Note sylv1 adm:
Vendredi 20 Septembre 2013 à : 10h40:
« Diaporama du site Ria Novosti présentant les inventions Russes et donnent ainsi une petite idée de leur potentiel, comme cette image ci-dessus:
voici la description de l’image que vous retrouverez en parcourant le diaporama à l’aide du lien dessous le petit résumé de la source . »
« Les systèmes de lancement de missiles de combat installés sur une plateforme ferroviaire (BJRK) ressemblent de l’extérieur à des trains pour les passagers. La fabrication des missiles sur rail soviétiques a été suspendue en 2005 en conformité avec le traité russo-américain de désarmement nucléaire START, signé en 1993 par les présidents russe et américain de l’époque, Boris Eltsine et Georges Bush. Le traité START 3 ne prohibe pas le développement de nouveaux systèmes de missiles, y compris des BJRK. »
Mise à jour investigations ufoetscience, le: 20/09/2013 à : 11h45.
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Photo : RIA Novosti
Article source:french.ruvr.ru/
Le général Valery Gerasimov, chef de l’état-major général des forces armées de Russie, a annoncé que le pays allait commencer la conception technique d’un nouveau bombardier stratégique en 2014.
Le nouveau « complexe aérien prospectif pour l’aviation de longue portée » (PAK DA) remplacera les bombardiers actuellement utilisés en Russie : le Tu-95MS ainsi que le Tu-160. La responsabilité de la conception du nouveau bombardier stratégique repose sur le bureau d’étude Tupolev. D’ici 2014, ce bureau d’étude doit présenter au ministère de la Défense un programme de travail pour la conception du nouvel appareil ainsi qu’une estimation du coût des travaux.
La production en série de l’appareil doit commencer en 2020. Toutefois, selon d’autres sources, l’année 2020 marquerait plutôt la date du premier vol du bombardier. Pour ce qui est des moteurs du PAK DA, le travail a commencé en 2011. Il est possible que l’avion utilise une version améliorée des moteurs existants, comme le 117C ou le NC-32. Des travaux sont en cours sur le système d’armement de l’appareil. Les nouveaux missiles de croisière X-101 avec une portée de 5 500 km devraient être les armes principales de l’avion. De plus, avec ce nouveau bombardier, il sera possible d’utiliser des missiles de courte portée et des bombes guidées.
Selon le projet qui a été validé, le futur bombardier sera construit d’après le concept d’aile volante, sur le modèle du bombardier américain B-2 Spirit. C’est pour le moment le seul bombardier stratégique furtif produit en série. Dans les années 1990, le coût d’un bombardier complètement équipé et disposant de pièces de rechange s’élevait à plus de 900 millions de dollars. Le coût total de la conception et de la production de l’ensemble de ces avions s’est élevée à quelques 45 milliards de dollars.
Comme l’Américain B-2, il est probable que le bombardier russe aura une vitesse maximale subsonique. L’enjeu principal est sa portée et sa faible détection au radar. A cet égard, il diffère du futur bombardier stratégique chinois, qui, à en juger par les photos qui ont circulé sur Internet, sera un appareil supersonique. Les coûts financiers et la complexité technique du projet chinois promettent ainsi d’être colossaux. D’autant plus que la Chine, à la différence des Etats-Unis et de la Russie, n’a pas d’expérience dans ce domaine. En réalité, si la Chine souhaite mener le programme jusqu’à la production en série, il lui faudra pour cela dépenser davantage que pour deux programmes de conception d’un avion de chasse de cinquième génération, ou pour l’ensemble du programme de vol spatial habité.
Le programme de travail sur l’avion russe ne partira d’ailleurs pas de zéro. Dans les années 1970 et 1980, le bureau d’étude Tupolev a dirigé les travaux sur le projet du Tu-202, appareil qui devait être disponible sous forme de bombardier stratégique et d’avion anti-sous-marin à long rayon d’action. L’avion devait aussi être conçu sur le modèle d’aile volante. Son rayon d’action devait être de 16 000 km, et dans le cas du bombardier stratégique armé de six missiles de croisière le rayon d’action devait atteindre les 5 5000 km. Dans les années 1980, de nombreuses études aérodynamiques ont été menées en utilisant les plans de cet avion.
Les projets de conception de nouveaux bombardiers stratégiques impliquent toujours d’importants risques techniques. Cependant la réussite de la construction du PAK DA fournira à la Russie un système de frappe global, permettant d’atteindre une cible n’importe où dans le monde dans les heures suivant la réception d’un ordre, et sans avoir besoin de recourir à des bases à l’étranger.
Vassili Kachine, Rédaction en ligne
Source:
Mise à jour investigations ufoetscience, le : 20/07/2013 à : 14h10.
Boris Pavlichtchev, Rédaction en ligne
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14.03.2013, 02:07, heure de Moscou
L’agence fédérale spatiale russe Roskosmos et l’Agence spatiale européenne (ESA) vont signer le 14 ou le 15 mars à Paris la version définitive de l’accord sur le projet conjoint ExoMars. La coopération avec la Russie dans le cadre du projet a été approuvée au niveau ministériel des pays membres de l’ASE lors d’une réunion de décembre à Naples. Les Européens ont déjà investi dans ExoMars de l’ordre de 400 millions d’eurosInitialement le projet était américano-européen. La NASA devait fournir des fusées lourdes. Cependant les Américains ont abandonné le programme pour des raisons financières et à la fin de 2011 l’ESA a demandé à la Russie de se joindre au projet. Il s’agissait de la fusée Proton, raconte Lev Zeleny, directeur de l’Institut de recherche spatiale (IRS).« Nous avons promis une fusée à condition d’avoir un programme scientifique conjoint. Cette condition a été accomplie. Le projet ExoMars sera composé de deux étapes prévoyant les lancements en 2016 et en 2018. En 2016 la participation de la Russie se réduit à la fourniture de la fusée Proton et des instruments de l’appareil orbital européen Trace Gas Orbiter. Celui-ci étudiera des traces de gaz dans l’atmosphère de Mars. Deux complexes d’instruments russes seront installés sur Orbiter : le détecteur à neutrons FREND destiné à l’étude de la répartition de l’eau au-dessus de la surface martienne et un ensemble de spectromètres destiné à sonder l’atmosphère dans un diapason étendue de longueurs d’ondes ».A la première étape d’ExoMars les Européens auront, outre le module orbital, un simulateur de l’atterrissage. Cet appareil est dotés de capteurs. Sa tâche est de simuler les technologies d’entrée dans l’atmosphère, de descente et d’atterrissage. Précédemment seules des stations américaines et soviétiques s’étaient posées sur Mars. La deuxième étape du programme prévue pour 2018 sera beaucoup plus compliquée, poursuit Lev Zeleny.« La Russie fournira de nouveau une fusée Proton. En outre, elle construira une plate-forme d’atterrissage qui doit remplir deux tâches. Elle acheminera sur Mars le robot Pasteur. Il est plus léger que le Curiosity, mais très intéressant. Le robot est un produit de l’ESA et il est doté d’un dispositif de forage capable de creuser le sol à 2 mètres de profondeur. La tâche de la Russie ne consiste pas seulement à l’amener sur la surface de Mars. Il y a également une participation russe à son programme scientifique. Mais l’essentiel c’est que des instruments scientifiques russes seront installés sur la plate-forme qui restera sur Mars après avoir acheminé le robot. Il s’agira d’un bras manipulateur et d’un chromatographe à gaz. Nous poserons en douceur le robot, nous l’évacuerons de la plate-forme et nous commencerons à réaliser notre propre programme ».Selon Lev Zeleny, les scientifiques russes attendent avec impatience la signature de l’accord avec l’ESA. Ensuite, ils pourront intensifier les préparatifs du programme.« En ce qui concerne le financement, nous n’avons toujours rien reçu pour les instruments qui devraient être prêts pour 2016. Tant que l’accord officiel avec l’ESA n’est pas signé, nous ne pourrons pas recevoir cet argent. Cela complique sensiblement notre travail sur les instruments ».Travaillant sur ExoMars l’IRS pense déjà à une étape suivante du programme martien : la répétition du projet Phobos-grunt. La perte de la sonde Phobos-grunt a laissé en suspens le mystère de Phobos : est-ce un astéroïde capturé ou un corps qui s’est formé avec Mars. Le lancement de l’appareil est prévu pour la fin de la décennie. La Russie étudie également la possibilité de rentrer sur Terre les échantillons du sol de Mars. Le projet Mars sample return est plus compliqué que Phobos : l’appareil doit se poser et décoller d’une planète ayant une forte gravitation. Mars sample return sera évidemment un projet international. L’institut projette de le réaliser dans l’espace de 15 ans. A cette époque des prélèvements auront déjà été apportés sur Terre. Mais la planète est tellement variée que des organismes de vie de Mars pourraient être découverts aussi bien dans un échantillon que dans un autre. /LMise à jour investigations ufoetscience, le: 14/03/2013, 10h50. |
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Article source: french.ruvr.ru
14.01.2013, 17:43, heure de Moscou
La flamme olympique des Jeux d’hiver de Sotchi séjournera dans l’espace pendant son relai, a annoncé aujourd’hui Dmitri Tchernychenko, président du comité d’organisation Sotchi-2014.
« Le relai de la flamme olympique des Jeux de Sotchi sera le plus étendu de toute l’histoire du mouvement olympique », a-t-il dit lors de la présentation des flambeaux des Jeux olympiques et paralympiques de 2014. Le relai passera par 2 900 localités différentes. La flamme séjournera sur l’Elbrouz, sur le lac Baïkal et sur le pôle Nord.
Mise à jour investigations ufoetscience, le : 04/01/2013, 21h35.