
Les Echos.fr
L’aéronautique en appelle au grand emprunt pour l’avion « vert » du futur.
Crédit : Les Echos.fr
Vendredi 23 novembre 2018 à 11h40:
Je partage ici trois articles qui démontrent une certaine mutation de la filière aéronautique . Ceci veut simplement dire que des projets fleurissent et que parmi eux, certains sont très avancés et se dévoilent petit à petit. Nous apercevons ici clairement les alliances entre pays dont le nôtre avec l’ Allemagne au niveau militaire plus précisément.
Dans nos recherches ufologiques j’ai longtemps dit que certains OVNI pouvaient être des tests , des prototypes menés par cette filière et que ceci a lieu sur plusieurs plans, c’est à dire civile pour le transport de demain et scientifique pour l’aérospatiale notamment , mais aussi militaire pour ce qui concerne l’armement. En bref je propose que certains spécimens pouvaient et pourraient avoir pour origine l’être humain lui même. Des faits me donnent raison, certains ne l’admettront jamais. Pour autant je relativise toujours en pensant que certains OVNI peuvent très bien venir d’ailleurs que de notre planète, l’un n’empêchant nullement l’autre. Sur ce point je n’ai pas varié ma version en ayant même pris le risque d’émettre la théorie de rétro-ingénierie mentionnés dans mes livres ou ici sur nos sites web, car je pense que l’humain a été inspiré par quelque chose ou quelqu’un issu d’un autre monde ou d’un autre temps et c’est ceci qui reste à prouver selon moi.
Je relève dans le premier article( plus exactement sur la présentation de la vidéo sur YouTube ) un indice important qui peut passer inaperçu mais qui pourtant est révélateur. Chacun appréciera comme il se doit cette donnée.
Voici ce qui est mentionné dans le texte de cette vidéo ( vous pourrez le lire sous le titre de la vidéo intitulée » Ion drive: The first flight » ici ou sur la page même de Youtube .
« Contrairement aux disques ioniques qui propulsent des vaisseaux spatiaux depuis des décennies, ce nouveau disque utilise l’air comme accélérateur. »
Je profite de dire que je m’appuie pour mes théories de sources sérieuses pour de la recherche pointue, le minimum pour être crédible, en ne me fiant pas qu’à ma seule intuition même si celle-ci me guide dans mon travail.
Voyons ci-dessous 3 articles qui mentionnent des projets différents dont un( Stratobus) sera très prochainement commercialisé. Tant qu’au programme SCAF, le système de combat aérien du futur, celui-ci prend forme pour le système de défense stratégique européen.
Matisse sylvain-23-11-2018 ,merci de respecter les droit d’auteur ©2018.
Références : L’usine Nouvelle – Les échos . fr- Dassault Aviation-Thales Alenia Space- MIT ( (Massachussets institute of technology) – YouTube- Airbus -Safran -MTU. Investigations ufoetscience.
Premier article du média l’usine nouvelle.
Et voici l’avion à ions, silencieux et sans émissions.
Et voici l’avion à ions, silencieux et sans émissions
PUBLIÉ LE
Article et illustration source : usinenouvelle.com
Dans avion il y a « ion ». Et cela n’a pas échappé à des chercheurs du MIT (Massachussets institute of technology). Ils ont fait voler, pour la première fois, un appareil ultra-léger (un peu plus de deux kilos) équipé d’un « moteur à ions ». Le système a été monté sur un petit avion de cinq mètres d’envergure à voilure fixe, dans un gymnase : les chercheurs sont parvenus à le piloter dix fois sur une distance de 60 mètres. C’est un début.
L’avion imaginé par les chercheurs du MIT utilise des électrodes haute puissance pour ioniser et accélérer les particules d’air, créant ainsi un » vent ionique « . Des fils minces placés horizontalement à l’avant des ailes agissent comme des électrodes chargées positivement, tandis que des fils minces placés à l’arrière des ailes servent d’électrodes négatives. Grâce à des batteries lithium-polymère embarquées, qui fournissent de l’électricité à 40 000 volts, les électrodes avant sont chargées positivement et l’air environnant est ionisé, puis est attiré vers les électrodes négatives placés à l’arrière de l’aile, ce qui crée une poussée.
De la théorie à la pratique
Ce principe de vent ionique, ou de poussée électro-aérodynamique, est connu depuis les années 20. Mais aucun avion équipé d’un tel système de propulsion n’avait volé. « Nous montrons qu’il est possible de surmonter les limites conventionnellement acceptées du rapport poussée/puissance et de la densité de poussée qui étaient auparavant considérées comme rendant l’électro-aérodynamique irréalisable comme méthode de propulsion des avions », écrit nature video, qui dirige ces travaux.
Ce professeur agrégé d’aéronautique et d’astronautique au MIT, dit s’être inspiré des vaisseaux de la science-fiction, comme ceux de Star Trek. Il envisage plusieurs débouchés pour cette technologie : la monter sur de petits drones, ou l’associer à des moteurs conventionnels pour une propulsion hybride.
Son équipe a publié ses recherches dans la revue Nature, qui a réalisé une vidéo pour illustrer le concept.
Ion drive: The first flight
Des chercheurs du MIT ont piloté un avion sans pièces mobiles pour la première fois. Il est alimenté par un «lecteur d’ions» qui utilise des électrodes très puissantes pour ioniser et accélérer les particules d’air, créant ainsi un «vent ionique». Ce vent a entraîné une embarcation de 5 m de large dans une salle de sport. Contrairement aux disques ioniques qui propulsent des vaisseaux spatiaux depuis des décennies, ce nouveau disque utilise l’air comme accélérateur. Les chercheurs disent qu’il pourrait propulser des drones silencieux.
Vidéo source : nature video
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Second article :
L’envol commercial de Stratobus est prévu pour 2022.
Source
usinenouvelle.com

La commercialisation de Stratobus, engin mi-drone mi-satellite, est prévue pour 2022.
Crédit : usinenouvelle.com
L’envol commercial de Stratobus est prévu pour 2022.
Article et illustration source : usinenouvelle.com
PUBLIÉ LE
Le projet de ballon dirigeable mené par Thales Alenia Space va entamer sa phase de développement en 2019. Les responsables visent à terme une production de quelques dizaines d’exemplaires par an.
Stratobus franchit une nouvelle étape décisive : la revue technique ayant conclu à la faisabilité de ce ballon dirigeable lancé en 2016 par Thales Alenia Space, les responsables du projet comptent démarrer la phase de développement début 2019. Un nouveau jalon annoncé mardi 20 novembre et qui a permis aux responsables de préciser le calendrier d’un projet hors norme. « Les premiers démonstrateurs technologiques à échelle réduite devraient voler fin 2019« , détaille Guy Boullenger, le directeur du projet. Le premier vol de qualification d’un modèle taille réelle interviendrait quant à lui en 2022, date du début de la commercialisation de cet engin, ouvrant dès lors la voie à son industrialisation.
« La revue qui a été effectuée nous permet aujourd’hui d’affirmer que les technologies critiques sont maîtrisées« , assure Jean-Pierre Prost, responsable technique de Stratobus. Une phase de conception durant lesquelles les caractéristiques de l’appareil ont été quelque peu ajustées. A savoir : un ballon autonome de 140 mètres de long, de 8300 kilos et de 85 000 m3, évoluant à une altitude comprise entre 18 et 20 kilomètres, avec une capacité d’emport de charge utile de 450 kilos. Pas besoin de lanceur pour ce ballon gonflé à l’hélium qui monte seul, et qui se déplace grâce à quatre moteurs électriques alimentés par des cellules photovoltaïques.

Dassault Aviation est confirmé comme chef de file industriel du futur avion de combat franco-allemand. Texte L’usine nouvelle
© Dassault Aviation – V. Almansa
Dassault, Airbus, Safran et MTU joueront les premiers rôles dans le futur avion de combat franco-allemand.
Article et illustration source : usinenouvelle.com