Tour de France de l’étrange 2015
14 L’Yonne étrange 3 avec la participation de Rémy et Simone Fauchereau.
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Mise à jour investigations ufoetscience, le : 28/11/2015 à : 10h55.
Tour de France de l’étrange 2015
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« Voici un lien envoyé par notre ami Mofo. C’est un documentaire de l’INREES qui reçoit un invité nous parlant de l’alchimie et de ses expériences. »
https://docs.google.com/file/d/0B4MfwR7Ti6EYYmRrYzRfMVgtRU0/edit
Mise à jour investigations ufoetscience, le: 18/08/2014 à 12h05.
Source de l’article : http://www.besoindesavoir.com
Raie de lumière solaire dans la grotte Majlis al Jinn (« place du djiin ») près de Mascate (Oman).
Pour la section paranormale du site voici ce que nous avons inclus sur notre autre site spécialisé PARANORMAL à LA UNE
Raie de lumière solaire dans la grotte Majlis al Jinn (« place du djiin ») près de Mascate (Oman).illustration wikipédiaLes djinns (arabe : جن ǧinn, singulier جني ǧinnī ; parfois transcrit dgin ou jinn) sont des créatures surnaturelles issues de croyances de tradition sémitique. Ils sont en général invisibles, pouvant prendre différentes formes (végétale, animale, ou anthropomorphe) ; ils ont une capacité d’influence spirituelle et mentale sur le genre humain (contrôle psychique : possession), mais ne l’utilisent pas forcément.
viaDjinn.
Sources :
http://entrenous.bestdiscussion.net/t3902-retour-sans-equipage via
.
viaHistoire incroyable d’un chasseur bombardier US (B-17) sans équipage.
Photo: paranormal-news.ru
Article source:french.ruvr.ru/
11.10.2012, 18:08, heure de Moscou
symbole-sciences-atome-molecule-comme-un-cerveau-de-penseur-esprit-scientifique
http://fr.123rf.com/
21H30.
Vidéo youtube( black box)
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« Les 7 bonnes raisons de croire en l’au-delà »
http://jean-jacques.charbonier.fr/
18/11/2012,04h30.
Vidéo youtube
Publiée le 27 mai 2012 par pf11light
Après avoir mis en ligne des témoignages de personnes ayant vécus des EMI (Expérience de Mort Imminente) en voici une du docteur Charbonier. Il nous parle de son expérience auprès des nombres patients qu’il a eu à suivre sans prendre leurs témoignages pour des hallucinations. Il y a des scientifiques qui ont l’esprit moins obtus que d’autres…
Si nous arrivons à croire en la survie de la conscience après la mort du corps, toute notre philosophie matérialiste éclaterait en morceaux et laisserait forcément place à de nouvelles convictions à une nouvelle mentalité…
Merci Lilou pour toutes vos interview très intéressantes.
Site de Lilou : http://www.liloumace.com
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Note administration:
Dans la catégorie étrange, connaissez-vous ce phénomène qui a inspiré le cinéma ( La Prophétie des ombres (The Mothman prophecies)
La section paranormale de ce site inclus donc ce genre d’énigme.
C’est le genre de récit que je ne cesse de rechercher et, à mon avis, celui-ci décroche le pompon !
Non pas un, mais plusieurs témoignages à propos d’une créature ailée géante aperçue dans la région du comté de Butler commencent à émerger.
L’histoire nous vient de l’UFO Anomalies Zone de Stan Gordon, et je dois dire que Stan m’a enthousiasmé. Peut-être est-ce ma fascination pour le Mothman (ou homme-phalène) ou mon intérêt pour le Bigfoot, mais cette histoire combine les deux pour vous ficher la trouille.
Tout commença dans les premières heures matinales, encore obscures, du 18 mars 2011 sur une petite route de campagne entre Chicora et East Brady. Un homme d’affaire était en train de conduire lorsqu’il vit quelque chose qui lui « hérissa les poils de la nuque », comme il dit.
Voici l’histoire telle qu’elle fut racontée à Stan Gordon :
Le 21 mars 2011, je fus contacté par un témoin qui raconta avoir rencontré une créature très étrange au petit matin du 18 mars 2011. L’incident s’était produit sur une route de campagne du comté de Butler, entre Chicora et East Brady. Le témoin, un homme d’affaires qui traversait la région, déclara : « c’était la chose plus bizarre que j’aie jamais vue et ça m’a hérissé les poils de la nuque ». L’homme me dit qu’il conduisait sur la route lorsque à environ 400 mètres de là, il remarqua quelque chose sur la droite à un endroit où il y avait de l’herbe. Il songea en premier lieu qu’il s’agissait d’un cerf.
Le conducteur accéléra pour se rapprocher et avoir une meilleure vue. À environ 45 mètres, il observa quelque chose qui semblait voûté puis qui se redressa. Le conducteur observa alors une très grande créature musclée. À ce moment là, ses feux de route étaient en marche et il vit la créature passer devant un panneau de signalisation réfléchissant jaune, puis traverser la route à deux voies en trois longues enjambées et entrer dans une zone boisée. Ce qu’il avait vu était une forme humanoïde d’au moins 2,50 mètres de haut et dont la peau semblait lisse comme du cuir et de teinte brun clair ou marron plus foncé.
La créature ne regarda jamais le témoin et ne fut observée que de côté. La tête semblait plate au niveau du front, avant de s’arrondir. « Au sommet arrière du crâne, on aurait dit un de ces casques aérodynamiques. Ce n’est pas que le sommet était en pointe, on aurait plutôt dit qu’il avait une arête au sommet de la tête. » Le visage était aplati et les yeux pas clairement définis, mais l’homme pense qu’ils pourraient être étirés au niveau des coins. L’oreille observée du côté gauche était longue et aplatie, se dressait et se rabattait, et pointait vers l’arrière comme un clapet.
Les bras étaient musclés et un peu plus longs que ceux des humains. Les mains ressemblaient plus à des serres, mais le nombre de doigts n’était pas clair. Une caractéristique physique qui ressortait était les jambes extrêmement musclées. Le témoin déclara que c’était dur à expliquer, mais que les jambes ne bougeaient pas comme celles des humains et qu’on « aurait dit qu’elles penchaient en arrière ». Le témoin vit aussi ce qui semblait être des ailes sur son dos qui étaient repliées sur son corps et dont les extrémités s’étendaient vers le côté de sa tête.
Le témoin ne remarqua aucun son ou odeur inhabituels pendant l’observation, dont la durée fut estimée à environ 7-8 secondes. Quand l’automobiliste s’approcha de l’endroit où la créature était entrée dans les bois, elle n’était plus visible. Le lendemain, le témoin décida de revenir sur les lieux de la rencontre pour chercher des preuves éventuelles. L’état du terrain ne se prêtait pas aux empreintes et il ne trouva rien. Cependant, le témoin mesura le panneau de signalisation devant lequel la créature était passée. Le panneau faisait à peine plus de 2,50 mètres de haut et il estima que la tête de la créature l’avait dépassé d’environ 10 centimètres.
Depuis ce témoignage initial que j’ai reçu au sujet de cette étrange rencontre, on a appris que d’autres habitants de la même région avaient aussi rapporté avoir observé une créature inconnue semblable. Dan Hageman, Directeur du BORU (Butler Organization of Research on the Unexplained [Organisme de Recherches sur l’Inexpliqué de Butler – NdT]) a aussi reçu plusieurs témoignages pour la même période et la même situation géographique. Voici certains des témoignages résumés du BORU sur ces incidents.
26 mars 2011 – lieu-dit Kepples Corner – deux témoins roulaient vers Butler lorsqu’ils observèrent une entité ailée de 2,50 m de haut, de teinte sombre. Le visage semblait enfoncé. Le corps était musclé et la tête partait en pointe. Les bras étaient longs et elle semblait avoir des griffes en guise de doigts. Lorsqu’elle traversa la route, elle fit des sortes de grande enjambées. Les témoins, sous le choc, arrêtèrent la voiture et restèrent assis là jusqu’à ce qu’un autre véhicule arrive et les oblige à redémarrer. Le témoin souhaite passer au détecteur de mensonge pour prouver ce qu’il a vu.
Foncez sur le site de Stan pour lire deux récits supplémentaires de témoins dans la région.
Maintenant, j’ai lu des centaines d’histoires de ce genre et ce qui sonne vrai, c’est la description. C’est toujours très grand, quelque peu humanoïde, avec des ailes dans le dos. Le mot qui semble revenir sans arrêt dans la plupart de ces histoires, c’est « cuir ». C’est ainsi que les témoins décrivent généralement la peau de ces créatures.
Ces gens se défonceraient-ils tous au speedball ? Seraient-ils tous camés à… heu, des trucs ? Je ne pense pas ! Quelque part, là au-dehors, il y a des cryptides, et ces cryptides rôdent dans le coin. Nous ne les entrevoyons que rarement, mais pourquoi ?
Est-il possible que ces goules ailées soient des cousines de l’insaisissable Sasquatch ? Peut-être sont-ce des démons qui attendent que la prochaine victime s’engage sur un virage de quelque route de campagne.
Pourrait-il s’agir d’entités interdimensionnelles ? Les témoins observent-ils ces choses lorsque notre réalité se mélange à celle d’une dimension sœur ? Certaines personnes croient que des portails s’ouvrent à l’occasion, tandis que d’autres sont d’avis qu’il existe des choses invisibles tout autour de nous, des choses qui vibrent à une fréquence qui rend tout invisible, depuis les horribles humanoïdes jusqu’aux extraterrestres de moins de 15 cm. Si l’on veut aller plus loin, on peut examiner la théorie selon laquelle on vit dans la 3e dimension et que l’on voit ces ovnis, ces créatures et autres phénomènes étranges car nous pénétrons dans la 4e dimension, un « changement dimensionnel », si vous voulez.
Tout ça pour dire qu’avec autant de témoignages qui correspondent presque parfaitement, il doit se passer quelque chose, et bien que l’hystérie collective soit une réponse facile, je crois aussi que c’est une manière commode d’éviter la possibilité que ces choses soient là, et nous aussi.
Aussi, la prochaine fois que vous roulerez sur une route perdue au milieu de nulle part, gardez les yeux ouverts, car on ne sait jamais ce que vous pourriez voir.
Merci à Stan Gordon de nous avoir donné plein de peur cryptide pour que nous passions un super week-end.
Source : SOTT
Vidéo youtube
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Jean Jacques Charbonier, médecin anesthésiste-réanimateur
Note de sylv1 adm:
Jack déniche une nouvelle fois un bon article, rien à voir avec les P.A.N ou les O.V.N.I. s certes, mais qui est très bien pour la section paranormale de ce site qui traite exclusivement de certains faits inexpliqués encore restés énigmatiques à ce jour par la science.
Article INRES via:http://jack35.wordpress.com/
Et si nos capacités de réanimation nous permettaient d’envisager un« au-delà » ? C’est ce que pense le Dr Jean Jacques Charbonier, médecin anesthésiste-réanimateur, qui a rassemblé dans son dernier livre « sept bonnes raisons » d’y croire.
« Juste après mon arrêt cardiaque, je suis sorti de mon corps. J’étais au plafond et j’ai tout vu ; j’ai assisté à tous les détails de ma réanimation. Je voulais hurler aux personnes qui tentaient de me faire revenir à la vie de me laisser tranquille, de me laisser filer, mais ils ne pouvaient pas m’entendre. J’étais formidablement bien et je n’avais pas du tout le désir de revenir dans mon corps. Je suis ensuite passé dans un tunnel. Je baignais dans une lumière d’amour inconditionnel et mon bonheur était d’une puissance indicible. J’ai revu toute ma vie dans ses moindres détails et en accéléré. J’ai ressenti le bien et le mal que j’avais fait aux autres. J’ai rencontré un être de lumière d’une bonté infinie qui m’a demandé ce que j’avais fait de ma vie et ce que j’avais fait pour les autres. Mes parents décédés sont venus m’accueillir pour me dire qu’il fallait que je revienne dans mon corps car je ne pouvais malheureusement pas rester avec eux alors que je le souhaitais ardemment. Ils m’ont montré une frontière qui était une limite que je ne devais pas franchir. Au moment où j’ai réintégré mon corps, toutes mes douleurs terrestres sont revenues et j’étais tellement triste de quitter cette merveilleuse lumière. Je suis maintenant très heureux car je sais qu’il y a une vie après la mort et qu’un jour je serai de nouveau dans cette lumière d’amour. Je sais aussi que, sur cette terre, le plus important est de savoir aimer et aider les autres. Cette expérience a bouleversé ma vie. Plus rien ne saura jamais comme avant. »
Les voyages vers l’au-delà
En vingt-cinq ans de réanimation, j’ai pu rassembler plusieurs centaines de témoignages de patients revenus d’une mort clinique. Le discours reconstitué dans les lignes précédentes est une synthèse condensée de ces différents récits ; une sorte de résumé regroupant les principales caractéristiques de ces singuliers voyages dans l’au-delà. La séquence évènementielle décrite est presque toujours la même et ceci indépendamment des cultures, des philosophies, des lieux de vie ou des religions.
Il n’existe aucun facteur prédictif pour vivre l’expérience ; ni l’âge ni le sexe ni le niveau social ni les croyances ne permettent de dégager des prédispositions particulières pour connaître cet extraordinaire événement. Pourtant, aucune histoire ne se ressemble vraiment car chacun exprime son vécu avec sa sensibilité et sa culture. Toutefois, les nombreux éléments récurrents que j’ai pu recueillir laissent à penser que l’itinéraire est, à peu de choses près, toujours le même. C’est comme si on demandait à un jeune Esquimeau, à une vieille américaine ou un quinquagénaire Sénégalais de raconter un voyage à Venise ; leurs histoires seraient fort différentes mais au total, on s’apercevrait assez rapidement qu’ils sont tous les trois partis visiter la même ville. Par exemple, un enfant victime d’un arrêt cardiaque dit avoir vu « un grand monsieur qui s’éclairait tout seul » pour décrire l’être de lumière. Certains rencontrent Jésus-Christ, d’autres Bouddha, la Vierge Marie ou encore le prophète Mahomet ; la divinité aperçue dans la lumière se métamorphose en fonction des croyances et des religions. Un élément est retrouvé dans cent pour cent des cas : pour ceux qui ont connu la chose, la vie se poursuit après la mort et l’au-delà existe. Ils en sont intimement persuadés et rien ni personne ne pourra leur faire changer d’avis. L’un d’eux m’a dit un jour :
« Même si un scientifique parvenait à prouver par A plus B que mon expérience n’était qu’une hallucination, je ne le croirai pas une seule seconde car je suis certain au fond de moi que ce que j’ai vécu ce jour là était bien réel ; cela n’avait rien à voir avec un rêve ou une hallucination ! »
Selon les dernières études statistiques, ils seraient au moins 60 millions à avoir connu cette expérience transcendante après un arrêt cardiaque : 4% de la population occidentale (2,5 millions de Français, 12 millions d’Américains), beaucoup moins dans les régions de la planète où les possibilités de réanimation sont quasi inexistantes. Il y a fort à parier qu’avec la banalisation de ce genre d’histoires et le développement de défibrillateurs automatiques, on assistera très rapidement à une multiplication des récits.
Ils sont bien revenus de la mort !
La mort clinique est définie par l’arrêt du fonctionnement cérébral. Cet état peut-être objectivé par l’enregistrement d’une activité électrique neuronale nulle ; électroencéphalogramme (EEG) plat. Lorsque l’on obtient deux EEG plats à quatre heures d’intervalle pendant au moins vingt minutes, en dehors de narcose (produits administrés en intraveineux pour faire dormir) ou d’hypothermie, on considère que la mort clinique est devenue irréversible. Dans ces conditions, on est en mesure de débrancher le patient du respirateur ou de lui prélever ses organes par des dons. En fait, cet état correspond à nos limites actuelles de réanimation et il est probable que d’ici quelques décennies, celles-ci soient complètement dépassées. Il ne faut pas oublier que les médecins des générations précédentes ne pratiquaient pas les massages cardiaques et se contentaient de signer un certificat de décès chaque fois qu’un cœur cessait de battre.
Depuis peu, nous savons qu’un EEG devient plat dans les quinze secondes qui suivent un arrêt cardiaque. Etant donné que dans les meilleures conditions de surveillance, comme c’est le cas en soins intensifs, il existe une période incompressible d’au moins une minute pour porter les premiers secours, on peut considérer que toutes les victimes réanimées après un arrêt cardiaque ont bien connu une mort clinique. Et c’est sans compter les personnes isolées à la campagne dont les cœurs sont repartis au bout de plusieurs dizaines de minutes après l’intervention du SAMU le plus proche !
Nos études ont montré qu’environ 18% des sujets réanimés d’un arrêt cardiaque racontaient la fameuse expérience décrite au début (de ce chapitre). Les termes de near death experience (NDE) employé par les Anglo-Saxons depuis les années soixante dix, d’expérience imminente (EMI) ou encore d’expérience aux frontières de la mort (EFM) sont par conséquent aujourd’hui complètement dépassés. Il est désormais plus juste de parler d’expérience de mort provisoire (EMP). La mort clinique est en effet déjà là quand les patients sont réanimés puisque l’activité cérébrale est nulle dès le moment du premier massage cardiaque. Le propriétaire d’un cœur arrêté n’est pas « proche de la mort » ni « aux frontières de la mort » ou en « état de mort imminente » ; il est déjà mort et souvent depuis de nombreuses minutes !
(Source : INREES)
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