
• Les infrasons ont une fréquence inférieure à 20 Hz. Ils sont audibles par certains animaux comme les éléphants qui leur permettent de communiquer.
• Les sons audibles par l’oreille humaine sont compris entre 20 Hz et 20 000 Hz. Les sons de basse fréquence sont les sons graves, les sons aigus sont des sons de haute fréquence.
• Les ultrasons ont des fréquences supérieures à 20 000 Hz. Ils sont audibles par les chauve-souris, les chats, les dauphins.
b. Mode de propagation :
Une onde sonore se propage comme une vibration de proche en proche par compression puis dilatation du milieu matériel dans lequel elle se trouve. (Ce milieu est soit solide, liquide ou gazeux).
Le son a donc besoin de matière pour se propager : il ne se propage pas dans le vide.
Crédit : maxicours.com/
Etude acoustique
Lundi 17 décembre 2018 à 14h50. Publié par Matisse sylvain.
L’étude du son continue. J’avais au début de mes recherches inclus les sons car des ufologues ont repéré certaines anomalies dans les histoires de certains phénomènes inexpliqués. Par la suite j’ai relayé des informations que j’ai repris sommairement dans mon premier ouvrage. Un intérêt marqué concernant les sons tant pour l’environnement marin que pour la technologie aérienne et ceci pour deux bonnes raisons . La première raison est que je fait référence aux possibles contacts que des êtres venus d’ailleurs pourraient utilisés sur une certaine fréquence. Mon étude continue à l’heure actuelle. La seconde raison concerne la technologie alors je m’oriente sur les propriétés que les ondes offrent à celle-ci. Des réductions de bruit sont étudiés par les filières de l’aviation et celle de l’aéronautique car les sons sont nuisibles à l’oreille humaine .
Que savons nous des sons en résumé ?
Nous entendons sur des fréquences comprises entre 20 Hz (fréquence la plus grave) et 20 000 Hz (fréquence la plus aiguë). les sons dont la fréquence est inférieure à 20 Hz. Nous ne pouvons pas les entendre, mais certains animaux (la taupe ou l’éléphant par exemple) sont capables de les capter ( site web cochlea.org) .
L’oreille humaine capte des niveaux d’intensité acoustique compris entre 0 et 120 dB. Pour qu’un son pur de fréquence 1000 Hz soit perceptible par l’oreille humaine, il faut qu’il soit au dessus de 0 dB. A cette même fréquence, 120 dB est le niveau d’intensité acoustique le plus fort qui puisse être supporté par l’oreille humaine.
L’image ci-dessus avec le petit texte ( du site web maxicours.com )qui l’accompagne représente de manière simple les sons.
Les firmes de la filière aviation et de l’ aéronautique travaillent afin de réduire le bruit qui est insupportable dans certaines agglomérations où la densité de la population reste assez élevée lorsque celles-ci se trouvent à proximité d’un aéroport ou d’une base aérienne où bien sur la trajectoire des avions ( couloir aérien).
Ceci nous ramène à la performance de certains OVNIS décrits comme silencieux ou presque.
Dans le mystère entourant les OVNIS il y a en effet ceux (la plupart) qui émettent pas ou peu de bruit pour l’oreille humaine d’après ces témoins observateurs. Cet article ci-dessous contribue alors dans une certaine mesure à mon étude, je vous la partage ici .
*Ci dessous un article (après la barre colorée de séparation) de techno-science.net, apporte d’autres éléments qui complète notre étude.
Références :
maxicours.com/
cochlea.org
©2018 autorisation requise pour reprendre cet article (blogs ,livres et réseaux sociaux, etc ) incluant les références et les sources des images mentionnées dont investigations ufoetscience – obligatoirement. Merci de respecter.


© IJL
Exemple d’une méta surface absorbante en basse fréquence de 1 mm d’épaisseur opérant comme un « entonnoir acoustique = acoustic sink ».
Méta surfaces acoustiques, des pistes prometteuses pour manipuler le son.
Article et images source : techno-science.net
Publié par Redbran le 15/12/2018 à 14:00
Référence: CNRS-INSIS
En cinq ans, les méta surfaces acoustiques ont révolutionné le contrôle des ondes acoustiques par les matériaux. Une équipe internationale, dont un chercheur de l’Institut Jean Lamour, a publié un état de l’art de ce champ disciplinaire dans la revue Nature Reviews Materials. Il couvre la physique fondamentale sur laquelle s’appuie la création de ces matériaux artificiels 2D, ainsi que leur pouvoir applicatif, notamment en aéronautique et en holographie.
Une collaboration internationale impliquant un chercheur CNRS de l’Institut Jean Lamour (IJL, CNRS/Université de Lorraine) a publié un état de l’art des méta surfaces acoustiques. Ces matériaux ultra fins, confectionnés en laboratoire, notamment par impression 3D, permettent de manipuler la propagation des ondes acoustiques. De façon générale, les chercheurs de cette discipline maîtrisent les propriétés des matériaux en jouant sur leur design et leur architecture. Ils conçoivent ainsi des structures à la carte, capables de réfléchir, absorber, ou transmettre les ondes dans les différentes gammes de fréquence souhaitées. Cela leur permet de manipuler, de manière extrêmement contrôlée, les trajectoires de propagation d’onde.
La diversité fonctionnelle de ces nouveaux matériaux engendre des applications tout aussi étendues. Par exemple, des méta surfaces réflectives pourraient servir à la collecte d’énergie. Utilisées dans des revêtements, elles réfléchiraient le son en direction de spots dans lesquels le bruit serait reconverti en énergie électrique. Dans un autre cadre, les méta surfaces transmissives aideraient au développement de l’holographie acoustique et au traitement biomédical par les ultrasons. Le concept d’invisibilité acoustique, un dispositif déviant les ondes, est également envisagé. Enfin, le caractère ultra mince de ces matériaux – jusqu’au centième d’une longueur d’onde, voire en deçà – apporte une valeur ajoutée à l’absorption en très basses fréquences. Peu encombrants et légers, les absorbants à base de méta surfaces pourraient remplacer, par exemple, les matériaux existant dans les fuselages d’avions en vue de réduire le bruit des moteurs.
Références publication:
Acoustic metasurfaces,
B. Assouar, B. Liang, Y. Wu, Y. Li, J-C. Cheng and Y. Jing
Nature Review Materials 3, (2018)
DOI: https://doi.org/10.1038/s41578-018-0061-4
Contact chercheur:
Badreddine Assouar – IJL

Mise à jour investigations ufoetscience, le : 17/12/2018 à 14h50.

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