Cher Monsieur,
Un lecteur m’a fait suivre votre article sur les risques de collision entre un avion, civil ou militaire, et un ovni » en phase de transfert hyperspatial « . A l’appui un accident dramatique récent entraînant la destruction de deux Rafale en vol, aux mains de pilotes expérimentés.
Les faits :
PHOTO Rafale 2
Deux Rafale se sont abimés en mer le 24 septembre 2009 vers 18h09, à 30 km au large de Perpignan (Pyrénées-orientales) et à environ 60 km du porte-avions Charles de Gaulle.
Les deux pilotes étaient des pilotes d’essais (a priori très expérimentés) et non des pilotes de l’escadrille 12F déployée sur le porte-avions Charles de Gaulle comme cela a été rapidement mentionné par la presse.
Ils effectuaient une campagne d’essais de catapultage lourd depuis le porte-avions dans le cadre de la validation du nouveau standard Rafale-Marine F3. L’essai consistait à être catapulté avec la charge maximale ce qui nécessite l’utilisation de la postcombustion (poussée des réacteurs maximale) en appoint du catapultage. Le catapultage n’est pas en cause. Les avions brulaient leur carburant avant de revenir pour apponter sur le porte-avions. Cela semble stupide mais pour faire un essai de catapultage lourd, il faut avoir le plein de carburant pour être au poids maximal. Or il est impossible d’apponter avec le plein car l’avion est trop lourd et c’est très dangereux.
Le pilote qui s’est éjecté, le capitaine de corvette Yann Beaufils, est un pilote d’essais membre du CEPA (Centre d’expérimentations pratiques de l’aéronavale). Son Rafale aurait été percuté par l’arrière. Il a été repêché et ses jours ne sont pas en danger.
L’autre pilote est disparu. Il s’agit du capitaine de frégate (de réserve) François Duflot, membre du CEV (Centre d’Essais en Vol) qui ne se serait pas éjecté. Son avion a continué sa trajectoire jusqu’à percuter la mer.
Agé de 45 ans, il totalisait 4,300 heures de vol sur plus de 30 avions différents. C’est un ancien pilote de l’aéronavale qui a rejoint la Marine nationale en 1986. Il a effectué 80 missions de combat en Bosnie et au Kosovo et réalisé près de 600 appontages dont 110 de nuit. Il a été breveté pilote d’essais en 2002 et a effectué des vols d’essai au CEPA ou au CEV depuis cette date.
Les carcasses des deux avions gisent par environ six cent mètres de fond.
Un accident similaire s’était déjà produit en octobre 2008. Deux Super-Etendard de la Marine nationale s’étaient percutés au large de l’ile de Batz. Là aussi, un des pilotes avait pu s’éjecter et être repêché vivant.
Je cite cet extrait de votre site, en date du 10 juin 2010.
Le bruit de coursive qui court dans l’Aéronavale, compte tenu du grand nombre de témoins, et des conséquences sur la sécurité des vols, est que les deux Rafale qui se sont abimés en Méditerranée, le 24 septembre 2009, à environ 60 km du porte-avions Charles de Gaulle, et à 30 km au large de Perpignan, poursuivaient en fait un OVNI lorsqu’ils se sont percutés !…
L’information circule depuis plus de six mois et il faut se demander si c’est une bonne idée de continuer à mettre un tampon « secret défense » sur cette affaire qui concerne les pilotes de chasse mais aussi les pilotes des compagnies aériennes.
Fin de citation.
Avant de commenter ce « bruit de coursive » on souhaiterait que ceci soit mieux documenté. Le pilote survivant a-t-il témoigné ? Quels étaient les autres témoins ? Tout cela est bien flou.
En admettant que des accidents aient pu se produire lors de rencontres d’avions avec des ovnis (on pense au célèbre cas de l’aviateur Mantel) et en supposant que ces hypothèses recèlent un fond de vérité, que peut-on dire ? J’avoue jusqu’ici que cette problématique ne m’avait jamais effleuré l’esprit.
Je précise que vous êtes autorisé à diffuser ce mail où bon vous semblera ou à le publier sous mon nom, de même.
De deux choses l’une :
– Ou le phénomène ovni ne repose sur aucun élément de réalité ( et alors cet accident ne serait dû qu’à une faute de pilotage, ou à une défectuosité des commandes de vol ).
– Ou il s’agit d’incursion dans notre espace aérien de machines d’origine extraterrestre (et cet accident mortel pourrait être lié à la rencontre d’appareils avec un ovni en phase de transfert hyperspatial).
Si on envisage l’hypothèse numéro deux, cette idée de transfert hyperspatial émerge du problème du temps des voyages interstellaire. J’en parlerai plus en détail plus loin.
Selon notre physique relativiste classique immédiatement, nos déplacements sont grevés d’une sévère limitation à la vitesse de la lumière.
Les travaux que j’ai menés depuis maintenant plus de trente ans, inspirés par les textes Ummo, suggèrent que notre vision de la géométrie de l’univers est présentement erronée. J’ai développé un modèle différent, dans une suite de publications scientifiques effectuées dans des revues de haut niveau (et non dans des bulletins « d’associations ufologiques ») : Nuevo Cimento 1994, Astrophysics and Space Science 1995, et dans différents congrès internationaux. J’ai même fait l’effort de présenter ces concepts de manière vulgarisée dans deux bandes dessinées, téléchargeables gratuitement sur mon site http://www.savoir-sans-frontieres.com , aux adresses suivantes :
http://www.savoir-sans-frontieres.com/JPP/telechargeables/Francais/plus_rapide_lumiere/plus_rapide_lumiere.htm
http://www.savoir-sans-frontieres.com/JPP/telechargeables/Francais/univers_gemellaire/univers_gemellaire.htm
Je ne vais pas, dans ce mail, m’étendre sur les subtilités de telles approches, mais les contradictions dans lesquelles l’astrophysique et la cosmologie contemporaines s’enlisent de plus en plus sont le signe d’un changement de paradigme imminent. Notre vieille vision du cosmos ne survit qu’au prix de rafistolages insensés (matière sombre introuvable, énergie noire non identifiée, théories surréalistes comme l’inflation de Linde, infinité de théories des supercordes, etc).
Mais dans une situation telle que celle-ci, le risque existe de passer du conformisme au délire, à la … science-fiction. J’ai vu que dans votre site un personnage s’exprimait sous un pseudonyme. C’est une attitude anti-scientifique. Vous savez que nous allons nous retrouver les 16 et 17 octobre au colloque organisé à Strasbourg par monsieur Padrines. Y seront présents des scientifiques. Et il sera exclu que ceux-ci se présentent porteurs d’une cagoule ou d’une fausse identité.
La science doit se jouer à visage découvert, et non dans des forums, sous le couvert de pseudonymes.
Sinon on voit circuler des messages qui ne sont étayés par rien, et qui laissent même planer le doute sur les compétences de leurs auteurs. Un parfait exemple est donné par les réflexions données par le personnage cité par M. Duboc, qui s’exprime sous le pseudonyme de l’IGNOBLE INFREQUENTABLE. Je ne donne personnellement jamais écho dans mon site à des gens qui s’expriment de cette manière, par ailleurs de manière indigente.
Ceci étant établi, que peut-on dire de pertinent ? Qu’est-ce qui peut être scientifiquement argumenté, avec des connaissances du temps, et qu’est-ce qui relève de la spéculation ? Un scientifique honnête se doit de situer exactement les frontières du discours où il évolue.
Si un pilote me dit par exemple :
– J’ai suivi un OVNI. Visuellement, il m’apparaissait comme une boule lumineuse. Mon copilote a tenté de prendre une photo avec un appareil argentique mais, curieusement, on ne voyait pas grand chose sur le cliché. Par ailleurs au suivi radar l’objet apparaissait comme très flou.
Je pourrais lui répondre :
– Ceci serait compatible avec un mode de déplacement par MHD. Le flou radar proviendrait alors du fait que l’engin serait entouré non d’air à l’état neutre, mais d’air ionisé. L’absence de « réponse » de la pellicule argentique du (vieil) appareil utilisé par votre copilote pourrait venir du fait que l’appareil émettait de l’infrarouge. On a montré depuis des décennies qu’une telle émission inhibait les prises de clichés sur support argentique (c’est différent sans doute aujourd’hui avec les appareils numériques, dont les cellules sont plus sensibles dans le proche infrarouge). Disons que voilà ce que je peux vous répondre, compte tenu de modèles assez bien explorés aujourd’hui. Maintenant, rien ne dit que l’objet dont parle votre témoin utilisait un tel mode de propulsion.
Par contre, si votre pilote me dit :
– Je volais par temps clair. La visibilité était excellente. Soudain un objet s’est comme « matérialisé » devant nous, comme « surgi du néant ». Il a évolué devant nous pendant quelques minutes puis, toujours de jour, avec cette excellente visibilité, il a disparu subitement sous nos yeux.
Je ne pourrai interpréter cette observation qu’en faisant appel à des conceptions encore très spéculatives, mais que je vais maintenant évoquer.
Andréi Sakharov, en 1967, avait publié des travaux en évoquant l’existence, non d’un univers, mais de deux, qu’il qualifiait de « jumeaux ». Précisons que dans ces papiers de 1967 l’idée suivie par Sakharov consistait à essayer d’imaginer « ce qui pourrait se trouver de l’autre côté de l’instant zéro », du Big Bang. Il imaginait donc deux univers, raccordés par une « singularité ».
Ce qui était extrêmement étonnant à l’époque c’est que le Russe envisageait que la flèche du temps puisse être inversée dans ce second univers.
(On est en droit au passage de se poser la question de savoir comment il avait eu une idée aussi … exotique).
J’ai retrouvé ces concepts dans les textes Ummo que j’ai commencé à me procurer dès 1975. J’ai publié dès 1977 une note aux comptes rendus de l’Académie des Sciences de Paris, présentée par le regretté mathématicien et académicien André Lichnérowicz, constituant une ébauche de modèle sur des univers à flèches du temps opposées et « énantiomorphes« .
Sakharov avait à peine évoqué ce concept d’énantiomorphie dans ses papiers ( qu’en physique théorique on appelle plus communément P-symétrie, ou symétrie en miroir ). J’ai personnellement découvert ce mot dans les rapports Ummites des années … 1967, que j’ai eu en main en 76, et j’avoue qu’à la première lecture j’ai du rechercher sa signification … dans un dictionnaire. Ceci étant fait, j’ai découvert l’incroyable fécondité des idées semées dans ces feuillets, qu’encore aujourd’hui quelques imbéciles persistent à identifier à un canular d’étudiants ou à une manipulation orchestrée par le KGB, avec le concours d’élèves de Sakharov (J.C.Bourret et J.C Vélasco dans « OVNI, la science avance »).
J’ai été extrêmement surpris, mais non déçu, en découvrant au début des années quatre vingt, dans un ouvrage en français intitulé « Oeuvres scientifiques d’Andréi Sakharov », que celui-ci m’avait précédé de dix années dans cette voie.
Par la suite j’ai envisagé que « ces deux univers » puissent interagir gravitationnellement, et cela a donné l’article de 1994 dans « Nuevo Cimento », (et ce que Sakharov n’avait pas fait). Tout cela s’est révélé immédiatement riche de nombreuses interprétations de phénomènes astrophysiques très déconcertants.
Antérieurement, en 1988-1989 j’avais publié dans « Physical Review D » des papiers introduisant le concept de modèles d’univers à vitesse de la lumière variable, touchant là à un des tabous absolus de la physique contemporaine, en pleine mutation actuellement.
J’ai lié ces deux travaux dans l’article de 1995, paru dans « Astrophysics and Space Science ».
Un autre pas important allait être franchi quelques années plus tard lorsque j’ai découvert, dans les écrits du mathématicien Jean-Marie Souriau (ses travaux de 1970) que l’inversion de la flèche du temps était liée à l’inversion de la masse et de l’énergie, ceci découlant de propriété d’un » groupe dynamique » de la physique, le groupe de Poincaré. J’ai essayé d’évoquer cela dans la BD citée plus haut.
Si vous êtes familier des textes Ummites, vous vous souviendrez ( mais Xavier Laffont nous trouvera le texte en question ) où ceux-ci évoquent un transfert « hyperspatial » en évoquant une rencontre avec une nef inconnue, dont la technologie leur semblait surclasser la leur.
Je dis » la leur « , toujours en partant de l’idée que ces textes pourraient se référer à des évènements réels, ce qui n’est pas prouvé. Je ne vais pas, dans le présent texte, adopter la même attitude de crédulité aveugle des gens du groupe « ummo-science », qui ont fini par rechercher dans les textes « un ensemble canonique », comme le firent jadis des religieux avec des textes bibliques ou évangéliques.
Je remarque seulement que ce texte dit quelque chose comme » … alors nous avons inversé la masse « et ceci m’a conforté dans l’hypothèse que cette « dématérialisation » procédait d’une inversion de la masse des particules du vaisseau (et de celles de ses éventuel passagers). Cela expliquerait alors son invisibilité. En effet, d’après ce modèle issue du théorème de Souriau (1970) les particules à masse négative émettent des photons d’énergie négative, non captés par nos instruments de mesure, nos yeux et nos radars ( puisque les radars captent des ondes électromagnétiques, donc des photons ).
Voilà pour cette histoire de dématérialisation, dont j’imagine que nous aurons l’occasion de parler à Strasbourg.
Au départ je suis parti d’un concept de « deux univers en interaction », ce qui est excessivement difficile à imaginer, n’importe quel lecteur non géomètre, fut-il scientifique, s’écriant aussitôt » mais où se trouve ce second univers ? »
Si je devais apporter une image, je dirais que si nous réduisons notre univers à 2 dimensions, en l’assimilant à une surface, cette inversion de la masse équivaudrait à « passer sous la table ».
Tout se résume à ce que peut ressentir un observateur. Ce qui n’est plus observable n’est plus « là ». Selon cette théorie, le seul signal qui pourrait être capté par l’observateur serait de nature gravitationnelle, ou plutôt antigravitationnel, puisque cette inversion de la masse donne un caractère répulsif à l’objet « ainsi manipulé ».
Il nous faut revenir à ces incidents où des pilotes se sont trouvés à proximité d’objets qui, pour leur échapper, opéraient un « transfert hyperspatial ».
Je pense que ce processus n’est pas loin de pouvoir être théoriquement modélisé et que, technologiquement parlant, il ne relève pas, paradoxalement, d’une hyper-physique.
On serait tenté de penser que pour jouer ainsi avec l’espace temps il serait nécessaire de manipuler des énergies extraordinairement élevées.
Ca n’est pas sûr.
Je pense que ce transfert peut s’opérer si on parvient à créer une densité d’énergie suffisamment élevée dans une enveloppe gazeuse entourant l’engin. Je ne peux trop entrer dans les détails. J’ai reçu personnellement au début des années quatre vingt dix une lettre « signée Ummo » qui donne quelques lumières sur ce processus. La nef émettrait une bouffée gazeuse constituée d’atomes possédant un niveau d’excitation nucléique métastable.
Le phénomène de métastabilité est connu depuis un siècle. Il existe des états d’excitations divers et variés pour des noyaux donnés, au niveau électronique. Cette excitation consiste à provoquer le saut d’un électron vers une orbite plus distante du noyau. Ces atomes se désexcitent alors spontanément en un temps qui est de l’ordre de dix moins huit seconde. L’hélium possède un état métastable dont la durée de vie est d’un millième de seconde, ce qui est cent mille fois plus long !
Il est donc possible de bourrer des atomes d’hélium d’énergie sans qu’ils puissent s’en débarrasser, pendant ce laps de temps « très long », à l’échelle atomique, d’un millième de seconde. En stimulant cette désexcitation simultanée d’un grand nombre de ces atomes métastables on objet … l’effet laser.
Ce phénomène de métastabilité existe à tous les niveaux : moléculaire, atomique et … nucléique. Si on excite un noyau sur un niveau métastable il est alors possible d’atteindre un niveau de densité d’énergie correspondant à une « disruption » , entraînant l’inversion de la masse….
Tout ceci reste du domaine de la spéculation, mais je pense que ce fil conducteur n’est pas de la nature d’une fiction.
Je pense aussi qu’au moment d’un tel transfert hyperspatial, si on obtenait une image spectroscopique de l’objet, à l’aide d’une bonnette à réseau on devrait noter la signature spectrale, brève, de l’émission du gaz utilisé. D’où l’intérêt de multiplier ce type de « gadget ». Je pense que ce gaz ne serait pas un des constituants de l’atmosphère terrestre. A UFO-science nous nous activons pour pouvoir mettre à disposition du public les premières bonnettes à réseau autocollantes, fabriquées en Chine, adaptables sur les objectifs de téléphones portables, à un prix public qui ne devrait pas dépasser 5 euros.
Revenons au phénomène, modulo le caractère spéculatif de mon discours.
Un avion s’approche d’un ovni qui, pour lui échapper ( qu’il soit piloté ou non) déclenche son transfert hyperspatial. Ce faisant, il laisse en lieu et place un vide très poussé, qui provoque une importante perturbation aérodynamique ( et même une onde de choc ) susceptible de perturber fortement les appareils, à proximité.
Le phénomène devrait aussi, logiquement, être accompagné, du moins localement, à faible distance, d’une perturbation de nature électromagnétique susceptible de perturber les commande de vol, électriques, des appareils.
A titre de conclusion : s’approcher à très faible distance, en vol, d’un ovni, que l’appareil soit civil ou militaire : DANGER.
Un appareil isolé pourra subir une perturbation aérodynamique passagère. Mais deux avions militaires volant en patrouille pourront … entrer en collision.
Je n’ai pas le détail de ce que semble évoquer M. Duboc dans son article, mais il semble de cette perte des deux appareils militaires par collision, aux mains de pilotes ultra-expérimentés, semble être intervenue au terme d’une course-poursuite d’un ovni.
Cela rappelle au passage l’historique affaire Mantel. Là, il s’agissait d’un rustique avion à hélice poursuivant un ovni de grande taille, si on en croit la description du pilote. Si cet ovni a opéré son transfert hyperspatial quand l’avion était proche de lui, la perturbation aérodynamique peut avoir été assez forte pour … disloquer son appareil.
Je conclurai cet article en donnant mon interprétation de l’usage de ce transfert hyperspatial.
Depuis une date assez récente, on ne parle plus « d’univers jumeaux », mais » d’un univers bimétrique », ce qui est encore plus infernal à comprendre pour un non spécialiste.
En relativité générale, l’univers est « une hypersurface quadrimensionnelle » et les objets qui sont censé y évoluer suivent ses « géodésiques ». Un univers « bimétrique » est un univers où, pour aller d’un point « A » à un point « B » il existerait non une famille de géodésiques, mais deux. Chacune de ces façons de se déplacer est grevée d’une limitation, de nature purement géométrique, à la vitesse de la lumière. Mais il y a alors deux vitesses de la lumière :
– Celle qui limite la vitesse de particules à masse positive
– Celle qui limite la vitesse de particules à masse négative.
Rien ne s’oppose à ce que ces deux limites puissent être très différentes. (et de plus variables dans le temps )
Je donne une image. Il y a deux façons d’aller de Marseille à Alger.
– Par voie des airs
– En sous-marin
Supposons que ces trajets soient frappés de l’interdiction absolue, de l’impossibilité de dépasser la vitesse du son dans le milieu. Dans l’air, en basse altitude, celle-ci est de 340 mètres par seconde. Mais dans l’eau salée les ondes sonores se propagent à 1500 m/s ( 5400 km/h).
Imaginons un » sous-marin MHD hypervéloce « qui ait effectué la traversée à 3000 km/h, en « subsonique-marine », donc à Mach 0,55 dans ce milieu » eau de mer ». Un observateur ne concevant que la possibilité d’un déplacement aérien dira :
– Comment avez vous fait pour vous déplacer dans l’air à vitesse supersonique, à 5400 * 0,55 = 825 m/s, c’est à dire, par rapport à l’air à M = 3000/340 = 2,42 alors que vous savez que nos « lois physique » interdisent un tel déplacement ?
Le pilote du sous marin hypervéloce dira :
– Je n’ai pas violé cette loi. Je suis resté largement subsonique, mais dans un autre milieu que l’air, « sous la surface de l’eau », alors que vous, vous évoluez au dessus.
Pour les non-spécialistes, je ne résiste pas à évoquer la raison suffisante, comme dirait maître Panglosse, de ces limitations à une vitesse maximale.
Sur une surface, comme un vase, vous pouvez matérialiser une infinité de géodésiques avec un ruban de scotch. Si vous mesurez la longueur du chemin parcouru, le long d’un trajet géodésique, vous obtiendrez une longueur L.
Si cette géodésique est inscrite non dans un espace 3d, mais dans un espace 4d de Minkowski, la longueur ne se mesure pas en mètres mais en … secondes. C’est ce qu’on appelle le « temps propre ».
Plus on va vite, moins le temps » du chronomètre de bord « s’écoule. Voir ma bande dessinée « Tout est Relatif ».
Les objets les plus rapides sont … les photons. On dit qu’ils se déplacent sur » des géodésiques de longueur nulle ». A bord d’un photon, le temps est « gelé ».
On ne peut pas parcourir, dans l’hypersurface espace-temps, une « distance » ( mesurée en secondes ) que celle dont la mesure est … zéro.
En bimétrique il y a deux chemins possibles, limités par deux vitesses de la lumière, a priori différentes. Les particules à énergie négative pourraient cheminer à des vitesses peut être 50 à 100 fois supérieures à nos fatidiques 300.000 km/s.
Comment s’effectue alors la mise en vitesse dans ces autres chemins. Y a-t-il accélération ?
J’aurais tendance à répondre : non. Mais ça serait trop compliqué d’expliquer pourquoi (et là encore, l’idée sous-jacente émerge des texte Ummo, pour qui sait les lire). Disons que lorsqu’une nef effectue son transfert hyperspatial, elle se retrouve instantanément à vitesse relativiste, dans l’univers où elle se trouve. Et si elle effectue le transfert inverse , elle réapparaît avec ses paramètres cinétiques de départ, par exemple à vitesse nulle, si elle avait disparu à vitesse zéro. Il n’y a ni accélération, ni décélération.
Pendant son bref trajet à vitesse relativiste dans ce » second univers des masses négatives » la nef peut modifier ses paramètres magnétiques (les spins de ses particules) et réapparaître avec la même vitesse, mais orientée différemment. D’où ces virage à angle droit, autrement incompréhensibles si on les analyse avec un physique classique. Le changement de direction volatiliserait l’objet.
Au passage, ce changement de direction peut correspondre à ... 180°.
Un autre aspect lié à cette inversion de la masse. Si après le transfert hyperspatial, la machine reste à vitesse nulle, elle est soumis à l’effet gravifique de la Terre. Mais comme sa masse s’est trouvée inversée, elle « tombe vers le haut« . En alternant le signe de sa masse à un rythme élevé, elle se comporte comme un objet de .. masse zéro. D’où « antigravitation ».
Voilà donc ma contribution à la question que vous soulevez. Il resterait à en savoir plus sur » ce bruit de coursive courant dans l’Aéronavale ». Celui-ci émane-t-il du principal témoin, seul rescapé de cet accident ?
Jean-Pierre Petit,
ancien directeur de recherche au Cnrs.

Alerte OACI sur les risques de collision en vol avec des OVNI ?…
Le bruit de coursive qui court dans l’Aéronavale, compte tenu du grand nombre de témoins, et des conséquences sur la sécurité des vols, est que les deux Rafale qui se sont abimés en Méditerranée, le 24 septembre 2009, à environ 60 km du porte-avions Charles de Gaulle, et à 30 km au large de Perpignan, poursuivaient en fait un OVNI lorsqu’ils se sont percutés !…

crédit:
euroclippers.typepad.fr/
L’information circule depuis plus de six mois et il faut se demander si c’est une bonne idée de continuer à mettre un tampon « secret défense » sur cette affaire qui concerne les pilotes de chasse mais aussi les pilotes des compagnies aériennes.
Et si la prochaine fois c’est un B747 avec 350 passagers à bord qui s’écrase pour avoir volé à trop grande proximité d’un OVNI ?…
Aussi je vais reprendre l’ensemble du dossier, essayer d’expliquer ce qui s’est passé, et envisager la nécessité d’une « Alerte OACI » sur les risques de collision en vol avec des OVNI.
Tout le monde se souvient de la collision en vol de ces deux Rafale alors qu’ils effectuaient une campagne d’essais de catapultage lourd depuis le porte-avions dans le cadre de la validation du nouveau standard Rafale-Marine F3.
Les deux pilotes étaient des pilotes d’essais très expérimentés.
Le pilote survivant, le capitaine de corvette Yann Beaufils, qui s’est éjecté, et dont le Rafale a été percuté par l’arrière, est un pilote d’essais membre du Centre Expérimentation Pratique de l’Aéronavale (CEPA ).
Le pilote de chasse qui est disparu, le capitaine de frégate François Duflot, membre du Centre d’Essais en Vol, n’a pas pu s’éjecter et son avion a continué sa trajectoire jusqu’à percuter la mer.
A la suite de ce très grave accident, j’ai rédigé une analyse intitulé « Ovni en phase de transfert hyper-spatial : les conséquences pour les pilotes civils et militaires » dont j’ai limité la diffusion à quelques spécialistes depuis le mois d’octobre.
Mais, compte tenu que cette collision en vol remet en cause les procédures opérationnelles de l’Aéronavale ainsi que le niveau de formation de nos pilotes de chasse et que l’enjeu sur la sécurité aérienne est trop important pour qu’il reste confidentiel, je me dois de mettre en ligne cette étude avant une nouvelle catastrophe :

crédit:
euroclippers.typepad.fr/
« De nombreuses observations d’OVNI rapportent que les objets observés présentaient une apparence variable tant dans leur volume que dans leur forme.
D’après l’une de mes sources, ceci signifierait que le vaisseau spatial en question se trouvait en phase de « transfert hyper-spatial », c’est-à-dire qu’il modifiait l’espace autour de lui par un considérable apport d’énergie affectant les références dimensionnelles et temporelles ; Il est possible d’avoir une idée de ce phénomène dans la lettre UMMO NR 69.
POUR L’AVIATION CIVILE ET MILITAIRE QUEL SONT LES RISQUES D’UNE TROP GRANDE PROXIMITÉ AVEC UN TEL PHENOMÈNE ?
Par exemple, quels pourrait être les conséquences d’une interception par deux avions de chasse d’un vaisseau en phase de « transfert hyper-spatial » ?… Quel sont les risques pour les pilotes et les machines ?…
Cette question n’est pas anodine car nous connaissons des cas de pertes de machine dont les pilotes se sont frottées d’un peu trop près à un OVNI (ex : Mantel).
D’après une analyse dont j’ai pu prendre connaissance, il semble que, lors d’un « transfert hyper-spatial », le temps et les dimensions spatiales subissent une variation ondulatoire présentant :
1/ Une intensité fonction de sa masse et de la distance à l’objet.
2/ Une périodicité dépendante de la forme de l’objet.
Sur un appareil de chasse qui passerait à proximité immédiate d’un tel OVNI changeant de forme les conséquences défieraient les lois de la physique que nous connaissons et il me semble souhaitable d’évoquer quelques-unes des surprenantes particularités que pourrait provoquer une telle situation.
Pour cela, Il me semble nécessaire de se placer sur deux points de vue : à bord de l’appareil et dans la situation de l’observateur extérieur (ex : radar).
1/ A bord de l’aéronef.
L’entrée dans le volume spatial et temporel qui est modifié par l’OVNI se ferait sans accélération notable, sans modification des paramètres de vol comme la vitesse indiquée (pneumatique) ou le cap.
Par contre, à l’intérieur de la zone perturbée les modifications peuvent être fortement pénalisantes : perte des repères visuels, anomalies des équipements.
Lors de la sortie de la zone spatio-temporelle instable la situation peut devenir beaucoup plus gênante avec par exemple : accélération et possible dépassement de la VMO/MMO, important changement de cap, importante modification de l’altitude (ex : entrée à 1000 ft et sortie à 100 ft).
2/ Pour un observateur extérieur (ex : radar)
La position et la vitesse de l’aéronef deviennent sujets à des modifications ondulatoires et les caractéristiques du vol en sortie de la zone de « transfert hyper-spatial » sont totalement différentes de celles à l’entrée de la zone perturbée.
LES CONSÉQUENCES POUR LA SÉCURITÉ DES VOLS CIVILS ET MILITAIRES.
Dans l’état actuel de nos observations sur ce type de situation, et en fonction les informations de diverses informations recueillies, une seule recommandation s’impose : GARDER SES DISTANCES AVEC UN OVNI QUI CHANGE DE FORME.
En effet, la situation peut rapidement devenir parfaitement incontrôlable pour les pilotes car l’aéronef, s’il pénètre la zone spatio-temporelle affecté par un OVNI en phase de « transfert hyper-spatial », peut se retrouver hors de son domaine de vol ou encore entrer en collision avec un équipier ».
Voilà pour cette petite étude dont la diffusion est restée restreinte en raison du « secret défense » absolument nécessaire pour l’enquête.
La deuxième raison est qu’il ne faut pas inquiéter le public.
Mais pouvons-nous continuer à faire la politique de l’autruche car c’est la meilleure façon d’avoir un jour ou l’autre une catastrophe bien plus grave.
D’autre part des retours commencent à apparaître.
En contact avec un « phénomène » qui a pour pseudo « l’Ignoble Infreequentable », je lui ai transmis cette analyse et vous pouvez consulter ci-dessous sa réponse qui m’a laissé « pantois »…
« Pas mal, le « laïus » sur les transferts d’Ovni !
En réalité, l’UFO change les données de son champ gravitationnel immédiat pour se déplacer dans une sorte de « bulle » dont il est le centre des masses.
Ce n’est pas lui qui se déplace, ou très partiellement, mais le champ entier qu’il crée autour de lui.
Et le champ continue d’obéir aux lois de la physique que nous connaissons (elles sont globalement inviolables), mais vu de l’extérieur (le radar), il se soustrait aux appareils de mesure, car il est « hors champ classique » et il se déplace beaucoup plus facilement et sans trop d’énergie à dépenser : il suffit de « l’impulser » pour démarrer le phénomène et de le « désimpulser » pour pouvoir revenir dans le champ plus global qu’est l’espace devenu « hors champ » et le réintégrer… ailleurs.
L’avion suiveur, s’il est dans le champ, il suivra le champ et entrainera la disparition sans trace de l’engin : phénomène qui a déjà existé (souvenez-vous) bien que personne n’en soit revenu pour le décrire.
Si l’avion est proche mais pas trop, il peut y avoir des phénomènes d’interférences que vous décrivez : tout dépend du carré de la distance de l’avion avec le « champ de l’Ovni » : Et ça peut être rapide d’entrer dedans !
S’il est suffisamment éloigné, il observe le phénomène comme d’un radar fixe : l’accélération de l’Ovni paraît brutale (alors qu’il n’en est rien à l’intérieur du champs créé) et jusqu’à disparaître quasi-instantannément.
On découvrira ces « techniques » dans quelques années avec l’étude des « champs intriqués », notamment à travers les travaux de cryptologie actuels.
Deux particules « corrélées » (des électrons pour le moment), peuvent ainsi défier la physique actuelle et se passer des informations instantanément quelle que soit la distance qui les sépare, en contravention apparente avec la loi de la vitesse finie de la lumière : c’est déjà un fait de laboratoire, maintes fois vérifiées depuis quelques années.
Pour comprendre le phénomène, il faut évidemment envisager que notre continuum espace-temps n’est pas fait seulement des 4 dimensions que nous connaissons (Volume/temps), mais de plusieurs autres. C’est marqué quelle que part dans les posts du mois d’août 2008, quand je ne sais plus qui expose la théorie à Cortinco sur la plateforme dans laquelle ils ont tous été transférés.
J’avoue que l’idée est assez plaisante, même si je n’y connais strictement rien, idée qui nous raconte qu’on vit dans plus de 4 dimensions sans s’en rendre compte.
C’est d’ailleurs ce que recherchent nos physiciens dans l’accélérateur géant du CERN de Genève, avec l’idée qu’ils vont découvrir des particules exotiques pertubées par les formidables dépenses d’énergie (au point qu’on a même supposé à un moment qu’ils allaient créer des trous noirs qui avaleraient la planète !)
Mais le « trou noir » le vrai, a besoin d’une masse considérable, plus grande que ne peut en contenir tout notre système solaire, pour s’auto-alimenter et rester stable : y’a donc pas de danger !
La preuve, le phénomène de transfert de champ des UFO que vous décrivez et qui est une application technique du même phénomène physique, est sans danger, sauf pour tout objet qui se trouverait à proximité.
Mais bon, il faudra encore quelques décennies de travaux de recherche fondamentale, quelques générations de physiciens pour parvenir à maîtriser le problème et avant tout le découvrir ainsi que ses effets !
Et ce n’est pas de la science-fiction, mais juste de « l’anticipation » scientifique…
Bien à vous et merci pour ces précisions
I² »
Une affaire stupéfiante qui doit être révélée au public car elle met en cause la sécurité du transport aérien, tant civil que militaire.
Source

Mise à jour investigations ufoetscience, le : 04/10/2013 à : 20h10.
