Propulseur à effet Hall au xénon de 6 kW du Jet Propulsion Laboratory. NASA
Lumière sur la lumière : la réalité des plasmas
Article source: theconversation.com
Publié le : 27 septembre 2018,
Cet article est publié dans le cadre de la Fête de la Science 2018 dont The Conversation France est partenaire. Retrouvez tous les débats et les événements de votre région sur le site Fetedelascience.fr
Ce grand méconnu se nomme l’état plasma. Et pourtant, la quasi-totalité de l’univers connu se présente sous la forme plasma.
En premier lieu, comme souvent en sciences physiques, il s’agit d’une histoire d’ énergie. Prenez un solide (un glaçon par exemple qui est la forme solide de l’eau) et apportez-lui de l’énergie en le chauffant : vous obtiendrez de l’eau liquide. Si vous insistez en chauffant encore, l’eau devient vapeur d’eau. Vous avez transformé le solide en liquide puis en gaz grâce à un apport d’énergie.
Maintenant si vous pouviez apporter de l’énergie supplémentaire à ce gaz en le confinant dans une enceinte fermée que se passerait-il ?
Modèle « Janus » de Jean-Pierre PETIT, le futur de la cosmologie ? Crédit : agoravox.fr
Mercredi 26 septembre 2018 à 14h10.
Les travaux de Jean -Pierre Petit sont intéressants même si ce savant est contesté par ses pairs issus de la communauté scientifique elle même.
Ce qu’il propose dans son document ci-dessous ouvre une porte concernant la physique et je pense qu’il faut que les autres scientifiques travaillent ou regardent les travaux de Jean- Pierre Petit que plutôt de chercher à le démonter systématiquement .
Ce serait utile pour ne pas dire bénéfique pour la science d’appréhender comme il se doit les travaux de Jean- Pierre petit et même si des éléments ne sont pas entièrement exactes , ô combien même qu’il y ait des erreurs, les travaux du savant apporteront des réponses, des orientations qui feront évoluées nos connaissances, car la science à besoin plus que jamais d’évoluer et pour cela il faut parfois accepter ce qui paraît inconcevable lorsque sont livrées de réels arguments. Jean -pierre Petit apporte des éléments qui ne demandent qu’à être examinés, à exploiter. Nous sommes à un tournant historique au niveau de la recherche fondamentale en cosmologie. Alors ne ratons pas le virage. La physique quantique elle même décriée fait son chemin petit à petit et les réfractaires deviennent au fil du temps et grâce aux nouvelles technologies et des récentes découvertes de moins en moins nombreux. Alors la science frileuse doit se remettre en question si non tôt ou tard elle n’avancera plus.
Une pétition est lancée je l’ai signé afin de contribuer à la recherche d’une certaine manière. ( disponible sous ce texte et les références utilisées .)
* Le document de Jean -Pierre Petit est disponible en version PDF ( cliquer sur l’image ) tout en bas de mon petit article
Pétition adressée à l’Institut des hautes études scientifiques de Bures sur Yvette.
Depuis de nombreuses années, Monsieur Jean-Pierre Petit, ancien directeur de recherche du CNRS à l’Observatoire de Marseille cherche à présenter le fruit de ses recherches (modèle cosmologique Janus) au séminaire de cosmologie de Bures sur Yvette. Malgré de nombreuses demandes, aucune réponse ne lui a jamais été donnée.
Pour que la recherche ne soit pas exclusivement institutionnelle, que des idées nouvelles sortant du formalisme académique puissent s’exprimer, apportez votre soutien.
Par avance merci afin d’appuyer cette demande je tiens à préciser que les principaux éléments de cette théorie ont été édités dans des revues à comité de lecture, et que cette même théorie est conforme à de nombreuses données observationnelles.
Pour plus d’informations je vous invite à visionner la série de vidéos réalisées par l’auteur et diffusées sur youtube intitulées Janus (25 épisodes) ainsi qu’un lien vers la traduction du dernier article publié.
La NASA envoie aujourd’hui à la Station spatiale internationale un petit appareil permettant de créer la température la plus froide de l’Univers : un espace qui serait 10 milliards de fois plus froid que le vide de l’espace.
Le Cold Atom Laboratory, une charge utile de la taille d’une glacière, sera installé à bord de la fusée Cygnus, d’Orbital ATK, dont le lancement est prévu aujourd’hui 21 mai. L’instrument permettra aux chercheurs à bord de l’ISS d’observer les propriétés quantiques des atomes ultra-froids. Une combinaison de lasers et d’aimants servira à refroidir et à ralentir un nuage d’atomes jusqu’à une fraction au-dessus du zéro absolu (-273,15 degrés Celsius), soit la température la plus froide de l’Univers ! Si cette température extrême est physiquement impossible à atteindre – les atomes cessent de bouger – ce petit instrument permettra en revanche de s’en rapprocher le plus possible, jusqu’à un dixième de milliard de degré au-dessus du zéro absolu.
Ces nuages d’atomes sont appelés condensats de Bose-Einstein. Ils peuvent être créés sur Terre, mais notre planète présente un inconvénient : sa gravité. Cette force extraordinaire qui nous maintient au sol ne permet en effet pas d’observer ces nuages plus d’une fraction de seconde. Après quoi tout s’effondre. L’environnement de microgravité à bord de l’ISS permettra de surmonter ce problème important, permettant aux scientifiques sur Terre d’utiliser l’équipement à distance pour observer les atomes pendant au moins 10 secondes.
Les condensats de Bose-Einstein sont ce qu’on appelle des superfluides – un type de fluide avec une viscosité nulle. Les chercheurs ambitionnent de mieux les comprendre. C’est pourquoi ils seront étudiés à bord de l’ISS : «Si vous aviez de l’eau superfluide et que vous la faisiez tourner dans un verre, elle tournerait pour toujours», explique Anita Sengupta, de la NASA. «Il n’y a pas de viscosité pour le ralentir et dissiper l’énergie cinétique. Si nous pouvons mieux comprendre la physique des superfluides, nous pouvons éventuellement apprendre à les utiliser pour un transfert d’énergie plus efficace».
Les atomes refroidis à l’extrême se déplaçant très (très) lentement, étudier les condensats de Bose-Einstein pourrait ainsi faciliter l’observation de phénomènes quantiques jamais vus auparavant. Cela pourrait par exemple permettre de détecter et comprendre l’énergie noire, cette force inconnue à l’origine de l’accélération et l’expansion de l’Univers.
Celles et ceux qui me suivent dans l’orientation de mes recherches liées directement ou indirectement au phénomène OVNI savent depuis longtemps que j’ai mis en ligne de mire les industriels de l’aéronautique et de l’armement , surtout émanant des deux grandes puissances emblématiques que sont les états-unis et la russie et les autres venant juste après ces deux nations.
Nous pouvons même dire sans exagération et prétention que j’ai suivi de près en alimentant ici (et cela continue encore à ce jour) les avancées techniques et technologiques des firmes les plus puissantes au monde. J’ai certainement ici sur mon site web un solide dossier assez complet sur Lockheed Martin, qui me sert plus ou moins de référence dans mes livres ou mes conférences.
D’ailleurs dans le chapitre 3 intitulé aéronautique & technologie de mon livre OANI/OVNI Enquête méthode réflexion, je résume les avancées, les recherches et les performances de l’aviation dans un petit historique que mes lecteurs trouveront facilement.
La firme Lockheed Martin et ses ambitions que j’ai mentionné ne sont plus à démontrer. Le type de moteur, le mode de propulsion du futur qui est la fusion nucléaire, arrive et dans les mises à jour de mon ouvrage à la page 394, je diffuse en un bref résumé de quelques lignes un article de science et avenir datant du 21 octobre 2014 qui mentionne que Lockheed annonçait déjà la mise au point d’un réacteur de fusion ( de petite taille,l’équivalent d’un camion) etc.
Un article de l’usine nouvelle du 27/03/2018 affirme que cette firme a validé un brevet sur le design d’une partie de son mini-réacteur à fusion nucléaire.
L’ usine nouvelle annonce que l’unité développée par l’Américain aurait le potentiel d’alimenter une ville de 80 000 habitants. Le média ne manque pas( tout comme moi ici ) de rappeler qu’ elle avait rédigé un article en 2014 et ajoute que la fusion est le Graal de la production d’énergie. A partir de deutérium et de tritium, cette technologie permet de produire de l’énergie en quantité quasi illimitée à très bas coût et quasiment sans déchet.
Pour ma part je n’ai jamais négligé ou sous-estimé les réalisations les projets et les ambitions industrielles surtout celles liées aux secteurs de pointe. Les potentiels existent.
Dans mes recherches il y a plusieurs disciplines que je scrute à la loupe. Il y a la technologie, la science et l’ufologie auxquelles je rajoute l’actualité militaire.
Ci-dessous cette petite vidéo mise en ligne sur YouTube par Lockheed Martin en complément pour agrémenter mon petit article.
Lockheed Martin: Compact Fusion Recherche et développement.
Chez Lockheed Martin Skunk Works®, nous faisons des progrès dans le développement de l’énergie de fusion, la forme ultime de l’énergie renouvelable. Nos scientifiques et ingénieurs se tournent vers le plus grand réacteur de fusion naturelle pour l’inspiration: le soleil. En confinant la puissance du soleil dans une petite bouteille magnétique, nous sommes en train de développer des réacteurs de fusion compacts pour répondre aux besoins énergétiques croissants du monde. En savoir plus sur la fusion compacte:
Mes recherches menées in situ depuis 2008 concernant les dossiers inexpliqués impliquant les OVNIS ou les PAN, puis les OANIS depuis l’année 2010 s’orientent d’abord sur du palpable. Les résultats arrivent. En effet,ce n’est pas le tout d’écrire un bouquin si aucun résultat n’arrive. C’est ma ligne de conduite qui est la plus droite possible et ceci je le dois aussi à mon entourage comme ma compagne Emmanuelle ( pseudo Era du site Area 51 blog) et de certains ufologues comme Gilles Thomas, Jean Pierre d’Hondt et Rémy Fauchereau mais aussi des témoins ou bien encore des proches qui m’informent de temps à autre.
Mon second livre aura quelques petites surprises .
L’important est dans le travail je l’ai toujours dit. La recherche est un travail. Consulter des personnes ou des supports alimente mes réflexions, mes doutes et mes recherches.
Nous savons que le mystère des OANIS et des OVNIS est complexe et ne se limite pas à de la technologie humaine.
L’énigme entourant ces anomalies est pourtant concernée par de la technologie à un moment ou à un autre, d’une affaire à une autre, tôt ou tard .
L’énergie est l’une des clés du problème et tout part de là.
L’intrication quantique observée sur des objets presque macroscopiques
Article source et illustration : futura-sciences.com/
Nathalie Mayer
Journaliste
L’une des manifestations les plus incroyables de la physique quantique est probablement celle que l’on appelle l’intrication. Et après l’avoir observée sur des électrons et des atomes, des chercheurs affirment aujourd’hui en avoir été témoins sur des objets de taille presque macroscopique.
L’intrication quantique. Un phénomène étrange par lequel deux objets distants se retrouvent comme liés – par des états quantiques dépendants l’un de l’autre – d’une manière qui défie le sens commun et même la physique classique. Et pour la toute première fois, des scientifiques ont pu obtenir et observer ce phénomène sur des objets macroscopiques. Enfin presque. Des objets dont le diamètre est de l’ordre de 15 micromètres.
Jusqu’alors, l’intrication quantique n’avait pu être montrée que sur des particules. En 2015, par exemple, des chercheurs du MIT avaient réussi à intriquer, grâce à une impulsion laser, pas moins de 3.000 atomes de rubidium 87. Une broutille face aux milliards de milliards d’atomes que composent les oscillateurs mécaniques du diamètre approximatif d’un cheveu humain, impliqués dans l’expérience qui vient d’être menée par des chercheurs de l’université de Aalto (Finlande).
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Une intrication maintenue pendant 30 minutes
Une équipe a en effet réussi à placer ces sortes de peaux de tambours vibrants en aluminium dans un état quantique intriqué. Un état qui a pu être maintenu pendant pas moins d’une demi-heure. « Les corps vibrants interagissent via un circuit hyperfréquence supraconducteur. Les champs électromagnétiques dans le circuit sont utilisés pour absorber toutes les perturbations thermiques et ne laisser derrière que les vibrations quantiques mécaniques », explique Mika Sillanpää. Et le fait de conduire l’expérience à une température juste au-dessus du zéro absolu, aux environs de -273 °C donc, a permis d’éviter toute autre forme de perturbations et d’interférences.
La physique quantique aussi valable à notre échelle ?
Car, si rien dans la mécanique quantique n’impose formellement qu’elle ne s’applique qu’à des objets de petite taille, deux facteurs semblent cruciaux lorsqu’il s’agit de déterminer si oui ou non un objet se comportera selon les règles étranges de la physique quantique. Ainsi, pour entrer dans le monde de la mécanique quantique, un objet devra d’abord pouvoir s’isoler des perturbations de son environnement. Il faudra ensuite que l’énergie associée à cet objet – sa fréquence de vibration – dépasse l’énergie associée à son environnement – sa température. C’est pourquoi les petits objets sont plus susceptibles d’être soumis aux règles de la physique quantique.
D’un point de vue fondamental, cette expérience démontre donc que les lois de la mécanique quantique peuvent aussi s’appliquer à des objets « massifs ». Restera à déterminer massifs à quel point. D’un point de vue plus pratique, l’expérience pourrait, entre autres, servir à optimiser la détection d’ondes gravitationnelles.
Notez par ailleurs qu’un autre groupe, issu cette fois de l’université de Delft (Pays-Bas), a également annoncé avoir réussi à placer des objets de la taille de bactéries en état d’intrication quantique : deux oscillateurs micromécaniques à base de rayons de silicium nanostructurés sur des puces espacées de 20 centimètres. Une configuration intéressante en vue d’une intégration au sein d’un réseau quantique à fibre optique. Mais l’état d’intrication n’a toutefois pas pu être maintenu plus d’une fraction de seconde.
CE QU’IL FAUT RETENIR
L’intrication quantique lie deux objets distants.
Pour la première fois, des objets macroscopiques ont été placés dans un état d’intrication quantique.
Une preuve que les lois de la physique quantique peuvent s’appliquer à une échelle qui se rapproche de la nôtre.
Cet article démontre deux aspects. Le premier c’est que les applications se font sous certaines conditions décrites dans cet article. Pour débloquer certaines facettes il faut dénicher les découvertes obligatoires si l’on veut avancer dans cette technique comme pour beaucoup de choses. Deuxièmement, la science avance de façon exponentielle et ce qui nous parait long dans la durée concernant les avancées scientifiques et technologiques et des résultats obtenus, nous pouvons relativiser qu’en fait 100 ans ce n’est rien par rapport à la datation cosmique, surtout si nous prenons en considération que l’homme est une espèce plutôt jeune sur cette planète. Il est né environ de quelques dizaines de milliers d’années seulement . Comparé à notre planète dont l’âge est estimée autour de 4,5 milliards d’années, même une dizaine de millions d’années ce n’est franchement rien sur l’échelle du temps. Alors de ce point de vue, l’homme évolue assez vite sur un plan technologique et intellectuel.
Nous suivons avec attention tout ceci car l’homme cherche plus ou moins désespérément des solutions. Nous pouvons nous poser la question suivante. Est ce que quelque chose, ou quelqu’un ailleurs dans notre galaxie ou bien au -delà de celle-ci a résolu les obstacles que rencontrent nos savants, c’est à dire les ingénieurs, et les chercheurs scientifiques ? Comment ne pas penser à ces OANIS et ces OVNIS qui semblent défier les lois de la physique actuelle ?
Pour l’heure seule la science fiction a passé ce cap, mais un jour qui sait ce qu’il adviendra ?
Parmi les probabilités et les réalités où se situe la frontière ?
Parmi les théories en matière de cosmologie la singularité est certainement celle qui est la plus pointue.
Si la singularité existe réellement, alors son fonctionnement ouvre des portes pour nous aider à comprendre l’univers son fonctionnement et tout ce qu’il contient, probablement.
La science-fiction s’inspire plus ou moins de cela.
En ce qui concerne les mystères comme ceux de la vie, de l’existence, des apparitions d’OVNI ou de la mort après la vie, etc , l’origine de la singularité peut -elle être le fruit de l’existence avec ou sans créateur ?
Alors cet article ci-dessous explique en résumé quelques fondamentaux théoriques d’un point de vue scientifique.
Qu’est-ce qu’une singularité gravitationnelle ?
Article source : trustmyscience.com
Thomas Boisson
En 1915, le physicien Albert Einstein publie ses travaux sur la relativité générale. Pour la première fois, la gravitation n’est plus traitée comme une force exercée entre deux corps selon la conception newtonienne, mais comme la déformation de l’espace-temps en présence d’énergie. Lorsque les phénomènes gravitationnels deviennent extrêmes, l’espace-temps peut donner lieu à l’émergence de singularités gravitationnelles.
L’équation d’Einstein, encore appelée équation du champ gravitationnel, est le socle mathématique de la relativité générale. Elle relie la courbure de l’espace-temps à la distribution masse-énergie. Ainsi, la structure géométrique de l’espace-temps est directement reliée au tenseur énergie-impulsion (outil mathématique décrivant la répartition masse-énergie dans l’espace-temps). Malgré la grande complexité de ces équations aux dérivées partielles non linéaires, la recherche de solutions à celles-ci est importante en cosmologie.
En effet, les solutions à l’équation du champ correspondent aux différentes valeurs que peut prendre le tenseur métrique gµv ; ce dernier est le tenseur décrivant la géométrie de l’espace-temps (longueurs et angles principalement). Ces solutions sont donc appelées des « métriques ». Plusieurs métriques, correspondant à des configurations spatio-temporelles différentes, ont déjà été mises en évidence depuis 1915 : la métrique de Minkowski décrivant un espace-temps vide de matière et d’énergie, la métrique de Schwarzschild décrivant l’espace-temps autour d’une distribution sphérique de masse-énergie (trou noir statique par exemple), la métrique FLRW (Friedmann-Lemaître-Robertson-Walker) décrivant un espace-temps homogène et isotrope en expansion, etc.Cependant, la résolution des équations du champ ne donne pas toujours des solutions exactes ou approchées. Dans certaines conditions, impliquant des phénomènes gravitationnels particulièrement extrêmes, l’équation d’Einstein amène à des solutions indéfinies ; plus précisément, l’objet mathématique qui émerge de ce contexte particulier est impossible à définir. Une telle « indéfinition » mathématique est appelée une « singularité ». Ces situations où la géométrie de l’espace-temps est indéfinie sont le centre des trous noirs et le point d’origine de l’univers.À la fin des années 1960, les physiciens britanniques Stephen Hawking et Roger Penrose se penchent sur le problème des singularités dans le cadre de la relativité générale. Dans l’impossibilité d’effectuer des simulations numériques pour déterminer l’évolution concrète d’un astre massif en effondrement gravitationnel, les deux physiciens énoncent, à partir des équations du champ, un certain nombre de conditions nécessaires à l’apparition d’une singularité gravitationnelle. Ces « règles » donneront naissance au théorème sur les singularités.Parmi ces conditions se trouvent la nécessité d’une gravitation attractive et donc d’une pression positive à haute densité (une pression négative au cœur des étoiles serait « éliminatoire ») ainsi que l’existence d’une dépendance entre le champ gravitationnel et la géométrie de l’espace-temps. Ces pré-requis très généraux s’adaptent à n’importe quelle théorie de la gravité, dès lors que celle-ci respecte les deux conditions majeures énoncées ci-dessus.La conséquence principale des travaux de Hawking et Penrose est que l’émergence d’une singularité s’accompagne nécessairement d’un horizon des événements. Penrose ira même jusqu’à proposer l’hypothèse de la censure cosmique, interdisant l’existence de singularités nues (c’est-à-dire sans horizon des événements) ; elle sera réfutée dans les années 1990.Les singularités gravitationnelles ne sont donc pas des objets physiques tangibles mais uniquement des zones de l’espace-temps dont la géométrie est indéfinie. Elles correspondent aux limites mathématiquesde la théorie d’Einstein et peuvent être perçues comme une « pathologie » de la relativité générale. L’émergence de singularités – et donc de divergences, des quantités infinies – au sein des équations d’Einstein montre l’impuissance mathématique de la théorie à décrire certains phénomènes gravitationnels extrêmes. L’existence de singularités signe donc l’incomplétude de la relativité générale.L’objectif des théories de la gravité quantique actuelles est justement de se débarrasser de ces singularités afin d’obtenir une description cohérente de l’espace-temps, principalement lorsque les phénomènes gravitationnels deviennent si extrêmes qu’ils présentent des effets quantiques. Ainsi, la théorie des supercordes supprime les singularités en les remplaçant par des condensats de supercordes, tandis que la gravitation quantique à boucles les remplace par un rebond quantique. L’absence de singularités au sein d’une théorie de la gravité quantique est un fort indice en faveur de sa cohérence.
Le Royaume-Uni vient de faire les premiers tests d’un réacteur à fusion ambitieux, et il fonctionne ! Le ST40 est le tout nouveau réacteur à fusion du Royaume-Uni : il a été activé la semaine dernière et a déjà réussi à atteindre un « premier plasma », générant avec succès du gaz brûlant (du plasma) chargé électriquement dans son noyau. L’objectif de ce réacteur créé par l’entreprise Tokamak Energy, est de chauffer du plasma jusqu’à 100 millions de degrés Celsius d’ici 2018 (ce qui représente une température sept fois plus élevée qu’au centre du Soleil). Il s’agit du seuil de « fusion » auquel les atomes d’hydrogène peuvent commencer à fusionner en hélium, libérant par ce processus de l’énergie propre et illimitée. Suite
Remarque:
L’énergie ressource essentielle pour notre époque moderne et pour le futur de l’humanité.
J’avais déjà repris quelques recherches diffusées sur des sites scientifiques ( des vrais pas des pseudo sites scientifiques) sur la Z machine et leur Tokamak testé aux états-unis. Mais aussi en Allemagne une machine nommée Le stellarator Wendelstein 7-X.
C’est peu de dire que les essais ne datent pas d’hier! Ceci le prouve à présent.
Il en sera de même pour l’astronautique vous pouvez me croire pour celles et ceux qui pensent que l’être humain est incapable de réaliser l’improbable! Ceci est un point que je défendrais toujours, mais qui est souvent mal vu dans l’ufologie qui préfère des hypothèses plus sensationnelles, plus sexy amenant le rêve. L’erreur n’est pas là néanmoins, elle est dans l’étude pratiquement inexistante du monde réel qui nous entoure avec des éléments très terre à terre, sans même que ces soit disant chercheurs ne prennent le temps nécessaire de dénicher ce qui peut avoir été construit sur notre planète, ou du moins envisagé. Alors seul je fais ce travail pour vous , pour élucider ce qui deviendra évident et au final banal dans l’avenir.
L’énergie un point essentiel pour la survie d’une civilisation, pour se chauffer ,alimenter des bâtiments, des vaisseaux et j’en passe. Ainsi le nucléaire n’échappe pas à l’évolution qui reste obligatoire en ce qui concerne l’efficacité et la sûreté , en attendant d’autres procédés venant concurrencer celui-ci.
Le stellarator Wendelstein 7-X, construit par le stellarator Wendelstein 7-X à Greifswald (Allemagne), avait déjà montré qu’il était capable d’atteindre les objectifs qui lui avaient été fixés en matière de température de plasma. L’instrument continue de faire parler de lui. Toujours en bien. On apprend en effet aujourd’hui que le champ magnétique qu’il génère frôle la perfection. Deutsche qualität ?
Mis en service il y a environ un an, le stellarator allemand baptisé Wendelstein 7-X (W7-X) enchaîne depuis les succès. Le plus récent d’entre eux porte sur le champ magnétique qu’il est capable de générer. Après une campagne de mesures, des physiciens allemands et américains du Princeton Plasma Physics Laboratory annoncent en effet aujourd’hui que le champ magnétique de W7-X est parfaitement cohérent – à 1/100.000 près – avec le champ théorique qui lui avait été prévu.
Pour mesurer ainsi le champ magnétique généré par W7-X, les chercheurs ont lancé un faisceau d’électrons le long des lignes de champ. À l’aide d’un tube fluorescent et en balayant les lignes, ils ont ensuite pu obtenir des coupes transversales successives qui leur ont révélé la géométrie exacte du champ magnétique en question.
Le stellarator pour contrôler la fusion nucléaire ?
Rappelons qu’un stellarator est un dispositif destiné à produire des réactions de fusion nucléairecontrôlées par confinement de plasma à l’aide d’un champ magnétique. C’est le principe du tokamak, mais ici, la géométrie hélicoïdale du champ magnétique est autrement plus complexe. Elle permet, sur le papier du moins, un meilleur contrôle sur le plasma produit et, par conséquent, sur les réactions de fusion nucléaire induites.
Ne reste plus maintenant aux physiciens qu’à s’appuyer sur les résultats de cette étude pour déterminer si les stellarators constitueront les réacteurs à fusion nucléaire du futur. Ils annoncent déjà qu’il leur faudra encore quelques années de travail pour arriver à une conclusion.
L’avancée énergétique civile est à suivre. Elle peut éventuellement s’appliquer à des engins ou à de l’armement. Ainsi ceci peut nous aider à déceler la propulsion de certains OVNIS .
Mise à jour investigations ufoetscience, le : 08/12/2016 à 19h00.
Etoile binaire dans l’amas du Trapèze constellation d’Orion. Crédit: ESO/GRAVITY consortium/NASA/ESA/M. McCaughrean
Samedi 20 août 2016 à 12h15:
Les chercheurs en astrophysique tentent de progresser dans tous les domaines de leur spécialité.
Les mécanismes de l’univers , sa composition et bien d’autres facteurs comme celui des accélérations de particules n’en finissent pas de surprendre.
Sans doute que des calculs seront remis à jour suite à cette découverte impliquant le système des étoiles doubles et de l’énergie pouvant être émise et de leur fréquence.
Les expériences menées dans les accélérateurs de particules artificiels comme le LHC situé à Genève reproduisent à une échelle réduite certains rouages de cette mécanique.
La chine souhaite construire pour 2020 aussi cet outils de travail (un accélérateur de particules) qui sera complémentaire au LHC situé en Europe, concernant les bosons.
Cette découverte voir article ci-dessous va – elle changer la donne pour les secteurs de recherches futurs ?
La cosmologie est en pleine mutation, ceci nous le savions déjà.
Nous devons être curieux car derrière les résultats, notre monde pourrait franchir un cap qui donneront des applications dans les secteurs de pointe comme l’énergie qui est la base de tout fonctionnement d’une civilisation moderne et peut-être bien plus encore.
Le mystère des systèmes binaires émetteurs de rayons gamma
Article source: techno-science.net
Posté par Redbran le Mardi 16/08/2016 à 12:00
Les rayons gamma sont une forme de rayonnements électromagnétiques à haute énergie, connus pour être émis par les étoiles lorsqu’elles se désintègrent dans des trous noirs. Les observations effectuées dans le cadre des collaborations HESS et MAGIC ont identifié des centaines de sources de lumière de ce type avec des énergies de plusieurs mégaélectronvolts (MeV).
Le projet GAMMARAYBINARIES (Exploring the gamma-ray sky: Binaries, microquasars and their impact on understanding particle acceleration, relativistic winds and accretion/ejection phenomena in cosmic sources) a mis en lumière comment des émissions à haute énergie peuvent survenir à partir de ces systèmes.
À des énergies de ce niveau, les processus non thermiques, comme par exemple les éjections relativistes à partir d’objets compacts, sont dominants. Les chercheurs ont identifié quelques-unes de ces sources de rayons gamma avec des systèmes binaires composés d’une étoilemassive et d’une compagne compacte, étoile à neutrons ou trou noir. Des rayons gamma haute intensité sont également émis par des systèmes d’étoiles binaires dans lesquels chaque étoile génère un ventstellaire si puissant qu’elles entrent en collisionavec le vent de l’autre étoile.
Une caractéristique distinctive des systèmes binaires à rayons gamma est que les émissions supérieures à 1 MeV dominent leur spectre, dissimulant le composant de typecorps noir de l’étoile compagne. Une autre de leurs caractéristiques est qu’elles ont toutes des émissions de rayons gamma variables, parfois modulées par la période orbitale.
Les chercheurs ont combiné des simulations hydrodynamiques des émanations relativistes avec les modèles d’émissions pour explorer ces modulations de rayons gamma. Le travail théorique qui a suivi la détection des systèmes binaires émetteurs de rayons gamma a révélé des processus similaires à ceux à l’œuvre dans d’autres types de sources astrophysiques.
Cependant, ce travail visant à expliquer les émissions de rayons gamma par les systèmes binaires a mis à l’épreuve les théories existantes des processus astrophysiques à haute énergie, en les testant à des échelles et dans des conditions inédites jusqu’à présent. C’est la raison pour laquelle ces nouvelles observations sont si utiles.
Le projet GAMMARAYBINARIES a révélé une variété de systèmes binaires émettant des rayons gamma et démontré que l’accélération de particules est beaucoup plus répandue que ce que l’on aurait pu penser il y seulement dix ans.
D’abord, le principal projet alors en cours au sujet de la fusion nucléaire est le fameux Iter, projet international à 15 milliards de dollars (soit un tiers du chiffre d’affaire annuel de Lockheed Martin, pour donner une idée du rapport) dont la construction du réacteur prototype ne devrait être achevée qu’en 2020, pour une exploitation possible seulement quelques décennies après, vers le milieu du siècle. Qu’une unique entreprise privée affirme pouvoir faire mieux en moins de temps et d’une manière différente (un réacteur contenant dans un semi-remorque promis contre un réacteur de la taille d’un immeuble pour Iter) est en soi surprenant.