Chronique de décembre 2016.
Lundi 05 Décembre 2016 à 19h55.
Mes amis une année se termine. Pouvons nous dresser un petit bilan sur les travaux que nous menons Era et moi dans les secteurs de recherche qui nous intéressent d’une part ainsi que nos diffusions , notre communication ou le partage de nos informations liés à notre étude d’autre part.
Janvier 2016 est un tournant à titre personnel avec la mise en vente de mon premier ouvrage. Celui-ci enregistre une vente honorable puisque la première édition de 200 exemplaires est épuisée ce qui a engendré un autre tirage au nombre de 100 exemplaires. Les premiers retours sont plutôt favorables de la part des lecteurs. Les magazines Nexus, Science et Inexpliqué ainsi que le JSL ( Journal de Saône & Loire) ont rédigé des articles positifs sur ce que j’ai proposé dans mon ouvrage OANI/OVNI, enquête, méthode, réflexion publié aux éditions Saint-Martin présentant une synthèse de nos travaux et de mes réflexions sur le sujet pointu et compliqué des affaires non classées. L’objectif principal étant de sensibiliser les gens qui ne s’intéressent pas à l’ufologie mais surtout à ceux qui ont une idée péjorative pour ne pas dire négative du sujet avec des idées préconçues . A ce titre mon livre marque un point car ce sont principalement ces personnes qui ont acheté mon ouvrage soit par sympathie, soit par solidarité ou tout simplement par pure curiosité qui ont apprécié le contenu. Paradoxalement le retour est moins élogieux de la part des ufologues, mais ceci était prévisible.
Lorsque vous écartez le sensationnel pour laisser la place au concret et au sérieux, tout de suite les faux chercheurs ou les gens en manque de sensations dénigrent ou fuient ce genre de livre. Ceci ne me dérange pas car mon but n’est pas de flatter la galerie! J’ai bien plus important à faire sur le sujet et mes objectifs sont clairs, raisonnables autant que précis. Je ne me concentre pas sur moi mais sur le travail.
Alors la vente de mon livre m’ a permis d’acheter notre site web en commun que nous avons fondé Era et moi le 21-01-2012 intitulé (cliquez sur la bannière ci contre pour accéder à celui-ci) .
J’ai donné deux conférences à Dijon en côte d’or. La dernière avait plutôt l’allure d’une réunion car de temps en temps l’intervenant doit aussi écouter les autres. Les repas ufologiques que je remercie dont principalement les repas ufologiques dijonnais contribuent à sensibiliser les gens et offrir aux témoins un lieu où ils peuvent échanger en toute quiétude loin des sarcasmes, des railleries à leur égard lorsqu’ils abordent leur expérience hors du commun. Les repas ufologiques, certains ufologues comme Tyron ( la taverne de l’étrange) Rémy Fauchereau enquêteur du département de l’Yonne et aussi auteur, Gilles Thomas reporter de ODHTV, la web radio BTLV et la web TV Nuréa TV chantal Duverne, Christian Comtesse, Ergon Kragel auteur de OVNIS enquête sur un secret d’état, m’ont soutenu ainsi que Emmanuelle ( ERA ) qui a préfacé mon livre, sans oublier Nick Pope ( qui dirigeait le projet UFO du gouvernement britannique étant le principal expert mondial des ovnis, des théories inexpliquées et de la conspiration.) Mathieu Ader et jean Christophe Doré de l ‘association UFO-Science , Stéphane Dier ,Christophe Delannoy, Corinne Royal des opérations suricate et Fanny Hubert correspondante du JSL sont des personnes qui m’ont apporté chacun à leur façon leur soutien. Olivier Mondoloni , Gilles Durand du SCEAU, Guy Loterre, Thierry Rocher , Fabrice Bianchin auteur de Les Vinamas , Eric Bouvet et Fredo constant et sa femme MJ ( artistes), Jean-Marc Lévesque ( qui suit nos travaux depuis le Québec) , certains collègues de travail ,Christine et Antoine Leclercq nos amis, Nicolas et Valéry éditions Saint-Martin, Jean-pierre Troadec , Alex Esco, et bien sûr nos familles( à Emmanuelle et moi) et bien d’autres ont contribué et contribuent encore pour certains à m’encourager. Il faut bien le rappeler, tout ceci se fait en dehors de mon temps de travail celui qui me fait vivre comme beaucoup d’ufologues et de chercheurs, ce temps est pris sur mon temps libre et ma vie privée, c’est le prix à payer.
En avril 2016 nous avons été reçus par Chantal Duverne qui a organisé une exposition autour d’un thème précis mêlant des artistes peintres dessinateurs et montage photos sur des séries de science fiction, d’extraterrestres, d’OVNI etc et moi auteur . Avec Era nous avons côtoyé des gens que nous ne connaissions pas et d’autres que nous connaissions seulement par internet et ses réseaux sociaux.
Alors nous avons eu des informations tout le long de l’année et nous peaufinons ceci pour l’écriture d’un second ouvrage qui sera la suite logique de mon premier essai concernant les OANI encore plus précisément. En effet le cap est orienté sur les étendues d’eau de notre planète mais également sur certaines autres planètes et lunes de notre système solaire , en n’oubliant pas les planètes extrasolaires.
L’étude vous l’aurez compris n’en finit pas.
J’ai repris ceci sur notre site web investigation océanographique et OANIS
La plus vieille eau du monde contiendrait une forme de vie quasi extraterrestre
Article source: mashable.france24.com/
Par Rochereuil Chloé le 01 novembre 2016:
Arrêtez de chercher : les aliens se cachent sous terre. Une équipe de scientifiques a trouvé une forme de vie non identifiée dans les profondeurs de la planète.
Depuis toutes ces années, nos yeux étaient rivés vers le ciel, à attendre qu’E.T et ses copains daignent descendre de leurs cachettes galactiques. Baissez la tête : les aliens se cachent depuis des millénaires sous la Terre, sans que personne ne le sache.
Ils sont plus petits que prévu, mais quand même. En analysant la plus vieille eau du monde trouvée dans une grotte dans le nord de l’Ontario (Canada) en 2013, des scientifiques ont découvert une forme de vie microbienne non identifiée.
Leurs résultats viennent d’être publiés dans le journal scientifique Nature.
Un écosystème en parallèle de notre planète.
C’est à 2,4 kilomètres de profondeur que de l’eau séparée de la surface de la Terre il y a 2,64 milliards d’années – la moitié de l’âge de la Terre – menait sa petite vie dans le sous-sol canadien avant qu’on ne mette la main dessus en 2013.
Selon les chercheurs, cette eau découverte au fond d’une mine canadienne a été isolée de la surface terrestre depuis si longtemps qu’elle aurait développé son propre écosystème et une forme de vie microbienne quasi extraterrestre, en parallèle de notre planète.
Alors que les humains et les animaux produisent leur énergie grâce à une réaction chimique entre la nourriture et l’oxygène qu’ils ingèrent, la forme de vie bactérienne découverte dans les abîmes terrestres utiliserait d’autres moyens pour parvenir à survivre.
« La plupart des formes de vies vivent grâce à la lumière du soleil, mais ces microbes enfouis en profondeur semblent survivre grâce au peu d’énergie qu’ils tirent de l’eau coincée dans ces roches anciennes », a expliqué Long Li, professeure à l’Université d’Alberta associée à l’étude, dans un communiqué de presse.
Privées d’oxygène et de soleil, c’est grâce à de l’hydrogène et à du sulfate créé sur place avec la radioactivité des roches que les cellules en question se maintiendraient en vie.
Et si la découverte promet d’accroître notre compréhension de la vie sur Terre, elle ouvre aussi le champ des possibles pour la vie sur Mars.
Des martiens à la cave ?
Trouver de la vie extraterrestre sur Terre, c’est aussi une bonne nouvelle pour notre quête des aliens ailleurs. Sur Mars, des milliers de roches vieilles de millions d’années semblables dans leur composition minérale à celles de l’Ontario peuplent la surface et potentiellement le sous-sol de la planète rouge.
Grâce à la découverte des scientifiques canadiens, on sait désormais qu’elles sont susceptibles, elles aussi, d’abriter des formes de vie microbienne.
« Je ne dis pas que ces microbes existent forcément mais que les conditions nécessaires pour constituer une vie microbienne sur Mars existent », précise Long Li dans un communiqué de presse.
Avis donc aux futurs explorateurs de Mars : si vous voulez trouver des amis, commencez par creuser sous terre, enfin sous Mars.
Au préalable j’ai rédigé en amont de l’article repris ceci:
Mercredi 02 novembre2016, 11h05:
« Nous savions depuis un certain temps déjà que des petites trouvailles scientifiques serviraient à étendre les champs de recherche concernant la biodiversité sur notre planète. A partir de quelques éléments probants l’océanographie et les bassins hydrauliques naturels se marient très bien avec l’exobiologie pour la recherche du vivant pas encore localisé.
Avec Era nous sommes persuadés depuis le début de nos recherches pratiquement, que des découvertes sur notre planète déboucheront tôt ou tard sur des résultats qui permettront de dénicher des êtres vivants ailleurs dans notre galaxie (dans un premier temps) mais d’abord avec des trouvailles dans nos fonds marins. Alors certes en se basant sur ce que les savants savent depuis des lustres c’est à dire avec comme référence de base la chimie du carbone, cette recette qui compose la vie sur terre.
Ces micro organismes du genre extrêmophile seront la première preuve d’une existence ailleurs.
L’article ci-dessous mentionne la planète Mars , mais d’autres surprises peuvent également venir d’autres candidates comme certaines lunes de notre système solaire externe, je pense notamment depuis un certain temps déjà à Encelade satellite naturel de la planète Saturne, mais également à Europe lune de Jupiter ou encore plus loin dans notre galaxie avec Gliese 1214b nommée » planète océan « qui est une super Terre vieille de 6 milliards d’années qui orbite autour de Gliese 1214.
Alors bien entendu il restera encore des étapes à franchir pour détecter une vie plus intéressante. Une vie capable de rivaliser avec l’homme voir le surpasser en matière de technologie , de savoir etc.
Alors la planète rouge qui est explorée livrera son verdict dans un futur relativement proche.
Serons nous déçu des résultats ? Possible, mais l’espoir de découvrir un jour une ou plusieurs formes de vie dans notre vaste cosmos restera intact car au train où vont les choses, nous apprendrons l’existence d’autres formes de vies. Et notre planète dans tout ça ? Intimement Era et moi sommes orientés et à l’affût de découvertes d’autres espèces dans nos lacs, rivières, mers, fleuves ou océans. Nous envisageons que certains fonds marins abritent des formes de vie pouvant nous laisser sans voix . Ceci concernera-t-il une forme de vie « intelligente »subaquatique ou extraterrestre au sein même de notre planète?
C’est une théorie qui ne demande qu’une réponse franche , nette et sans détours de la part des experts scientifiques, un minimum syndical. »
Remarque Matisse Sylvain : Ce résultat a été annoncé en 2013, il a été repris par ce média cette année parce qu’il reste plus que jamais d’actualité.
Je rajouterai qu’il ne faut pas hésiter à revenir quelquefois en arrière car des informations évoluent dans le temps. Admettons que ceci freine notre avancée un temps mais pour ceux qui ont acheté et lu mon premier ouvrage souvenez vous cette petite phrase que je vous ai glissée.
» méfiez vous des raccourcis faciles qui peuvent être autant de pièges pour nos investigations »
J’avais évoqué très brièvement à la page 295 au chapitre 7 intitulé « sciences pour détecter la vie ailleurs » les alchimies possibles pour que la vie soit autorisée à naître. Ce qui est remarquable ce sont les résultats ou les critères qui appuient à un moment donné vos théories ou celles des autres qui vous ont semblé intéressantes afin de les présenter avec le risque de vous tromper. Ceci répond ainsi aux détracteurs qui pensent que les théories ne mènent nulle part ! Ainsi le 29 novembre 2016 il y a quelques semaines j’ai repris un article sur mon site web investigations ufoetscience de Jean-Luc Goudet du site web scientifique et reconnu Futura-sciences ( que j’ai suivi depuis mes débuts en ufologie d’ailleurs) concernant une possibilité discutable dans la filière scientifique pour « l’alchimie du vivant » avec cette nouvelle impliquant le silicium qui pourrait autoriser des mutations pour des bactéries.
Extrait de l’article de Futura-sciences que j’ai repris :
Rhodothermus marinus qui apprécie les eaux très chaudes des geysers islandais. Elle abrite une petite protéine, connue de tous les organismes qui respirent, le cytochrome C, dont la tâche est de transporter des électrons. Celui de la bactérie islandaise semblait capable de catalyser, au moins faiblement, des réactions menant à la fameuse liaison C-Si.
Les biologistes ont alors usé de « l’évolution dirigée », selon une méthode mise au point par Frances Arnold.
Simplement j’introduis le méthane à la place de l’eau comme l’imaginent certains savants pour le mélange.
Pourrions nous avoir une sorte de silicium carboné avec l’eau ou un autre solvant comme le méthane en état liquide. Bien entendu il faut rester prudent et mesuré et laisser travailler les exobiologistes. Si d’aventure ils obtenaient des résultats probants alors les zones habitables dans notre vaste cosmos vont s’étendre. Beaucoup d’ufologues envisageaient des forme de vie différentes avec des variantes mais en commettant l’erreur pour certains de zapper la science qu’ils ont choisie comme ennemi au lieu de suivre concrètement les travaux, les recherches de celle-ci à cause d’une impatience infondée et démesurée ! Alors j’ai raison au moins sur ce point . Depuis le début de mon travail concernant ce genre d’énigme, je supervise les recherches et avancées scientifiques. C’est avec la science et la technologie que nous résoudrons au moins partiellement les affaires d’OANI et OVNI en insistant sur le fait que certaines observations peuvent être liées entre elles et d’autres non. Certains cas aériens et aérospatiaux sont indépendants des cas sous-marins et d’autres ont certainement la même origine.
Mes recherches in situ concernent aussi la technologie car des tests sont menés dans ce secteur.
Mon second ouvrage est dirigé dans ce sens. Je continue dans cette voie , celle qui me semble déboucher à terme sur des résultats concrets , ils seront ou non positifs. Mais au moins nous aurons avancé loin des fantaisies de terre plate ou de non épopée spatiale avec sont lot d’idioties montées et véhiculées ça et là sur la toile qui entache gravement l’ufologie de masse!
Ufologie: News
Nous avons eu un témoignage de triangle aperçu en mer, le témoin ne souhaite pas que nous en parlions en détails car l’information selon lui est sensible.
Emmanuelle ( Era) a été informée personnellement par e-mail d’un témoignage à Vence dans les alpes maritime confirmé par un astronome. ( Lire).
L’information la plus remarquable traduit et relayée par Emmanuelle sur son blogue est sans doute celle-ci.
»
Timothy Good écrit , « La destruction ou la disparition d’avions militaires pendant les interceptions d’OVNIS s’est poursuivie rapidement. » Comme l’a déclaré le Général Benjamin Chidlaw, ancien commandant en chef du Commandement de la Défense Aérienne (plus tard Aérospatiale) à Robert C. Gardener (ex USAF) en 1953 : « Nous avons des tas de rapports de soucoupes volantes. Nous les prenons au sérieux, quand vous considérez que nous avons perdu beaucoup d’hommes et d’avions essayant de les intercepter. Robert C. Gardener , l’ancien officier de renseignement de l’Armée de l’Air a été informé par une source fiable dans les années 1950 que la «Force aérienne perdait environ un avion par jour à cause des des OVNI.
Springfield a été informé de façon fiable. Selon les chiffres du département américain de la Défense, de 1952 à la fin d’octobre 1956, il y a eu 18 662 accidents majeurs d’aéronefs militaires, répartis comme suit:
Année – Pertes de l’armée de l’air – Pertes dans la marine
1952 – 2,274 – 2,086
1953 – 2,075 – 2,325
1954 – 1,873 – 1,911
1955 – 1,664 – 1,566
1956 – 1,530 – 1,358
Dans ce total étonnant, les jets rapides sont les plus impliqués (tels que ceux envoyés dans les interceptions d’OVNI), parmi lesquels pour 56.2 % on a trouvé que la cause était une erreur du pilote ; pour 8.1 % une erreur de l’équipage au sol ou d’autres défaillances du personnel; pour 23.4 % la défaillance de pièces et de matériel dans l’aéronef ; pour 2.8 % par diverses «conditions dangereuses» , et –9.5 % (1,773) étaient dues à des« facteurs inconnus ». Merci au livre de Timothy Good “Need to Know” P.172
Commentaires: Quand j’ai pris en chasse un OVNI, nous avons dépassé de 20 nœuds ( 37,04)km/h, la limite en vitesse que mon appareil peut atteindre ( j’étais dans le rouge sur le cadran de mon tableau de bord ). Dans l’excitation de la poursuite il est facile de dépasser les capacités de l’appareil et souvent des pièces de l’avion tombent en panne. On raconte beaucoup de récits de tirs de missiles et de frappes directes sur des ovnis qui restaient indemnes et les retournaient pour détruire l’intercepteur.
Le Lt. Chidlaw est entré à l’école d’ingénieur de l’armée de l’air à Wright Field, Ohio, Et a dirigé plus tard le développement du moteur à réaction original des États-Unis et de l’avion à réaction. Il a passé la majeure partie de sa carrière à Wright Field ce qui établit Chidlaw en tant qu’expert sur le matériel, particulièrement les avions. Il est devenu chef de la branche de génie expérimental, où il a surveillé le développement du réacteur. En mars 1945, il prit le commandement des forces aériennes tactiques de la Méditerranée et fut promu major général le mois suivant.
Chidlaw est retourné à Wright Field en juillet 1945 en tant que commandant général adjoint des opérations de ce qui est devenu le commandement du matériel aérien (amc). On l’envoya à Roswell, Nouveau Mexique au moment ou l’on annonça le crash d’OVNI en juillet 1947. En octobre 1947, il devint commandant général adjoint de l’amc, avec le grade de lieutenant général et commandant le 1er septembre 1949. Le Général Chidlaw fut chargé d’évaluer les observations d’OVNIs et son groupe convint que le phénomène était réel et approuva le Conseil de recherche et développement. Il est probable que son équipe ait tenté de faire de la rétro ingénierie et de développer leurs propres disques volants.
Le 29 juillet 1951, il reçoit sa quatrième étoile et le Commandement de la défense aérienne à la base aérienne Ent, au Colorado. La plupart des chasseurs intercepteurs étaient sous son commandement et chaque base aérienne avait in officier en charge des OVNIS qui pouvait lancer les chasseurs si des OVNIs se trouvaient dans les parages. »
Source Georges Filer -NUFORC
Traduction Era pour Area51blog
Alors il conviendra là aussi d’attendre confirmation sait-on jamais avec la désinformation.
Voilà je vous ai dressé un petit bilan et globalement l’avancée de nos investigations. Ceci n’est qu’une esquisse que vous retrouverez dans mon prochain ouvrage qui est toujours au premier chapitre pour l’heure.
Deux ou trois années seront nécessaires je pense pour appréhender mes contacts ( mes sources aussi) et récolter l’information puis l’analyser et la synthétiser dans ce prochain livre.
Mise à jour investigations ufoetscience le : 05/12/2016 à 19h55.