Mission Chang’e 4 : le rover chinois va rejoindre la face cachée de la Lune
Article et images source : futura-sciences.com
Publié le 07/12/2018 par : Rémy Decourt
Si les conditions météorologiques le permettent, la Chine lancera, samedi, un rover à destination de la face cachée de la Lune. Cette mission est une première au niveau mondial. C’est en effet la première fois qu’un rover atterrira de ce côté-ci de la Lune qui ne fait jamais face à la Terre. D’où son nom de « face cachée ». Le lancement doit s’effectuer le 8 décembre avec un atterrissage attendu pour la fin de l’année. L’atterrissage est prévu à l’intérieur du cratère Von Kármán dans le bassin d’Aitken dans l’hémisphère sud de la lune, près de son pôle sud.
Ce rover va caractériser son site d’atterrissage et analysera l’interaction entre le vent solaire et la surface lunaire. Il aura également pour tâche de mener des expériences de radioastronomie et de déterminer si, et comment, les plantes peuvent y pousser. Pour communiquer avec le rover et relayer ses données vers la Terre, la Chine utilisera le satellite Queqiao lancé en mai 2018.
Cela dit, cette partie cachée de la Lune ne nous est pas complètement inconnue. Cette face comporte moins de taches sombres, comprend des « mers » de basalte qui apparaissent plus sombres à la surface mais possède beaucoup plus de cratères de toutes tailles. Des sondes, en orbite autour de la Lune, ont cartographié la totalité de sa surface et réalisé une très grande variété de cartes de composition altimétrique et de mesures de toute sorte.
Les russes sont les premiers à avoir pu observer la face cachée avec la sonde Luna 3, en octobre 1959. Malgré la très mauvaise qualité des images, cette partie de la Lune, non visible depuis la Terre, s’est révélée être d’un aspect très différent de celle à laquelle nous sommes habitués.
Des robots et des hommes
Dans ce domaine de l’exploration robotique de la Lune, la Chine a assurément pris une longueur d’avance sur la Nasa et les autres agences spatiales. Certes, la Russie dispose aussi d’un ambitieux programme lunaire mais les premières missions ne sont pas prévues avant plusieurs années. Après Chang’e 4, la Chine prévoit une autre mission sur la face cachée mais pour y rapporter des échantillons lunaires, ce qui n’a plus été fait depuis la mission habitée Apollo de la Nasa. Trois autres missions robotiques sont également planifiées à destination des pôles lunaires avec, là aussi, des projets de retour d’échantillons.
Au-delà de ces missions robotiques, la Chine projette d’installer à l’horizon 2030 une base qui, à terme, sera occupée en permanence.
CE QU’IL FAUT RETENIR
La mission Chang’e 4, avec un rover, sera lancée ce week-end à destination de la face cachée de la Lune.
Si elle parvient à se poser, cette mission serait une réelle performance et d’un très grand intérêt scientifique.
Pour communiquer avec Chang’e 4, la chine utilisera Queqiao, un satellite lancé en mai et conçu pour relayer les données du rover et de la plateforme d’atterrissage de la mission.
Edgar Mitchell photo: crédit: Nasa/parlons-ovni.fr/
Samedi 06 Févier 2016 à 09h50:
Je rend hommage au sixième astronaute ayant foulé le sol lunaire.
Edgar Mitchell est décédé à l’âge de 85 ans en Floride.
Communiqué de la NASA
« L’astronaute Edgar Mitchell, pilote du module lunaire pour Apollo 14, est décédé jeudi 4 février dans un hôpital de West Palm Beach, en Floride, à la veille du 45e anniversaire de son atterrissage sur la Lune », écrit l’Agence spatiale américaine dans un communiqué. «
Charles Bolden patron de la Nasa ajoute:
« Edgar était l’un des douze hommes seulement à avoir marché sur la Lune et il a contribué à changer la perception que nous avons de notre place dans l’univers ».
Tout est presque dit dans cette déclaration de Charles Bolden (NASA) sauf ce qui suit.
En effet, n’oublions pas que monsieur Mitchell a défendu l’HET ( Hypothèse extraterrestre) concernant certains O.V.N.I , alors il a contribué à sa manière à la levée du voile entourant cette énigme. Il a indiqué que les suspicions à l’égard des autorités de son pays au sujet de l’ affaire Roswell étaient fondées et réelles. Vrai ou faux cela a eu le mérite de nous poser certaines questions.
En tout cas ceci n’enlève en rien l’exploit réalisé par cet homme et les autres ayant exploré l’espace, femmes et hommes .
Ainsi il rejoint un autre de ses partenaires . Neil Armstrong nous ayant quitté le 25 août 2012 à Cincinnati, il était le premier homme à avoir posé le pied sur la Lune le 21 juillet 1969 UTC, durant la mission Apollo 11.
Hommage à ces explorateurs du cosmos qui rejoignent les étoiles.
Mise à jour investigations ufoetscience, le : 06/02/2016 à :09h50.
Une baguette métallique édentée, pressée dans du charbon, a été retrouvée par un habitant de Vladivostok, alors qu’il était en train d’allumer le feu dans sa cheminée. Il a montré son étonnante trouvaille aux scientifiques du Primorié (dont la capitale est Vladivostok). Ils ont conclu, après une analyse scrupuleuse, que l’objet datait d’il y a 300 millions d’années et qu’il avait été fabriqué par un être humain. Ils n’ont cependant pas pu déterminer celui qui l’a fabriqué exactement.
L’étrange artefact pressé dans du charbon est loin d’être un cas unique. Toutes ces trouvailles surprenantes laissent les scientifiques sans voix, car elles sapent tous les fondements possibles de la conception de la science moderne. Le premier objet de ce type, un vase, a été découvert en 1851 au Massachusetts aux États-Unis lors des explosions des carrières. Ce vase en argent et en zinc pressé dans du charbon remonte à la période du Cambrien, commencée il y a 500 millions d’années. En 1912, en Oklahoma, un petit chaudron de 312 millions d’années a été, lui aussi, trouvé dans du charbon. En 1974, un objet en aluminium inconnu a été découvert dans les grès d’une carrière en Roumanie. La pièce, qui ressemblait à un marteau ou au support d’une des jambes du train d’atterrissage du module lunaire Apollo ne pouvait pas être confectionnée par un être humain, car elle remonte au Jurassique.
Le nouvel artefact de Vladivostok s’est avéré un casse-tête pour les scientifiques. Le charbon dans lequel cet objet a été trouvé a été apporté dans le Primorié de la Khakassie, de la région de Tchernogorie. L’âge de ce charbon a été déterminé à 300 millions d’années, donc les scientifiques ont estimé que la pièce métallique devait, elle aussi, avoir 300 millions d’années.
Lorsque les scientifiques ont délicatement brisé le charbon, ils ont découvert un objet léger et souple d’une longueur de 7 centimètres, composé à 98 % d’aluminium et à 2 % de magnésium. On peut rarement rencontrer de l’aluminium pur dans la nature, donc les chercheurs ont supposé que la pièce a été fabriquée de manière artificielle. D’un autre côté, cet alliage peu commun leur a permis de comprendre comment l’objet a pu rester dans un tel état de conservation après tout ce temps. Sous sa forme pure, l’aluminium est recouvert d’une solide couche d’oxydes, qui lui permet de résister à la corrosion. Ainsi, l’alliage d’aluminium à 98 % supporte de hautes températures et un milieu naturel agressif.
Les scientifiques se demandent si cet aluminium vient de l’espace. Grâce à l’étude des météorites, la science a appris l’existence de l’extra-terrestre aluminium 26 qui se désintègre en magnésium 26. Les 2 % de magnésium présents dans l’alliage prouveraient justement la provenance spatiale de cet objet. Toutefois, de recherches supplémentaires sont nécessaires pour prouver cette hypothèse.
La dernière chose qui a étonné les scientifiques était l’étrange ressemblance de cette pièce avec une crémaillère. Il est difficile de s’imaginer que la nature a pu concevoir un objet avec six crans parfaits et des intervalles de même distance entre eux. De plus, l’espace entre chaque cran était étrangement large par rapport aux crans eux-mêmes. Il est possible que cette crémaillère fût une partie d’un mécanisme complexe. Ce genre de pièces est utilisé dans des microscopes modernes et dans d’autres appareils. Une question survient : comment une pièce si complexe a-t-elle pu être conçue par un être humain il y a plusieurs millions d’années ?
Lorsque l’information sur cette découverte s’est répandue, certains ont émis l’hypothèse que la crémaillère appartenait aux OVNIs. Cependant, les chercheurs russes préfèrent ne pas tirer de conclusions hâtives et effectuer des études supplémentaires.
Source :
Mise à jour Era pour Investigations UfO et Science le 23-1-2013 à 19:33
Information en provenance de la page Facebook de Jack35. Nous vous proposons cette vidéo qui dure deux heures 48.
Texte qui accompagne la vidéo mise en ligne par Blackbox le 23 mai 2011 :
Richard Hoagland, l’enquêteur de Dark Mission (« Sombre Mission »), est un ex-conseiller en matière aérospatiale pour la NASA et pour la chaine CBS. Il partage une quantité énorme d’informations sur la NASA, les missions Apollo, l’histoire potentiellement réelle de notre système solaire ainsi que son exploration passée et présente. Son dernier livre Dark Mission, est arrivé presque au sommet de la liste des meilleures ventes du New-York Times.
La conquête de l’espace se poursuit et sera liée à la Lune et aux bases lunaires habitées. C’est l’opinion de Guennadi Raïkounov, directeur de l’un des meilleurs instituts de recherche du Roskosmos, agence spatiale russe. Selon lui, le potentiel de la Station spatiale internationale est en principe épuisé et il faut donc « regarder de l’avant ».
Le satellite de la Terre a des espaces illimités. Il y a de la place pour installer un détecteur radar et autres appareils de recherche scientifique de taille très importante. Quant aux bases lunaires, elles permettront de se faire une idée de séjour sur une autre planète. La glace lunaire peut être fondue et devenir une source de l’hydrogène qui peut être utilisé comme carburant pour les fusées, estime le chercheur.
Ce n’est pourtant pas l’avis de tous les experts. Quitter l’orbite de la Terre pour aller sur la Lune va rejeter la Russie vers les missions Apollo d’il y a quarante ans, explique le membre correspondant de l’Académie de la cosmonautique de Russie, Iouri Karach.
« Il ne faut pas se tromper et tromper les autres en disant que les bases lunaires supposent la création des appareils dont le principe est totalement différent de ceux des missions Apollo. A propos, Apollo 17 a passé trois jours sur la Lune. Trois jours, cela vous fait déjà une base. Les cosmonautes russes peuvent y passer dix ou vingt jours mais on sera plus dans la quantité que dans la qualité ».
Les Etats-Unis avaient d’ailleurs l’intention de revenir sur la Lune mais l’administration Obama ne le veut pas. Selon le président américain, la priorité est se rendre à un astéroïde vers les milieux des années 2020. Pourquoi un astéroïde ? La réponse de John Charles de la NASA :
« Pour certaines raisons nous avons décidé de ne pas revenir sur la Lune. Sans la Lune et avant le vol vers Mars aller sur un astéroïde est un projet de recherche le plus optimal. Si aujourd’hui on va sur la Lune, ce sera un peu le retour vers 1969 ».
Une mission vers un astéroïde est pourtant aussi dangereuse que le vol sur Mars. C’est que pendant plusieurs mois passés dans l’espace l’équipe aura la même dose de radiation, explique le directeur de l’Institut des études spatiales, Lev Zeleniy.
« Sur la Lune on peut creuser un abri à un mètre et demi ou à deux mètres de profondeur, où les cosmonautes pourront vivre en sortant parfois sur la surface. Ils vont ainsi être protégés. Mais comment se protéger contre la radiation sur l’astéroïde ? »
Les Russes et les Américains ont fait leur choix. Il leur faut maintenant chercher des arguments convaincants. Mais à un moment donné tous les débats seront clos parce qu’au bout de compte l’objectif est le même : aller sur Mars.
La Nasa a récemment découvert d’importantes quantités d’eau gelée près du pôle sud de la Lune. | AP/Jason Halley
Une partie de l’eau découverte sur la Lune pourrait provenir du Soleil, plus précisément des vents solaires qui auraient semé des atomes d’hydrogène à sa surface, indique une étude publiée dimanche.
Les scientifiques considèrent généralement que l’eau a été apportée dans notre système solaire, y compris sur la Terre, par des astéroïdes ou des comètes provenant de beaucoup plus loin. Mais si le rôle du Soleil dans l’origine de l’eau lunaire était confirmé, un tel mécanisme pourrait également avoir contribué à l’apparition de molécules d’eau ailleurs dans notre système solaire, soulignent Yang Liu, de l’Université américaine du Tennessee à Knoxville, et ses collègues.
Le Soleil émet un flot continu de particules, phénomène baptisé « vent solaire » qui lui fait perdre 1 million de tonnes par seconde, un rétrécissement infime à son échelle. Ces particules, en grande majorité des ions d’hydrogène mais aussi de l’hélium et des traces d’oxygène, ne peuvent atteindre la surface de la Terre, protégée par son épaisse atmosphère et son champ magnétique. Mais la Lune est dépourvue de telles barrières et est en permanence bombardée par le vent solaire, qui « implante » ses particules dans la poussière recouvrant le sol lunaire, le « régolithe ».
Or cet hydrogène ainsi semé à la surface de la Lune peut être transformé en une molécule d’eau (H2O) ou une molécule proche, l’hydroxyle (HO), même si on ignore encore précisément comment. A la lueur des récentes découvertes par la Nasa d’importantes quantités d’eau gelée près du pôle sud de la Lune, Yang Liu et son équipe ont analysé des échantillons de « verres lunaires » récoltés par les missions américaines Apollo. Leurs travaux, publiés dans la revue britannique Nature Geoscience, démontrent qu’une grande partie de ces échantillons contiennent bien de l’hydroxyle et de l’eau dont les atomes d’hydrogène sont de même nature que ceux du Soleil.
« Ces observations sont cohérentes avec des sols lunaires enrichis en hydrogène implanté par le vent solaire », confirme Marc Chaussidon, spécialiste en géochimie (CNRS/Université de Lorraine), dans un commentaire séparé publié par Nature. Les mesures effectuées par l’équipe de Yang Liu indiquent aussi au moins deux autres sources d’hydrogène: l’une similaire à l’eau contenue dans la plupart des comètes et l’autre liée à des réactions nucléaires produites par des particules. Toutefois, « le débat reste ouvert sur l’origine et la répartition de cette eau, ainsi que sur sa date de livraison sur la Lune », précise M. Chaussidon.
Pour les auteurs de l’étude, cela suggère cependant que d’autres corps de notre système solaire, dépourvus d’atmosphère et directement exposés au vent solaire comme la Lune, peuvent également abriter des traces d’hydroxyle. Selon eux, la planète Mercure, la plus proche du Soleil, et l’astéroïde Vesta, qui tourne autour de notre astre, pourraient être de bons candidats.
Il y a 35 ans les sondes Voyager s’élançaient vers les étoiles pour accomplir un Grand Tour du Système solaire. Elles nous ont révélé l’extraordinaire diversité de ses planètes. Détail insolite, elles emportaient chacune un disque à destination d’une civilisation extraterrestre. Baptisé Golden Record, il témoigne de l’existence de la vie et de l’Humanité sur Terre.
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Ils peuvent durer plusieurs milliards d’années selon leur créateur. Dans 40.000 ans, celui emporté par Voyager 1 sera à seulement 1,6 année-lumière de Gliese 445, une naine rouge de type M située à 17,6 année-lumière du Soleil. Peut-être existe-t-il là-bas une civilisation extraterrestre capable de détecter et de récupérer de telles bouteilles à la mer interstellaires. Il s’agit du Golden Record des missions Voyager 1 et Voyager 2, un disque embarqué à bord de ces deux sondes spatiales lancées en 1977.
Chacun de ces disques est en cuivre doré recouvert d’aluminium dans lequel ont été injectés des atomes d’uranium 238 radioactifs. C’est un isotope dont la demi-vie est d’environ 4,5 milliards d’années. Quelle que soit la civilisation E.T. dans la Voie lactée qui les découvrira peut-être un jour, avant que le Soleil ne devienne une géante rouge par exemple, elle pourra donc dater le disque et la sonde qui l’emporte.
Les chances que ces disques soient un jour l’objet de l’attention d’une intelligence non humaine sont quasi nulles et ceux qui sont à l’origine des missions Voyageren étaient bien conscients. Lorsque Carl Sagan et Frank Drake ont commencé à réfléchir à l’idée du Golden Record, il s’agissait en fait d’un projet symbolique destiné à marquer l’esprit du grand public. L’époque est marquée par la désillusion. L’abandon du programme Apollo et de la colonisation de l’espace est en train de réduire à néant les projets d’exploration et de colonisation du Système solaire. On ne parle plus de l’établissement d’une base permanente sur la Lune ni d’envoyer une mission habitée sur Mars. Il restait un espoir : mobiliser le grand public pour qu’il soutienne la poursuite de l’exploration du cosmos. Pour cela, quoi de mieux que d’envisager d’entrer en communication avec une intelligence extraterrestre ?
Depuis des années déjà, Carl Sagan et Frank Drake s’y employaient, notamment avec le programme Seti. Des messages à destination de civilisations extraterrestres avaient été envoyés avec des radiotélescopes, comme celui émis à Arecibo, et on tentait aussi de les écouter, notamment dans la fameuse bande définie par la raie à 21 cm de l’hydrogène. Pour faire prendre encore plus au sérieux ces tentatives il apparaissait logique de montrer une fois de plus l’exemple, en envoyant à destination de ces éventuelles E.T. un message capable de les renseigner sur la forme de vie intelligente qui s’est développée autour d’une naine jaune, à un moment de l’histoire de la Voie lactée.
Trente-cinq ans après le lancement des sondes Voyager, on ne sait toujours pas si des intelligences extraterrestre ont émergé un jour dans la Galaxie. Mais ce qui est sûr c’est que les deux sondes spatiales nous ont permis de découvrir toute la grandeur et la diversité des planètes ardentes du Système solaire. Un remarquable site en français existe, qui permet de prendre la mesure de la saga des sondes Voyager et la vidéo ci-dessus en témoigne aussi.
Mais que recèle le Golden Record ?
Un témoignage sur la vie terrestre pour des extraterrestres
Il s’agit d’un vidéo disque dont le contenu a été élaboré par Carl Sagan, Frank Drake, Ann Druyan, Timothy Ferris, Jon Lomberg et Linda Salzman. Une série d’instructions issues des mathématiques et du codage de l’information l’accompagne, donnant des clés pour sa lecture. Après ce décryptage, une intelligence extraterrestre pourra y découvrir :
Paramètres du Système solaire (Soleil et planètes rocheuses)
Paramètres du Système solaire (planètes gazeuses)
Le Soleil
Le spectre des couleurs
La planète Mercure
La planète Mars
La planète Jupiter
La planète Terre
Égypte, Mer Rouge et Nil
Définitions de chimie
Structure de l’ADN
Structure de l’ADN, gros plan
Cellules et division cellulaire
Anatomie humaine-1
Anatomie humaine-2
Une combinaison de certaines des images et de sons du Golden record peut se trouver dans cette vidéo. Comme on peut le constater, il s’agit d’une multitudes d’informations aussi bien sur la biologie que sur la culture humaine ainsi que sur la planète et le Système solaire. On y trouve par exemple une variété de sons, comme le bruit du vent et des vagues, ou même des chants d’oiseaux et de baleines, des extraits de textes littéraires et de musiques classiques et modernes.
Il n’y a guère de doute, étant donné le caractère fondamental des mathématiques du système de codage des informations, que ces images et ces sons puissent être lus par des E.T. Mais qu’en penseront des êtres dont la psychologie est très probablement fort éloignée de la nôtre ?