Devenu enquêteur pour l’organisation MUFON France, je rédige de temps à autre un article afin de faire connaître notre travail en mettant en « lumière »mes recherches et quelquefois mes inspirations.
La rétro-ingénierie est une réalité !
Par Sylvain Matisse : L’industrie de l’énergie et de l’aéronautique évolue au fil du temps . Le secteur spatial est le domaine d’applications et de réalisations le plus pointu qu’il soit .
Benjamin Robert Rich était un ingénieur américain et le deuxième directeur de Lockheed’s Skunk Works (atelier au putois ) de 1975 à 1991, succédant à son fondateur, Kelly Johnson. Considéré comme le «père du furtif».
Rich était responsable de la direction du développement du F-117, le premier avion furtif de production. L’ingénieur à la fin de sa vie, a dit dans certains médias, savoir comment faire pour réaliser des vols commerciaux qui soient capables d’atteindre des vitesses supersoniques, raccourcissant du coup le temps d’un trajet entre New York et Tokyo, Londres..
Je vous propose cette vidéo Partagée par Claude G , qui pourrait apporter quelques indices pour notre étude basée sur des faits nourrissant du même coup des hypothèses et des théories faites autour de ces mystères qui perdurent à travers le temps. Bon visionnage, tout en réflexion.
Vidéo ci-dessous -Une émission Agora Médias Directeur de la publication : Michaël Lejard Les OVNIS sont-ils une menace pour notre survie ? Intox ou réalité ? Quel rôle jouent les services secrets dans ce débat ? Y-a-t-il rétention d’information ? Les armées qui ont parfois validé des informations et des observations étranges ont-elles été bâillonnées ? Pourquoi des archives ont-elles disparu et d’autres ont-elles été déclassifiées ? Faut-il prendre au sérieux les témoignages de sommités scientifiques, religieuses ou philosophiques ? Dans ce rendez-vous exceptionnel, vous découvrirez les différents cas de figure pris au sérieux depuis plus de 40 ans et qui sèment la confusion dans la communauté scientifique. Peut-on parler de menace militaire ? Pourquoi ce matériel étrange découvert par des scientifiques de renom ? Sur le plateau de l’émission « Eclairages », plusieurs témoignages nous éclairent sur les risques de ces objets volants non identifiés. Avec un représentant d’A3F et de Sigma2, Alain Juillet, ancien responsable en Intelligence Economique auprès du Premier Ministre, Jean-Pierre Petit, astrophysicien, ancien du CNRS, et le journaliste Jean-Claude Bourret, qui travaille sur ce sujet depuis plus de 40 ans. Avec eux, nous continuons de feuilleter le dossier : Notre sécurité est-elle menacée ?
Par Chloé Rosier le mercredi 06 janvier 2021 – pour RTBF.be
La Nasa découvre une barrière artificielle entourant et protégeant la Terre.
Chloé Rosier Publié le mercredi 06 janvier 2021 –
En 2017, les sondes spatiales de la Nasa ont détecté une « barrière » artificielle autour de la Terre et des tests ont confirmé qu’elle avait un effet sur la météo spatiale, bien au-delà de l’atmosphère de notre planète.
Au-delà du changement climatique actuel, déjà induit par l’activité humaine, nous sommes en train de changer également « la météo de l’espace ». Certains scientifiques demandent qu’une toute nouvelle époque géologique porte notre nom tant notre activité a d’impact autour de nous.
La différence avec cette découverte de « changement climatique » c’est qu’il joue en notre faveur comme l’explique l’article scientifique publié dans Science Space Reviews.
En 2012, la Nasa a lancé deux sondes spatiales pour travailler en tandem sur les ceintures de Van Allen. Ces ceintures sont une région de la magnétosphère qui protège la Terre, dans laquelle les particules chargées à haute énergie sont piégées par le champ magnétique de la planète.
En 2017, les sondes ont détecté quelque chose d’étrange en surveillant l’activité des particules capturées dans le champ magnétique terrestre : les décharges solaires dangereuses étaient tenues à distance par une sorte de barrière basse fréquence.
Les chercheurs ont découvert que cette barrière avait activement éloigné les ceintures de Van Allen de la Terre au cours des dernières décennies. Aujourd’hui, les limites internes de ces ceintures sont plus éloignées de nous qu’elles ne l’étaient dans les années 1960.
Les communications radio à très basse fréquence en cause
Un certain type de transmission, appelé communications radio à très basse fréquence (VLF), est devenu beaucoup plus courant aujourd’hui que dans les années 60, et l’équipe de la Nasa a confirmé qu’elles pouvaient influencer sur la manière de se déplacer et l’emplacement de certaines particules dans l’espace.
« Un certain nombre d’expériences et d’observations ont montré que, dans les bonnes conditions, les signaux de radiocommunication dans la gamme de fréquences VLF peuvent en fait affecter les propriétés de l’environnement de rayonnement à haute énergie autour de la Terre« , a déclaré l’un des membres de l’équipe, Phil Erickson de l’observatoire MIT Haystack dans le Massachusetts, en 2017.
Ce genre de fréquence n’est pas utilisé par le commun des mortels mais elles sont un pilier de nombreuses opérations d’ingénierie, scientifiques et militaires. Avec des fréquences comprises entre 3 et 30 kilohertz, elles sont beaucoup trop faibles pour transporter des transmissions audio, mais elles sont parfaites pour diffuser des messages codés sur de longues distances ou sous l’eau.
L’une des utilisations les plus courantes des signaux VLF est de communiquer avec les sous-marins de haute mer.
Les signaux VLF n’ont pas été créés dans l’intention d’être utilisés ailleurs que sur Terre mais il s’avère qu’ils se sont infiltrés dans l’espace, ils entourent aujourd’hui notre planète et ils sont là depuis suffisamment longtemps pour former une bulle protectrice géante.
La ceinture artificielle repousse les ceintures naturelles
Lors des premières observations, les chercheurs ont vu que « l’étendue extérieure de la bulle VLF correspond presque exactement au bord intérieur du rayonnement des ceintures de Van Allen« , a déclaré la Nasa.
Cependant, une fois qu’ils ont réalisé que les signaux VLF peuvent influencer le mouvement des particules chargées à l’intérieur de ces ceintures de rayonnement, ils se sont rendu compte que notre barrière artificielle repoussait progressivement les ceintures de Van Allen.
A voir ce que cela signifie pour le futur mais l’un des membres de l’équipe, Dan Baker, du Laboratoire de physique atmosphérique et spatiale de l’Université du Colorado, la qualifie de « barrière impénétrable ».
Des physiciens réussissent une téléportation quantique sur 44 km
par Adrien Vlahovic | 4 janvier 2021– traduction pour ulyces.co -crédit: Daily Mail
Une connexion internet quantique, ultra-rapide et ultra-sécurisée, est sur le point de voir le jour. Un groupe de chercheurs de l’Institut de technologie de Californie (Caltech), du Fermilab et de la NASA ont réussi à téléporter des informations entre deux laboratoires séparés par 44 kilomètres, rapportait le DailyMail le 22 décembre.
Pour « téléporter » ces données, les scientifiques se servent des qubits, les bits quantiques. Ces derniers, inextricablement liés les uns aux autres, interagissent quelque soit la distance qui les séparent. Dans le cas d’une paire, si le premier bit à une valeur de 1, le second sera un 0. En liant 3 qubits, ils est donc possible d’obtenir la même valeur pour le premier et le troisième, faisant voyager l’information rien qu’en modifiant les données au point de départ. Mais afin de créer ces réseaux de communication du futur, il est nécessaire d’améliorer la portée et la fiabilité de cette technologie. Dans leur étude publiée le 4 décembre, les résultats ont montré une réussite de 90 % dans la transmission de l’information.
« Nous sommes ravis de ses résultats », annonce Panagiotis Spentzouris, chercheur au Fermilab, dans le journal de l’université de Chicago UChicago. « Avec cette démonstration, nous commençons a poser les bases de la construction d’un réseau quantique de la taille de Chicago. » Imaginez un internet instantané couvrant toute l’Île-de-France. La 5G et les autres technologies classiques seraient bien vite rendues obsolètes. La physicienne Maria Spiropulu, de Caltech, ajoute d’ailleurs que « les résultats seront encore améliorés avec les mises à niveau du système que nous prévoyons d’achever d’ici le deuxième trimestre 2021 ».
nasa-2313267_1280 | La vérité sur les récentes découvertes de la NASA. Source : Pixabay
Toute La Vérité Sur La Nouvelle Découverte De La NASA
Merci à P Rousseau de nous avoir transmis cet article.
Article source : forbes.fr/t
Article traduit de Forbes US – Auteur : Jamie Carter
La rumeur court partout sur Internet et à la une des journaux américains : les scientifiques de la NASA auraient trouvé des preuves qu’il existe un univers parallèle.
Mais la réelle découverte est toute autre. Les scientifiques ont en fait trouvé des traces de particules fondamentales sous forme de signaux qui peuvent remettre en question notre compréhension actuelle de la physique. Il pourrait s’agir, tout simplement, des effets de l’interaction entre les particules et la glace. Contrairement à ce que dit le Daily Star, il n’y a aucune preuve qui montre qu’un « univers parallèle évolue juste à côté du nôtre, où les lois de la physique sont inversées. »
Et pour cause, voici ce qu’Ibrahim Safa de l’Université du Wisconsin-Madison, qui a été l’auteur principal d’un document de recherche sur l’expérience en question en Antarctique, pense de toutes ces rumeurs : « La NASA a découvert que vous ne devriez pas croire tout ce que dit le New York Post. »
Les très nombreux articles actuellement en ligne semblent avoir pour origine une histoire publiée il y a six semaines par le New Scientist, avec le titre alarmant : « Nous avons peut-être repéré un univers parallèle où le temps est inversé. » Elle est basée sur un article qui incite à la réflexion à propos de certains résultats d’études menées en Antarctique sur les rayons cosmiques (particules chargées à haute énergie) à l’extérieur de l’atmosphère terrestre. Tout ceci est relié à trois études :
Un document de recherche publié en réponse au premier, qui avance que les résultats trouvés par ANITA pourraient fournir la preuve d’un « univers symétrique CPT », où le temps s’écoulerait à l’envers depuis le Big Bang et où l’antimatière dominerait. C’est de là que proviennent les allégations d’un « univers parallèle » puisque l’on peut lire dans le document : « Dans ce scénario, l’univers avant le Big Bang et l’univers après le Big Bang sont réinterprétés comme un univers/anti-univers créé à partir de rien. »
Un article de recherche publié dans The Astrophysical Journal de l’Observatoire de neutrinos, IceCube, suggère que nous devons envisager des explications alternatives pour expliquer les données relevées par ANITA.
Cependant, la seule conclusion réelle est que le modèle standard concernant les neutrinos (particule élémentaire de masse) n’explique pas la détection de ce type de phénomène rare. « Les données relevées par ANITA sont intéressantes, mais nous sommes loin de prétendre qu’elles révolutionnent la physique, sans parler de notre vision de l’univers», a déclaré M. Safa.
Qu’est-ce que le projet ANITA ?
Il s’agit d’une expérience menée en Antarctique à partir d’un ballon stratosphérique, dont les antennes radio sont pointées vers la Terre afin de détecter les ondes radio émises par des neutrinos de très haute énergie lorsqu’ils frappent un atome dans la glace. En d’autres mots, il s’agit d’un radiotélescope, ANITA est le premier observatoire de la NASA pour les neutrinos de toute sorte ; d’où le lien avec la NASA.
Qu’a trouvé l’ANITA ?
En 2016, l’ANITA a détecté certains signaux que l’on peut qualifier « d’anomalie », c’est-à-dire des preuves de l’existence d’une particule de haute énergie provenant de la surface de la Terre, mais sans en être la source. Cela « semblait impossible »,selon l’article du New Scientist, qui a poursuivi de la sorte :
« L’explication de ce signal nécessite l’existence d’un univers à l’envers créé dans le même big bang que le nôtre et existant parallèlement à celui-ci. Dans ce monde miroir, le positif est négatif, la gauche est droite et le temps passe à l’envers. »
C’est l’univers symétrique CPT. Le communiqué de presse relatif au document de recherche mentionne également que « d’autres explications concernant les signaux doivent être envisagées. » Les scientifiques de l’observatoire des neutrinos IceCube ont alors tenté de rechercher la source de ces signaux de neutrinos intenses.
Qu’est-ce que IceCube ?
Situé près du pôle Sud, il est composé de 5 160 détecteurs optiques enfouis dans la glace qui sont là pour détecter les neutrinos passants et réagissant avec les atomes d’hydrogène ou d’oxygène de la glace.
« Ce processus fait d’IceCube un outil remarquable pour le suivi des observations d’ANITA, car pour chaque anomalie détecté par ANITA, IceCube aurait dû en détecter beaucoup, beaucoup plus. Mais dans le cas présent, ça n’a pas été le cas », a déclaré Anastasia Barbano de l’Université de Genève en Suisse. « Cela signifie que nous pouvons exclure l’idée que ces événements proviennent d’une source ponctuelle intense, car les chances qu’ANITA détecte des données qu’IceCube n’aurait pas repérées sont minces. »
Quelles sont les conclusions de l’article académique ?
Les résultats de la vérification des données d’ANITA à l’aide d’IceCube, publiés dans l’article, sont résumés ainsi : « Une explication astrophysique de ces traces est improbable selon les hypothèses d’un modèle standard, quel que soit le spectre de la source. »
Traduction correcte : nous ne savons pas encore d’où proviennent ces signaux.
Traduction incorrecte : ces neutrinos à haute énergie proviennent d’un univers parallèle.
Voici ce qu’Alex Pizzuto de l’université du Wisconsin-Madison, l’un des chefs de file de cet article, a déclaré à propos de l’histoire de l’« univers parallèle » : « j’ai vu circuler beaucoup de titres du genre “la NASA détecte les univers parallèles”. J’ai passé les deux dernières années d’études à enquêter sur ces détections, et je voulais apporter quelques précisions. »
Ce à quoi M. Safa a ajouté : « Nous avons examiné les données trouvées par ANITA et il ne peut pas s’agir de neutrinos standard. Mais notre compréhension de la glace de l’Antarctique est imparfaite, il est possible qu’un nouveau phénomène physique soit à l’origine de ces résultats. Les tabloïdes : UNIVERS PARALLÈLE !!! » Il a également déclaré que, « bien que ces traces aient été passionnantes pour les physiciens qui tentent d’expliquer le phénomène, nous devrons attendre la prochaine série de tests, qui augmentera l’exposition et la sensibilité pour bien comprendre cette anomalie. » C’est là qu’intervient le pulseur de radiofréquences HiCal 2, qui aidera les scientifiques à caractériser les propriétés de la surface de la glace antarctique pour mieux interpréter les résultats. Il pourrait donc s’agir de glace, et non d’un univers parallèle.
Croquis de l’Avrocar- Les documents concernant ce projet ont été récemment déclassifiés et révèlent un engin que l’on dirait tout droit sorti d’un film de science-fiction un peu kitsch : le Projet 1794, conçu en collaboration avec le fabricant canadien Avro Aircraft Limited- Crédit dessin : presse-citron.net/
L’intrigue concernant les soucoupes volantes décrites par tant de témoins à travers le monde n’est pas
seulement cette forme » d’assiette retournée » mais surtout la capacité à léviter et à se déplacer.
Alors ci-dessous ( après mon introduction) consultez cet article de Futura-sciences. Peut il au moins nous éclairer sur les moyens de faire léviter des objets ? Alors oui, mais, car il y a un mais, comment faire léviter un véritable vaisseau discoïdal, avec quels supports, et avec quels matériaux et surtout comment obtenir des accélérations rapides, et des déplacements instantanés ? Quelqu’un a t-il réussi ici sur cette planète cette performance avec ce procédé à la pointe de la technologie ? Telle est la question ! Pour ma part je pense que oui, très certainement , mais c’est à cause ou grâce ,( tout dépend de quel point de vue nous nous rangeons) , à de possibles récupérations sur des crash supposés d ‘OVNIS , de ces sortes d’engins qui ont du contribuer à de la rétro-ingénierie ,comme certains le prétendent je cite en exemple, *Bob Lazar et* David Adair par exemple. Tout reste encore à prouver .
*David Adair est un expert internationalement reconnu dans les applications dérivées des technologies spatiales pour l’industrie et l’utilisation commerciale. À 11 ans, il a construit sa première des centaines de fusées qu’il a conçues et testées. À 17 ans, il a remporté le prix «Le plus remarquable dans le domaine des sciences de l’ingénieur» de l’US Air Force. À 19 ans, il a conçu et fabriqué un système mécanique de pointe pour changer les moteurs à turbine à réaction de la marine américaine, qui a établi un record mondial de délais d’exécution encore en vigueur aujourd’hui. Il est un présentateur et conférencier de classe mondiale, un chef de file de séminaires et d’ateliers et un consultant. Ses présentations comprennent des faits et des anecdotes peu connus de son implication dans le programme spatial, le développement de technologies commerciales, des films et « les choses qu’il prétend avoir vues » à la zone 51.
*Robert Scott Lazar, ou Bob Lazar, né le 26 janvier 1959, est ingénieur et scientifique. Il affirme avoir travaillé entre 1988 et 1989 en tant que physicien au S4 près de la Zone 51, une base militaire située dans le désert du Nevada qui a été reconnue bien plus tard pas l’armée américaine et l’état américain ! , En 1989 ,Il avait parlé d’un élément chimique lourd non synthétisé 115, Le moscovium ( l’Union internationale de chimie pure et appliquée (UICPA) annonce cette découverte que le en expliquant que des engins seraient propulsés par cet élément atomique 115 (l’ununpentium). A l’époque il a juste été taxé d’imposteur ! Aujourd’hui ceux qui le dénigrent oublie cet important détail soit dit au passage !!!
La » soucoupe volante » a reçu le nom provisoire d’ » Avrocar «
Archive !
Rappelons un fait qui atteste l’intérêt des USA concernant la réalisation d’un engin ayant cette forme aérodynamique, lorsque depuis Washington, le 15 avril 1959 une dépêche de l’AFP ( Agence France presse)
– Le général Frank Britton, l’un des chefs des services de recherches de l’armée, ( à l’ époque) a annoncé que les États-Unis procéderont bientôt aux essais d’une » soucoupe volante « .
La nouvelle machine utilisera, pour s’élever, le principe dit du « coussin d’air » qui, par libération d’air à haute pression au niveau du sol, lui permettra d’effectuer une ascension à la verticale.
Le général Britton a annoncé les essais prochains de la » soucoupe volante » au cours d’une réunion à huis clos de la commission de l’espace de la Chambre des représentants. Les éléments qui permettraient de donner de cette machine une image approximative sont encore tenus secrets. ( archives du journal le monde)
Nous savons aujourd’hui que cet essai n’était pas du tout satisfaisant et le mode de propulsion envisagé pas adéquat, mais l’idée tant qu’à elle avait germée . La raison était -elle à cause des témoignages depuis au moins une décennie ( aux alentours de 1945) ?
Le physicien Jean Pierre petit a pensé à la Magnéto hydrodynamique (MHD) pour la propulsion, il souligne d’ailleurs les américains et les russes ont travaillé chacun de leur côté sur la MHD . Des prototypes, Ajax ( pour la Russie )et Aurora (pour les USA) seraient ces spécimens.
Mais existe t-il d’autres secteurs de recherche pour la lévitation et la propulsion , englobant ces deux capacités réunies ?
Nous savons que les états -unis et la Russie ont travaillé sur ce type de projet depuis un certain temps ( au moins 50 ans) déjà, mais depuis, d’autres pays , je pense notamment à la chine , le Japon voire même l’Europe( tout au moins, une partie du continent une alliance franco germanique ou franco anglaise notamment, ou d’ autres ) ont -ils à leur tour potasser en secret sur ce concept de machine circulaire capable de voler ?
Où en sont réellement les travaux sur la lévitation qui dépasse l’état miniature ? Voilà l’ultime question que je me pose à présent, car le monde industriel a bien évolué et a même révélé certaines études longtemps gardées secrètes au regard de certaines réalisations dans l’aéronautique et le spatial notamment . Nous voyons à présent quelques résultats , il n’ y a qu’à regarder les avancées de certaines firmes qui réussissent comme Space X ou le concurrent Virgin Galactic pour ne citer que ces 2 firmes mastodontes industrielles ! Une chose est claire dans mon esprit, certains privés qui possèdent de gros moyens financiers et structurels avancent dans bien des domaines technologiques qui donnent naissance à de nouvelles applications et un certain nombre de réalisations !!! Certaines se dévoilent au fil du temps, mais ça ne résous pas pour autant le phénomène OVNI d’une manière globale et le mystère des soucoupes observé depuis au moins les années 1940 ,sans aborder les engins discoïdaux amphibies.
Supraconductivité : les secrets de la lévitation quantique
Article source: futura-sciences.com
Publié le 22/06/2020 :
Difficile de ne pas éprouver une fascination envers la supraconductivité. Cette propriété quantique qui, entre autres prouesses, fait léviter les objets, est aujourd’hui au centre d’un grand nombre de recherches de pointe. Voici en vidéo un aperçu des plus belles lévitations quantiques.
Cette étonnante découverte a été faite il y a une centaine d’années par Kamerlingh Onnes. Ce physicien avait utilisé du mercure refroidi à l’hélium liquide comme supraconducteur. Aujourd’hui cette technologie est à l’œuvre dans de nombreuses machines à IRM ou, dans le monde des transports, avec le train japonais Maglev par exemple. À pleine vitesse, ce véhicule peut atteindre des vitesses de 580 km/h, de quoi relier Tokyo à Osaka en moins d’une heure.
Cet article ( en bas de cette page )penche en faveur de nos estimations, c’est à dire la preuve d’une vie extraterrestre (primaire ) au moins, une civilisation (évoluée) au mieux qui sera dénichée ( découverte) autour de 2030 à 2040.
Beaucoup de personnes ont émis la possibilité datée concernant la découverte d’une vie de nature exogène.
Ceci je l’ai maintes fois relayé et évoqué (aussi ) à droite et à gauche, en m’appuyant sur les avancées technologiques de plus en plus performantes, d’autant que l’intelligence artificielle va aider sur ce point, non seulement pour analyser, pour calculer des trajectoires pour nos futurs outils, mais aussi avec quels instruments , machines, ou moyens de détection qui seront les plus appropriés pour ce style de recherche, sans compter sur la possible arrivée en masse, inopinée de nos visiteurs dont les motifs ne manquent pas selon moi ,même si cela reste aléatoire.
Article disponible ci-dessous sous le Gif animé œil d’alien.
Nous rencontrerons des extraterrestres d’ici « 20 ans », estime un astronome russe.
Article source : Gentside ex maxisciences.com
Par Emmanuel Perrin
Un astronome russe réputé a déclaré qu’il s’attendait à ce que les hommes rencontrent des civilisations extraterrestres dans « les vingt années » à venir.
« La genèse de la vie est aussi inévitable que la formation d’atomes… La vie existe sur d’autres planètes et nous la trouverons d’ici 20 ans« , a déclaré Andreï Finkelstein, directeur de l’Institut d’astronomie à l’Académie russe des sciences appliquées, cité par l’agence de presse Interfax. L’astronome s’exprimait à l’occasion d’un forum international dédié à la recherche de vie extraterrestre.
Selon lui, 10% des planètes connues gravitant autour de soleils seraient similaires à la Terre. Andreï Finkelstein estime que si l’on peut trouver de l’eau sur ces planètes, alors on peut trouver une forme de vie, et ajoute que des extraterrestres ressembleraient probablement à des humains avec deux bras, deux jambes et une tête, rapporte le Guardian.
L’Institut d’astronomie que dirige Finkelstein participe à un programme lancé dans les années 1960, à l’apogée de la course à l’espace, qui vise à écouter les signaux radio en provenance du cosmos. « Durant tout le temps consacré à la recherche de civilisations extraterrestres, nous avons surtout été dans l’attente de messages de l’espace et non l’inverse », a t-il déclaré.
En mars dernier, un scientifique de la Nasa a suscité la polémique après avoir déclaré qu’il avait trouvé des fossiles d’insectes extraterrestres minuscules à l’intérieur de météorites tombées sur la Terre. L’exobiologiste Richard Hoover avait alors déclaré que les filaments et autres structures présentes dans les météorites semblaient être des fossiles microscopiques de vie extraterrestre ressemblant à des algues connues comme les cyanobactéries. L’homme avait affirmé que l’absence d’azote dans les échantillons, essentiel à la vie sur Terre, indiquait que ces restes étaient ceux de « formes de vie extraterrestre ayant grandi sur les corps parents des météorites où l’eau liquide était présente, bien avant leur entrée dans l’atmosphère terrestre ».
Article source : intelligentliving.co par Dan Edel
Traduction :
Des scientifiques de l’Université de Pittsburgh ont découvert un nouvel état électronique de la matière qui pourrait conduire à l’informatique quantique et même à la capacité de téléportation quantique.
L’étude publiée le 14 février dans Science intitulée «Série de conductance Pascal dans les canaux balistiques unidimensionnels LaAIO3 / SrTiO3», où les électrons voyagent sans se disperser en groupes de deux ou plus par rapport à individuellement, dans des systèmes conducteurs unidimensionnels. Les électrons peuvent circuler sans rebondir, sans perdre d’énergie ou se réchauffer.
Professeur émérite de physique de la matière condensée, Jeremy Levy est co-auteur de l’article avec Patrick Irvin, professeur agrégé de recherche.
Levy explique les résultats de l’ étude :
Normalement, les électrons dans les semi-conducteurs ou les métaux se déplacent et se dispersent, et finissent par dériver dans une direction si vous appliquez une tension. Mais dans les conducteurs balistiques, les électrons se déplacent plus comme des voitures sur une autoroute. L’avantage est qu’ils ne dégagent pas de chaleur et peuvent être utilisés de manière très différente de l’électronique ordinaire. Les chercheurs avant nous ont réussi à créer ce type de conducteur balistique.
La découverte que nous avons faite montre que lorsque les électrons peuvent être attirés les uns les autres, ils peuvent former des grappes de deux, trois, quatre et cinq électrons qui se comportent littéralement comme de nouveaux types de particules, de nouvelles formes de matière électronique.
Pour les personnes intéressées, cette vidéo de Jeremy Levy permet de décomposer et d’expliquer cette nouvelle découverte.
Vidéo
Jeremy Levy
11 Niveaux: série de conductance Pascal dans les canaux balistiques unidimensionnels LaAlO3 / SrTiO3.
Levy a déclaré que la reconnaissance des conducteurs balistiques correspondait à une séquence dans le triangle de Pascal qui a contribué à cette découverte. Les conducteurs balistiques peuvent être considérés comme des voies sur une autoroute dans laquelle des électrons uniques se déplacent, sans changer de voie.
Si vous regardez le long [avec] différentes directions du triangle de Pascal, vous pouvez voir différents modèles de nombres et l’un des modèles était un, trois, six, 10, 15, 21. C’est une séquence que nous avons remarquée dans nos données, donc c’est devenu un indice difficile de ce qui se passait réellement. La découverte nous a pris un certain temps à comprendre, mais c’était parce que nous ne savions pas au départ que nous regardions des particules composées d’un électron, de deux électrons, de trois électrons et ainsi de suite. Si vous combinez tout cela ensemble, vous obtenez la séquence de 1,3,6,10.
Levy est enthousiasmé par cette découverte, car cela contribuera à l’avancement général de la physique quantique. Ces nouvelles particules de matière électronique ont des propriétés liées à l’ intrication quantique qui peuvent être utilisées dans l’informatique quantique et la redistribution quantique.
« Cette recherche s’inscrit dans un effort plus vaste ici à Pittsburgh pour développer de nouvelles sciences et technologies liées à la deuxième révolution quantique », a déclaré Levy, qui est également le directeur du Pittsburgh Quantum Institute.
«Lors de la première révolution quantique, les gens ont découvert que le monde qui les entourait était fondamentalement régi par les lois de la physique quantique. Cette découverte a permis de comprendre le tableau périodique, le comportement des matériaux et a contribué au développement des transistors, des ordinateurs, des scanners IRM et des technologies de l’information.
Maintenant, au 21e siècle, nous examinons toutes les prédictions étranges de la physique quantique et les retournons et les utilisons. Lorsque vous parlez d’applications, nous pensons à l’informatique quantique, à la téléportation quantique, aux communications quantiques, à la détection quantique – des idées qui utilisent des propriétés de la nature quantique de la matière qui étaient ignorées auparavant.
-Complément d’enquête sur l’observation de Beloeil (Belgique) du 29 octobre 2019
-Autre observation à Templeuve (Belgique)
-Présentation des livres récents de Thibaut Canuti « L’histoire de l’ufologie » Éditions JMG Tome 1 « Le temps des soucoupistes » 2011 -Tome 2 « Le temps des officiels » 2019
-Notre invité du jour : « Julien » le témoin de 4 ème type qui nous a fait part de ses observations lors de la réunion du 16 mars 2019 et qui cette fois, nous présentera son livre et nous parlera de la façon dont est perçue l’ufologie au Japon.
Résumé et image de Wilfried De Brouwer-crédit – COBEPS
Mon nom est Wilfried De Brouwer.
Je suis Major Général de la Force Aérienne belge, à la retraite, et j’ai été le Chef des opérations au sein de l’Armée de l’Air lorsqu ‘ une vague exceptionnelle d’observations d’OVNI se déroula en Belgique.
En effet, durant la nuit du 29 novembre 1989, environ 140 observations d’OVNI furent recensées dans une surface réduite de l’est de la Belgique.
Des centaines de personnes ont vu un majestueux engin à une distance d’environ 36 mètres, avec de puissantes lumières, se déplaçant lentement sans émettre le moindre bruit mais, dans certains cas, en faisant preuve d’accélérations soudaines et de vitesses très rapides.
De nombreuses observations furent constatées dans les jours et les mois qui suivirent.
Cette vague d’OVNI dura plus d’une année durant laquelle une organisation belge d’étude des OVNI mena plus de 650 enquêtes et enregistra plus de 400 heures de témoignages audio.
A cette occasion, une photographie révéla la forme triangulaire et les 4 sources lumineuses de l’objet.