Yves, partenaires de nos sites fait du bon travail sur divers sujets insolites en plus d’avoir des talents d’écrivain. Jugez par vous même avec cet article sur quelques cas classiques de l’Ufologie.
1952, Corée du Nord
Officiellement, et avec la déclassification de plusieurs documents par le gouvernement américain, ce n’est plus en 1947 que les « premières soucoupes volantes » ont été vues (par un certain Kenneth Arnold) mais au minimum en 1944.
Tout avait commencé une nuit de novembre 1944. Pour la première fois, un pilote connut l’effrayante sensation de se trouver en présence de « quelque chose venu d’ailleurs ».
En patrouille au-dessus du Rhin, entre Haguenau et la ville allemande de Neus-tadt, un pilote de la 2e escadre de l’U.S. Air Force, le lieutenant Schluter, vit apparaître une dizaine de sphères rouges volant à très grande vitesse. Elles vinrent se placer à l’arrière de son appareil. Quelque peu inquiet de ces présences insolites, le lieutenant prit contact avec l’une des stations radar qui contrôlait cette zone :
– J’ai une dizaine d’engins aux fesses. Et ils vont vite ! Qu’est-ce que c’est?
Le contrôleur rigole :
– C’est tes anges gardiens ! Je n’ai rien sur mes écrans !
Schluter décide de se rendre compte. Manche au ventre et palonnier engagé à fond, il amorce un virage cabré très serré, bascule son « P 51 » et pique sur les sphères. Celles-ci disparaissent aussitôt à une vitesse fulgurante. Elles réapparaissent deux minutes plus tard, mais se maintiennent cette fois à distance respectueuse. Elles restent ainsi pendant six minutes, puis descendent à une altitude inférieure à celle de l’avion, reprennent leur vol horizontal, et disparaissent définitivement. De retour à sa base de Dijon-Longvic, l’officier établit un rapport sur son étrange rencontre, le premier sans doute du dossier américain des OVNI.
C’était aussi la première d’une très longue série d’apparitions inexplicables, dont furent victimes les pilotes alliés et les pilotes allemands, chacun soupçonnant l’autre d’avoir mis au point une nouvelle arme secrète. Rapidement surnommées « chasseurs fantômes » ou « foo-fighters », ces boules de lumière avaient un diamètre d’une cinquantaine de centimètres. Étaient-elles téléguidées depuis un astronef de commandement évoluant à très haute altitude? Ces « sondes » répercutaient-elles leurs informations sur l’altitude, la vitesse et la maniabilité des appareils qu’elles escortaient?
Un engin matériel, comme ceux qui apparurent plus tard, aurait pu se trouver sous le feu des canons ou des mitrailleuses des avions, des barrages de flack, ou plongés en plein combat aérien. Ces boules de lumière immatérielles avaient l’avantage, elles, d’être invulnérables.
Ce fut le début d’une surveillance qui s’est poursuivie sans relâche, et qui s’étendit à l’Espace dès le lancement des premiers satellites…
La rencontre de Kenneth Arnold avec neuf disques argentés survolant le mont Rainier, le 24 juin 1947, ouvre l’ère des « soucoupes volantes ». Quelques mois plus tard, le 7 janvier 1948, le capitaine Mantell trouve la mort dans des circonstances inexpliquées alors qu’il tente d’intercepter un énorme OVNI dans le ciel du Kentucky. http://www.forum-ovni-ufologie.com/t10469-1948-ovni-le-crash-de-thomas-mantell Ces deux grands « classiques » du dossier OVNI font trop souvent oublier que des centaines de pilotes, civils ou militaires, de toutes nationalités, ont eux aussi rencontré des OVNI dans tous les deux du monde au cours des trente dernières années. Tous les rapports concernant ces « incidents de vol » n’ont pas été divulgués, les pilotes – qu’ils soient civils ou militaires – ayant reçu, dans la plupart des pays, de très sévères consignes de silence, assorties le plus souvent de menaces de sanctions disciplinaires.
Merci Era 😉
Je reprends ma boîte mail en arrière et je reviens sur les articles que je n’avais pas eu le temps visionner ou de lire correctement .
Merci pour cet excellent article très détaillé, et une mine d’informations comme le site d’Yves Herbo.
Des cas classiques oui certainement, mais que je ne connaissais pas tous , ou pas tout les détails, narrés d’une façon très agréable.