), ou encore des archives gouvernementales. (Mais, précision importante, on trouvera par la suite, quelques documents officiels déclassifiés faisant bien référence à un groupe « MJ-12 », aux Archives Nationales).
L’authenticité à des implications multiples, ce n’est pas aussi simple que de dire, c’est « vrai ou faux » ou le document est « truqué ou réel ». Il est intéressant de savoir comment ils procèdent. Voilà comment ils s’y prennent:
Vérifier l’authenticité d’un document consiste à examiner de nombreux points, tels que:
– Quelle en est la provenance, qui a fourni le document ?
– Quels sont les résultats de l’expertise du papier, de l’encre, du filigrane, des caractères de la machine à écrire utilisée et des tests d’écriture ?
– Y a t-il des indications, termes ou références, dans le contenu du document qui sont exactes pour ce type de document ?
– Y a t-il des témoins directs, « de première main », de l’existence ou du contenu du document, à partir de sa date de création ?
– Comment pourrait-on s’y prendre pour fabriquer un tel document qui serait un canular ou un faux ?
– Dans le cas où des informations seraient parfaitement exactes et prouvées, qui aurait falsifié le reste du document et pourquoi ?
Les Facteurs de Pondérations.
Tous ces facteurs, contribuent à donner une note d’authenticité pour chaque document. Il y a une grille d’évaluation bien précise, pour répertorier tous les éléments, pour et contre, pour arriver à ce qu’ils appellent, un « facteur de pondération ».
Pour évaluer efficacement chaque document, il doit y avoir un facteur de pondération pour chaque élément d’authenticité à l’étude. Par exemple, s’il y a une forte différence entre le papier et les tests médico-légal de l’encre, une pondération de 5,0 est donnée, et le contenu des documents plus faciles à obtenir, un facteur de pondération 2,0. Les tribunaux reconnaissent largement ce concept. Au terme de l’étude, chaque document reçoit alors une note d’authenticité basée sur la multiplication du facteur de pondération et le score final que le document s’est vu attribué. Le but est de rendre le système de notation aussi objectif que possible.
Ces « facteurs de pondération » sont les suivants:
1) Les témoins visuels: le ou les témoins de première main, qui ont été directement impliqués avec le document en question – soit ils l’ont vu, ils en ont détruit une copie, ils l’ont déjà lu, ils ont écrit ou contribué à la rédaction du document de façon tangible. Les témoins sont faillibles, il y a les souvenirs qui changent avec le temps et peuvent être plus ou moins influencés. Les témoins oculaires directs donnent un facteur de pondération de 3,0.
2) Remarques pertinentes: Ce sont les remarques et observations qui sont des indicateurs clés de l’authenticité, qui vont bien au-delà de la norme. Il s’agit d’un indice déterminant pour vérifier un document qui apparaît obscur, bizarre, ou incorrect. Par exemple, cela inclut des anomalies typographiques, trouvées sur le document, qui se retrouvent sur le processus d’impression de l’époque (machine à écrire ayant un défaut de caractère, par exemple). Ces remarques pertinentes donnent un facteur de pondération de 5,0.
3) Le contenu: Cela se réfère aux texte et au sens du document. Les dates, les références des documents, et les personnes mentionnées, tout cela coïncident-il ? Que dit le document par rapport à ce qui était alors connu à l’époque et ce qui est connu actuellement ? Y at-il des faits obscurs qui avaient été classés, puis qui ont été déclassifiés ou rendues public après que le document ait été divulgué ? (par exemple, les faits décrits dans le document, auraient-ils pu être connu, par un autre document, authentique celui-là, et reprit pour fabriquer un faux document « Majestic » ?) Le contenu donne un facteur de pondération de 2,0.
4) La chronologie: On vérifie si le contenu du document est conforme, par rapport à l’histoire de certaines organisations ou services. Les personnes mentionnées dans la note ou le rapport, sont-ils censé être là ? Le document correspond-il avec les autres documents connu de l’époque, ou est-il hors de propos ? La chronologie donne un facteur de pondération de 2,0.
5) La typographie: Cela concerne tous les outils d’impression possible: les machines à écrire de l’époque, la composition; tout comme l’impression laser, la photocopie (pour détecter des faux, produits de nos jours), et même la « memography » (une technique qui crée ou reproduit un écrit manuscrit sur le papier). La typologie donne un facteur de pondération de 4,0.
6) Les analyses: Il s’agit de test sur le papier d’origine, de la vérification des filigranes et des tests avec des encres connues à l’époque du document, qui sont authentiques. Les analyses donnent un facteur de pondération de 5,0.
7) La linguistique: L’utilisation de la linguistique ‘médico-légale » s’inscrit dans cette catégorie. C’est l’examen par des experts de la structure des phrases, de l’orthographe, de la ponctuation et du style d’écriture. Deux outils informatiques sophistiqués et l’analyse de l’écriture manuscrite sont utilisées pour identifier les « marqueurs » et le « style unique », qui définit de manière unique chaque auteur. La linguistique donne un facteur de pondération de 3,0.
8) Les anachronismes: Ce sont des problèmes avec la structure du document: L’emplacement des dates, des mauvais formats, l’écriture elle-même, le contenu visiblement copié à partir d’autres documents, ou des récits contradictoires. Ces questions peuvent être importantes ou mineures selon ce qui ressort de la répétition d’un tel anachronisme (par exemple, s’adressant à un général par son prénom dans un document peut sembler être une erreur majeure dans l’ère moderne, mais pas il y a 50 ans dans des courriers entre des généraux étant bel et bien des amis de longue date. Cet anachronisme peut en fait devenir un élément d’authenticité. Le facteur de pondération pour les anachronismes est de 5,0.
Les différents niveaux d’authenticité attribués.
Compte tenu de ces facteurs de pondération, cinq différents niveaux de l’authenticité sont utilisés pour définir chaque document:
Niveau d’authenticité élevé, 80-100%.
Cela signifie que pratiquement tous les moyens d’investigation disponibles ont été poursuivis et que pour chaque test, le document s’est révélé être authentique. Par exemple, les tests du papier, de l’encre, du contenu, de l’écriture, de la typographie et la période d’utilisation des polices de catactères, le format correct, la linguistique légiste (où il n’y a aucun anachronismes), indiquent tous, le plus haut niveau d’authenticité. A ce niveau, des témoins sérieux existent, qui ont vu ou lu le document dans un contexte « officiel » et signeront ou ont signé un « affidavit » à ce sujet (2).
Niveau d’authenticité de moyen à élevé, 60-80%.
Le niveau moyen à élevé signifie que de nombreuses investigations et des tests ont été réalisés et que leurs conclusions donnent plusieurs éléments d’authenticité, par rapport au contenu, aux analyses, à la typographie,…etc. Il y peut y avoir certains anachronismes identifiés, mais qui ne sont pas déterminants.
Niveau d’authenticité moyen, 40-60%.
Le niveau moyen est en général le point de départ pour la plupart des documents qui ne sont pas encore étudié complètement, ou montrant déjà quelques éléments d’authenticité. Ce niveau est attribué quand un document montre au moins deux signes positifs d’authenticité.
Niveau d’authenticité de moyen à faible, 20-40%.
Le niveau moyen-bas signifie que le document a été étudié par de nombreux individus ou organismes et il y a des anachronismes récurrents qui ne peuvent pas être facilement résolus. Cependant, il y a des éléments (certaine pages ou des paragraphes) du document qui montrent des signes d’authenticité, mais les éléments négatifs sont supérieurs aux éléments positifs.
Niveau d’authenticité faible, 0-20%.
Un niveau faible signifie que des anachronismes totalement insolubles ont été identifiés, qui mettent en doute. Tout comme les considérables études sur l’ensemble du document. Et que pratiquement toutes les voies d’investigation ont été poursuivis et ont montrées très peu ou aucun signe d’authenticité.
Plusieurs des enquêteurs sur les documents Majestic ont une formation scientifique:
– Robert M. Wood est diplômé ès science en génie aéronautique du l’université du Colorado et d’un Doctorat en Physique de l’université Cornell. Il a passé 43 ans dans l’aérospatiale et chez McDonnel Douglas. Et mène maintenant des enquêtes sur le phénomène ovni et sur les documents Majestic 12;
– Ryan N. Wood (le fils du précédent) est diplômé en mathématique et en informatique. Il seconde son père, dans ses études des documents Majestic 12;
– Stanton Friedman a une maitrise de Physique de l’université de Chicago et il est enseignant. Donnant son temps libre à la recherche sur l’ufologie et est devenu un spécialiste des documents officielles, conservé dans différents archives;
Ils sont secondé par plusieurs autres chercheurs, comme l’auteur et journaliste Jim Marss, qui leur apporte ses quarante ans d’expérience dans le domaine du journalisme d’investigation; Jim Clakson, responsable de la section d’enquête ufologique de la région de Seattle. Il a été pendant vingt détective dans l’état de Washington; et il y a aussi l’auteur Nick Redfern, auteur de plusieurs ouvrages sur les ovnis (sur les secrets du gouvernement Britannique, les archives du FBI et les crash d’ovnis), et Timothy Good, qui a une formation de détective privé et travaille dans le domaine de la sécurité. Il a fait des enquêtes sur les rapports entre la CIA et la NSA et les ovnis et il continu de collaborer avec d’autres enquêteurs, pour obtenir des documents, grâce à la loi FOIA.
Les documents « Majestic 12 » en chiffre.
Depuis 1987, ce sont près de 2100 pages de documents (dont plus de 200 classés « Top Secret/Majic ») qui ont été reçu. Dont plusieurs centaine de pages, qui arriveront par le biais de Tim Cooper, non plus sous la forme de film à développer, mais aussi sous la forme de photocopies et de certains documents originaux. Il faut signaler qu’il y a aussi des photographies (dont quelques une sont présentées comme ayant été prises lors d’une autopsie d’entité extraterrestre) qui sont parvenues aux enquêteurs et pas seulement des documents dactylographiés.
Plusieurs documents « Majestic 12 », s’évèreront n’être que des faux grossiers.
Il parviendra aux enquêteurs des documents (photocopies), qui seront assez rapidement identifié comme étant des faux grossiers. Stanton Friedman en a detecté plusieurs assez facilement, parmi les documents reçu. Voici un exemple ci-dessous, avec un montage réalisé avec des éléments provenant de deux documents originaux à droite, pour faire un faux document, à gauche (documents ).
Mais dans la seconde et la troisième partie de cet article, nous nous intéresserons aux informations figurant dans les principaux documents Majestic, considérés eux comme authentique.
(1) Pour plus d’informations sur les « clearance », voir « La classification du secret aux Etats-Unis ».
(2) « Affidavit » est un mot latin voulant dire « il déclare sous serment ». C’est une déclaration écrite faite devant une personne de loi assermentée (avocat, notaire, shérif…etc), dans laquelle l’auteur affirme que les faits qui y sont énoncés sont vrais. Dans le droit Anglo-saxon, un affidavit est considéré comme une preuve et il est recevable devant une cour, un tribunal ou une commission d’enquête (on pourrait le comparer en France à la « déclaration sous serment »).
Sources:
« Ovnis: La levée progressive du secret », par Gildas Bourdais, Editions JMG;
« Majic Eyes Only: Earth’s Encounters with Etraterrestrial Technology », par Ryan S. Wood, Editions Wood Enterprises;
http://www.majesticdocument.com;
www.stantonfriedman.com.
Ce que nous apprennent les documents « Majestic ».
Après avoir retracé brièvement l’histoire de l’origine des documents, nous allons maintenant nous intéresser au contenu des documents en question. En nous appuyant sur des documents pour lesquels un taux d’authenticité concluant à été établit (de « moyen à élévé » et « élevé »). Se baser sur des documents reconnu comme étant des faux, n’aurait que peu d’intérêt. Je ne présenterai pour la mojorité que des documents relatifs à « MJ-12 » ou « Majestic », puisque c’est le sujet qui nous intéresse ici (mais d’autres documents, arrivés anonymement, ne mentionnent aucunement ce groupe, mais contiennent pour la plupart, des informations regroupant celles figurant des des documents « Mejestic »).
Et comme vous le verrez, il existe également quelques documents mentionnant un groupe « MJ-12 », qui sont eux, parfaitement authentiques, puisqu’ils proviennent de différents organismes des archives officielles, comme le NARA, National Archives & Records Administration (les Archives Nationales Américaines) et les archives de la bibliothèque Truman. Ou encore des documents qui ont finalement été débloqué par le gouvernement et ont pût être obtenu par le biais de la loi FOIA (Freedom of Informations Act).
Ainsi, le lecteur pourra se faire sa propre opinion en pouvant juger sur pièce, d’après leur contenu.
Les documents antérieurs à 1948:
Un mémorandum du général Marshall pour le président Roosevelt.
C’est un mémorandum datant du 5 mars 1942, rédigé par le général George C. Marshall, qui écrit: « concernant le raid aérien au-dessus de Los Angeles on a appris par le G2 de l’armée que l’amiral Anderson à récupéré un avion non identifié au large des côtes de Californie… », « …qu’il ne pouvait pas être identifié comme un engin volant conventionnel. Le Quartier Général en est arrivé à la conclusion que les mystérieux avions ne sont en fait pas terrestres et selon des sources des services secrets, ils sont en toute probabilité d’origine interplanétaire ». Et l’on en apprend plus par la suite, sur la création d’un service d’enquête, puisque le général poursuit en disant: « En conséquence, j’ai donné des ordres au G2 de l’armée, pour qu’une unité spéciale de renseignements soit créée pour une investigation approfondie du phénomène et rapporter tous liens significatif entre les incidents récents et ceux collectés par le directeur du bureau du coordinateur de l’information. » Plus tard, à l’aide d’une machine à écrire différente, il sera précisé en haut sur le document « Interplanetary Phenomenon Unit », « Unité pour les phénomènes interplanétaires ». Et le numéro de dossier du chef d’Etat-Major et correct.
Ce document serait donc celui qui aurait été à l’origine de la création de l’unité « IUP » (1). Pour voir le document, cliquez sur le lien, link
Un mémorandum du président Roosevelt.
C’est un mémorandum du 22 février 1944, rédigé par le président Roosevelt qui est classé « double Top Secret » (2) à l’intention du « Comité spécial sur les sciences et les technologies non terrestres ». Ce comité, divisé en deux programmes d’étude distinct, l’un dirigé par le Dr Bush et un autre par le professeur Albert Einstein, pour « une application des connaissances non terrestre et de l’énergie atomique qui pourraient être utilisée dans la conception de super armes de guerre pour assurer une défaite complète de l’Allemagne et du Japon ». Et parle d’une discussion avec le Dr Bush, au sujet de ce que les Etats-Unis pourraient « tirer tous les avantages de telles merveilles qui sont venu à nous ».
Ce document montrerait que dès 1944, le gouvernement des Etats-Unis avait connaissance qu’une technologie supérieur « non humaine » existe et demande un programme d’étude par des scientifiques, avec pour objectif de savoir si cela peut avoir des retombées décisives, pour la défense nationale et d’être assure de gagner la guerre. Pour voir le document, cliquez sur le lien, link
Un ordre de mission pour l’Unité des Phénomènes Interplanétaires.
C’est un document datant du 4 juillet 1947, rédigé par l’officier de prise en charge, ordonnant à l’IPU, de se rendre sur les lieux d’un évènement survenu le 3 juillet, avec une équipe constitué d’un sous-officier, d’un ingénieur en aéronautique, d’un scientifique, d’un agent de sécurité et d’un médecin et de faire un rapport et d’estimer la situation au G2, du camp Condron, Nouveau Mexique (dont dépend la base de Roswell) avant le 28 juillet. Et de prendre contact avec le « CIC », « Counter Intelligence Corps », (le contre-espionnage), de la 4ème armée pour un briefing préalable à l’enquête.
Ce document montrerait que l’unité IPU, aurait été impliquée dans une intervention, suite au crash de Roswell (la date et les lieux concordent, et cela se trouve d’ailleurs confirmé par un autre document. Voir paragraphe suivant) et qu’elle était bien opérationnelle à l’époque. Pour voir le document, cliquez sur le lien, link
Le rapport de l’Unité des Phénomènes Interplanétaires, suite à l’ordre de mission du 4 juillet (voir paragraphe précédent).
C’est un document de 7 pages rédigé le 22 juillet 1947, classé « Top Secret Ultra » (avec un coup de tempon « MAJIC » en travers de la première page et un paragraphe dactylographié datant de 1960, précisant que pour avoir accès au document, il faut avoir l’approbation du « Majestic Intelligence and Security. Avec « Par autorité du Lt-général John A. Samford, dir. NSA » et « Approuvé par Allen Dulles, directeur, CIA ») (3). Il mentionne page 2:
« Evaluation du renseignement dossier réf. 001947122-A.1206 »
« 1. L’extraordinaire récupération des chutes d’objets aéroportés dans l’état du Nouveau Mexique entre le 4 – 6 juillet 1947 (souligné): Cet été a été préparé avec le Quartier Général de l’Unité des Phénomènes Interplanétaires, la branche scientifique et technique, la direction du contre-espionnage, tel que demandé par A.C. de S., G-2 et l’ordre express du chef d’état-major. »
« 2. A 23 heures 32 MST, le 3 juillet 1947, des stations radars de l’est du Texas et de Withe Sand Preving Ground Nouveau Mexique (le site du premier essai nucléaire) suivent deux engins volants non identifiés qui arrivent en dehors de la couverture radar. Deux sites de crash seront localisé. Le site LZ-1 (Land Zone 1) est situé sur un ranch près de Corona, approximativement à 75 miles au nord-ouest de la ville de Roswell. Le site LZ-2 est situé approximativement à 20 miles au sud-est de la ville de Socorro, à la latitude de 33-40-31, longitude 106-28-25… ».
Il est également indiqué à la fin de la page 3: « Le détachement 3 de la 9393rd Unité du Service Technique, affectée à la Alamogordo AAF (Army Air Force) est responsable pour la localisation et le transport des grandes sections de l’engin. » Dans le paragraphe suivant il est écrit que « Une équipe spéciale radiobiologique accompagnée par un SED et que les détails de la sécurité depuis la base de Sandia sont sous les ordres du colonel S.V. /Hasbrouck/USA, du projet des armes spéciales des forces armées, qui a sécurisé immédiatement la zone environnant le site du crash. »
Le document continu en disant qu’une sélection de scientifiques, faisant partie du « General Advisory Committee of the Atomic Energy Commission », « parmi les plus notables », a été informée de l’évènement et s’est rendue sur les lieux. Ils étaient: Le Dr. J. Robert Oppenneimer, qui « a été identifié à LZ-2 ainsi que d’autres membres » et « parmi les spécialistes de PAPERCLIP à LZ-2, étaient les Dr. Wernher Von Braun (de Fort Bliss), Dr. Ernest Steinhoff (de l’Air Material Command) et le Dr. Hubertus Strughold (du laboratoire aéromédical de Randolph Field) ».
« 7. En raison des strictes mesures de sécurité qui ont été mises en place sur les sites du crash, l’équipe n’a pas été en mesure d’accèder aux endroits où étaient l’épave et les corps qui avaient été entreposés. Des membres du CIC de l’équipe ont été capable d’apprendre que plusieurs corps ont été transporté à l’hopital de Roswell AAF (Army Air Force) ainsi que d’autres soit à Los Alamos, Wright Field, Patterson AAF, et Randolph Field pour raisons de sécurité. On suppose que ces dispositions venaient des ordres du général Thomas Handy du Quartier Général de la quatrième armée. »
Il est par la suite précisé que les débris structurels ont été transporté à l’AMC, l’Air Material Command, à la base de Wright Airfield.
« 8. Le 7 juillet, le Lt-Général Nathan Twinings arriva de Alamogordo AAF pour une réunion secrète avec le chef de l’état-major AAF Spaatz et pour avoir un aperçu des restes récupérés de l’engin. Le 8 juillet, Twinings visita la base de Kirtland pour inspecter les parties récupérés du système de propulsion. Le 9 juillet, Twinings et son état major prirent l’avion pour le WSFG (Weapons Spécial Force Group) pour inspecter les morceaux de l’engin qui y avaient été entreposé et le 10 juillet, après inspection faite des installations de R&D à Alamogordo, ils retournèrent à Wright Field.
« 9. Tout personnel civil et militaire impliqué dans les opérations de récupération ayant « besoin de savoir » y avaient accès avec les habilitations de sécurité appropriées. Si plusieurs MPs souffraient de dépression nerveuse qui résultera parmi eux à un suicide, ceux de Alamogordo et Kirtland ont assuré leurs fonctions de sécurité avec beaucoup d’afficacité. Le personnel au sol venant de Sandia subira l’expérience d’une forme de contamination dont résultera la mort de 3 techniciens. L’état d’un quatrième technicien est inconnu. des autopsies sont prévues pour déterminer la cause de la mort. »
Le document indique ensuite que pour maintenir le secret sur le site « LZ-2 », le commandement de la base de Roswell est autorisé à faire un bref communiqué, pour la presse locale, par le biais de la huitième armée. Pour rapidement mettre fin aux rumeurs comme quoi l’armée serait en possession d’une soucoupe volante et tué efficacement l’intérêt de la presse. Et que les civils qui auraient été témoins de quelque chose, qui auraient vu l’épave ou les corps, doivent immédiatement être mis en détention, de même que toutes preuves qui pourraient être en leur possession. Les témoins doivent être debrifé par le CIC et être informé des conséquences d’une divulgation à la presse et que dorénavant, le secret doit être maintenu.
Ensuite, Une réunion doit avoir lieu avec le secrétaire à la Défense, James Forrestal, pour discuter des différents aspects de la découverte.
Le rapport conclu sur une autopsie d’un des corps auquel il a été demandé au Dr. Detlev Bronk de participer et sur le major Charles E. Rea, chargé de la conservation des éléments du cadavre. Et que des photographies montrent d’énormes différences anatomiques avec les humains, dans la tête, les mains, les pieds et les yeux. Une taille de cinq pieds et une couleur grise-rosée. Avec une stature comparable à celle d’un petit enfant. Il précise que les corps ont été trouvés sur le site LZ-2 et non pas sur LZ-1.
Le fait que des scientifiques ont été emmené sur le lieu du crash est corroboré par le témoignage d’un ancien employé de la NASA, Clarck C. Mc Clelland, qui avait reçu cette confidence de Wernher Von Braun lui-même (3). Pour voir le document, cliquez sur le lien, link
De plus, concernant l’existence de l’Unité des Phénomènes Interplanétaires, il y a cette réponse du directeur du contre-espionnage de l’armée, le lieutenant colonel Lance R. Cornine, à une demande d’informations de l’enquêteur S.W. Steinman, disant que la « IPU » a réellement existé (mais bizarrement, alors qu’il dit que l’unité a été crée par un projet interne de l’armée, pour le renseignement du chef d’état-major, ils prétendent n’avoir aucune information à fournir sur cette unité, pour voir la lettre et lire sa traduction en français, cliquez sur le lien, link)
Et encore une autre réponse du 25 septembre 1980 du Colonel William Guild, à une demande d’informations FOIA de Richard Hall, qui confirme cette fois catégoriquement, l’existence de l’unité « IPU ». Elle faisait partie de la Direction Scientifique et Technique de la Direction du Contre-espionnage. Et qu’elle a été dissoute à la fin des années cinquante et jamais reconstituée.
Pour voir la lettre de la réponse, cliquez sur le lien, link
Un rapport d’analyse des débris et de la soucoupe de Roswell.
Ce document de deux pages du 2 sptembre 1947 et un rapport pour le général Cabell, responsable de l’Air Material Command. On y mentionne l’équipe de recherche et de récupération de la AFSWP (« Armed Forces Special Weapons Project »), du personnel de « Paperclip », d’un personnel selectionné du Groupe consultatif des scientifiques de l’Army Air Force, et de personnel du Comité consultatif de la Commision à l’énergie atomique (qui est chargé de conduire les analyses).
Il y est décrit en détails l’engin et les tests qui ont été réalisé sur son métal:
« 2. Les analyses de l’Office de la Recherche et Développement sont:
a. Les études d’évaluation aérodynamiques réalisées par les avionneurs, Power Plant et Propeller Laboratories de la Division Ingénierie du personnel T-3, a conclu que certains pays ont atteints un stade développement de vol dans lequel les idées actuelles sont totalement obsolètes.
b. Une avancée notable dans la réduction de traînées de haute altitude, la charge de l’aile est évidente dans la « propreté » et le raffinement à l’extrême. L’absence de rivetage et de surface qui se chevauchent indique un concept « simpliste » qui confronte notre technologie afin de correspondre au « compromis prudent et bien réfléchie en ce qui concerne le poids, le raffinement et la conception aérodynamique. »
C. Les concepteurs ont réussi à compenser le théorème de Bernouilli qui permet à la « pression totale dans un flux » d’être minimisé à tous les niveaux; nous pouvons comparer cela à la notion de « conservation d’énergie » et de leurs pertes par frottement négative, ce qui dissipe la chaleur.
d. La conception aérodynamique de l’aile circulaire est similaire aux séries NACA 230, à l’exception de la forme du plan d’aile et de l’éxigence d’une grande l’épaisseur. La traînée parasite semble être contrôlée par le raffinement de la conception et de l’élimination des protubérances. La traînée induite diminue avec la durée circulaire inversement proportionnelle au faible ratio-apparent de l’aile.
e. Le fuselage/coque semble tomber dans le type des hydravions dans son concept en manifestant d’excellentes caractéristiques hydrodynamiques de faibles tendances marine.
Base pour R&D, à CG, AMC, ATTN HQ, AAF, WASH. D.C., AC/AS-2, MAJIC EYES, sujet « Soucoupe Volante ».
f. Une description générale de l’engin est présentée:
(1) Le fuselage métallique est d’une finition polie. Une comparaison avec les aciers AISI H1112 indique que les métaux utilisés pour construire ce matériau dépasse la connaissance de la chimie. La composition et les propriétés mécaniques sont actuellement en cours de développement. Des échantillons métalliques ont été soumis au aciers AISI 8620, AISI 3140, AISI 4140, AISI e4340, AISI 5140, AISI 8640, AISI E52100, et AISI 430, 410 et 347 par des essais d’usinage avec des résultats négatifs.
(2) L’engin est conçu pour le vol en haute altitude. Des orifices d’échappements automatiques ont été identifiés. Un stabilisateur d’aile gyro-contrôlé maintient apparament l’engin dans un mode de vol.
(3) La Centrale électrique peut consister en un réacteur sphérique (type isotope d’hydrogène) reliés à des moteurs de propulsion.
(4) Il mesure 100 pieds de diamètre avec la section centrale d’environ 30 pieds. La cabine centrale peut avoir trois ponts: un niveau élévé avec les commandes de vol, la sections centrale pour l’équipement section centrale pour l’équipement et la section inférieur pour la centrale électrique et le train d’atterrissage. L’Aile circulaire peut avoir une section tournante et des réblages de pointe.
(5) Le haut (dôme) peut avoir la capacité de reculer dans le centre de la sction pour des opérations de hautes performance. Des volets d’observation sont rétractables pour fournir un point supérieur d’observation et une vue sur le l’aile.
(6) La construction est basée sur un ratio de 6:1.
(7) Les instruments de vol et les commandes sont activées par des moyens de fibres guides d’ondes optiques semblables à des tiges de verre, qui guident les ondes, sauf qu’elles sont flexibles et ont un enveloppement de revêtement plastique. Toutes les fonctions peuvent être exploitées par le toucher ou par des détections sensibles au stimuli par la texture. Les instruments sont couverts par une plaque en plastique et semblent être codés par couleur.
(8) L’engin peut avoir toutes les capacités de navigation météorologiques pour permettre « un vol sans visibilité ». Une possible visualisation par télévision peut exister. »
Ce document donnent enormément de détails sur l’aspect, la taille et la forme de l’engin de Roswell. Le mot « télévision » peut sembler étonnant en 1947, mais n’oublions pas que l’invention de cette instrument audivisuel date de bien avant la Seconde Guerre Mondiale, en 1926 (et le premier emetteur de la télévision Française sera installé sur la Tour Eiffel en 1935). Le terme « télévision » existait donc déjà en 1947. Pour voir le document (de piètre qualité, mais vous avez en dessous une retranscription lisible), cliquez sur le lien, link
Un Memorandum d’une évaluation pour le Comité Mixte du renseignement.
Ce document datant du 19 septembre 1947 à pour sujet « disques non-identifiés/genre engin volant détenu dans les intallations militaires du Nouveau Mexique: un rapport préliminaire ». Le texte dit que:
« 1. Suite aux réçents evènement mondiaux et les problèmes de sécurité intérieur au sein de la Commission à l’Energie Atomique, les rapports du renseignement sur ce que l’on appel « soucoupe volante » et de l’intrusion d’engins volants inconnus (barré par la suite) au-dessus des installations les plus secrètes de la défense, un projet classifié du renseignement est justifié. Le National Security Act de 1947 établit une agence centrale du renseignement sous l’égide du Conseil National de Sécurité. Quand le directeur du Renseignement Central prendra officiellement ses fonctions, l’Autorité Nationale du Renseignement supprimera les dossiers relatifs aux signalements d’engins volants non-identifiés, le personnel du renseignement et les fonds du Groupe Central de Renseignement seront transféré à l’Agence.
2. La récupération d’une plate-forme volante non identifiée dans l’état du Nouveau Mexique le 6 juillet 1947, dix miles au nord-est de Oscura Peak, et d’une zone de débris, 75 miles au nord-ouste du 509ème group de bombardier atomique de l’armée, de Roswell Army Air Field, est confirmé. Une substéquente prise d’un autre engin similaire 30 miles à l’est de Alamogordo Army Air Field le 5 juillet 1947, on a conclu, par le S-2 de la force aérienne de l’armée, le G-2 de l’armée, l’ONI de la Marine que les épaves ne sont pas des engins de fabrication Américaine.
3. Jusqu’à ce qu’une directive claire du président arrive, il ne peut pas être co-ordonné d’examen scientifique des objets en question. Actuellement le materiel de base étant fixé dans un hangar des installations du Laboratoire de Recherche Naval à Withe Sand Proved Sound, les installations de la base de Sandia (Projet d’Armes Spéciales des Forces Armées), Alamogordo AAF et dans les installations de la Recherche Médical Aéronautique à Randolph Field, Texas.
4. La recherche des scientifiques au Centre de Recherche et Développment, de Wright Field, sont utilisent les installations pour des tests et le nouveau laboratoire biologique à un programme d’étude en cours. Les bureaux du JRDS, FBI et du Département d’Etat apporteront leur assistance au Comité Mixte du Renseignement, dans des demandes de renseignements auprès du MI5 ET MI6 sur une possible recherche developpement et d’essai à longue portée, d’un appareil de reconnaissance/missile, par les Soviétiques. »
Il y a un point à préciser. Le rapport indique qu’il n’y a pas d’ordre pour « une recherche scientifique coordonnée ». Mais en fait, rien n’interdisait aux différentes branches de recherches, qu’elles soient de l’US Army, de l’Army Air Force, ou de la Navy, de se livrer à des programmes d’études, avec des tests et des analyses, par leurs branches de recherche respectives. Ils n’ont pas reçu d’ordre pour procéder à des recherches conjointes, mais ils peuvent en réaliser chacun de leur côté, indépendamment des autres. Pour voir le document, cliquez sur le lien, link
(1) Un crash d’ovni survenu à Cape Girardeau, au large de la Californie, pour plus d’informations sur les crash et la récupération d’ovnis, voir « Les Black Program: Le Projet Moon Dust ».
(2) La mention « double Top Secret » peut paraitre suspecte, mais cette mention ne semble pas étonner les enquêteurs. D’après eux cette manière de faire ayant été utilisée pendant le Seconde Guerre Mondiale. Des demandes d’informations de Friedman aux archives, pour avoir plus de renseignements sur l’association du « Top Secret » avec d’autre mentions ou « clearance », sont actuellement en cours.
(3) La mention « Top Secret Ultra » ne veut pas dire « Ultra Top Secret ». Pour ce qui est de la clearance « Top Secret », pour des raisons pratiques et de sécurité, elle peut se voir ajouter des « noms de code ». Donc la désignation « Majic » pourrait être l’un de ces noms de code.
(4) Voir « Crash de Roswell: Ce que savait Wernher Von Braun », dans la catégorie « Témoignages et révèlations ».
Sources:
« Ovnis: La levée progressive du secret », par Gildas Bourdais, Editions JMG;
« Majic Eyes Only: Earth’s Encounters with Etraterrestrial Technology », par Ryan S. Wood, Editions Wood Enterprises;
http://www.majesticdocument.com;
www.stantonfriedman.com.
Les documents de 1948 à 1959.
Un plan logistique conjoint pour « Majestic ».
Ce document original n’est pas un document transmis par une source anonyme ou arrivé anonymement par courrier. Il fût découvert aux Archives Nationales (dans le fond du « Records Group 218 – Joint Chiefs of Staff », des archives de l’Etat-Major inter-armes), suite à sa déclassification le 26 mai 1976.
Ce document du 25 septembre 1952, parle de: « plans à l’appui de Majestic qui sont actuellement en préparation: Un plan de guerre psychologique, un plan de guerre non conventionnelle, les plans pour la couverture et la tromperie, un plan gouvernemental des affaires civiles/militaires, un plan de commande, un plan logistique, l’orientation des transports, pour être inclut dans le plan logistique,… ».
Pour voir le document, cliquez sur le lien, link
Ce document montre que le « MJ-12 » est en rapport avec l’état-major inter-armes, et que ce dernier accepte, la mise en place de plusieurs « plans », afin de lui apporter sa contribution en matière logistique.
Le Briefing préparé pour le président Eisenhower.
Ce document de 8 pages qui date du 18 novembre 1952, est une présentation de « l’opération Majestic 12 », la décrivant comme une opération « d’informations et de renseignement », sous les ordres directs et de la responsabilité unique du président des Etats-Unis. Il nomme les membres du groupe « Majestic-12 », rappel brièvement le sujet ovni depuis l’observation de Kenneth Arnold, parle de Roswell, et de bien d’autres choses.
Pour voir le document, cliquez sur le lien, link
Pour en voir la traduction Française en intégralité, cliquez sur le lien, link
Le Manuel d’Opération SOM1-01.
Ce document (photo ci-dessous), un manuel de procédures pour la récupération d’épaves d’ovnis et de corps d’extraterrestres, datant de avril 1954, est sans doute le plus connu et le plus controversé, des documents « Majestic ».
Liens externe:
http://www.mystere-tv.com/lumiere-sur-le-projet-majestic-12-v1654.html
http://monde-paranormal.kazeo.com/zone-ufo/majestic-12,a2101813.html
http://fr.wikipedia.org/wiki/Majestic_12
http://photovni.free.fr/majestic12/index.htm