Modèle « Janus » de Jean-Pierre PETIT, le futur de la cosmologie ? Crédit : agoravox.fr
Mercredi 26 septembre 2018 à 14h10.
Les travaux de Jean -Pierre Petit sont intéressants même si ce savant est contesté par ses pairs issus de la communauté scientifique elle même.
Ce qu’il propose dans son document ci-dessous ouvre une porte concernant la physique et je pense qu’il faut que les autres scientifiques travaillent ou regardent les travaux de Jean- Pierre Petit que plutôt de chercher à le démonter systématiquement .
Ce serait utile pour ne pas dire bénéfique pour la science d’appréhender comme il se doit les travaux de Jean- Pierre petit et même si des éléments ne sont pas entièrement exactes , ô combien même qu’il y ait des erreurs, les travaux du savant apporteront des réponses, des orientations qui feront évoluées nos connaissances, car la science à besoin plus que jamais d’évoluer et pour cela il faut parfois accepter ce qui paraît inconcevable lorsque sont livrées de réels arguments. Jean -pierre Petit apporte des éléments qui ne demandent qu’à être examinés, à exploiter. Nous sommes à un tournant historique au niveau de la recherche fondamentale en cosmologie. Alors ne ratons pas le virage. La physique quantique elle même décriée fait son chemin petit à petit et les réfractaires deviennent au fil du temps et grâce aux nouvelles technologies et des récentes découvertes de moins en moins nombreux. Alors la science frileuse doit se remettre en question si non tôt ou tard elle n’avancera plus.
Une pétition est lancée je l’ai signé afin de contribuer à la recherche d’une certaine manière. ( disponible sous ce texte et les références utilisées .)
* Le document de Jean -Pierre Petit est disponible en version PDF ( cliquer sur l’image ) tout en bas de mon petit article
Pétition adressée à l’Institut des hautes études scientifiques de Bures sur Yvette.
Depuis de nombreuses années, Monsieur Jean-Pierre Petit, ancien directeur de recherche du CNRS à l’Observatoire de Marseille cherche à présenter le fruit de ses recherches (modèle cosmologique Janus) au séminaire de cosmologie de Bures sur Yvette. Malgré de nombreuses demandes, aucune réponse ne lui a jamais été donnée.
Pour que la recherche ne soit pas exclusivement institutionnelle, que des idées nouvelles sortant du formalisme académique puissent s’exprimer, apportez votre soutien.
Par avance merci afin d’appuyer cette demande je tiens à préciser que les principaux éléments de cette théorie ont été édités dans des revues à comité de lecture, et que cette même théorie est conforme à de nombreuses données observationnelles.
Pour plus d’informations je vous invite à visionner la série de vidéos réalisées par l’auteur et diffusées sur youtube intitulées Janus (25 épisodes) ainsi qu’un lien vers la traduction du dernier article publié.
Des colons lunaires auraient besoin d’eau pour boire bien sûr mais aussi pour produire l’oxygène de l’air à respirer et le carburant des lanceurs. Il est peut-être possible de la tirer du régolithe lunaire un peu partout sur la Lune selon les données de la sonde indienne Chandrayaan-1 et la sonde états-unienne LRO.
Le succès du lancement du Falcon Heavy de SpaceX est encourageant pour ceux qui espèrent qu’Elon Musk finira par réussir son pari d’ouvrir Mars à la colonisation dans les quelques décennies à venir. L’entreprise reste formidable et on peut légitimement se demander s’il ne vaudrait pas mieux commencer par coloniser la Lune en y établissant une base permanente. Les astronautes y sont certes nettement plus près de la Terre en cas de problème, mais il y a certainement moins d’eau sur notre satellite que sur la Planète rouge.
Comme on envisage de coloniser la Lune, et ce déjà avant le programme Apollo, les ingénieurs et les sélénologues se sont penchés sur ce problème depuis longtemps. On sait qu’il est au moins possible de fabriquer de grandes quantités d’oxygène à partir du régolithe lunaire qui est riche en oxyde métallique. Il suffit de mobiliser l’énergie solaire pour chauffer ce régolithe en combinaison avec des réserves de méthane apportant des atomes d’hydrogène. Mais il resterait à combiner l’oxygène produit avec de l’hydrogène, ce qui ne fait donc que déplacer le problème même si l’on dispose, au moins de cette façon, d’une source appréciable de comburant pour un propergol.
On s’est donc tourné vers certains cratères polaires de la Lune que l’on sait partiellement plongés dans l’obscurité pendant des millions voire des milliards d’années. On peut espérer que les chutes de comètes, qui ont dû se produire pendant l’histoire de la Lune après le Grand bombardement tardif, ont conduit lentement mais sûrement des molécules d’eau apportées sur la surface de la Lune à s’y trouver piégées en se condensant. La mission LCross a fourni des indications en ce sens.
Vidéo et texte NASA via youtube
Bien que la lune soit restée pratiquement inchangée au cours de l’histoire humaine, notre compréhension de celle-ci et de son évolution au fil du temps a considérablement évolué. Grâce à de nouvelles mesures, nous avons des vues nouvelles et sans précédent de sa surface, ainsi qu’un nouvel aperçu de la façon dont elle et les autres planètes rocheuses de notre système solaire sont apparues comme elles le font.
De l’eau piégée sous forme de radicaux OH dans le régolithe lunaire.
Il semble maintenant qu’il y ait une autre source d’eau possible qui, bien que pas aussi facile d’accès, soit disponible partout sur la surface de la Lune. Il s’agirait de radicaux hydroxyle OH qui se trouveraient partout associés aux minéraux lunaires. Les données fournies par le détecteur Moon Mineralogy Mapper de la sonde indienne Chandrayaan-1 l’avaient déjà laissé supposer voilà presque dix ans. Aujourd’hui une équipe de chercheurs états-uniens vient de publier un article dans Nature Geoscience qui renforce cette conclusion. Ils se sont basés au départ sur les données fournies cette fois-ci par la sonde Lunar Reconnaissance Orbiter (LRO).
La présence d’eau dans les roches, fût-elle sous forme de radicaux OH, se traduit en particulier par une signature spectrale particulière dans la lumière infrarouge réfléchie par le sol lunaire. Le problème est que ce signal est mélangé à celui provenant par émission de ce sol en réponse à son chauffage par le rayonnement solaire. Ce qui compliquait et rendait problématique les estimations précédentes de la présence des radicaux OH.
Les chercheurs ont trouvé un moyen de mieux résoudre ce problème en utilisant l’instrument Diviner de LRO. La méthode a ensuite été transposée aux données du détecteur Moon Mineralogy Mapper conçu et fabriqué aux États-Unis par les membres du célèbre Jet Propulsion Laboratory à Pasadena.
L’analyse de ces données conduit à penser que de l’eau, piégée sous forme de radicaux OHassociés aux minéraux, est largement répartie sur la surface de la Lune et qu’elle n’est pas confinée à une région particulière et un type de terrain, même si la quantité présente n’est pas la même. Ces résultats contredisent certaines études antérieures, qui avaient suggéré que davantage d’eau était détectée aux latitudes polaires de la Lune et que la force du signal variait périodiquement selon le jour lunaire (29,5 jours terrestres).
Reste à prouver que l’on peut bien exploiter en quantité suffisante l’eau dans le régolithe lunaire. La Nasa a quelques idées sur le sujet comme elle l’a prouvé il y a quelques années avec le projet de rover lunaire Artemis équipé de la charge utile Resolve (Regolith & Environment Science, and Oxygen & Lunar Volatile Extraction).
CE QU’IL FAUT RETENIR
L’analyse de certaines roches volcaniques ramenées sur Terre par les missions Apollo laissait déjà entendre que certaines parties au moins du manteau lunaire contenaient presque autant d’eau que les roches du manteau supérieur de la Terre.
L’analyse des données collectées ensuite par la sonde Chandrayaan-1, quand elle était en orbite autour de la Lune, tend à confirmer que de l’eau est présente dans tout le manteau lunaire et on la trouverait aussi un peu partout à la surface de la Lune.
Cette découverte est étonnante. En effet, le matériau lunaire a été porté à hautes températures avant la naissance de la Lune. Il ne devrait donc contenir que très peu d’eau et elle aurait dû s’évaporer il y a plus de 4,5 milliards d’années.
À l’improviste, huit planètes ont été découvertes entourant une étoile lointaine, Kepler-90, à 2 545 années-lumière de la Terre dans le corps céleste de Draco, a annoncé jeudi la NASA. Le même nombre de planètes que celles qui entourent notre propre soleil, ainsi les spécialistes croient que c’est la première des nombreuses à venir. Crédit image: Lora Williams- weekfacts.com/
Vendredi 15 décembre à 13h55.
Comme promis hier, je relaie l’information donnée aux médias par la NASA.
Si la technique employée est nouvelle et relève d’une performance, l’annonce est presque banale tant nous attendons beaucoup mieux pour sauter au plafond, nous restons sur notre faim, mais nous commençons d’en avoir l’habitude ! L’agence américaine doit garder certains faits sous le coude, histoire que l’Amérique garde le monopole concernant l’avancée dans la recherche spatiale sur le reste du monde, certainement.
Voyons en un bref résumé l’annonce. Je laisse le soin aux spécialistes de disséquer les détails précis de l’information transmise aux médias par la NASA. Une application de Google permet de dénicher la planète Kepler-90, située à 2545 années-lumière ( 2.4077044790418E+16 km) de la Terre. Ce n’est pas la porte à côté.
Ce travail réalisé en commun entre la NASA et Google depuis un an a permis ce résultat grâce au télescope spatial Kepler qui a utilisé unréseau de neurones convolutif . Cette technique prometteuse devrait selon la NASA permettre de découvrir d’autres systèmes solaires et des exoplanètes.
Le système solaire venant d’être découvert avec 8 planètes visibles pourrait toutefois contenir plus de planètes selon l’agence américaine qui pense que notre système solaire serait un parmi d’autres dans notre galaxie. Pour ma part je n’en ai jamais douté et il en sera de même pour la vie, n’en déplaise aux contradicteurs.
Alors l’intelligence artificielle assiste désormais l’homme pour la recherche spatiale.
Y-a-t-il une marge d’erreur possible si oui laquelle? Ce n’est pas mentionné par les responsables de l’agence spatiale américaine.
Si pour l’heure ceci est tout de même une bonne nouvelle et reste performance technologique pour notre époque, alors posons nous cette question. Est- ce que cette aide artificielle le restera toujours, lorsque cette intelligence artificielle dominera son créateur ?
Les machines pourraient fort bien se passer de l’homme le moment venu pour explorer à son tour, le cosmos et coloniser elle même des systèmes planétaires après s’être emparé à nos dépends de notre planète . Le risque existe à présent et il est important voir urgent de prendre dès à présent des précautions avant qu’il ne soit trop tard.
Pour l’heure ma remarque n’est que de la science fiction certes , souhaitons que ceci le reste. La responsabilité est entre les mains des décideurs et l’avenir des terriens ainsi que d’autres civilisations potentielles dans d’autres mondes aussi, dépend des décisions prises ici sur notre belle petite planète .
À gauche: simulations de la distribution de la matière noire dans l’Univers environ 3 milliards d’années après le Big Bang. À droite: des amas de matière noire (rouge), avec ceux faisant plus de 300 millions de fois la masse du Soleil (en jaune). | Virgo consortium/A. Amblard/ESA
Thomas Boisson
Article source : trustmyscience.com
La mise en évidence de la matière noire, constituant environ 27% de la densité d’énergie totale de l’univers, est un des enjeux fondamentaux de l’astrophysique moderne.
Tandis que la recherche se poursuit, de nouvelles données acquises par le détecteur orbital chinois DAMPE et publiées le 29 novembre dans Nature (1), bousculent depuis quelques jours la communauté scientifique. En effet, la détection d’une anomalie dans le flux de rayons cosmiques observé pourrait être la signature indirecte de la présence de matière noire.
DAMPE et l’étude des rayons cosmiques de hautes énergies
Le DArk Matter Particle Explorer (DAMPE), lancé le 17 décembre 2015 à 500 km d’altitude, est un détecteur de particules à très hautes énergies optimisé pour l’étude des rayons cosmiques composés d’électrons et de positrons (CREs), ainsi que pour l’étude des rayons gamma. Plus particulièrement, DAMPE est calibré pour des énergies allant jusqu’à 10 TeV.
OVNI ou lueur naturelle liée à une activité sismique ou volcanique? Janvier 2017 : Popocatepetl. Caméra automatique de surveillance de la ville de MEXICO. Capture d’écran Youtube
Nous évitons au préalable de diffuser des vidéos d’amateurs sur nos sites web, car sans les circonstances mentionnées avec des détails cela ne constitue pas une preuve suffisante pour accréditer un OVNI au sens littéraire du terme. Après si les cas présentés en vidéo sont véridiques, il manquera toujours l’explication ferme et définitive, un doute étant toujours possible.
Pour autant, nous pouvons quelquefois faire exception à notre règle. Cette vidéo que nous partageons ici, peut aider en un sens. En effet, nous avons assez de témoignages qui se rapprochent de ces globes lumineux.
Cette vidéo n’engage que la bonne foi de celles ou ceux qui les ont mis en ligne, pas la nôtre.
Nous partageons cette vidéo, car elle peut en un sens aider des témoins, des enquêteurs lors de recueils de témoignages. Ainsi un observateur pourrait dire, voilà ici ça se rapproche de ce que j’ai vu, et ô combien même que la vidéo peut être discutée sur son authenticité des faits.
L’astéroïde `Oumuamua intrigue avec sa forme allongée. Trop petit pour être le vaisseau Rama, du roman d’Arthur Clarke, ne pourrait-il pas être tout de même une sonde interstellaire de passage dans notre Système solaire ? C’est la question que semblent se poser les membres du programme Seti ayant écouté le voyageur avec des radiotélescopes.
CE QU’IL FAUT RETENIR
L’origine interstellaire de l’objet désormais nommé 1I/2017 U1 ( Oumuamua) est confirmée.
Il s’agit du premier astéroïde venu d’ailleurs jamais observé.
Nombre de télescopes le suivent de très près. Les premières mesures montrent qu’il est très allongé, « une forme extrêmement inhabituelle » pour un astéroïde. Pourrait-il être une sonde interstellaire équipée d’une super IA, comme dans le roman Rendez-vous avec Rama, d’Arthur Clarke ?
Pour tous les fans de science-fiction, en particulier ceux qui se sont dirigés vers les sciences sous son influence, la découverte de `Oumuamua, l’astéroïde venu d’un autre système planétaire, ne peut que faire songer à Arthur Clarke et son célèbre roman Rendez-vous avec Rama. L’ouvrage met en effet en scène la découverte, en 2131, par les radars terrestres destinés à protéger la Terre des géocroiseurs, d’un astéroïde de grande taille dont les paramètres orbitaux indiquent une origine en dehors du Système solaire.
Baptisé Rama en l’honneur d’un dieu du panthéon hindou, l’objet se révèle en fait rapidement être un gigantesque cylindre quasi parfait, dont l’envergure est d’environ 50 km de long par 20 km de diamètre. Il s’agit donc incontestablement d’un artefact d’une civilisation ET technologiquement avancée.
Un peu d’astronomie. Les découvertes continuent et avec elles leurs lots de surprises comme ce corps céleste qui déroge à la règle. Un astéroïde aux caractéristiques non classées pour l’heure . Il faudra alors revoir le catalogue messieurs et mesdames de la communauté scientifique .Comme nous au final vous apprenez tous les jours , c’est peu de le dire. Alors un seul mot s’il vous plait. Humilité! Celle qui fait défaut à beaucoup de ces braves instruits, celles et ceux qui prétendent tout savoir ou mieux que les autres!
Bien entendu il y a des gens audacieux parmi eux, et certains se retrouvent ainsi récompensés de leur audace d’abord, puis de leur pertinence ensuite et de leurs efforts enfin, comme cet astrophysicien Thomas Zurbuchen .
C’est ainsi que l’on apprécie la science, celle qui ose et qui sort des sentiers battus, de son pré carré et tous ces dogmes plus ou moins prouvés.
Thomas Zurbuchen, un astrophysicien de la NASA déclare ceci
« Oumuamua » aurait voyagé à travers l’espace, sans attaches à aucun système stellaire, pendant plusieurs centaines de millions d’années. Pendant des décennies, nous avons émis l’hypothèse que de tels objets interstellaires existaient, et maintenant – pour la première fois – nous avons la preuve directe qu’ils existent »
Les scientifiques ont été surpris et ravis de détecter pour la première fois–un astéroïde interstellaire passant par notre système solaire. Des observations supplémentaires ont apporté plus de surprises: l’objet est en forme de cigare avec une teinte un peu rougeâtre. L’astéroïde, nommé ‘Oumuamua par ses découvreurs, mesure un quart de mile (400 mètres) de long il est très allongé, peut-être 10 fois plus qu’il est large. C’est à la différence de tout astéroïde ou comète observée dans notre système solaire à ce jour, ceci peut fournir de nouveaux indices sur la façon dont d’autres systèmes solaires sont formés.
Quant Oumuamua fut découvert, les télescopes du monde entier se sont mis à l’observer. Notamment Gemini, le Very Large Telescope de l’ESO au Chili, le télescope Canada France Hawaï, le télescope infrarouge du Royaume-Uni ainsi que de nombreux autres observatoires ont tourné leurs yeux sur l’objet interstellaire.
Aura-t-on, un jour, dévoilé tous les secrets de notre astre ? Le Soleil ne cesse de nous étonner. Son atmosphère, par exemple, est étonnamment chaude, ce qui nous permet d’observer une magnifique couronne autour du Soleil lors d’éclipses totales comme celle du 21 août dernier. Autre interrogation : l’intérieur du Soleil, a priori inaccessible à l’observation, n’a pas encore révélé tous les mécanismes de sa rotation, comme nous allons le raconter ici.
Mise à jour investigations ufoetscience, le : 12/10/2017 à 10h35.
Traduction à l’aide de traducteurs en ligne Sylvain Matisse pour
La sonde Cassini de la NASA arrive à son terme, elle termine une course de deux décennies consacrée principalement à l’observation de Saturne. En treize ans de prise de photos, Cassini a fait un certain nombre de découvertes sur la planète, ses anneaux et ses lunes. En voici quelques unes.
Grande finale
Lorsque Cassini achève sa grande finale le 15 septembre, ceci fera exactement un mois de son 20 ème anniversaire dans l’espace. Lancée le 15 octobre 1997 par la NASA, l’Agence spatiale européenne (ESA) et l’Agence spatiale italienne, Cassini a passé 7 ans à se diriger vers son objectif de mission – l’orbite de Saturne de la planète aux anneaux – qu’elle a atteint en 2004.
Maintenant, après avoir passé près de treize ans à observer la planète (qui est moins de la moitié d’une année de Saturne), Cassini a consommé la plus grande partie de son propulseur de fusée et a maintenant peu de carburant. La sonde spatiale sans pilote a commencé une mission en avril de cette année. La mission finale de six mois pour Cassini était d’observer autant que possible les anneaux et l’atmosphère de Saturne alors qu’elle plongeait à des dizaines de milliers de kilomètres par heure à l’intérieur de la planète.
Cassini a apporté plusieurs contributions à notre compréhension de Saturne et de ses lunes. Les premières découvertes sont venues avec la sonde Hyugens atterrissant sur Titan en 2005 – le premier atterrissage sur une lune de Saturne. Les résultats de la sonde Hyugens, et les images prises par Cassini plus tard, ont montré exactement ce qu’est le Titan terrestre. Pour l’un, son atmosphère présente des composés prébiotiques – c’est-à-dire des hydrocarbures comme le benzène et le méthane. La lune a également de l’eau sous forme de mers, de rivières, de lacs et de pluie.
Parlant des lunes de Saturne, Cassini a également découvert des plumes glacées sur Enceladus ( Encelade), qui restent actives. La présence d’eau sur Titan et Enceladus a créé les lunes comme premières candidates pour des mondes potentiellement habitables dans le système solaire. Cassini a également résolu le mystère de 300 ans d’Iapetus, une autre des lunes de Saturne. Les astronomes ont été déconcertés par la surface à deux faces d’Iapetus ( ou Japet, troisième plus grand satellite naturel de Saturne en terme de taille) que la sonde a trouvée par la migration de la poussière rougeâtre sur le trajet orbital de la lune et par des éclaboussures sur sa surface glacée.
Cliché pris en Novembre 2011 Crédit d’image: NASA-JPL
Mis à part les lunes, Cassini a également fait un certain nombre de découvertes sur Saturne elle-même. Non seulement elle a pris les premières images des structures verticales dans les anneaux de Saturne – ce qui a révélé comme un système dynamique – Cassini a également étudié de près l’hexagone de Saturne. Vu d’abord par la sonde Voyager dans les années 1980, Cassini a pu obtenir la toute première vue complète de l’hexagone polaire situé au nord de la planète. Il a également découvert des tempêtes identiques à des ouragans aux deux pôles de Saturne, ainsi que des orages qui durent environ 30 ans sur Terre. La force cosmique qui dirige derrière ces mouvements reste cependant un mystère.
Il y a un certain nombre d’autres découvertes et nous sommes sûrs d’en apprendre davantage. Cassini traversera l’espace entre l’atmosphère de Saturne et la partie intérieure de ses anneaux dans un trajet elliptique, complétant 22 orbites finales d’ici la fin de cette semaine. Les sondes spatiales comme Cassini ont été vitales pour comprendre notre voisinage galactique immédiat. Entre autres choses, des missions comme celles-ci nous aident à trouver des environnements potentiellement habitables dans le système solaire, ce qui est maintenant plus crucial que jamais, car nous considérons ce que cela signifie être des espèces multi-planétaires.
Edgar Mitchell, Gordon Cooper, Deke Slayton, Brian O’Leary, Marina Popovitch, Mary Anne Stefany Shyn-Piper, Tom Jones, Edwin «Buzz» Aldrin, Paul Hellyer. Que penser de leurs révélations ?
Pour l’astronaute français de l’Agence Spatiale Européenne (ESA) Jean-François Clervoy, l’existence Ovnis n’est plus à débattre : les incursions de ces engins non-terrestres sont une réalité.
« Ça n’est pas une question de croire ou de ne pas croire, ces phénomènes sont prouvés » déclare-t-il dans le documentaire Enquêtes Extraordinaires diffusé à l’été 2013 sur la chaîne M6. « Il y a des phénomènes aérospatiaux non identifiés avérés (…) pour lesquels il n’y a aucune explication connue en aéronautique, en spatial, en matériaux, en capacité d’évolution, en vitesse, en taux de virage, etc. Donc ça, c’est connu : il n’y a pas à les remettre en doute.
« Reste l’hypothèse extraterrestre »
Et l’astronaute français de poursuivre : « Ce qui est fascinant, c’est qu’il y a des phénomènes avérés qui sont racontés de la même façon par des personnes différentes qui ne se connaissent pas forcément. Et il y a plusieurs points communs : c’est très furtif, aucun bruit ; c’est très agile, ça peut suivre un avion qui évolue. Donc il y a une forme d’intelligence dans ce phénomène ou cet objet, mais aujourd’hui, avec tout ce que l’on connaît de possible sur Terre, on ne peut pas l’expliquer. Donc qu’est-ce qui reste comme hypothèse ? L’hypothèse extraterrestre. »
« Ceux qui pensaient qu’on était tout seul sont de moins en moins nombreux. »
« Dans l’univers visible, il y a entre cent et deux cent milliards de galaxies et, dans chaque galaxie, il y a de l’ordre de cent milliards d’étoiles. Ça fait 10 avec 22 zéros étoiles ; autour des plus proches, on trouve des planètes … Vous imaginez le nombre de planètes probablement existantes dans l’Univers ? La probabilité que l’une d’entre elles soit similaire à la Terre et puisse abriter la vie est forcément d’un niveau raisonnable qui permet de penser que c’est vraiment possible. Il ne faut pas s’interdire de croire que la vie existe ailleurs, ni d’ailleurs la vie intelligente. Il ne faut pas s’interdire de croire non plus qu’on est tout seuls. Mais ceux qui pensaient qu’on était tout seuls sont de moins en moins nombreux. »
Jean-françois Clervoy est diplômé de l’Ecole polytechnique, de l’Ecole nationale supérieure de l’aéronautique et de l’espace, détaché par la Délégation générale pour l’armement auprès du CNES en 1983, puis auprès de l’Agence spatiale européenne depuis 1992. Il est aussi l’un des rares astronautes ayant à son actif trois missions à bord de la navette spatiale en 1994, 1997 et 1999 pour réparer le télescope Hubble.
Gouvernement on ne veux plus t'entendre ,nous expliquer et encore nous amadouer , simplement par ce que tu nous l'a… twitter.com/i/web/status/1…5 days ago