Je vous propose avec un certain intérêt le salon du Bourget 2019 et sa nouveauté phare le SCAF car nos observations du ciel ne seront plus jamais les mêmes à présent et à l’avenir.
Le 53e Salon aéronautique du Bourget qui s’ouvre aujourd’hui , aura la particularité de mettre en place un projet commun entre la France, l’Allemagne et l’Espagne.
La signature de l’accord entre les 3 pays est de lancer les études de recherche et développement pour réaliser un prototype d’avion de combat en 2026 et une mise en service du SCAF prévue autour de 2040.
Le projet SCAF existe officiellement depuis un an mais il a été pensé depuis au moins 5 ans comme en témoigne la vidéo de Dassault Aviation mis en ligne en 2014 ! Il y a un an Paris et Berlin rejoint depuis par Madrid passe à « la vitesse supérieure « concernant ce projet . SCAF est un système d’armement qui propose de la haute technologie et qui inclus les avions de chasse de nouvelle génération, les drones dont certains évoluent en en essaim, les futurs missiles de croisière ,etc. Cet arsenal sera connecté, avec ou sans l’aide de l’intelligence artificielle, à des avions, des satellites, des systèmes de défense de l’OTAN et des moyens de combat terrestres et navals.
Le NGF( « New Generation Fighter » de Dassault ) , est l’une des pièces maîtresse du SCAF franco-allemand ,il sera un avion piloté.
La priorité est mis sur la furtivité . En outre, l’appareil disposerait d’une soute pour emporter son armement. Les équations qui autorisent la furtivité aux ondes électromagnétique équipe les rivaux également, alors pour les concepteurs il est logique d’emprunter les mêmes technologies avancées.
Les Echos.fr L’aéronautique en appelle au grand emprunt pour l’avion « vert » du futur. Crédit : Les Echos.fr
Vendredi 23 novembre 2018 à 11h40:
Je partage ici trois articles qui démontrent une certaine mutation de la filière aéronautique . Ceci veut simplement dire que des projets fleurissent et que parmi eux, certains sont très avancés et se dévoilent petit à petit. Nous apercevons ici clairement les alliances entre pays dont le nôtre avec l’ Allemagne au niveau militaire plus précisément.
Dans nos recherches ufologiques j’ai longtemps dit que certains OVNI pouvaient être des tests , des prototypes menés par cette filière et que ceci a lieu sur plusieurs plans, c’est à dire civile pour le transport de demain et scientifique pour l’aérospatiale notamment , mais aussi militaire pour ce qui concerne l’armement. En bref je propose que certains spécimens pouvaient et pourraient avoir pour origine l’être humain lui même. Des faits me donnent raison, certains ne l’admettront jamais. Pour autant je relativise toujours en pensant que certains OVNI peuvent très bien venir d’ailleurs que de notre planète, l’un n’empêchant nullement l’autre. Sur ce point je n’ai pas varié ma version en ayant même pris le risque d’émettre la théorie de rétro-ingénierie mentionnés dans mes livres ou ici sur nos sites web, car je pense que l’humain a été inspiré par quelque chose ou quelqu’un issu d’un autre monde ou d’un autre temps et c’est ceci qui reste à prouver selon moi.
Je relève dans le premier article( plus exactement sur la présentation de la vidéo sur YouTube ) un indice important qui peut passer inaperçu mais qui pourtant est révélateur. Chacun appréciera comme il se doit cette donnée.
Voici ce qui est mentionné dans le texte de cette vidéo ( vous pourrez le lire sous le titre de la vidéo intitulée » Ion drive: The first flight » ici ou sur la page même de Youtube .
« Contrairement aux disques ioniques qui propulsent des vaisseaux spatiaux depuis des décennies, ce nouveau disque utilise l’air comme accélérateur. »
Je profite de dire que je m’appuie pour mes théories de sources sérieuses pour de la recherche pointue, le minimum pour être crédible, en ne me fiant pas qu’à ma seule intuition même si celle-ci me guide dans mon travail.
Voyons ci-dessous 3 articles qui mentionnent des projets différents dont un( Stratobus) sera très prochainement commercialisé. Tant qu’au programme SCAF, le système de combat aérien du futur, celui-ci prend forme pour le système de défense stratégique européen.
Références : L’usine Nouvelle – Les échos . fr- Dassault Aviation-Thales Alenia Space- MIT ( (Massachussets institute of technology) – YouTube- Airbus -Safran -MTU. Investigations ufoetscience.
Premier article du média l’usine nouvelle.
Et voici l’avion à ions, silencieux et sans émissions.
Et voici l’avion à ions, silencieux et sans émissions
PUBLIÉ LE
Article et illustration source : usinenouvelle.com
Dans avion il y a « ion ». Et cela n’a pas échappé à des chercheurs du MIT (Massachussets institute of technology). Ils ont fait voler, pour la première fois, un appareil ultra-léger (un peu plus de deux kilos) équipé d’un « moteur à ions ». Le système a été monté sur un petit avion de cinq mètres d’envergure à voilure fixe, dans un gymnase : les chercheurs sont parvenus à le piloter dix fois sur une distance de 60 mètres. C’est un début.
L’avion imaginé par les chercheurs du MIT utilise des électrodes haute puissance pour ioniser et accélérer les particules d’air, créant ainsi un » vent ionique « . Des fils minces placés horizontalement à l’avant des ailes agissent comme des électrodes chargées positivement, tandis que des fils minces placés à l’arrière des ailes servent d’électrodes négatives. Grâce à des batteries lithium-polymère embarquées, qui fournissent de l’électricité à 40 000 volts, les électrodes avant sont chargées positivement et l’air environnant est ionisé, puis est attiré vers les électrodes négatives placés à l’arrière de l’aile, ce qui crée une poussée.
Cet avion n’a donc pas besoin de pièces mobiles, comme des hélices ou des pales de turbine, pour décoller. Et contrairement aux moteurs ioniques qui équipent les engins spatiaux, ce nouveau moteur utilise l’air comme accélérateur. Il est plus silencieux qu’un moteur classique et n’est pas dépendant des énergies fossiles.
De la théorie à la pratique
Ce principe de vent ionique, ou de poussée électro-aérodynamique, est connu depuis les années 20. Mais aucun avion équipé d’un tel système de propulsion n’avait volé. « Nous montrons qu’il est possible de surmonter les limites conventionnellement acceptées du rapport poussée/puissance et de la densité de poussée qui étaient auparavant considérées comme rendant l’électro-aérodynamique irréalisable comme méthode de propulsion des avions », écrit nature video, qui dirige ces travaux.
Ce professeur agrégé d’aéronautique et d’astronautique au MIT, dit s’être inspiré des vaisseaux de la science-fiction, comme ceux de Star Trek. Il envisage plusieurs débouchés pour cette technologie : la monter sur de petits drones, ou l’associer à des moteurs conventionnels pour une propulsion hybride.
Son équipe a publié ses recherches dans la revue Nature, qui a réalisé une vidéo pour illustrer le concept.
Ion drive: The first flight
Des chercheurs du MIT ont piloté un avion sans pièces mobiles pour la première fois. Il est alimenté par un «lecteur d’ions» qui utilise des électrodes très puissantes pour ioniser et accélérer les particules d’air, créant ainsi un «vent ionique». Ce vent a entraîné une embarcation de 5 m de large dans une salle de sport. Contrairement aux disques ioniques qui propulsent des vaisseaux spatiaux depuis des décennies, ce nouveau disque utilise l’air comme accélérateur. Les chercheurs disent qu’il pourrait propulser des drones silencieux.
L’envol commercial de Stratobus est prévu pour 2022.
Source
usinenouvelle.com
La commercialisation de Stratobus, engin mi-drone mi-satellite, est prévue pour 2022. Crédit : usinenouvelle.com
L’envol commercial de Stratobus est prévu pour 2022.
Article et illustration source : usinenouvelle.com
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Le projet de ballon dirigeable mené par Thales Alenia Space va entamer sa phase de développement en 2019. Les responsables visent à terme une production de quelques dizaines d’exemplaires par an.
Stratobus franchit une nouvelle étape décisive : la revue technique ayant conclu à la faisabilité de ce ballon dirigeable lancé en 2016 par Thales Alenia Space, les responsables du projet comptent démarrer la phase de développement début 2019. Un nouveau jalon annoncé mardi 20 novembre et qui a permis aux responsables de préciser le calendrier d’un projet hors norme. « Les premiers démonstrateurs technologiques à échelle réduite devraient voler fin 2019« , détaille Guy Boullenger, le directeur du projet. Le premier vol de qualification d’un modèle taille réelle interviendrait quant à lui en 2022, date du début de la commercialisation de cet engin, ouvrant dès lors la voie à son industrialisation.
« La revue qui a été effectuée nous permet aujourd’hui d’affirmer que les technologies critiques sont maîtrisées« , assure Jean-Pierre Prost, responsable technique de Stratobus. Une phase de conception durant lesquelles les caractéristiques de l’appareil ont été quelque peu ajustées. A savoir : un ballon autonome de 140 mètres de long, de 8300 kilos et de 85 000 m3, évoluant à une altitude comprise entre 18 et 20 kilomètres, avec une capacité d’emport de charge utile de 450 kilos. Pas besoin de lanceur pour ce ballon gonflé à l’hélium qui monte seul, et qui se déplace grâce à quatre moteurs électriques alimentés par des cellules photovoltaïques.
Dassault, Airbus, Safran et MTU joueront les premiers rôles dans le futur avion de combat franco-allemand.
Article et illustration source : usinenouvelle.com
Les avionneurs Dassault Aviation et Airbus ainsi que les motoristes français et allemand Safran et MTU vont enfin pouvoir faire plancher leurs équipes sur le programme SCAF, le système de combat aérien du futur. Il s’agit du principal programme de coopération franco-allemand dans le domaine de la Défense avec le programme de char de combat du futur. Le futur chasseur devra remplacer à l’horizon 2035-2040 le Rafale français et l’Eurofighter déployé dans les armées allemandes.
Se mettre au travail
En marge de la réunion des ministres des affaires étrangères et de la Défense qui a démarré à Bruxelles le 20 novembre, la ministre française des armées Florence Parly et son homologue allemande ont fait un point sur leurs grands programmes militaires … Suite
Mise à jour investigations ufoetscience, le : 23/11/2018 à 11h40.
Malgré que certaines personnes n ‘aiment pas les prototypes drones ou avions de ce genre plus ou moins officiel et conventionnel, je reprends ce sujet qui était inclus sur mon premier site ufoetscience.
Je persiste et signe pour connaître et faire connaître ces appareils afin de les enlever potentiellement de la liste des O.V.N.I.s dit extraterrestres et ainsi éviter des confusions, des méprises ou tout simplement des dérives.
De plus , cela permet d’enrichir ses connaissances sur les capacités technologiques humaines, un vrai défi pour certaines réalisations.
Pour les projets qui n’ont pas aboutis ce n’est pas grave cela démontre que des programmes ont été pensés et que certains engins ont été testés à un moment donné.
Gouvernement on ne veux plus t'entendre ,nous expliquer et encore nous amadouer , simplement par ce que tu nous l'a… twitter.com/i/web/status/1…5 days ago