ET SI NOTRE GALAXIE ÉTAIT PLEINE DE MICRO-MACHINES EXTRATERRESTRE ?
Des scientifiques ont travaillé durant de nombreuses années pour essayer de prouver l’existence des extraterrestres, en vain. Si pour certains, l’absence de preuve ne fait que confirmer qu’il n’existe pas de petits hommes verts qui vivent au fin fond de la Galaxie, pour d’autres, cela voudrait juste dire que les scientifiques ne cherchent pas au bon endroit ou ne savent pas exactement quoi chercher.
L’astrophysicien Zaza Osmanov, de l’Université de Tbilissi, en Géorgie, fait partie de ceux qui croient en cette hypothèse.
D’après une nouvelle théorie qu’il a élaborée, la présence des extraterrestres pourrait être prouvée en essayant de détecter des micromachines dispersées dans la Galaxie.
Zaza Osmanov a en effet déclaré que les civilisations extraterrestres pourraient être en mesure d’utiliser des sondes de von Neumann de taille nanométrique pour explorer la Galaxie.
L’astrophysicien est parti du paradoxe de Fermi pour émettre cette théorie.
Une question qui intrigue
Le paradoxe de Fermi tient son nom d’Enrico Fermi, le physicien italien qui a émis en 1950 une série de questions concernant l’existence d’une vie extraterrestre. Ce paradoxe se base sur le fait que la Terre est largement plus jeune que le reste de l’Univers. Enrico Fermi s’est alors demandé pourquoi jusqu’à maintenant nous n’avions pas pu avoir de preuves de l’existence d’une forme de vie plus âgée et plus avancée que la nôtre.
« S’il y avait des civilisations extraterrestres, leurs représentants devraient être déjà chez nous. Où sont-ils donc ? » s’est-il questionné. D’après lui, si les extraterrestres existent réellement, ils auraient dû laisser des traces visibles.
Dans sa nouvelle théorie, Zaza Osmanov a avancé l’hypothèse que ces traces n’étaient pas visibles jusqu’ici car elles seraient juste infiniment petites.
Des sondes extrêmement petites
Zaza Osmanov a avancé l’hypothèse que les extraterrestres pourraient se servir des sondes conçues sur le modèle pensé par von Neumann pour voyager dans la Galaxie. L’idée de ces sondes a été imaginée par le mathématicien, John von Neumann. Celles-ci seraient capable de se « répliquer » plusieurs fois et permettraient aux formes de vie extraterrestre d’explorer l’espace sans avoir à se déplacer.
Beaucoup de scientifiques ont pointé les imperfections de l’hypothèse de von Neumann, mais Zaza Osmanov n’en fait pas partie. L’astrophysicien pense que cela serait possible et que les machines utilisées par les extraterrestres seraient en fait réduites à l’échelle nanométrique, ce qui faciliterait leur processus de réplication. Elles auraient également la capacité de se reproduire très rapidement.
Zaza Osmanov a déclaré que pour essayer de détecter ces micro-machines, il faudrait prêter attention aux « pointes » de lumière qu’elles produisent lorsqu’elles collectent des protons. Cette théorie n’a pas encore été validée par les scientifiques.
Crédit photo et résumé : « Le brevet , pour une partie du système de confinement, ou mode de réalisation, est daté du 15 février 2018. L’entrepreneur de la défense dont le siège est au Maryland avait déposé une réclamation provisoire le 3 avril 2013 et une demande officielle près d’un an plus tard. « thedrive.com
Revoilà la fusion nucléaire comme étant une possibilité concernant la filière de l’aéronautique.
J’ai esquissé ceci dans mon premier ouvrage paru en janvier 2016 en ayant mentionné la firme Lockheed et aussi sur ce blog (voir cet article en cliquant sur le titre) que j’ai réalisé le 23 novembre 2017 Lockheed Martin et le défi hypersonique..
Le premier spécialiste a s’ être penché sur le sujet n’est autre que Stanton Friedman lorsque celui-ci a étudié les OVNIS, que j’ai également mentionné, ( voir ce document au format PDF que j’ai réalisé lors de son entretien qu’il a bien voulu m’accorder le 13 mars 2012.
Stanton Friedman : entretien exclusif pour investigations ufoetscience.
Cliquez sur l’image PDF pour accéder au document
(cliquez sur l’image PDF pour accéder au document) car ce spécialiste du nucléaire disait que si une civilisation nucléaire voyageait dans l’espace ce serait très certainement en employant la fusion nucléaire parce que les étoiles comme notre soleil sont nombreuses dans l’espace et que celles -ci pourraient servir d’une sorte de poste avancé un peu comme des stations services pour recharger en énergie des machines, des vaisseaux, des générateurs…., pour peu que ces dites civilisations maîtrisent l’énergie nucléaire naturelle hélium hydrogène et les hautes températures qui découlent de ces forces nucléaires, ce qui impose beaucoup de recherches afin de réaliser ce « doux rêve » pour l’humanité .
Rappelons seulement ceci afin d’être précis :
le Soleil est un gigantesque réacteur nucléaire. En son cœur, la température est de 15 millions de degrés. A cette température ont lieu des réactions de fusion au cours desquelles, l’hydrogène est transformé en hélium en libérant de l’énergie. ( source CEA – Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives).
J’avais posé en outre cette question ( reprise du PDF ci-dessus) à Stanton Terry Friedman ( mort le 13 mai 2019 à Toronto (Ontario) à 84 ans) et je lui rend hommage pour son talent de physicien et son courage d’avoir osé s’occuper du phénomène OVNI considéré comme une patate chaude par ses pairs qui préfèrent pour la plupart se dégonfler ou parce que cela n’est pas rentable financièrement ( sic! ) .
I.U.S : Nous avons déjà évoqué la MHD ( ou MAD ) sur notre site web. Pensez-vous que cette technologie est la plus appropriée concernant les ovni ?
S.T.F : « Je pense qu’il y a deux systèmes différents .. L’un pour les voyages interstellaires, probablement la fusion nucléaire, et l’autre pour les vols dans l’atmosphère. Je pense que la MHD serait appropriée pour ces derniers. Dans ces deux cas, il peut très bien s’agir également de technologies très avancées dont nous ne savons rien. Nous sommes une société primitive avec une technologie fantaisiste datant d’à peine deux siècles sur une planète vieille de plus de quatre milliards d’années ! Zeta 1 et Zeta 2 Reticuli (voir la discussion dans « Captured! L’expérience de Betty et Barney Hill » écrit par moi-même et Kathleen Marden, la nièce de Betty), ne sont qu’à 39,3 années lumière d’ici, et un huitième d’année lumière à peine les sépare l’une de l’autre, mais elles sont un milliard d’années plus âgées que notre soleil. Les progrès technologiques pourraient provenir parfois de concepts différents, de manière imprévisible. »
Conquête spatiale : ils ont créé un moteur à plasma capable de nous propulser à 160 000 km/h !
Nous apprenons officiellement par le média sciencepost qu’une société britannique travaille sur le sujet , elle estime que les moteurs à plasma basés sur la fusion nucléaire sont l’avenir de la conquête spatiale. Selon son PDG, un prototype a même été finalisé. L’objectif est à terme d’augmenter les performances de vol afin de réduire les temps de trajet vers les contrées lointaines telles que Mars.
Un prototype miniature de propulseur à plasma
Dans une interview accordée au quotidien Express UK ce 20 février 2020, un certain Richard Dinan a fait des révélations étonnantes. L’intéressé n’est autre que le PDG de Pulsar Fusion, une société privée basée au Royaume-Uni promenant une “nouvelle génération de réacteurs nucléaires”. Selon lui, il existe un autre moyen permettant des voyages dans l’Espace plus rapides et plus économiques. ( Source)
Ceci rejoint les dires de Stanton Friedman et les propos de la firme Lockheed concernant la prochaine étape des modes de propulsion à haute altitude jusque dans l’espace, en tout cas des gens y travaillent et ceci ne date pas d’hier surtout côté américain mais ceux-ci voient la concurrence arriver.
Souvenons nous en 2014 : la firme Lockheed annonçait annonçait travailler à la création d’un réacteur à fusion compact, une technologie potentiellement révolutionnaire. La compagnie affirmait qu’un prototype serait mis au point d’ici cinq ans. Ceci avait provoqué le scepticisme général à l’époque et à présent d’autres postulants arrivent sur ce terrain qui est l’avenir dans un futur proche .
En effet Lockheed venait de breveter son réacteur son réacteur de fusion en 2018 ! (fin de mon article »conclusion », après la vidéo, en dessous ).
Vidéo
Lockheed Martin
Lockheed Martin: Compact Fusion Recherche & Développement
Etats-Unis : Révélation sur un programme secret d’OVNI du Pentagone dans un ranch de l’Utah.
Par :
Samarew le ;
De nouveaux détails remarquables sur les recherches secrètes sur les ovnis produits pour le Pentagone ont été révélés dans un nouveau rapport explosif.
Dans un rapport long et détaillé publié vendredi, Popular Mechanics s’est plongé dans le cryptique Advanced Aerospace Threat Identification Program (AATIP) du ministère de la Défense.
En utilisant de l’argent à budget noir sous les auspices de la Defense Intelligence Agency, en 2008, l’AATIP a passé un contrat avec la société privée de technologie spatiale Bigelow Aerospace Advanced Space Studies (BAASS) pour fournir au gouvernement des rapports techniques et des recherches sur les ovnis, selon le magazine.
BAASS contrôlait également le «Skinwalker Ranch» en Utah – que la société a proposé comme «un laboratoire possible pour étudier d’autres intelligences et d’éventuels phénomènes interdimensionnels».
Deux rapports techniques inédits soumis dans le cadre du contrat ont été publiés en tout ou en partie par Popular Mechanics, détaillant les recherches sur les effets médicaux du contact avec des objets volants anormaux, la fréquence des phénomènes inexpliqués à proximité des silos de missiles balistiques intercontinentaux nucléaires, et bien plus encore.
Le rapport d’enquête offre un aperçu sans précédent de l’AATIP, dont l’existence a été révélée publiquement pour la première fois avec la publication de la vidéo de la rencontre USS Nimitz en 2017.
Le programme de l’AATIP a été officiellement définancé en 2012, bien que de nombreuses personnes connaissant la question pensent qu’il a pu se poursuivre sous différents auspices.
Les mystères du Skinwalker Ranch ont peut-être contribué à inspirer le programme de recherche DIA
En 2008, la Defense Intelligence Agency (DIA) a attribué un contrat de 10 millions de dollars à BAASS dans le cadre d’un programme de passation de marchés appelé Advanced Aerospace Weapon System Applications Program (AAWSAP).
BAASS, aujourd’hui connue sous le nom de Bigelow Aerospace, a été fondée en 1999 par Robert T. Bigelow, propriétaire de la chaîne d’hôtels Budget Suites of America.
Passionné depuis toujours des voyages dans l’espace et du paranormal, Bigelow avait versé en 1996 une partie de la fortune qu’il avait faite en affaires à BAASS et à l’achat du Skinwalker Ranch dans l’Utah, après que divers événements étranges et paranormaux y aient été signalés.
Bigelow a proposé d’utiliser le ranch pour étudier le phénomène paranormal, et une visite au ranch par un scientifique de la DIA en 2007 pourrait avoir inspiré la création de l’AATIP, selon Popular Mechanics.
L’ancien entrepreneur et astrophysicien AAWSAP Eric Davis a partagé ce que ses collègues lui avaient dit de l’expérience du scientifique DIA lors d’une interview avec le chercheur Joe Murgia .
«Dans le salon de l’ancienne caravane d’observation double NIDS / quartiers du personnel. Un objet 3D est apparu dans les airs devant lui et a changé de forme comme une figure topologique changeante. Il est passé de la forme en bretzel à la bande de Möbius. C’était 3D et multicolore. Ensuite, il a disparu », a-t-il déclaré.
Selon l’ancien sénateur Harry Reid, tout ce qui s’est passé à Skinwalker était suffisant pour convaincre la DIA d’enquêter sérieusement sur les phénomènes paranormaux et ovnis.
«Il faut faire quelque chose à ce sujet. Quelqu’un devrait l’étudier. J’étais convaincu qu’il avait raison », a déclaré Reid au New York Magazine .
Un rapport BAASS de 2009 commandé par le Pentagone mentionne Skinwalker Ranch dans l’Utah comme un «laboratoire possible pour étudier d’autres intelligences et d’éventuels phénomènes interdimensionnels».
En 2016, Bigelow a vendu Skinwalker Ranch pour 4,5 millions de dollars à ‘Adamantium Holdings’, une société écran dont les vrais propriétaires n’ont jamais été retrouvés.
Après cette vente, toutes les routes menant au ranch ont été bloquées, le périmètre a été sécurisé avec des caméras et des barbelés, et des panneaux ont été montés pour avertir les étrangers de ne pas s’approcher.
Quiconque s’approche du ranch déclare maintenant être immédiatement confronté à des gardes et sommé de partir.
Projet Northern Tier: le rapport BAASS détaille la fréquence élevée des contacts d’OVNI près des silos de missiles nucléaires
Dans le cadre du contrat DIA, BAASS a été chargé de fournir au Pentagone des rapports techniques, des enquêtes et des études concernant les « futurs systèmes d’armes aérospatiales ».
Le libellé du contrat de 10 millions de dollars de la DIA avec BAASS – et ses objectifs – semblent délibérément vagues, obscurcissant le fait que le contrat AAWSAP était axé sur ce que le Pentagone appelle maintenant le phénomène aérien non identifié (UAP).
Mais un rapport de 494 pages que BAASS a remis au Pentagone en juillet 2009, et révélé par Popular Mechanics, est explicitement axé sur l’UAP.
Le « rapport sur dix mois », comme on l’appelle, est rempli de plans stratégiques, de résumés de projets, de tableaux de données, de graphiques, de descriptions des effets biologiques sur le terrain, des caractéristiques physiques, des méthodes de détection, des capacités théoriques, des entretiens avec des témoins, des photographies et des résumés de cas, tous liés à l’UAP.
Le rapport mentionne un programme BAASS appelé Project Northern Tier, qui impliquait la sécurisation de documents liés à des cas où des dizaines d’OVNIS ont survolé des espaces aériens restreints d’installations abritant des armes nucléaires.
Un graphique publié dans le rapport détaille la fréquence alarmante des rencontres UAP près de quatre installations ICBM actuelles et anciennes: Malmstrom AFB dans le Montana, Minot AFB dans le Dakota du Nord, ancien Wurtsmith AFB dans le Michigan et ancien Loring AFB dans le Maine.
La période de l’étude semble se concentrer sur une fenêtre de cinq mois de juillet à novembre 1975, lorsque le rapport BAASS affirme que Malmstrom a rapporté 61 alarmantes rencontres inexpliquées.
Le rapport BAASS, citant directement le livre Clear Intent, décrit une étonnante rencontre le 7 novembre 1975 au silo de missiles ICBM K-7 attaché à Malmstrom.
Répondant à une alarme d’intrusion, une équipe d’alerte de sabotage s’est précipitée dans un véhicule vers le silo, où ils ont rencontré un « disque orange brillant de la taille d’un terrain de football » planant dans les airs.
« Il a commencé à s’élever, et à environ 1 000 pieds, le NORAD a détecté l’OVNI au radar », indique le rapport. Deux avions de chasse F-106 ont été brouillés pour intercepter l’objet, mais n’ont jamais pu obtenir un visuel. «À environ 200 000 pieds, il a disparu du radar du NORAD.»
Des spécialistes ont été amenés pour effectuer une vérification des systèmes du missile et ont découvert que l’ordinateur de l’ogive avait «mystérieusement changé les nombres cibles».
Les amateurs d’OVNIS ont depuis longtemps noté le lien apparent entre les observations et l’activité nucléaire. La célèbre rencontre du groupe de frappe de porte-avions USS Nimitz en 2004 avec l’objet «Tic Tac» est également liée à cet égard, car le porte-avions est à propulsion nucléaire.
Sur une carte de l’Yonne, Rémy Fauchereau, ufologue, note toutes les observations d’ovnis constatées. Avec des codes couleur en fonction de leur nature : si l’ovni a été observé de loin, a laissé des traces matérielles, ou si des humanoïdes ont été vus. – NZ0 YONNE
J’ ai exploré quelques archives de ma région Bourgogne , j’ai enquêté sur quelques cas et je me suis entretenu avec mon ami ufologue Rémy Fauchereau qui a rédigé plusieurs ouvrages sur les OVNI en Bourgogne et qui livre d’ailleurs ses propres enquêtes sur le sujet.
J’ai mis la main sur une vidéo d’archives (Archive INA) , que je vous propose ici tout simplement pour redire que le phénomène est mondial et pas américano américain comme le disent bêtement les sceptiques qui n’on en rien étudier le sujet pour approfondir les investigations sans aucune idée préconçue.
Vidéo juste en dessous de cette petite intro.
Matisse sylvain -administrateur
Les extraterrestres apprécieraient-ils la Bourgogne ? | Archive INA
Vidéo source via Youtube
Ina Société
Une façon de vivre 01/01/1976 Spécialisé dans l’étude des OVNI, le journaliste Dijonnais Charles GARREAU vient de réunir dans un livre « Face aux Extraterrestres » un ensemble de témoignages d’où il ressort que la Bourgogne est une région privilégiée pour les objets volants non identifiés. Les traces de leur atterrissage y sont plus nombreux qu’ailleurs. Charles GARREAU qui a adressé une carte des points d’observation de ces « phénomènes » à la faveur de troublants recoupements est allé avec le réalisateur Claude HIM à la recherche des lieux et des témoins de ces mystérieux contacts avec des extraterrestres qui ont eu peut-être, tout simplement, la révélation de la qualité du vin des grands crus. Images d’archive INA Institut National de l’Audiovisuel.
L’ombre disparaît lorsqu’il n’y a plus de lumière .
Une vidéo qui fera parler sans aucun doute .
Il y a bien eu des événements hors du commun en 1947, dont l’un d’eux se situe à Roswell pas très loin des premiers essais nucléaires américains .
Je pense même que cette autopsie exercée sur une EBE ( Entité Biologique Extraterrestre ) est la réalité tout autant que la récupération de fragments , d’artefacts ainsi que d’autres éléments le sont également . Les révélations du Pentagone au sujet de l’AATIP vont en tout cas dans ce sens , et ceci répond en partie sur l ‘ avancée technologique exponentielle et extraordinaire de l’être humain en un temps record ( une soixantaine d’années seulement) , comparé au temps qu’il a fallu à l’humanité pour aboutir à l’ère mécanique dite moderne ( plus de 1000 ans) . Les gens aux manettes du pouvoir à l’époque (années 1940-1960) ont bien mené leur barque en organisant de la désinformation et en réduisant au silence d’une manière ou d’une autre les témoins , ce qui n’était pas difficile lorsque parmi ces nombreux témoins figuraient des militaires, il suffisait tout simplement d’user du secret défense , bien pratique , comme ça l’est pour cacher des abus , des scandales , des magouilles soit dit au passage… (nous le voyons à nos dépends sur d’autres problèmes tous les jours ou presque à l’heure actuelle , plus rien ou presque ne me surprend pour ma part ! ), mais aussi en ordonnant à la presse de rectifier à leur guise les informations qui ont fuité en les transformant à ce que nous appellerions aujourd’hui des Fake news !
La vidéo concernant la vraie fausse autopsie de Roswell a été l’instrument phare pour clore une fois pour toute l’épais dossier très encombrant et indésirable de toute l’affaire de Roswell ,et bien plus encore, car cette affaire est le point névralgique de l’ufologie. Vous comprenez ainsi les cheminements avec un peu de réflexion sur le sujet. Genre : circulez il n’y a rien à voir !
Mais voilà que la ténacité des ufologues au fil du temps , ainsi que la loi sur la liberté de l’information redistribue un peu certaines cartes et ceci conduit inéluctablement à des rebondissements .
Cette excellente vidéo ci dessous a le mérite de soulever le fond du problème, car elle apporte quelques éléments clés qu’il convient de prendre en compte, tel est mon avis sur la question à ce jour.
Et au final si cette vraie -fausse vidéo concernant l’autopsie de Roswell était vraie ? D’autres surprises arriveraient , très certainement !
La désinformation par ceux qui prennent, ces gens du pouvoir soufflent le chaud et le froid , l’info et l’intox mélangés et entre les deux , la vérité se cache habilement.
Matisse sylvain
La « Fausse » vidéo de l’Extraterrestre de Roswell pourrait être réelle !
➨ Dans cette vidéo : De nouvelles révélations concernant l’affaire Roswell semblent indiquer que la vidéo de l’extraterrestre de 1995 pourrait être réelle…
Des examens cérébraux révèlent des anomalies chez des survivants d’attaque «à l’arme sonique» cubains
Quarante diplomates américains qui ont vécu des épisodes sensoriels bizarres et développé une batterie de symptômes neurologiques en poste à Cuba présentent de légères différences dans leurs structures cérébrales et leur connectivité par rapport aux témoins sains, selon une analyse d’imagerie cérébrale avancée publiée mardi dans la JAMA.
Enquête!
Qu’est-ce qui a poussé les diplomates américains à l’ambassade de La Havane à avoir des maux de tête intenses?
Des cas révèlent des anomalies chez des survivants d’attaque «à l’arme sonique» cubains
À la fin de 2016, un certain nombre de membres du personnel du gouvernement américain en poste à La Havane (Cuba) ont commencé à signaler quelque chose d’étrange: ils ont entendu des sons extrêmement forts provenant d’une seule direction.
La source de ces sons est encore un mystère complet à ce jour. Encore plus étrange: les bruits étranges semblaient rendre le personnel physiquement malade – avec des symptômes signalés allant de la perte d’audition et des vertiges aux maux de tête intenses.
Une nouvelle analyse publiée mardi dans le journal JAMA a révélé que l’incident – souvent qualifié d’ attaque sonore cubaine par les médias – aurait pu causer des altérations dans le cerveau des victimes. L’équipe de chercheurs a découvert des «résultats de neuroimagerie» différents entre les groupes témoins et ceux exposés aux attaques en examinant des balayages du cerveau à l’aide de trois types différents de techniques d’imagerie.
Les résultats incluent des «différences significatives» dans les volumes de matière blanche chez de nombreux patients, ainsi qu’une connectivité fonctionnelle plus faible dans les parties auditives et visuelles du cerveau.
L’équipe, dirigée par Ragini Verma, candidate au doctorat au département de radiologie de l’Université de Pennsylvanie, a bien noté que les résultats devaient être pris prudence et que la pertinence des différences «pourrait nécessiter des études supplémentaires».
Une mise en garde importante : l’équipe n’avait pas accès aux scanners du cerveau avant d’être exposés au phénomène comme point de comparaison.
Selon la BBC , l’étude a immédiatement été analysée par des scientifiques cubains. Le scientifique cubain principal, le professeur Mitchell Valdés-Sosa, a déclaré à la BBC que «les changements dans les images du cerveau sont très petits, très divers et très diffus… Ils ne correspondent pas à une explication cohérente».
Les scientifiques tentent de comprendre ce qui se cache derrière le « syndrome de La Havane » depuis que les premiers rapports ont commencé à faire surface en août 2017.
Selon une autre étude réalisée en 2018 , les diplomates ont subi une «perte auditive neurosensorielle modérée à sévère» et un «dysfonctionnement persistant du sommeil» en raison de leur exposition à des «phénomènes auditifs et sensoriels».
Pourtant, aucune arme à feu n’a été trouvée. Une frénésie médiatique de théories du complot a suivi, certains pensant que l’événement impliquait l’utilisation d’une arme à ultrasons ou à micro – ondes .
La Associated Press même obtenu un enregistrement de sons étranges du personnel audité mais ceci n’ a pas de faire aboutir l’enquête.
L’ambassade à La Havane n’a rouvert ses portes qu’en août 2015, après plus de 50 ans de fermeture – un tournant majeur dans les relations entre les deux pays. Mais alors que les États-Unis n’ont pas encore fait connaître publiquement leur théorie sur ce qui s’est passé, les relations entre Cuba et les États-Unis en ont souffert à la suite des attaques présumées.
* Précision : Dans une note de l’éditeur d’accompagnement , deux rédacteurs de haut niveau de la JAMA ont réitéré l’incertitude des auteurs quant à la pertinence clinique des différences constatées. Mais ils reconnaissent que le mystère demeure: «Ces données uniques fournissent des informations supplémentaires et contribuent à l’élargissement de la base de données probantes pouvant aider à comprendre les signes et les symptômes neurologiques vécus par ce groupe d’individus».
Points clés
Question :Les résultats de neuroimagerie avancée diffèrent-ils entre les membres du personnel gouvernemental américain qui ont présenté des signes et symptômes neurologiques après une exposition potentielle à des phénomènes directionnels à La Havane, à Cuba, et des individus non exposés à des phénomènes directionnels?
Résultats : Dans cette étude comparant 40 membres du gouvernement américain à 48 témoins sains, des techniques avancées d’imagerie par résonance magnétique cérébrale ont révélé des différences significatives d’un groupe à l’autre en ce qui concerne le volume de la substance blanche, le volume régional de la substance grise et blanche, l’intégrité micro structurale du tissu cérébelleux et la connectivité fonctionnelle. sous-réseaux auditifs et visuospatiaux, mais pas dans le sous-réseau de contrôle exécutif.
Signification : Les résultats de la neuroimagerie différaient entre les témoins et le personnel du gouvernement américain ayant présenté des signes et des symptômes neurologiques après une exposition potentielle à des phénomènes directionnels à La Havane, à Cuba, bien que la pertinence clinique de ces différences soit incertaines et puisse nécessiter des études supplémentaires.
J’ai partagé dans la nuit un article de The Guardian au sujet de la surveillance, du renseignement côté américain mais c’est sans compter que les Britanniques auraient les mêmes pratiques et possède une structure connue sous le nom de GCHQ ,voyons cela avec cet autre article du média The guardian.
Pourquoi ce genre d’information ici sur mon site web me direz vous ? Parce que nous avons le droit de savoir et ce qui est valable pour les OVNIS l’est aussi pour tout le reste de mon point de vue. D’ailleurs il serait intéressant de savoir si Snowden sait quelque chose lié de près ou de loin aux OVNIS.
Le GCHQ est basé dans un bâtiment sécurisé à Cheltenham.
La plupart des 5 000 employés de GCHQ sont basés sur son site de Gloucestershire, de la même taille que le stade de Wembley, dans un bâtiment souvent désigné sous le nom de beignet. Elle est située sur un site de 71 hectares dans le sud-ouest de l’Angleterre .
Le GCHQ utilise Instagram pour «ouvrir le monde de l’espionnage» au public
Article source : theguardian.com
Après des années de recherches secrètes de métadonnées sur des millions de citoyens, l’agence d’espionnage britannique a fait de son incursion publique une des sources croissantes d’informations de ce type en ouvrant son propre compte Instagram. Le compte de GCHQ sur le site de partage de photos affirme que l’agence donnera un aperçu de son monde secret. Son premier message reconnaît la suspicion institutionnelle du GCHQ concernant l’ouverture en incluant une photo de la barrière frontalière avec un panneau «pas de photographie». Ce compte fait partie de la présence croissante du GCHQ sur les médias sociaux et intervient deux ans après l’ouverture d’un compte Twitter, qui compte 75 000 abonnés.
Une telle socialisation publique en ligne est conçue pour mettre en valeur les activités plus secrètes de l’agence. Les fuites d’Edward Snowden, un dénonciateur qui travaillait pour l’homologue américain du GCHQ, ont révélé que celui-ci recueille et stocke d’énormes quantités de données sur des personnes, y compris des publications sur Facebook. Le nombre d’utilisateurs d’Instagram dans le monde a dépassé le milliard cette année. C’est toujours moins de la moitié de celui de la société mère, Facebook, mais Instagram est plus populaire parmi les jeunes. Le Pew Research Center a révélé que 51% des adolescents américains utilisaient Facebook, contre 72% qui utilisaient Instagram.
En accordant aux applications telles qu’Instagram l’accès aux caméras et aux microphones de téléphones intelligents, les utilisateurs sont encouragés à renoncer aux informations sur leurs mouvements et leurs conversations – un cadeau pour les agences de renseignement. Votre caméra et votre microphone vous espionnent-ils ?
Une porte-parole du GHCQ a déclaré que le compte public visait à montrer comment l’agence basée à Cheltenham « travaillait 24 heures sur 24 pour assurer la sécurité du pays » « Elle espère que cela contribuera à dissiper certains mythes et à montrer qui nous sommes en tant qu’individus ». .
La porte-parole du GCHQ a déclaré:
«À l’approche de notre centenaire, nous souhaitons plus que jamais que les gens aient une idée de ce qu’est vraiment la vie d’un employé du GCHQ. Nous espérons que notre chaîne Instagram encouragera les personnes talentueuses à envisager de travailler avec nous au GCHQ pour assurer la sécurité du pays. « Vous apprendrez non seulement que notre travail permet de garder une longueur d’avance sur ceux qui souhaitent nous faire du mal, mais également que nous jetons un coup d’œil sur nos loisirs, nos clubs et nos cafés. »
Le GCHQ et les agences d’espionnage européennes ont travaillé ensemble sur la surveillance de masse
Les papiers d’Edward Snowden révèlent une coopération technique étroite et une alliance lâche entre les agences d’espionnage britannique, allemande, française, espagnole et suédoise.
La surveillance en masse est effectuée par des branchements directs dans les câbles à fibres optiques et par le développement de relations secrètes avec les entreprises de télécommunications. Une alliance lâche mais croissante d’espionnage a permis aux agences de renseignement d’un pays de cultiver des liens avec des sociétés d’un autre pays afin de faciliter la navigation sur Internet, selon des documents du GCHQ divulgués par l’ancien sous – traitant américain du renseignement, Edward Snowden .
Les dossiers montrent également que le GCHQ a joué un rôle de premier plan en informant ses homologues européens sur la manière de contourner les lois nationales visant à limiter le pouvoir de surveillance des agences de renseignement.
GCHQ est l’une des agences de sécurité et de renseignement du Royaume-Uni. Elle collabore avec nos partenaires du MI5 et du SIS pour assurer la sécurité du pays, 24 heures sur 24 et 365 jours par an.
Le GCHQ a pour tâche de garder une longueur d’avance sur ceux qui feraient du mal à notre pays et à sa population.Que ce soit pour gérer la cyber-menace posée par d’autres États-nations, pour prévenir les attaques terroristes, pour assurer la sécurité de nos enfants en ligne et pour soutenir nos forces armées, les hommes et les femmes exceptionnels du GCHQ agissent en première ligne des défis mondiaux.La partie la plus récente du GCHQ, le Centre national de la cybersécurité, contribue à faire du Royaume-Uni l’endroit le plus sûr où vivre et faire des affaires en ligne. ( source gchq.gov.uk )
Références :
theguardian.com
gchq.gov.uk
radmat.com
Mise à jour investigations ufoetscience, le : 05/01/2019 à 18h05.
Pine -Gap : Avancez, il n’y a rien à voir ici. Crédit photo: cristalain.over-blog.fr
Dimanche 16/12/2018 à 19h05.
Quelquefois nos recherches nous dirigent vers des chemins que nous ne penserions pas emprunter au premier abord.
Dans nos affaires qui cible la nature des phénomènes inexpliqués je m’attache à superviser le maximum de données en ne laissant rien au hasard. Les informations réunies sont à prendre en considération mais avec prudence.
Certaines se révèlent à cause de fuites ou servent à perdre les « trop curieux » sur une fausse piste, ceci nous le savons.
Alors il faut aller chercher la subtilité et arpenter avec précaution des pistes annexes qui révèlent des indices dans nos investigations. C’est le travail d’un enquêteur, d’un chercheur ceci devrait l’être pour un ufologue digne de ce nom.
Mon second ouvrage dans la continuité du second ouvre certaines choses qui sont intéressantes à celles et ceux qui sauront lire entre les lignes ils découvriront certains points précis qui y sont exposés.
Nous jouons dans une catégorie ou la lame du couteau peut nous nuire, c’est un risque à prendre avec parcimonie avec précaution, mais je l’assume et peut-être même que je le revendique plus ou moins.
Alors je supervise depuis un certain temps certaines installations, je pense que cela est nécessaire . Ce n’est pas nouveau pour celles et ceux ( ils sont rares) qui me connaissent bien.
Je propose ici un dossier brûlant et assez opaque.
Pine Gap, en Australie centrale. Crédit photo : Background Briefing
Pine Gap / L’ alliance Five-Eyes :
L’ alliance Five-Eyes:
Parmi les installations je me suis intéressé à Pine Gap , qui n’est pas connu de tout le monde , ainsi le cap est mis sur le continent de l’Océanie, plus précisément en Australie. Les états-unis coopèrent avec le Canada et ceci à donner pour faire court l’organisation du NORAD, mais les USA ont bien d’autres alliances à travers le monde afin d’avoir la suprématie absolue et par ce biais les états-unis quadrillent la planète en ayant mis en place autour de celle-ci tout un réseau de surveillance à la pointe technologique. Parmi les alliés il faut compter pour les U.S.A avec l’Australie !
L’ alliance Five-Eyes est composée des États-Unis, du Royaume-Uni, de la Nouvelle-Zélande, de l’Australie et du Canada.
Pine Gap:
Située en outback près d’Alice Springs, la base emploie près de 1.000 personnes, parmi elles figurent des membres de l’US Army, de l’US Air Force, le 704 ème bataillon de renseignement militaire et le 743 ème bataillon de commandement du Décryptage de la Marine.
Certaines allégations rapportent que cette station possède une antenne qui s’enfonce à 8 km de profondeur dans l’écorce terrestre. Elle émettrait des ondes basses fréquences qui peuvent être dirigées vers des zones instables en provoquant des séismes. Elle peut aussi être utilisée pour générer une énorme onde stationnaire autour de la Terre.
Pine Gap est la plus importante et la plus évoluée des stations au sol de contrôle satellitaire au monde.
L’installation s’enfonce à 8.500 mètres de profondeur,là où se trouve une gigantesque antenne souterraine capable de créer d’énormes champs vibratoires qui se propagent sur la planète entière.
La CIA (Central Intelligence Agency) et le NRO ( National Reconnaissance Office) hors des États-Unis.
Crédit illustration : auricmedia.net/
Ainsi , les états-unis disposent à la fois de l’arme climatique mais aussi de l’arme sismique alors si ceci était vrai comment ne pas penser à (HAARP – High Frequency Active Auroral Research Program ) qui officiellement est un observatoire de recherche américain voué à l’étude de l’ionosphère.
Vue aérienne de Pine -Gap en Australie . Crédit photo : securityaffairs.co/wordpress
Révélations de Edward Joseph Snowden.
Crédit : securityaffairs.co/wordpress
Traduction
Ce qui est certain c’est que Pine Gap est un vaste réseau de surveillance , Snowden en a fait référence.
Edward Joseph Snowden,est un lanceur d’alerte américain. Informaticien, ancien employé de la Central Intelligence Agency (CIA ) et de la National Security Agency( NSA), il a révélé les détails de plusieurs programmes de surveillance de masse américains et britanniques et ailleurs dans le monde.
Il a divulgué une série de documents révélant une installation américaine située dans le Territoire du Nord, en Australie, pour surveiller secrètement les communications sans fil et soutenir les missions de drones aux États-Unis.
La documentation secrète a été obtenue par le média The Intercept, elle contient des références d’une installation secrète, appelée «Rainfall», connue sous le nom de code «Rainfall» et connue officiellement sous le nom de Pine Gap.
Selon l’Intercept, les documents appartiennent à l’énorme quantité de données volées par Snowden à la National Security Agency (NSA) américaine en 2013.
Le site dispose de trois systèmes de surveillance, mais sert principalement de station de commande au sol pour le renseignement d’origine électromagnétique (ROEM) développé par la CIA.( lecourrieraustralien.com)
» Un court trajet au sud d’Alice Springs, le deuxième plus grand centre de populationdu Territoire du Nord australien, abrite un complexe à haute sécurité, nommé » RAINFALL « .
La base isolée, au cœur de l’arrière-pays stérile du pays, fait partie des sites de surveillance secrets les plus importants de l’hémisphère oriental », lit-on dans l’article publié par The Intercept.
L’installation de défense commune Pine Gap est située à l’extérieur d’Alice Springs. Elle héberge une station terrestre stratégique des satellites-espions américains. Cette base est utilisée pour surveiller les communications sur plusieurs continents et obtenir une géolocalisation détaillée des cibles des forces spéciales et des frappes de drones .
«Ensemble avec la base de la NSA à Menwith Hill en Angleterre, Pine Gap a été utilisé ces dernières années comme poste de commandement pour deux missions.Le premier, baptisé M7600, impliquait au moins deux satellites espions. Il était mentionné dans un document secret de 2005 , ce poste «couvrait en permanence la majorité de la masse continentale eurasienne et de l’Afrique». Cette initiative a ensuite été améliorée dans le cadre d’une deuxième mission, baptisée M8300. , qui comprenait «une constellation de quatre satellites» et couvrait l’ancienne Union soviétique, la Chine, l’Asie du Sud, l’Asie de l’Est, le Moyen-Orient, l’Europe de l’Est et les territoires de l’océan Atlantique», poursuit The Intercept.
Les documents font état d’une activité intense dans l’installation de défense commune Pine Gap avec des centaines d’employés australiens et américains qui vont et viennent tous les jours depuis la base.
La «couverture médiatique» officielle, décrite dans un document secret des services de renseignement américains, vise à «soutenir la sécurité nationale des États-Unis et de l’Australie.Le [centre] contribue à la vérification des accords de maîtrise des armements et de désarmement et au suivi de l’évolution de la situation militaire. «
Les satellites utilisés par Pine Gap sont décrits comme étant «géosynchrones», ce qui signifie qu’ils sont positionnés en orbite à plus de 20 000 kilomètres au-dessus de la surface de la Terre. Ils sont équipés d’une puissante technologie de surveillance pour surveiller les communications sans fil au sol.Les satellites peuvent espionner toutes les données envoyées depuis ou vers des téléphones mobiles, des radios et des liaisons montantes de satellites.
«Ils rassemblent« des signaux de communications militaires, scientifiques, politiques et économiques stratégiques et tactiques », selon les documents,ils surveillent également lestests de missiles ou d’armes dans des pays ciblés, balaient les informations provenant de systèmes de données militaires étrangers et fournissaient un soutien à la surveillance. aux forces américaines », déclare The Intercept.
L’un des documents classés NSA et analysés par l’Australian Broadcasting Corporation (ABC) confirme le rôle militaire de l’installation.
« Ces documents confirment avec certitude que Pine Gap est impliqué, par exemple, dans la géolocalisation des téléphones portables utilisés par les populations du monde entier, du Pacifique à la périphérie de l’Afrique », a déclaré Richard Tanter, professeur à l’école de commerce de l’Université de Melbourne. études politiques et sociales dit.
« Cela nous montre que Pine Gap connaît les géolocalisations, il dérive les numéros de téléphone, il décrit souvent le contenu de toutes les communications, il donne la possibilité à l’armée américaine d’identifier et de situer en temps réel l’emplacement des cibles d’intérêt. »
Un autre document de la NSA («profil du site» de Pine Gap) a confirmé que les systèmes situés à l’intérieur de la base sont utilisés pour analyser les signaux.
«RAINFALL détecte, collecte, enregistre, traite, analyse et génère des rapports sur les signaux PROFORMA provenant d’entités cibles assignées», indique le profil.
Le professeur Richard Tanter a expliqué que Pine Gap apporterait une contribution considérable en temps réel à ces opérations, ainsi qu’à la préparation de celles-ci.
Les préoccupations concernant l’utilisation de drones par l’armée à des fins chirurgicales sont amplifiées sous l’administration du président Donald Trump.Le président Trump a multiplié les frappes de drones et les raids d’opérations spéciales.
« Selon l’ analyse du groupe Airwars, qui surveille les frappes aériennes américaines, les pertes civiles dans la guerre menée par les États-Unis contre l’État islamique sont sur le point de doubler sous l’administration de Trump », conclut The Intercept.
L’Intercept cite également David Rosenberg, un vétéran de la NSA qui a travaillé pendant 23 ans à Pine Gap en tant que chef d’équipe pendant plus d’une décennie. Le soldat confirme la capacité de géolocalisation de l’installation, affirmant que la prévention des pertes civiles est une priorité absolue.
«Une chose que je peux certainement vous dire, c’est que les gouvernements australiens et les États-Unis voudraient bien entendu minimiser le nombre de victimes civiles», a déclaré Rosenberg.« Pine Gap aide à limiter le nombre de victimes civiles en fournissant des renseignements précis. »
Les documents démontrent une fois de plus la collaboration des agences de renseignement de la prétendue alliance Five-Eyes composée des États-Unis, du Royaume-Uni, de la Nouvelle-Zélande, de l’Australie et du Canada.
Pierluigi Paganini
(Affaires de sécurité– Installation de défense commune Pine Gap, satellites)
Systèmes d’antennes à Pine Gap, images Google Earth du 6 novembre 2015. Annotations de Desmond Ball, Bill Robinson et Richard Tanter. Source: fourni via news.com.au
Enjeux politiques et stratégiques :
– Le [centre] contribue à vérifier les accords de maîtrise des armements et de désarmement et à surveiller les développements militaires ». Mais, au mieux, c’est une version économique de la vérité.Pine Gap a une mission beaucoup plus large – et des capacités plus puissantes – que les gouvernements australien ou américain n’ont jamais reconnu publiquement.
La base, qui a été construite à la fin des années 1960, visait autrefois uniquement la surveillance des essais de missiles et d’autres activités liées à l’armée dans des pays tels que la Russie, la Chine, le Pakistan, le Japon, la Corée et l’Inde.Mais il fait maintenant «beaucoup plus», a déclaré Tanter.Il est passé d’un «niveau national de renseignement stratégique, principalement à la fourniture de renseignements – des renseignements exploitables et sensibles au temps – pour les opérations américaines sur le champ de bataille».
En 2013, le Sydney Morning Herald a annoncé que Pine Gap avait joué un rôle clé dans les frappes controversées de drones américains.Au cours de la dernière décennie, des attaques de drones ont tué un certain nombre d’activistes de premier plan pour Al-Qaïda, l’État islamique et les Taliban.Mais les grèves – qui se déroulent souvent en dehors des zones de guerre déclarées, dans des endroits tels que le Yémen, la Somalie et le Pakistan – ont également entraîné la mort de centaines de civils et sont parfois considérées par les défenseurs des droits de l’homme comme des crimes de guerre potentiels. et des violations du droit international.
Les États-Unis et leurs alliés ont régulièrement recours à la surveillance des communications pour repérer et identifier les militants présumés.La NSA localise souvent les cibles de drones en analysant l’activité de la carte SIM d’un téléphone portable, plutôt que le contenu des appels. Cette méthode imprécise peut entraîner la mort de mauvaises personnes, comme l’a précédemment révélé Intercept.«C’est vraiment comme si nous visions un téléphone portable», nous a confié un ancien opérateur de drones en 2014 .« Nous n’attaquerons pas les gens, nous attaquerons leurs téléphones, dans l’espoir que la personne qui se trouve à l’autre bout de ce missile est le méchant. »
Les préoccupations concernant de telles tactiques sont amplifiées à l’ère du président Donald Trump.Depuis son entrée en fonction plus tôt cette année, Trump a considérablement augmenté les frappes de drones et les raids d’opérations spéciales, tout en assouplissant les règles du champ de bataille et en cherchant à supprimer les contraintes destinées à empêcher la mort de civils lors de telles attaques.Selon l’ analyse du groupe Airwars, qui surveille les frappes aériennes américaines, le nombre de victimes civiles dans la guerre menée par les États-Unis contre l’État islamique est sur le point de doubler sous l’administration de Trump.
Emily Howie, directrice du plaidoyer et de la recherche au Centre australien des droits de l’homme (Human Rights Law Center) , a déclaré que le gouvernement australien devait assurer «la responsabilité et la transparence» concernant son rôle dans les opérations de drones américains.«Le problème juridique créé par les frappes de drones est qu’il peut très bien y avoir violation du droit des conflits armés… et que l’Australie peut être impliquée dans ces crimes de guerre potentiels par le biais de l’installation de Pine Gap», a déclaré Howie.«La première chose dont nous avons besoin du gouvernement australien, c’est que celui-ci précise exactement ce que les Australiens font dans l’usine de Pine Gap en ce qui concerne la coordination avec les États-Unis sur le ciblage par drones.»
Depuis plus de 100 ans, l’Australie est un proche allié des États-Unis;le pays a soutenu l’armée américaine dans toutes les grandes guerres depuis le début des années 1900.Cette relation a été officialisée en 1951, lorsque l’Australie et les États-Unis ont signé le traité ANZUS , un accord de défense mutuelle.L’Australie est également membre de l’alliance de surveillance Five Eyes aux côtés des États-Unis, du Royaume-Uni, du Canada et de la Nouvelle-Zélande.L’Australian Signals Directorate, l’agence d’écoute électronique du pays, entretient des liens étroits avec ses homologues américains de la NSA.Les agences ont un « partenariat mutuellement bénéfique », selon un document très secret de la NSA.Alors que la NSA partage sa «technologie, ses capacités cryptoanalytiques et ses ressources pour des efforts de collecte, de traitement et d’analyse à la pointe de la technologie», les Australiens donnent accès à Pine Gap;ils transmettent également les «communications liées au terrorisme recueillies en Australie» ainsi que des renseignements sur certains pays voisins de leur région, tels que l’Indonésie, la Malaisie et Singapour.
Les fondements de la relation sont solides, mais certaines fissures commencent peut-être à apparaître.Cela a été souligné fin janvier lorsque, après seulement deux semaines passées dans le bureau ovale, Trump a eu une première conversation controversée avec le premier ministre australien, Malcolm Turnbull.Trump a réprimandé son homologue australien sur les termes d’un accord sur les réfugiés et a mis fin brusquement à l’appel, le qualifiant de « ridicule » et de « désagréable ».
Pendant ce temps, Trump a adopté un ton plus conflictuel avec la Chine – le premier partenaire commercial de l’Australie – et a menacé la Corée du Nord de « feu et de fureur » pour ses tests de missiles répétés. La situation a créé une certaine incertitude pour l’Australie, et certains dans le pays se demandent s’il est temps de réévaluer ses alliances traditionnelles.
«Les humeurs changent aux États-Unis», a déclaré John McCarthy, l’un des diplomates australiens les plus distingués et les plus expérimentés, ancien ambassadeur du pays aux États-Unis. «Nous devons donc réfléchir au cas où nous devrions essayer de renforcer la sécurité. relations avec d’autres pays d’Asie? Devrions-nous chercher à améliorer notre relation structurelle globale avec la Chine?
«Pine Gap nous a littéralement impliqués dans les activités de l’armée américaine et, dans certains cas, cela signifie que nous en subirons les conséquences, que cela plaise ou non», a déclaré Tanter, professeur à l’Université de Melbourne.«Pine Gap contribuera énormément en temps réel à ces opérations, ainsi qu’à les préparer.Donc, que le gouvernement australien pense ou non qu’une attaque contre la Corée du Nord soit justifiée, ou sage et sensée, nous en ferons partie », a ajouté Tanter.« Nous serons coupables en termes de conséquences. »
La NSA et le ministère de la Défense du gouvernement australien ont refusé de commenter.
« Nous entrons dans une situation très, très fluide en Asie », a ajouté McCarthy.«Je ne sais pas quels seront les résultats.Mais… nous devons être très, très agiles pour essayer de créer de nouvelles structures, créer de nouvelles relations, pour pouvoir examiner de nouvelles circonstances d’un point de vue de la sécurité très indépendante, si nous voulons que les Australiens agissent correctement. sur la prochaine génération ou à peu près. «
En raison de la proximité de l’Australie avec la péninsule coréenne, le problème de la Corée du Nord est particulièrement sensible.La ville de Darwin, dans le Territoire du Nord, se trouve à environ 3 600 km de Pyongyang, à l’écart d’une frappe de missile balistique intercontinentale.Les conséquences sont donc graves pour l’Australie: un conflit dévastateur pourrait s’ensuivre si les États-Unis étaient mêlés à la guerre avec l’État voyou de Kim Jong-un.Et malgré sa position isolée dans l’outback, Pine Gap serait probablement à l’avant-garde de l’action.
Cette histoire a été préparée en collaboration avec l’émission de radio d’investigation « Background Briefing » et ABC News de la Australian Broadcasting Corporation.Peter Cronau a contribué aux reportages.
Parmi les suspicions- Pine Gap où est le plus grand trou qui n’a jamais été creusé ailleurs en Australie (plus de 8 km) est généralement utilisé comme une antenne souterraine permettant de recharger les batteries de sous-marins dans les océans Pacifique et Indien par le biais d’émissions ELF. Une telle antenne gigantesque peut être utilisée pour générer une énorme onde stationnaire autour de la Terre.
Certains pensent que Pine Gap est un énorme générateur nucléaire fournissant de l’énergie à un nouveau type d’émetteur.
Il semble également qu’un accélérateur de plasma à haut voltage particulièrement puissant puisse être installé afin de transmettre du courant électrique, ou même de produire un « rayon de la mort », ou tout simplement pour alimenter une arme à plasma. Tout ceci n’est pas si incroyable qu’il y paraît : on sait aujourd’hui que la base américaine de West Cape possède un type d’émetteur précédemment utilisé à Pine Gap et qui sert à envoyer du courant électrique aux sous-marins américains immergés traînant derrière eux un fil d’antenne. Les courants électriques ainsi transmis sont appelés cellules plasmo-dynamiques. Des habitants locaux eurent en de diverses occasions la possibilité de voir des disques blancs d’environ 30 m de diamètre en train d’être déchargés d’énormes avions-cargos dans les aéroports desservant Pine Gap. Ces disques portaient l’emblème de l’USAF Il semble qu’ils étaient assemblés et basés à Pine Gap. Le nombre de disques observés la nuit ne laisse aucun doute dans l’esprit de chacun. Une quantité incroyable de matériel fut acheminée par avion depuis les Etats-Unis. Les locaux déclarent également qu’une énorme quantité de nourriture est conservée dans les entrepôts de ce qui pourrait bien être une véritable cité souterraine de plusieurs niveaux.
Pine Gap possède d’énormes ordinateurs connectés à leurs équivalents américains et australiens, collectant l’ensemble des informations relatives à la sécurité dans ces pays, non seulement à propos de la finance et des technologies, mais également sur tout aspect de la vie du citoyen lambda. Ces ordinateurs sont connectés à des serveurs centraux situés à Guam, à Krugersdorp en Afrique du Sud, et à la base américaine d’Amundsen-Scott au Pôle Sud.
Notons au passage que l’ensemble des employés (plus de 1200) de la base américaine en Afrique du Sud déclarent tous être membres de la mission consulaire Américaine dans ce pays. On notera également à juste titre que la base d’Amundsen-Scott au Pôle Sud est située en un point magnétique sensitif de notre planète possédant exactement la même assiette que Pine Gap, et que l’ensemble des informations sur la plupart des citoyens moyens de l’Europe de l’Ouest est stocké en cet endroit, dans des banques de données situées à des dizaines de mètres sous la glace.
Une déclaration du Premier Ministre australien en 1987, assurant que la France devait disparaître du Pacifique, de la Chaîne de Kerguelen et de l’Antarctique fit la lumière sur l’importance de cette base polaire pour le monde Anglo-Saxon.
La chose la plus inquiétante à propos de Pine Gap est peut-être le fait que les employés travaillant à la base, et en particulier ceux affectés aux projets de propulsion électromagnétique, subirent des lavages de cerveau et même l’implantation de dispositifs intracrâniens. Ces employés sont devenus de véritables esclaves de leur maître, qui que celui-ci puisse être. Plutôt effrayant, non ?
La motivation des lavages de cerveau subits par ces individus, comme celle des impitoyables tentatives de dissimulation de technologies militaires réellement avancées, apparaîtrons clairement à la fin de cet article.
Pour moi, tout commença avec la construction du nouveau Parlement à Canberra, qui coûta plusieurs milliards de dollars. L’Australie possède seulement 18 millions d’habitants, (…) Ce nouvel édifice, énorme, immense et magnifique répondrait facilement aux besoins de l’URSS ou des États-Unis, qui ont eux des centaines de millions de citoyens à diriger.
Ce complexe comporte des ateliers de réparation et de maintenance de vaisseaux spatiaux, des laboratoires, des serres, des réserves de nourriture ainsi que des salles de téléportation et de sauts spatio-temporels.
L’endroit est équipé d’un système informatique IBM à Intelligence Artificielle sur des plateformes flottantes.
Le personnel porte des badges d’identification avec des codes couleur qui correspondent aux bandes courant le long des parois des corridors qui s’enfoncent à l’intérieur de la base.
Ces bases sont reliées entre elles par des trains à lévitation magnétique qui les relient également avec des bases aux Philippines, à Krugersdorp en Afrique du Sud et à la Base Amundsen Scott en Antarctique.
Toutes les communications, langues et dialogues aliènes déchiffrés aboutissent au quartier-général de la NSA à Fort Meade dans le Maryland.
Le Triangle du contrôle mental est concentré dans un énorme centre informatique dont les sommets se situent en Alaska, en Afrique du Sud et à Pine Gap.
Le principal objectif de Pine Gap est de détruire les visiteurs qui franchissent les portails inter-dimensionnels sur toute la planète.
Les quatre principaux points de focalisation de la gravité terrestre sur la planète sont Pine Gap, l’Ile de Pâque, San Diego et les Laboratoires Brookhaven dans la région de New York / New Jersey.
L’auteur de l’article : (Bien que j’aie appris qu’il y a d’anciennes machines géantes sous les couches de glace du Pôle Sud qui servent à stabiliser la gravité sur toute la planète pour empêcher le basculement des pôles. La cabale a procédé à des forages dans le Lac Vostok pour essayer de manipuler ces appareils, à la grande horreur des gens de la terre intérieure et des gardiens ET qui surveillent cette planète. – James)
En conclusion :
La partie visible de l’iceberg montre une réalité. Mais existe-t -il une autre réalité ?
Nous savons ce qu’impliquent des endroits sensibles hautement classés secret défense. A partir de là nous avons une façade, une visibilité de l’ensemble de la structure et de son organisation. Les enjeux sont évidents. Ils sont politiques, économiques et stratégiques et c’est la mission du renseignement et des militaires toujours au service de l’état . Toutefois derrière les zones d’ombre y-a-t-il autre chose qui se cache ? Cette autre chose est elle humaine? La nature de cette chose pourrait être artificielle ( IA) ou bien d’origine exogène.
Les humains ont -ils toujours la main? Et si la réponse est oui. Pour combien de temps encore ? Si par hasard il n’y aurait rien d’exogène et que IA n’ est en rien impliqué, ne perdons pas de vue que ceci pourrait tomber néanmoins à un moment ou à un autre entre leurs « mains ‘ ,en leur possession. A force de vouloir tout contrôler ne finit -on pas par devenir victime un jour ou l’autre ?
En bonus cette vidéo ci-dessous
Le 20/08/2017 800 – les employés de la NSA à Pine Gap en Australie centrale, dont la moitié sont des Australiens. L’installation est connectée à des satellites qui absorbent des données provenant d’e-mails, de téléphones mobiles et de connexions Internet.
En bonus cette vidéo Qldaah -Youtube ci-dessous
Ajoutée le 20 août 2017
Inside Pine Gap: La base militaire australienne utilisée par l’armée américaine
Références pour cet article :
Pierluigi Paganini
Desmond Ball, Bill Robinson et Richard Tanter – fourni
cristalain.over-blog.fr
securityaffairs.co/wordpress
odla.fr
rr0.org
lecourrieraustralien.com
auricmedia.net
news.com.au
Intercept
Youtube
Qldaah
The Guardian
fourni
Sydney Morning Herald
Background Briefing
Mise à jour investigations ufoetscience, le : 16/12/2018 à 19h05.
Une explosion dans l’espace (avec son et image)- Crédit : le-saviez-vous.fr/
-Mes recherches ne peuvent pas négliger les sons. D’ailleurs les astronomes, les physiciens, les astrophysiciens, la communauté scientifique dans son ensemble en quête de détection de signaux extraterrestres et à la recherche de civilisations ou d’autres objets spatiaux qui composent notre univers ont bien avant les ufologues chercher à travers les spectres de la lumière au travers de l’infra rouge ( voir Astronomie infrarouge) et des sons (SAO/NASA Astrophysics Data System (ADS).
Afin de comprendre l’infiniment petit et remonter dans la chronologie de l’univers au moment du big bang et avant que celui-ci ait lieu, la recherche sur des particules a donné naissance à des réalisations hautement technologiques comme celle des accélérateurs de particules .
Mais pour revenir à la détection de signaux extraterrestres et tenter d’ identifier les sons, il fallait réaliser des recherches . Carl Sagan, Stephen Hawking, Franck Drake , pour les savants les plus connus se sont focalisés sur ces techniques et ce type de recherche, chacun à divers degrés . Des programmes ont ainsi vu le jour comme SETI (Search for Extra-Terrestrial Intelligence (en français « recherche d’une intelligence extraterrestre ») voir histoire du programme SETI et plus récemment le regretté astrophysicien, Stephen Hawking a lancé un projet de dix ans doté de 100 millions de dollars (92 millions d’euros),baptisé « Breakthrough Listen »
J’ai déniché ce petit article qui nous présente simplement les sons , leur structure et leur propagation à travers différents environnements ou éléments.
Ceci enrichit un peu nos connaissances pour aller plus loin encore sur les différents sons et leurs propriétés mais aussi pour entrevoir différentes applications ou différents effets que les sons peuvent avoir ou engendrer sur les êtres vivants, les matériaux sur terre et la matière visible ou invisible dans le cosmos.
Les probabilités sont nombreuses tout autant que les échecs possibles pour l’interprétation. C’est le prix à payer pour tenter d’élucider bien des énigmes.
Une explosion dans l’espace (avec son et image)- Crédit : le-saviez-vous.fr/
Le son est une onde mécanique, et nécessite conséquemment un support matériel : du gaz, du solide ou du liquide, qu’importe. Dans le vide, la densité trop faible de particules ne permet pas, non seulement de propager une onde sonore, mais ne serait-ce que de la créer.
Son et densité de matière sont étroitement liées : plus un corps est dense, plus vite l’onde sonore se propage. Par exemple, la vitesse d’une onde sonore dans l’atmosphère au niveau de la mer est environ de 340 m/s. Dans l’eau par contre, elle atteint 1500 m/s. Dans la glace d’eau, près de 3 km/s et dans un solide comme l’acier, plus de 5 km/s. La vitesse du son dépend d’autres variables comme la température (elle même liée à la densité) ou la composition du milieu concerné, toutes ces variables n’ayant aucune signification dans le vide, où la température est proche du zéro absolu et la composition quasi-nulle.
Bien qu’on le qualifie de vide, le vide spatial contient néanmoins des particules, dans une densité extrêmement faible. Si en théorie, une explosion sonore d’une puissance phénoménale pourrait ébranler le cosmos jusqu’à propager un choc sonore, en pratique, c’est irréaliste. Certaines explosions formidables (notamment les sursauts gammas) ont une puissance terrifiante ; toutefois, avant le moindre son, lumière et chaleur dégagées auraient tôt fait de réduire en cendre la moindre oreille à portée d’écoute.
Sur la Lune, un son provenant par exemple de l’impact d’une météorite pourrait se propager à travers le sol, à la manière d’ondes sismiques(qui sont également des ondes mécaniques). En pratique, nos système sensoriels ne permettraient pas d’entendre quoi que ce soit en collant l’oreille contre le sol. Encore moins à la surface de la lune, sur laquelle un quasi-vide nous entourerait.
Il n’y a donc que dans des milieux suffisamment denses, telle qu’une atmosphère, que l’on peut entendre des bruits. La densité minimale pour entendre un son dépend bien sûr des capacités réceptrices de l’individu ou du capteur censé enregistrer un son.
Et l’onde lumineuse dans tout ça?
Soit dit de manière anecdotique, l’onde lumineuse se propage bel et bien dans l’espace… La lumière est un étonnant paradoxe de la physique, une entité que l’on considère, depuis Young et Fresnel, à la fois comme une onde et des corpuscules. Ainsi la lumière possède des caractéristiques de l’onde (sa propagation, sa diffraction) mais possède sa propre particule (photon). Elle n’a pas besoin de milieu dense, qui ne ferait que la ralentir ou la stopper.
Era & Sylvain investigation océanographique et OANIS
Même si nous avons un léger relâchement du au mondial de foot, la terre tourne toujours ce qui veut dire que nous sommes toujours attentif à l’actualité plus ou moins dissimulée et aux différentes informations qui nous parviennent et tout ce qui peu amener à de la réflexion.
Notre ami du MUFON des caraïbes Hugues Noel nous transmet cet article qui curieusement va dans notre secteur de recherche ce qui démontre que plusieurs personnes pensent plus ou moins comme nous.
Nous remercions Hugues pour ce partage.
CERTAINS UFOLOGUES PENSENT QUE DES EXTRATERRESTRES SE CACHENT DANS LES OCÉANS
YOUSSOUF
Une mystérieuse anomalie sonore découverte au large de la Caroline du Nord a déclenché un débat sur les OVNIS parmi les théoriciens du complot. La National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA) a lancé une expédition pour résoudre le mystère entourant cette étrange anomalie…