Planète Mars : La sonde Insight de la NASA enregistre des sons à une fréquence de 50 hertz

Médiathèque et Index Ufologique et Spatial

Écoutez pour la première fois le son des vents martiens

par Brice Louvet le : 

 Pour :  sciencepost.fr

L’atterrisseur InSight de la NASA, sur Mars depuis un peu moins de deux semaines, a récemment enregistré des vibrations causées par le vent soufflant sur les instruments scientifiques. Vous vous apprêtez à écouter les tout premiers “sons” des vents martiens.

Cela ne vous aura pas échappé : la sonde Insight, de la NASA, a survécu à la descente risquée dans l’atmosphère de Mars. À peine atterri, le robot nous a même gratifié d’une première photo (poussiéreuse), nous rassurant quant à ses capacités de fonctionnement. Ses panneaux solaires désormais activés, InSight a récemment pu configurer son sismomètre (SEIS), destiné à mesurer les “tremblements de Mars”. En attendant de pouvoir être déposé au sol pour commencer les analyses, l’instrument a enregistré d’autres types de vibrations. Un véritable régal auditif complètement imprévu.

Les sons de ces coups de…

Voir l’article original 477 mots de plus

Quatre défis juridiques à résoudre avant de s’installer sur Mars.

Illustration d’une colonie sur la planète Mars
Crédit image : futurism.com

Article source :futurism.com

 Par Dan Robitzski  le 06/12/2018

                                                                                     Traduction :

Quatre défis juridiques à résoudre avant de s’installer sur Mars Avant que les humains ne s’installent ou

ne mettent même le pied sur Mars, ingénieurs et scientifiques doivent résoudre toutes sortes de problèmes, tels que la protection des voyageurs de l’espace contre les radiations dangereuses. Cela sera extrêmement difficile, mais cela ne doit pas occulter d’autres types de défis – comme les questions juridiques et politiques – soulevés par la colonisation extraterrestre.

Règles De L’espace!

Dans un essai publié mardi à Aeon , Marko Kovic, consultant et président d’un groupe de réflexion nommé The Zurich Institute, a analysé ce qu’il considère comme les quatre questions les plus importantes non résolues pour les structures politiques des colonies hors monde. .

Décomposer

Tout d’abord, Kovic pose la question de savoir qui est réellement autorisé à coloniser l’espace. Les nations individuelles devraient-elles établir leurs propres colonies ou ce droit devrait-il être réservé aux coalitions internationales? Qu’en est-il des sociétés puissantes ?

Deuxièmement, il faut élaborer des lois pertinentes pour la vie sur Mars ou ailleurs. À l’heure actuelle, les astronautes sont soumis aux lois de leur pays d’origine, mais Kovic affirme qu’il est insensé d’attendre les nombreuses semaines ou mois et qu’il faudrait aux systèmes juridiques terriens enquêter sur le premier meurtrier de l’espace. Au lieu de cela, la colonie aurait besoin de sa propre structure juridique qui ne dépende pas de la Terre.

La troisième question de Kovic n’a peut-être jamais de réponse claire. Il se demandait comment différentes nations, comme les États-Unis, pourraient réagir différemment aux colonies rebelles. Quand ces colonies devraient-elles devenir indépendantes,  et si elles le devraient ?

Quatrièmement, Kovic a fait valoir que les décideurs, qu’ils soient indépendants ou non, devraient déterminer exactement comment différentes colonies sur la Lune, Mars ou ailleurs allaient toutes interagir entre elles et avec la société terrestre. Tous tomberont-ils dans une coalition gouvernementale ou seront-elles des entités séparées ?

Culture Analogique

Le défi qui se pose à chacun d’entre eux vient du fait que les analogues terrestres ne tiennent pas toujours le coup – les futures sociétés de l’espace pourraient avoir besoin de structures gouvernementales entièrement nouvelles. Sur Terre, la colonisation et la succession éventuelle des nations gouvernantes ont souvent été un gâchis sanglant. Ce n’est donc pas comme si nous avions des exemples historiques utiles pour nous guider.

Si vous prenez en compte le fait que divers gouvernements terrestres ayant des philosophies et des structures opposées (pensez aux démocraties représentatives par rapport aux dictatures) auront tous des intérêts dans les implantations spatiales, il devient encore plus difficile de trouver une solution qui plaise à la population.

Et Maintenant?
Au-delà du Traité sur l’espace extra-atmosphérique de 1967 qui stipule que l’espace doit être exploré, non exploité ni utilisé à des fins militaires, très peu de règles régissent l’espace. Et même ce traité ne fonctionne plus aussi bien qu’avant – Kovic a déclaré dans son essai qu’il interdirait à la Russie, à la Chine ou à l’Amérique de coloniser la Lune ou Mars, mais pas à une entité privée comme SpaceX ou Blue Origin .

Avant de remettre les clés de la galaxie à Elon Musk ou Jeff Bezos, nous devrions peut-être prendre un moment pour proposer des règles de base actualisées .

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Note de la rédaction Futurism : Ce billet avait précédemment mal identifié le groupe de réflexion présidé par Kovic comme étant «l’Institut zambien d’analyse et de recherche des politiques». Il a été mis à jour.

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Ici je glisse en complément pour de la réflexion ( d’ailleurs  mes articles  qui ont plus ou moins servis de support  pour mes ouvrages)  les liens interne ( notre  autre site web  des articles en 3 volumes que j’ai réalisé à partir de 2011.

J’évoque brièvement la question éthique à la fin  du dernier  et troisième volet intitulé : « De l’exploitation à l’exploration spatiale « vol .3 » un futur incertain…. »

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Cliquez sur les bannières ci-dessous:

Enjeu du siècle?

Pronostics et évolution volet 2 de : l’exploration et exploitation spatiale…

De l’exploitation à l’exploration spatiale « vol .3 » un futur incertain….

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Mise à jour investigations ufoetscience, le : 07/12/2018 à : 11h05.

Mars : la mission InSight couronnée de succès le vaisseau de la NASA atterrit sur la planète rouge.

insight-illustration
Crédit CNES

Lundi 26 Novembre 2018 à 23h40.

J’ai diffusé le direct live sur mon mur Facebook pour suivre l’événement retransmis par la NASA .

Ce voyage de 485 millions de kilomètres a duré 6 mois. Le lancement de la mission InSight a débuté le 05 mai 2018 à partir du site situé en Californie. Le centre de contrôle de la mission, situé au Jet Propulsion Laboratory (JPL) à Pasadena (Californie) a confirmé le succès de l’ atterrissage sur le sol martien.

Ce laboratoire scientifique  baptisé InSight ( INterior exploration using Seismic Investigations, Geodesy and Heat Transport ) est une mission de géophysique du Programme Discovery de la NASA. Cet atterrisseur posé sur Mars étudiera  la structure interne de cette planète . L’ objectif est de mieux comprendre comment se forment les planètes rocheuses. Je rappelle que un an sur Mars équivaut à deux années terrestres.

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Objectifs	Étude de la structure interne de Mars
Date de lancement   instruments embraqués	05/05/2018    SEIS -HP3- RISE et deux caméras

 

    ©2018- droits réservés.

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Vidéo RFI  via Youtube

Cela fait 6 ans qu’aucune mission ne s’est posée avec succès sur Mars. Une nouvelle tentative ce lundi 26 novembre 2018 vers 20 heures TU. C’est le robot InSight de la Nasa qui va tenter sa chance. Une mission bien particulière puisqu’il s’agit cette fois de sonder l’intérieur de la planète rouge.

Si cette vidéo ne fonctionne pas cliquez ici

Mise à jour investigations ufoetscience le : 26/11/2018 à 23h40.

Les scientifiques doivent résoudre ces deux mystères pour trouver la vie sur Mars.

Sources et mécanismes de dégradation possibles du méthane martien : apport de matière organique par des météorites (cosmic dust) transformée ensuite en méthane par les UV, production par des micro-organismes enfouis (microbes), altération de l’olivine en présence d’eau liquide (water), stockage sous forme de clathrates (clathrate storage), transformation par les UV (photochemistry) en formaldéhyde et méthanol puis en CO2. © Nasa, JPL, SAM-GSFC, Univ. of Michigan

Article source : futurism.com traduction Sylvain ( à l’aide traducteur en ligne )  pour 

Publié par Dan Robitzski  le : 27 septembre 2018 

En juin, la NASA a révélé deux faits hallucinants: la présence de matière organique sur Mars et le flux et le reflux du méthane dans l’atmosphère au fil du temps. C’est une bonne nouvelle qui a secoué notre compréhension de l’astrobiologie ( exobiologie pour nous en France) . Et bien que ce ne soit pas nécessairement la preuve que les extraterrestres sont là-bas, une grande partie de notre méthane terrestre a été produite par des êtres vivants. Et comme n’importe quel enfant peut vous le dire, si vous l’avez senti, quelqu’un doit l’avoir traité .

Les récentes découvertes de méthane «nous confrontent à des données robustes nécessitant une interprétation», a écrit une équipe de scientifiques internationaux dans une étude publiée la semaine dernière en astrobiologie . Les auteurs de l’étude l’ont fait, ils ont déterminé quelles mesures, expériences et missions la NASA et les autres organisations spatiales devraient privilégier pour obtenir plus de preuves de la vie de Mars.

En bref, les scientifiques veulent étudier l’activité géologique de Mars. Ils veulent comprendre la relation entre ces composés organiques nouvellement découverts et le méthane fluctuant dans l’atmosphère. Leur but est de trouver des traces d’autres molécules et  de gaz qui pourraient permettre à certaines formes de vie primitives et microscopiques de survivre sous la surface de la planète. Voici ce qu’ils recherchent exactement.

Un: Dégradé Redox

Lorsque nous mangeons, notre corps tire de l’énergie de notre nourriture par des réactions chimiques qui créent un flux continu d’électrons et d’atomes d’oxygène entre les molécules. Ce va-et-vient est nécessaire pour alimenter nos corps – tous les êtres vivants le font. Mais à cause de l’atmosphère extrême de Mars, cet équilibre n’existe pas. L’atmosphère est si fortement oxydante que ces réactions ne se produiraient que dans un sens. Tout être vivant sur Mars réagirait si fortement avec l’air qu’il ne pourrait pas survivre. Les chercheurs recherchent des composants dans l’atmosphère martienne qui compenseraient cette réaction, ce qui rendrait la vie possible.

Deux: source du méthane

La prochaine étape pour comprendre si Mars aurait pu accueillir la vie, suggèrent les chercheurs, consiste à creuser sous la surface de Mars pour savoir d’où vient tout ce méthane. Alors que les êtres vivants sur Terre produisent du méthane lorsqu’ils digèrent les aliments, ce n’est pas la seule façon dont le gaz pourrait émerger dans une atmosphère. La prochaine mission InSight de la NASA explorera la surface de Mars . Il est principalement axé sur l’apprentissage de l’activité sismique, mais qui sait ce qu’il pourrait découvrir en cours de route.

Notre meilleure idée de la raison pour laquelle les niveaux de méthane de Mars fluctuent ? La congélation et la décongélation saisonnières de la glace, qui piège et libère le méthane au fil du temps (nous le savons d’après les données transmises par le rover Curiosity). Mais il n’y a pas de moyen facile de savoir depuis combien de temps ce méthane existe ou s’il est généré. Et cela signifie que trouver la source du méthane martien est plus complexe que de tirer le doigt d’un petit alien vert.

En examinant la composition chimique des échantillons souterrains et en prenant davantage de mesures atmosphériques, les scientifiques seraient en mesure d’apprendre si ce méthane provient de processus biologiques ou de réactions chimiques complexes qui n’impliquent aucunement la vie.

Les chercheurs à l’origine de ce plan ne le suggèrent pas, car il existe des preuves très convaincantes que Mars soutient la vie. En fait, comme l’ a affirmé l’astrobiologue Caleb Scharf , il est beaucoup plus raisonnable de supposer qu’elle n’existe nulle part ailleurs que sur Terre. Après tout, c’est le seul endroit que nous savons avec certitude .

Mais si, par chance, certains microbes se cachent sous la surface de la planète ou s’il existait autrefois une forme de vie sur Mars, la stratégie des auteurs de l’étude représente probablement notre meilleure chance de la trouver.

Source

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Référence

NASA

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Mise à jour investigations ufoetscience, le : 28/09/2018 à 12h45.

Découverte d’une vaste étendue d’eau souterraine sous le pôle Sud de la planète Mars.

INVESTIGATION OCEANOGRAPHIQUE ET OANIS

Crédit image :
lecercledesliberaux.com

Era & Sylvain investigation océanographique et OANIS

Nous nous rapprochons un peu plus que l’idée de la présence d’eau sur Mars en état solide ou liquide ne soit plus un mythe mais une réalité.

Après cela, les scientifiques détermineront si l’eau au sein de la planète rouge  abrite ou non  la vie. Si la réponse est négative alors peut-être que celle-ci  en aura  à plus ou moins court terme  .

Cet article du média  20 mn peut – il  nous éclairer sur le présent de cette planète et de son futur au fur et à mesure des analyses et des résultats ?

Cliquez sur le titre ci-dessous pour accéder à l’article de 20mn.

Espace: Un vaste lac découvert sous la surface de la planète Mars

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Mise à jour investigation Océanographique et O.A.N.I.S le 25/07/2018 à 21h55.

Voir l’article original

Planète Mars : présence de molécules organiques au sein de roches sédimentaires.

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Sources et mécanismes de dégradation possibles du méthane martien : apport de matière organique par des météorites (cosmic dust) transformée ensuite en méthane par les UV, production par des micro-organismes enfouis (microbes), altération de l’olivine en présence d’eau liquide (water), stockage sous forme de clathrates (clathrate storage), transformation par les UV (photochemistry) en formaldéhyde et méthanol puis en CO2. © Nasa, JPL, SAM-GSFC, Univ. of Michigan

Vie sur Mars : Curiosity et la Nasa découvrent d’intrigantes molécules organiques

Publié le 08/06/2018

Par : Laurent Sacco pour futura-sciences.com

Sur Mars, les analyses de Curiosity établissent de façon solide la présence de molécules organiques au sein de roches sédimentaires. Ses instruments confirment également la présence de variations saisonnières de méthane dans l’atmosphère autour de lui. Méthane et molécules organiques pourraient être des biosignatures de formes de vie mais leurs origines pourraient également être abiotiques. La découverte de la vie sur Mars n’est donc pas encore faite.

La toile bruissait légèrement depuis quelques jours après l’annonce par la Nasa d’une conférence pour ce jeudi 7 juin 2018, présentant une découverte faite par le rover Curiosity. Rappelons qu’il roule depuis le mois d’août 2012 sur les couches sédimentaires à l’intérieur d’un cratère martien dénommé Gale (en l’honneur d’un astronome amateur australien du XIX^e siècle). L’annonce avait été accueillie toutefois avec un brin de scepticisme, voire de lassitude, tant il est vrai que bien des annonces similaires de la Nasa avaient laissé espérer une découverte spectaculaire alors qu’il n’en fut rien. Cette fois, l’annonce de la Nasa est heureusement loin du flop qui pouvait être craint.

Des biosignatures ambigües de vie martienne

La biogéochimiste et géologue Jennifer Eigenbrode vient de révéler que Curiosity a détecté dans des roches sédimentaires datant d’environ 3,5 milliards d’années la présence incontestable de plusieurs molécules organiques datant de cette période. Plus précisément, il s’agit de composés thiophéniques, aromatiques et aliphatiques. Or, on sait que ces roches se sont déposées à cette époque dans un lac.

La présence durant plusieurs années de Curiosity dans le cratère d’impact Gale a également permis de suivre les émanations de méthane, inexpliquées. Le fait est aujourd’hui avéré : elles sont cycliquement modulées par les saisons martiennes. Plus importantes en été, elles se réduisent en hiver. Sur Terre, ces suintements saisonniers peuvent être produits par des bactéries méthanogènes.

Jennifer Eigenbrode a cependant d’entrée de jeu mis les points sur les « i ». Les molécules organiques repérées ainsi que les suintements de méthanes saisonniers ne sont pas nécessairement d’origine biologique. Des phénomènes abiotiques, donc découlant de processus physicochimiques, pourraient les expliquer. En l’état, les instruments de Curiosity ne permettent pas de trancher.

Mais ces résultats sont tout de même très encourageants surtout pour la mission ExoMars 2020, de l’ESA, actuellement en préparation. Elle devrait déposer à la surface de la Planète rouge un rover de 300 kg doté d’une foreuse capable de ramener une carotte prélevée jusqu’à 2 mètres de profondeur. Un laboratoire capable d’analyser l’échantillon et d’identifier des marqueurs biochimiques prévu à bord de l’engin pourrait donc faire une découverte révolutionnaire.

En attendant, on peut consulter les deux articles scientifiques publiés dans le journal Science et qui donnent plus de détails sur les découvertes faites par Curiosity. Elles ont été rendues possibles par Sam (Sample Analysis at Mars, soit analyse d’échantillons de Mars en français), un ensemble d’instruments de mesure aptes à déterminer la composition chimique (moléculaire, élémentaire et isotopique) de l’atmosphère de Mars et du sol martien, développé par la Nasa avec une participation des laboratoires français Latmos et Lisa.

Les échantillons de roche étudiés ont été prélevés avec une foreuse dans des blocs de mudstone, une fine roche sédimentaire argileuse cousine du limon. Sam a donc détecté des molécules organiques présentes sous la surface de Mars. Les précédentes détections faites avec Curiosity étaient critiquables car ambigües. Ce n’est plus le cas avec le nouveau protocole d’utilisation des instruments de Sam mis en œuvre par les chercheurs.

Des molécules organiques et des kérogènes il y a 3,5 milliards d’années ?

Ces molécules sont anciennes car elles se trouvent à l’intérieur de roches (notamment une baptisé Mohave 2) datant d’environ 3,5 milliards d’années. Mais, comme l’explique Jennifer Eigenbrode dans la première vidéo ci-dessus, ces molécules pourraient avoir été apportées sur Mars par des météorites comme les chondrites carbonées, riches en molécules biologiques, comme des acides aminés tels que l’adénine ou la guanine, mais qui sont le résultat de processus abiotiques. Ces molécules prébiotiques pourraient d’ailleurs avoir contribué à l’apparition de la vie sur Terre et peut-être sur Mars.

Malgré un bombardement météoritique qui apporte de 100 à 300 tonnes de matière par an depuis des milliards d’années, la surface ne semble pas fortement enrichie en ces molécules organiques, comme les exobiologistes et les planétologues l’ont découvert avec déception dans les années 1970 avec les missions Viking. Le sol martien s’est avéré très oxydant et conjointement avec le rayonnement UV qui n’est pas fortement atténué par une couche d’ozone, comme c’est le cas sur Terre, ces molécules organiques seraient donc rapidement détruites, dégradées en formes simples.

Suite

Mise à jour investigations ufoetscience, le : 11/06/2018 à 10h35.

La mission InSight une énième mission martienne.

À l’intérieur du cratère martien Hale, des traces sombres (brunes) longues de 100 mètres ont été formées par des écoulements d’eau salée liquide. Elles apparaissent pendant les saisons chaudes, puis disparaissent rapidement. PHOTOGRAPHIE DE PHOTO NASA/JPL/UNIVERSITY OF ARIZONA Crédit: nationalgeographic.fr

Nouvelle date qui ne cesse d’enrichir l’épopée spatiale. Ce 05 mai 2018 sera -t-elle une date incontournable et aussi marquante que celle du 28 novembre 1964 lorsque la mission Mariner 4 survolait la planète Mars?

L’avenir proche le dira.

Connaître une planète, sa topographie complète ,son histoire, sa composition son fonctionnement et sa place dans son système solaire n’est pas une chose aisée qui s’acquiert en un jour, un mois ,une année ou une petite décennie, cela demande du temps et des efforts.

La première mission réussie vers Mars,, a été lancée par la NASA le 28 novembre 1964 elle se nommait Mariner 4.

Depuis de l’eau a coulé sous les ponts et c’est peu de le dire à propos d’eau.

HiRISE ( High Resolution Imaging Science Experiment (HiRISE), est une caméra de la sonde spatiale Mars Reconnaissance Orbiter (MRO) dont les clichés ont été étudiés.

Un article de National Geographic décrit l’analyse des éléments renvoyés par MRO équipée de Hirise.

En un bref résumé voici ce que mentionne l’article.

Lujendra Ojha de l’Institut de technologie de Géorgie qui était étudiant à l’université de l’Arizona en 2010 à l’époque où il remarque des traces qui ont été étudiées . Depuis les scientifiques émettent l’hypothèse de présence d’eau en état liquide

La présence de sels hydratés sur quatre sites différents d’apparition des traces. Les sels, appelés perchlorates, renferment des molécules d’eau dans leur cristaux.

« La présence de sels hydratés dans ces écoulements signifie que les traces sont formées par une eau contemporaine », explique Ojha.

Source

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L’eau de la planète rouge serait salée mais tout reste à analyser avec précision avant de se prononcer sur sa nature, d’où elle vient et si celle-ci peut abriter ou non la vie.

Mais voilà comme je l’ai mentionné dans l’intro de mon petit article il y a bien d’autres éléments à considérer et tant de choses à explorer avant d’avoir une idée tranchée sur cette planète qui doit bien réserver en son sein d’autres surprises. Ceci est fascinant.

Cette vue d artiste montre l’atterrisseur InSight, ses capteurs, caméras et instruments. Image credit: NASA/JPL-Caltech

Parmi les études, les programmes, la mission InSight sera elle aussi intéressante, et révèlera bien des choses de cette planète.

Sur Europe 1 la déclaration de Francis Rocard nous éclaire sur la mission InSight.

Francis Rocard, responsable du programme au Cnes explique : cette mission « est un peu à part » par la nature de son travail car elle va s’intéresser « à l’intérieur » de Mars, et notamment à son champ magnétique. Selon les scientifiques, il a bien existé dans le passé « des traces au sol à certains endroits » et « des roches qui sont restées magnétisées » sont là pour en témoigner, selon Francis Rocard. Le relief de Mars « parle » lui aussi : il y a eu du volcanisme à sa surface mais aussi des rivières.

La NASA lance InSight un autre Rover sur Mars

Vidéo et texte crédit :

InSight est prévu pour le 5 mai à 7h05. Regardez l’événement dans le flux ci-dessus. Avant le lever du soleil samedi matin, une fusée de la NASA devrait décoller d’une base de lancement de la Californie avec un vaisseau spatial interplanétaire à bord et partir pour un voyage de six mois vers Mars pour étudier les tripes de la planète rouge.

InSight, signifie Exploration intérieure pour les enquêtes sismiques, la géodésie et le transport thermique, il sera le premier atterrisseur ou rover à destination de Mars depuis le lancement de Curiosity en 2011. Il sera également le premier à pénétrer profondément dans l’intérieur de la planète pour comprendre comment la géologie de la planète a évolué au cours de milliards d’années. La sonde va scanner l’activité sismique, en gardant un œil sur les soi-disant « marsquakes » (zones sismiques )de la planète.

Si cette vidéo ne fonctionne pas cliquez ici

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De recherches en recherches et de découvertes en découvertes la planète Mars se dévoile tranquillement et elle nous apprend que rien n’est acquis. Des Théories vont se confirmer pendant que d’autres vont surprendre.

Alors avant que l’homme pose son pied sur le sol de mars il serait de bon augure de connaître mieux cette planète afin d’éviter des imprévus et des désagréments. Mais il faudra avant tout respecter cette planète et ne pas commencer à en faire une déchetterie comme l’homme est en train de le faire sur terre( sa maison) , sa propre planète. Dans des conditions de respect alors les missions spatiales sont les bienvenues car elles nous enrichissent de connaissances.

Matisse sylvain

©Mai 2018 droits réservés , toute reprise partielle ou totale doit faire l’objet d’une demande motivée par écrit ou par e-mail sans aucune modification et en échange d’une réponse positive en retour.

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Références: textes et illustration

NASA/JPL-Caltech

Europe 1

National Geographic

Investigations Ufoetscience

Youtube

PBSO News Hour

Mise à jour investigations ufoetscience, le : 05/05/2018 à 10h50.

Mars la » rouge « divise encore et encore.

Mars est la quatrième planète du système solaire et la deuxième plus petite après Mercure. Elle fait partie des planètes telluriques (rocheuses) et appartient au système solaire interne, c’est ainsi que  les astronomes nomment cet emplacement géo-stellaire. 

La vie est-elle présente et sous quelle forme? A-t-elle au moins existé un jour sur cette planète ?

Ces questions posent un débat entre les scientifiques eux -mêmes et  le reste de la population. 

Le Dr John Brandenburg, un physicien américain pense que Mars a bien abrité des civilisations mais que celles-ci ont disparu aujourd’hui à cause d’une guerre nucléaire. 

Dans mon livre j’ai mentionné d’autres personnes comme les controversés Richard Hoagland et David Percy  ayant affirmé que mars avait possédé une technologie au moins temporairement et que cette planète était rendue habitable. D’après eux  cette prétendue technologie ne pouvait être que de nature exogène.

Des internautes diffusent des clichés qui sont présentés comme des anomalies. 

Alors le problème est le suivant.

N’importe qui à l’heure actuelle  peut truquer des photos et monter des vidéos avec de bons logiciels qui n’ont rien à envier aux effets spéciaux employés par le cinéma pour certains d’entre eux.

Il n’est pas bien difficile de pomper le logo de l’agence spatiale américaine  NASA et de l’inclure dans un montage vidéo ou une image photographique afin de rendre crédible ce genre d’illusion, un hoax rendant une contre information plus vraie que nature !

Revenons sur la planète rouge , que savent à ce jour les savants scientifiques ?

 Mars, Vénus et la  Terre, ( document clg-francois-rabelais-tours.tice.ac-orleans-tours.fr) ces trois planètes sont semblables au niveau de leurs caractéristiques physiques, masse, densité et distance par rapport  au Soleil, pourtant la composition chimique de leurs atmosphères est très différente.

Mars
Observée par la sonde Mariner-4 en 1965, son atmosphère est raréfiée, elle
est formée de 95 % de dioxyde de carbone et de faible quantité d’oxyde
de carbone et de diazote.Sa température de surface varie très fortement en
fonction des saisons du fait de l’excentricité de son orbite.
Exemple : elle peut atteindre -123 °C au pôle Nord, température de condensation solide du dioxyde de carbone. Les gaz au dessus du sol sont peu dense et secs : la pression au sol serait de l’ordre de 103 Pa. On ne sait pas si une forme de vie primitive a pu exister et si son développement a été stoppée par son état actuel.

                                                              MARS-   VENUS-      TERRE

Masse 
(en unité de masse terrestre)   0.107-    0.815       –         1.000
Dioxyde de carbone CO2               95   –     96 . 5        –     0.03  (% en volume)
Diazote N2(%en volume)               2,7  –          3,5       –              78
Dioxygène O2 (% en volume)      0.15 –       0.003    –              21
Argon Ar (%en volume)                 1,6   –        0,006  –            0.9

Densité                                                 3.94 –           5.25 –           5.52

 

Distance au soleil
(en million de km)                             228 –            108 –              149.6

 

-Voici le document source qui peut vous servir pour les autres planètes et rendons à césar ce qui lui appartient.

Document source : clg-francois-rabelais-tours.tice.ac-orleans-tours.fr

 

Essayons d’analyser et de comprendre par rapport aux informations emmagasinées grâce aux missions martiennes.

Lancée le 18 novembre 2013, la sonde Maven (pour Mars Atmosphere and Volatile Evolution) est arrivée en orbite martienne le 22 septembre 2014. Cet instrument  a révélé la présence d’une aurore martienne ainsi que d’étranges nuages de poussières. La vapeur d’eau  ne représente que 0,03% de l’atmosphère de Mars contre 1% pour l’atmosphère terrestre. Prenons aussi en compte qu’une atmosphère moins épaisse, protège moins des radiations solaires.

Une température souvent en dessous de zéro degrés sur l’ensemble de la planète » rouge ».

Une atmosphère épaisse comme c’est le cas sur notre planète protège plus et permet aussi de garder une sorte de couverture thermique, donc de garder une certaine chaleur. Du coup sur mars le mercure (thermomètre) atteint péniblement les 20°c et surtout la température peut chuter aux pôles autour de – 153°c.

Pour autant les données ont pu être différentes il y a environ 4 milliards d’années.

La pression martienne est si faible qu’il y peu d’étendues d’eau sur mars et lorsqu’il y en a elle est sous forme solide, de glace si vous préférez. C’est notamment dans son sous-sol que l’eau peut être trouvée. Trouver de l’eau est une chose, mais il faut l’analyser pour avoir sa composition exacte. La nature de l’eau sur mars est-elle compatible pour autoriser la vie et si la réponse est oui, alors posons nous cette question  quelle forme de vie pourrait-elle accueillir ?

Le site web maxi-sciences commente ceci à propos de  John Brandenburg, professeur de physique des plasmas et ancien consultant du Commandement américain de la défense spatiale (Space Missile Defense Command).

Extrait  de l’article publié en 2014  repris par les informations recueillies sur le site web sputnik  intitulé « Mars: la vie aurait disparu suite à une guerre nucléaire (chercheur US)  – ( anciennement voie de la Russie, qui reprenait elle même des infos du site web Ria Novosti ) non cité d’ailleurs,  je pense en connaître la raison  principale qui est que sputnik diffuse certaines intox et autres hoax de temps à  autre , parmi de vraies informations plus ou moins crédibles et plus ou moins dérangeantes faut dire la vérité !

Voyons ce qu’écrit en résumé Émeline Ferard.

-Le scientifique affirme avoir des preuves de ce qu’il avance et s’apprête à les publier dans une étude au sein de la revue Journal of Cosmology and Astroparticle Physics. D’ailleurs, le Dr Brandenburg n’en est pas à sa première théorie de ce genre. Cela fait plus de 20 ans maintenant qu’il soutient l' »Hypothèse cydonienne » suggérant que Mars a été dans son passé, aussi habitable que la Terre et qu’elle a abrité des civilisations intelligentes.  Concrètement, le physicien auteur d’un livre intitulé « Dead Mars, Dying Earth » (littéralement « Mars morte, Terre mourante »), pense que la planète rouge aurait connu au moins deux civilisations humanoïdes : Cydonia et Utopia. Et ces dernières auraient été anéanties en très peu de temps par des événements nucléaires majeurs, déclenchés par une autre civilisation. Des événements qui auraient laissé des traces, affirme-t-il. Des taux d’isotopes révélateurs ? En effet, le physicien évoque notamment la proportion élevée de xénon-129 découverte dans l’atmosphère de Mars. Elle est plus élevée que celle trouvée sur Terre ou au niveau du Soleil. Or, cet isotope est produit par la désintégration d’éléments radioactifs. De même, le Dr Brandenburg souligne la présence élevée d’uranium et de thorium à la surface de Mars détectée par la sonde Mars Odyssey. « La concentration élevée de xénon-129 dans l’atmosphère, la preuve de kypton-80 et l’abondance en excès d’uranium et de thorium à la surface de Mars, signifie que la surface a été apparemment le site d’événement radiologiques majeurs, qui ont conduit à de grandes quantités d’isotopes et couvert la surface d’une fine couche de débris radioactifs », explique le scientifique repris par Vice.  » « Ce type de phénomène peut être expliqué par la survenue passée de deux explosions nucléaires anormales à la surface de Mars », poursuit-il, relevant que le nombre d’isotopes dans l’atmosphère de Mars serait similaire à celui enregistré suite aux cataclysmes nucléaires sur Terre. Ajouté à cela, le physicien a depuis longtemps repéré sur des photos prises sur Mars, des éléments suspects qui seraient des traces restant des civilisations disparues. « Une analyse des nouvelles images d’Odyssey, de Mars Reconnaissance Orbiter et de Mars Express montre aujourd’hui des preuves solides d’objets archéologiques érodés », écrit-il repris par le Daily Mail. Une théorie qui peine à convaincre « Assemblées, ces données exigent que l’hypothèse suggérant que Mars ait été le site d’un ancien massacre nucléaire planétaire, doit maintenant être considérée », assure-t-il. Néanmoins, si les preuves évoquées tendent à convaincre quelques personnes, de nombreux scientifiques ont largement démenti l’hypothèse du physicien qui avaient d’ailleurs, déjà vu ses arguments être démontés par le passé.  Bien que les données concernant les éléments découverts soient vrais, les spécialistes soulignent qu’elles ne sont pas surprenantes, sachant que les éléments en question, notamment le xénon-129 est très fréquent. Quant aux formes observées sur la planète rouge, elles seraient plutôt l’objet du hasard, de phénomène naturel et de l’imagination de ceux qui les ont scrutées.   Toutefois, alors que le Dr Brandenburg s’apprête à présenter ses conclusions à un meeting aux États-Unis, sa théorie pourrait encore faire parler d’elle. Certains convaincus eux, pensent que l’une des civilisations survivantes aurait pu voyager jusqu’à la Terre et la coloniser, d’après Vice. D’autres encore pensent que la destruction pourrait être dû à quelque chose d’encore plus puissant qu’une arme nucléaire.  Publié par Émeline Ferard, le 01 décembre 2014.

Conclusion:

Avec ma compagne Era ( webmastrice du blog Area  51 ), nous pensons que la vie a pu exister sur mars d’une façon ou d’une autre. Soit par le hasard s’il en est un,  de manière naturelle, soit parce que cette planète a été visitée à un moment donné par une civilisation qui aurait pu amener une certaine technologie et qui pourrait même nous avoir créés.

Bien entendu nous n’affirmons pas ce genre de chose mais nous le pensons. Comme je l’ai précisé dans mon livre intitulé OANI/Ovni, enquête méthode réflexion édité par les éditions SAINT MARTIN en Janvier 2016, cette planète pourrait nous aider à comprendre notre genèse, notre véritable origine, peut -être.

A ce titre, la quatrième planète de notre système solaire fait beaucoup parler d’elle et pour cause !

Osons aller plus loin que les seules limites scientifiques mais avec raison gardée.

Supports techniques/ Références:

le nouvel obs

maxi sciences

Sputnik 

                                                                                       François-Rabelais

Auteur de l’article Matisse-sylvain le 14/10/2017 à 14h05.

Cet article peut être partagé mais pas copié sans indiquer toutes les sources 

©2017 investigations ufoetscience

Mars surprend et ce n’est pas fini !

 La découverte de la vie ailleurs sur notre système solaire n’est pas une tâche facile, ceci nous le savons toutes et tous.

La planète Mars une candidate possible pour avoir abriter une forme de vie au moins à un moment donné de son existence en tant que quatrième planète de notre système solaire dans l’ordre croissant à partir de notre soleil suscite un intérêt particulier pour la communauté scientifique, qui apprend chaque jour d’elle. L’article ci-dessous prend exemple sur le film  d’Hollywood  intitulé seul sur mars, pour ma part j’opterais plutôt sur the life une vie inconnue au regard de ce qui est mentionné ne serait-ce que dans le titre de l’article ci-dessous ( Mars : son sol renfermerait des tueurs de bactéries). de  Xavier Demeersman pour futura-sciences.

Probablement que la vie s’est éteinte sur cette planète ou enfouie quelque-part en profondeur.

Si d’aventure une tueuse de bactéries ait raison de toute autre forme de vie sur la planète « rouge »alors nous aurions là un prédateur redoutable. Il ne faut peut-être pas le sortir de là et le réveiller s’il est en sommeil. L’article penche plutôt vers un cocktail chimique des éléments et physiques autant intérieur qu’extérieur de cette planète pour argumenter que la vie ne  pourrait pas exister. Si les savants ont raison cela voudrait dire que celle-ci n’aurait pas eu  le temps d’évoluer,de se reproduire si j’ai bien compris l’analyse pour résumer.

Les conditions extrêmes  d’un environnement redistribuent les cartes très certainement.

Toutefois attention de ne pas enterrer un peu vite une existence primaire ou non, qui peut avoir une forme inconnue et qui pourrait paraître inerte au profane que nous sommes tous.

Mars abrite-elle une forme de vie basée sur une autre formule que celle que nous connaissons c’est à dire autre  celle que propose  la chimie du carbone? Peut-être que non.

Pour autant pourquoi exclure cette possibilité? En admettant que l’alchimie qui existe sur notre planète pour le constituant du vivant est une sorte de formule standard pour l’univers tout entier et que cela reste encore à prouver, une question résiste aux réponses pour l’heure.

Cette planète – a-t-elle abritée la vie à une époque  ? Même si cela était limité sur son sol et privilégiait un endroit plus qu’un autre pour Mars ?

Les chercheurs continuent les tests, c’est bien, mais qu’ils n’hésitent pas en cas d’échec avec leurs méthodes et leurs connaissances d’essayer autre chose. C’est on jamais! Le paraître peut -il nous cacher une réelle et extraordinaire découverte pour l’humanité? Si nous obtenons des réponses à toutes ces questions, alors d’autres surgiront vraisemblablement, car nous sommes en apprentissage constant les uns comme les autres. Cette planète n’ a pas fini de nous surprendre sur bien des aspects. Notre regard sur une planète, un astre, notre galaxie, une autre galaxie, une autre dimension changera au fil et à mesure que nos moyens techniques et technologiques évoluent et nous renvoi les données. Les examens que subissent nos découvertes bousculent nos certitudes et changeront notre perception de notre monde intérieur et du monde extérieur qui nous entoure , ceci est un fait!

© Matisse -sylvain lundi 24 juillet 2017 

 

Mars : son sol renfermerait des tueurs de bactéries.

Article de Xavier Demeersman- Publié le 07/07/2017 our futura-sciences

CE QU’IL FAUT RETENIR

• Sous sa frêle atmosphère, Mars est sans cesse bombardée d’ultraviolets.
• Des chercheurs qui se sont rapprochés le plus possible des conditions martiennes en laboratoire rayonnement UV ont observé que ces rayonnements activent l’effet bactéricide des différents perchlorates, lesquels sont présents partout à sa surface.
• Si vie il y a sur Mars, elle serait plutôt à rechercher en profondeur, dans le sous-sol, voire dans des tunnels de lave ou des grottes…
• Lire l’article en entier

Mars: la Nasa promet une nouvelle annonce capitale jeudi

Un paysage martien pris en photo par la sonde Pathfinder montre le petit rover d’exploration Sojourner. – JPL – Nasa

Article source: bfmtv.com

L’agence spatiale américaine donne rendez-vous jeudi pour une conférence sur l’atmosphère martienne, qui a quasiment disparu, et promet des annonces importantes.

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Mise à jour investigations ufoetscience, le: 04/11/2015 à : 13h40.