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Swiss Space Systems ( S3 ) devrait prochainement réaliser les tests grandeur nature de son nouveau vaisseau spatial et permettre à la Suisse de s’ouvrir au marché de la mise en orbite de satellites.
S3, une société suisse spécialisée dans l’aéronautique et les systèmes spatiaux vient d’annoncer avoir rassemblé les 265 millions de dollars nécessaires à la construction de son prototype de vaisseau spatial autonome.
Le vaisseau dont l’allure fera immanquablement penser aux navettes américaines devrait se présenter comme une solution rapide et économique pour placer des satellites militaires ou civils en orbite.
Pour seulement 10,5 millions de dollars, la firme proposera une mise en orbite d’un satellite de 250 kg à 700 km de hauteur. Un prix très intéressant pour les sociétés privées puisqu’il est jusqu’à quatre fois moins cher que la solution la plus accessible actuellement proposée par la Russie et ses fusées de type Soyouz.
Afin de diminuer le cout de l’opération, le vaisseau se veut réutilisable, un point déjà mis en avant par les États-Unis depuis la création de la navette Columbia. Aucun pas de tir ne devrait être construit puisque la navette Suisse devrait être fixée sur le dos d’un Airbus A300 pour être amenée à 10 km d’altitude.
A cette hauteur, la navette devrait se décrocher de l’avion de ligne et activer ses propulseurs pour atteindre 80 km. À partir de là, l’atmosphère terrestre ne représente plus d’obstacle et permettra à la navette de continuer sa course, moteurs coupés, jusqu’à 700km d’altitude.
Une fois le satellite positionné, la navette planera jusqu’à son retour sur terre et atterrira sur une piste spécialement créer ou sur un aéroport international. À noter que l’ensemble de la procédure se fera de façon presque automatique et que le vol ne sera pas habité. Les contrôles seront opérés à distance depuis un centre spécialisé.
Le premier vol de test devrait intervenir l’année prochaine, S3 espérant positionner son premier satellite en orbite dès 2017.
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Mise à jour investigations ufoetscience, le : 24/09/2013 à : 19h35.
2014
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Les spécialistes de la NASA ont testé dans la région de Yuma, en Arizona, les parachutes de la capsule d’atterrissage du futur vaisseau habité Orion.
La capsule a été larguée à 10,7 km d’altitude. Le coût d’un test est de l’ordre d’un million de dollars.
Le vaisseau Orion est développé par Lockheed Martin et la fusée lourde qui va le lancer, par Boeing. Le premier vol d’essai du nouveau vaisseau est fixé pour 2014.
Source:
Mise à jour investigations ufoetscience, le : 25/07/2013 à : 13h30.

Photo : RIA Novosti
Article source:french.ruvr.ru/
Le général Valery Gerasimov, chef de l’état-major général des forces armées de Russie, a annoncé que le pays allait commencer la conception technique d’un nouveau bombardier stratégique en 2014.
Le nouveau « complexe aérien prospectif pour l’aviation de longue portée » (PAK DA) remplacera les bombardiers actuellement utilisés en Russie : le Tu-95MS ainsi que le Tu-160. La responsabilité de la conception du nouveau bombardier stratégique repose sur le bureau d’étude Tupolev. D’ici 2014, ce bureau d’étude doit présenter au ministère de la Défense un programme de travail pour la conception du nouvel appareil ainsi qu’une estimation du coût des travaux.
La production en série de l’appareil doit commencer en 2020. Toutefois, selon d’autres sources, l’année 2020 marquerait plutôt la date du premier vol du bombardier. Pour ce qui est des moteurs du PAK DA, le travail a commencé en 2011. Il est possible que l’avion utilise une version améliorée des moteurs existants, comme le 117C ou le NC-32. Des travaux sont en cours sur le système d’armement de l’appareil. Les nouveaux missiles de croisière X-101 avec une portée de 5 500 km devraient être les armes principales de l’avion. De plus, avec ce nouveau bombardier, il sera possible d’utiliser des missiles de courte portée et des bombes guidées.
Selon le projet qui a été validé, le futur bombardier sera construit d’après le concept d’aile volante, sur le modèle du bombardier américain B-2 Spirit. C’est pour le moment le seul bombardier stratégique furtif produit en série. Dans les années 1990, le coût d’un bombardier complètement équipé et disposant de pièces de rechange s’élevait à plus de 900 millions de dollars. Le coût total de la conception et de la production de l’ensemble de ces avions s’est élevée à quelques 45 milliards de dollars.
Comme l’Américain B-2, il est probable que le bombardier russe aura une vitesse maximale subsonique. L’enjeu principal est sa portée et sa faible détection au radar. A cet égard, il diffère du futur bombardier stratégique chinois, qui, à en juger par les photos qui ont circulé sur Internet, sera un appareil supersonique. Les coûts financiers et la complexité technique du projet chinois promettent ainsi d’être colossaux. D’autant plus que la Chine, à la différence des Etats-Unis et de la Russie, n’a pas d’expérience dans ce domaine. En réalité, si la Chine souhaite mener le programme jusqu’à la production en série, il lui faudra pour cela dépenser davantage que pour deux programmes de conception d’un avion de chasse de cinquième génération, ou pour l’ensemble du programme de vol spatial habité.
Le programme de travail sur l’avion russe ne partira d’ailleurs pas de zéro. Dans les années 1970 et 1980, le bureau d’étude Tupolev a dirigé les travaux sur le projet du Tu-202, appareil qui devait être disponible sous forme de bombardier stratégique et d’avion anti-sous-marin à long rayon d’action. L’avion devait aussi être conçu sur le modèle d’aile volante. Son rayon d’action devait être de 16 000 km, et dans le cas du bombardier stratégique armé de six missiles de croisière le rayon d’action devait atteindre les 5 5000 km. Dans les années 1980, de nombreuses études aérodynamiques ont été menées en utilisant les plans de cet avion.
Les projets de conception de nouveaux bombardiers stratégiques impliquent toujours d’importants risques techniques. Cependant la réussite de la construction du PAK DA fournira à la Russie un système de frappe global, permettant d’atteindre une cible n’importe où dans le monde dans les heures suivant la réception d’un ordre, et sans avoir besoin de recourir à des bases à l’étranger.
Vassili Kachine, Rédaction en ligne
Source:
Mise à jour investigations ufoetscience, le : 20/07/2013 à : 14h10.
Article source:http://french.ruvr.ru/
5.09.2012, 13:29
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© Flickr.com/NASA Goddard Photo and Video/cc-by
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La sonde spatiale, Rosetta de l’Agence spatiale européenne (ESA) destinée à recueillir des données sur les comètes, a atteint l’orbite de Jupiter, lit-on sur le microblog de la mission.
Le géant gazier se trouve actuellement de l’autre côté du Soleil et l’appareil ne pourra pas « voir » la planète.
L’objectif principal de la mission lancée en 2004 est d’étudier la composition du noyau de la comète Tchourioumov-Guerassimenko et son comportement à l’approche du Soleil. La sonde devrait atteindre la comète en 2014. /L