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Vue d’artiste, diffusée par le Harvard Smithsonian Center for Astrophysics, des exoplanètes Kepler-62e et f. | AP
Une équipe internationale d’astronautes a découvert, à l’aide du télescope spatial américain Kepler, deux planètes hors de notre système solaire qui sont les plus similaires à la Terre jamais observées, où la vie pourrait potentiellement exister, selon leurs travaux parus jeudi.
« A partir de ce qu’on peut observer, à savoir leur rayon et la durée de leur orbite autour de leur étoile, ces deux exoplanètes sont les objets les plus similaires à la Terre jamais trouvés« , explique Justin Crepp, un astrophysicien de l’Université Notre-Dame, un des co-auteurs de cette découverte publiée dans la revue américaine Science.
Ces deux planètes baptisées « Kepler-62 e » et « Kepler-62 f » font partie d’un système stellaire de cinq planètes, avec respectivement un rayon de 1,41 et 1,61 fois celui de la Terre. Elles se trouvent également à une distance habitable de leur étoile, Kepler-62, où la température n’est ni trop chaude ni trop froide pour permettre à l’eau d’exister à l’état liquide, précisent ces astronomes.
Ces deux exoplanètes sont les plus éloignées de l’étoile parmi les cinq planètes du système et reçoivent un rayonnement similaire à celui de Vénus et de Mars par le soleil. Leur taille laisse penser que ces deux exoplanètes sont soit rocheuses comme la Terre ou formée de glace d’eau.
Le fait que ce système stellaire compte cinq planètes « a vraiment été une aide précieuse » pour confirmer cette découverte en donnant plus de repères, souligne l’astrophysicien.
Fin 2011, la Nasa avait confirmé la découverte de la première exoplanète dans la zone habitable d’un système stellaire baptisée « Kepler 22b », en orbite autour d’une étoile (Kepler 22) située à environ 600 années-lumière (une année-lumière correspond à 9.460 milliards de kilomètres). Mais vu sa grande dimension, avec un rayon 2,4 fois celui de la Terre, les astronomes ne sont pas sûrs de sa composition.
Sources : 7/7.be
http://www.nasa.gov/home/hqnews/2013/apr/HQ_13-112_Kepler_62_finding.html
Mise à Jour Era pour Investigations Ufo et Science le 19-4-2013 à 02:00.
11.03.2013, 22:04, heure de Moscou
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![]() Photo : RIA Novosti
Les astrobiologistes de l’Université de Cardiff ont analysé les fragments d’une météorite qui est tombée au Sri Lanka le 29 décembre 2012 et ont découvert des structures biologiques sur les fragments de cette météorite. Ces structures auraient une origine extraterrestre.Les chercheurs ont pu établir des structures rondes d’un diamètre de 0,1 mm à l’intérieur de la météorite. Elles ressembleraient à des algues fossiles. Les chercheurs ont pu identifier des fils à la surface des structures, qui seraient apparentées à des flagelles d’algues.Les chercheurs ont déjà évoqué la présence d’une vie extraterrestre sur des météorites. Mais pour l’instant cette découverte n’a pas été reconnue par la communauté scientifique.Mise à jour Investigations Ufo et Science le 11-3-2013 à 21h30. |
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Voilà peut-être la pièce maîtresse du cabinet de Curiosity : un alignement rocheux qui ressemble de façon assez stupéfiante à une épine dorsale fossilisée. Ressemble ?
Ci-dessous, quelques zooms sur des éléments de cette structure réalisés par un intervenant du forumAbove Top Secret où cette image est abondamment discutée.
Les clichés datent de novembre 2012.
Voici le lien vers l’image originale sur le site de la Nasa:http://mars.jpl.nasa.gov/msl-raw-images/msss/00109/mcam/0109MR0684021000E1_DXXX.jpg
Source : http://dark-zone.blog.parismatch.com/
Mise à jour par Era pour Investigations Ufo et Science le 24 février à 1800
Un système de protection global contre la collision avec des comètes et astéroïdes est actuellement élaboré en Russie. Il n’y a pas si longtemps, notre planète a échappé à la collision avec l’astéroïde Apophis, mais en 2029 il menace à nouveau de se heurter à notre planète. Selon la NASA, 47.000 astéroïdes d’un diamètre de 100 mètres, se trouvant à une distance d’environ 8 millions de kilomètres, présenteraient un risque potentiel à la vie sur Terre. Quatre astéroïdes risquent de heurter à la Terre avant 2050.
Il est temps de se protéger contre des intrus qui risquent de venir de l’espace et chercher des moyens d’empêcher leur arrivée. Les scientifiques russes ont élaboré un plan d’action en cas de danger de collision d’un astéroïde avec la Terre, explique le représentant du Bureau d’étude Makeïev Sergueï Makhankov.
« Il y a une seule solution – détruire ces objets dangereux avant leur arrivée. Il s’agit de mettre en place des dispositifs de broyage des astéroïdes en petits fragments. Ou alors envoyer sur ces objets des systèmes permettant de changer leur trajectoire ».
Pour ce faire, des missiles balistiques intercontinentaux pourraient être envoyés vers ces objets, explique le chercheur du Bureau d’étude Makeïev Sabit Garaev.
« Nous installons un appareil avec un moteur et un système de contrôle sur la fusée. La fusée le transporte à une distance de plusieurs millions de kilomètres et le « détache » ensuite. Dans ce projet, nous pouvons utiliser des appareils d’exploration Kaïssa, ou le système de frappe Kapkan. Nous comptons envoyer en 2021 un appareil d’exploration sur Apophis, qui prendra des échantillons du sol et installera des capteurs qui voleront ensuite sur avec Apophis. Ces capteurs transmettront des données exactes sur la trajectoire de l’astéroïde. Et en 2036, si le risque de collision avec la Terre existe toujours, nous enverrons le système Kapkan qui grâce à ces modules pourra soit faire exploser l’astéroïde, soit le repousser ».
Ce sont les fusées porteuses Angara ou Rus qui permettront de placer les systèmes Kapkan sur l’astéroïde. Un missile balistique intercontinental pourra également faire l’affaire. Le chercheur estime que ces missiles pourront envoyer ces appareils à une distance de 10 millions de kilomètres, ce qui largement suffisant pour parvenir jusqu’à l’astéroïde Apophis.
Les chercheurs sont unanimes qu’il vaut mieux détruire l’astéroïde en cas d’un risque de collision avec la Terre.
« Il est possible de déployer sur l’astéroïde plusieurs systèmes pour le fissurer en petits morceaux de 40 mètres chacun », explique Sabit Garaev.« Ces morceaux pourront presque entièrement brûler dans l’atmosphère ».
Un tel dispositif fonctionnera uniquement si un corps céleste de 1,5 kilomètres de diamètre s’approche de la Terre. S’il s’agit d’une comète géante qui fonce sur la Terre avec une vitesse de 70 kilomètres par seconde, ce système ne sera pas efficace, ajoute le scientifique. Une consolation cependant : ce genre de phénomène ne se produit qu’une seule fois en 30 millions d’années.
Source : 
Mise à jour par Era pour Investigation Ufo et Science le 5-2-2013 à 23:50
Avec le développement des méthodes modernes de l’exploration de l’espace, les missions les plus incroyables sont désormais tout à fait réalisables. Ainsi, les chercheurs de la NASA ont l’intention de capturer un astéroïde pesant 500 tonnes, le mettre sur l‘orbite lunaire et construire sur cet astéroïde une station spatiale, qui pourra jouer le rôle du point de transbordement sur la trajectoire Terre – Mars.
Selon les premières estimations, ce projet ambitieux se trouve actuellement à son étape initiale, qui durera 10 ans, et devrait coûter à l’Etat américain 2,6 milliards de dollars.
superscience (saturne)(part 1sur3) par enfant-du-big-bang
Texte qui accompagne la vidéo :
-Saturne est la sixième planète du système solaire par ordre de distance au Soleil et la deuxième plus grande planète du système solaire après Jupiter. Son nom vient du dieu romain Saturne (assimilé au titan grec Cronos).
Saturne est une géante gazeuse, comme Jupiter, Uranus et Neptune. D’un diamètre d’environ neuf fois et demi celui de la Terre, elle est majoritairement composée d’hydrogène et d’hélium.
-Saturne est la sixième planète du système solaire par ordre de distance au Soleil et la deuxième plus grande planète du système solaire après Jupiter. Son nom vient du dieu romain Saturne (assimilé au titan grec Cronos).
Saturne est une géante gazeuse, comme Jupiter, Uranus et Neptune. D’un diamètre d’environ neuf fois et demi celui de la Terre, elle est majoritairement composée d’hydrogène et d’hélium.