
Illustration montrant une étoile éclairant l’atmosphère d’une exoplanète. NASA’s Goddard Space Flight Center

Matisse sylvain webmaster et auteur – Crédit photo / revue Sparse par Cédric de Montceau © 2019 photo soumise à autorisation pour être reprise.
L’intelligence artificielle à tous les étages, applications, commerciales, militaires, médecine, etc, l’astronomie aussi bénéficie de cette technologie aujourd’hui. La chasse aux exoplanètes lancée depuis deux décennies environ progresse. Ce ne sera pas la seule avancée. Je pense, que l’exobiologie bénéficie et si ce n’est pas encore le cas, cela viendra ou elle aussi aura cet outils à sa disposition . Et à partir de la combinaison entre les exoterres , les mystères de la vie et son processus , les algorithmes de l’intelligence artificielle vont aussi dénicher des exoplanètes non plus habitables,mais habitées, c’est juste mon impression . Entre 2030 et 2040 il est possible que les réponses arrivent enfin avec quelques preuves. Si tel est le cas, alors la perception du monde qui entoure notre planète ne sera plus la même qu’à présent! Alors vivement, « cette ère nouvelle qui s’ouvre à nous »surtout pour les sceptiques et autres bornés du genre qui sont encore convaincus que nous sommes un hasard de l’univers et que seule la terre héberge la vie . Alors j’ai hâte de me retrouver en 2035 ! Pour l’instant l’article ci-dessous mentionne juste une première avancée qualitative pour cette discipline scientifique en attendant d’autres plus probantes à venir . Bonne lecture.
La recherche d’autres planètes vient de recevoir une énorme amélioration.
Article source : futurism.com traduction
Un algorithme d’apprentissage automatique vient de confirmer l’existence de 50 nouvelles planètes.
L’équipe derrière l’algorithme, de l’Université de Warwick, l’a alimenté d’énormes ensembles de données provenant de la mission Kepler de la NASA maintenant retirée et du Transiting Exoplanet Survey Satellite (TESS), un télescope spatial lancé en 2018.
Les scientifiques espèrent que leurs recherches pourraient ouvrir la voie à de futures techniques de validation des planètes. Les techniques actuelles de repérage et de confirmation de l’existence d’autres planètes sont facilement influencées par le bruit, les interférences d’un objet en arrière-plan ou même les erreurs de la caméra.
L’équipe a formé son algorithme en lui apprenant la différence entre les planètes confirmées et les faux positifs. Ils l’ont ensuite lâché sur un ensemble de données distinct qui n’a pas encore été validé pour les candidats planétaires.
L’algorithme a pu confirmer 50 nouvelles planètes – une première dans l’histoire de l’astronomie, selon l’équipe.
«L’algorithme que nous avons développé nous permet d’amener cinquante candidats à franchir le seuil de validation de la planète, en les mettant à niveau vers de vraies planètes», David Armstrong, du département de physique de l’Université de Warwick, et auteur principal de l’article publié dans la revue Monthly Notices of la Royal Astronomical Society la semaine dernière, a déclaré dans un communiqué .
Les planètes sont de différentes tailles. Certains sont aussi grands que Neptune, tandis que d’autres sont encore plus petits que la Terre.
«Plutôt que de dire quels candidats sont plus susceptibles d’être des planètes, nous pouvons maintenant dire quelle est la probabilité statistique précise», a expliqué Armstrong. «Là où il y a moins de 1 pour cent de chances qu’un candidat soit un faux positif, il est considéré comme une planète validée.»
Ce n’est pas seulement extrêmement efficace, l’algorithme fonctionne très rapidement tout seul. «Nous devons encore passer du temps à former l’algorithme, mais une fois que cela est fait, il devient beaucoup plus facile de l’appliquer aux futurs candidats», a ajouté Armstrong.
«Nous espérons appliquer cette technique à de larges échantillons de candidats issus de missions actuelles et futures telles que TESS et PLATO (PLAnetary Transits and Oscillations of stars, un télescope spatial devant être lancé en 2026].»
Mise à jour investigations ufoetscience, le : 26/08/2020 à : 21h10.