Parmi les théories en matière de cosmologie la singularité est certainement celle qui est la plus pointue.
Si la singularité existe réellement, alors son fonctionnement ouvre des portes pour nous aider à comprendre l’univers son fonctionnement et tout ce qu’il contient, probablement.
La science-fiction s’inspire plus ou moins de cela.
En ce qui concerne les mystères comme ceux de la vie, de l’existence, des apparitions d’OVNI ou de la mort après la vie, etc , l’origine de la singularité peut -elle être le fruit de l’existence avec ou sans créateur ?
Alors cet article ci-dessous explique en résumé quelques fondamentaux théoriques d’un point de vue scientifique.
Qu’est-ce qu’une singularité gravitationnelle ?
Article source : trustmyscience.com
Thomas Boisson
En 1915, le physicien Albert Einstein publie ses travaux sur la relativité générale. Pour la première fois, la gravitation n’est plus traitée comme une force exercée entre deux corps selon la conception newtonienne, mais comme la déformation de l’espace-temps en présence d’énergie. Lorsque les phénomènes gravitationnels deviennent extrêmes, l’espace-temps peut donner lieu à l’émergence de singularités gravitationnelles.
L’équation d’Einstein, encore appelée équation du champ gravitationnel, est le socle mathématique de la relativité générale. Elle relie la courbure de l’espace-temps à la distribution masse-énergie. Ainsi, la structure géométrique de l’espace-temps est directement reliée au tenseur énergie-impulsion (outil mathématique décrivant la répartition masse-énergie dans l’espace-temps). Malgré la grande complexité de ces équations aux dérivées partielles non linéaires, la recherche de solutions à celles-ci est importante en cosmologie.
En effet, les solutions à l’équation du champ correspondent aux différentes valeurs que peut prendre le tenseur métrique gµv ; ce dernier est le tenseur décrivant la géométrie de l’espace-temps (longueurs et angles principalement). Ces solutions sont donc appelées des « métriques ». Plusieurs métriques, correspondant à des configurations spatio-temporelles différentes, ont déjà été mises en évidence depuis 1915 : la métrique de Minkowski décrivant un espace-temps vide de matière et d’énergie, la métrique de Schwarzschild décrivant l’espace-temps autour d’une distribution sphérique de masse-énergie (trou noir statique par exemple), la métrique FLRW (Friedmann-Lemaître-Robertson-Walker) décrivant un espace-temps homogène et isotrope en expansion, etc.Cependant, la résolution des équations du champ ne donne pas toujours des solutions exactes ou approchées. Dans certaines conditions, impliquant des phénomènes gravitationnels particulièrement extrêmes, l’équation d’Einstein amène à des solutions indéfinies ; plus précisément, l’objet mathématique qui émerge de ce contexte particulier est impossible à définir. Une telle « indéfinition » mathématique est appelée une « singularité ». Ces situations où la géométrie de l’espace-temps est indéfinie sont le centre des trous noirs et le point d’origine de l’univers.À la fin des années 1960, les physiciens britanniques Stephen Hawking et Roger Penrose se penchent sur le problème des singularités dans le cadre de la relativité générale. Dans l’impossibilité d’effectuer des simulations numériques pour déterminer l’évolution concrète d’un astre massif en effondrement gravitationnel, les deux physiciens énoncent, à partir des équations du champ, un certain nombre de conditions nécessaires à l’apparition d’une singularité gravitationnelle. Ces « règles » donneront naissance au théorème sur les singularités.Parmi ces conditions se trouvent la nécessité d’une gravitation attractive et donc d’une pression positive à haute densité (une pression négative au cœur des étoiles serait « éliminatoire ») ainsi que l’existence d’une dépendance entre le champ gravitationnel et la géométrie de l’espace-temps. Ces pré-requis très généraux s’adaptent à n’importe quelle théorie de la gravité, dès lors que celle-ci respecte les deux conditions majeures énoncées ci-dessus.La conséquence principale des travaux de Hawking et Penrose est que l’émergence d’une singularité s’accompagne nécessairement d’un horizon des événements. Penrose ira même jusqu’à proposer l’hypothèse de la censure cosmique, interdisant l’existence de singularités nues (c’est-à-dire sans horizon des événements) ; elle sera réfutée dans les années 1990.Les singularités gravitationnelles ne sont donc pas des objets physiques tangibles mais uniquement des zones de l’espace-temps dont la géométrie est indéfinie. Elles correspondent aux limites mathématiquesde la théorie d’Einstein et peuvent être perçues comme une « pathologie » de la relativité générale. L’émergence de singularités – et donc de divergences, des quantités infinies – au sein des équations d’Einstein montre l’impuissance mathématique de la théorie à décrire certains phénomènes gravitationnels extrêmes. L’existence de singularités signe donc l’incomplétude de la relativité générale.L’objectif des théories de la gravité quantique actuelles est justement de se débarrasser de ces singularités afin d’obtenir une description cohérente de l’espace-temps, principalement lorsque les phénomènes gravitationnels deviennent si extrêmes qu’ils présentent des effets quantiques. Ainsi, la théorie des supercordes supprime les singularités en les remplaçant par des condensats de supercordes, tandis que la gravitation quantique à boucles les remplace par un rebond quantique. L’absence de singularités au sein d’une théorie de la gravité quantique est un fort indice en faveur de sa cohérence.
Un astrophysicien affirme que le voyage dans le temps est « théoriquement possible »…
Ethan Siegel se base sur la relativité générale d’Einstein pour développer son propos dans les colonnes du magazine Forbes. Il évoque notamment le concept du « trou de ver ». Il existe théoriquement dans l’Univers des variations d’énergies, des particules de masse positive et d’autres de masse négative, et la rencontre de ces deux forces contraires suscitent les spéculations les plus folles, invérifiables dans l’état actuel des connaissances scientifiques. En effet, cette rencontre de forces opposées est censée provoquer l’apparition d’un trou de ver quantique, potentiellement « traversable », illustre Fredzone qui relaie la thèse d’Ethan Siegel. Si ce « trou de ver » se maintenait suffisamment longtemps, il serait donc possible de passer d’un espace-temps à un autre. Un problème toutefois: personne n’a jamais pu prouver l’existence réelle de la masse négative, même si les lois de la physique permettent de l’envisager. Si l’on considère la théorie de la relativité restreinte, on apprend que la vitesse de la lumière est toujours identique. Si quelqu’un voyage dans l’espace à cette vitesse pendant un an et revient ensuite sur Terre, au moment de retrouver ses proches, il constatera que ces derniers auront vieilli beaucoup plus que lui. Mais si le « trou de ver » connecte ces deux situations, avec une extrémité à proximité de la Terre et l’autre « dans un voyage relativiste proche de la vitesse de la limière », deux espaces-temps coexisteraient alors. Imaginons que ce « tunnel spatio-temporel » ait été créé il y a 40 ans, sa traversée permetterait de passer des années 70 à aujourd’hui. Au-delà de toutes ces spéculations physiques, un autre problème, beaucoup plus élémentaire, se pose toutefois: l’être humain serait-il capable de survivre à un tel voyage?
Publié par Léa Esmery, le 20 mai 2015- article source : maxisciences.com(Gentside)
La NASA a annoncé qu’elle avait testé un nouveau système de propulsion sans carburant qui pourrait permettre de se rendre sur la Lune en quatre heures seulement. Cette technologie inspirée du « Warp Drive » de la série Star Trek serait à même de dépasser la vitesse de la lumière.
Les scientifiques aussi aiment la science-fiction. La preuve ? Ils s’en inspirent. La NASA a annoncé avoir testé une technologie similaire au « Warp Drive » de la série Star Trek. Cette méthode de propulsion fictive serait ainsi quasi-reproduite par un moteur spatial du nom d’EmDrive. Cet appareil, inventé il y a presque dix ans, par le scientifique britannique Roger Shawyer laisse encore perplexe de nombreux scientifiques. L’EmDrive violerait en effet l’un des principes fondamentaux de la physique : la conservation de la quantité de mouvement. Une certitude qui n’a pourtant pas empêché la NASA de mener pour la première fois des tests sur ce moteur révolutionnaire.
Il n’y a aucune magie là-dedans. C’est entièrement dû aux lois de Newton, Einstein et Maxwell. Il suffit de comprendre l’ingénierie des micro-ondes, ce que beaucoup de gens sont incapables de faire. Pourtant, le raisonnement sous-tendant tout cela est plutôt simple« , affirme Roger Shawyer sur le site du Dailymail. Des lasers capables de dépasser la vitesse de la lumière L’EmDrive est un cône doté d’un magnétron, un dispositif produisant des micro-ondes. Elles sont canalisées à l’intérieur d’une cavité résonnante métallique offrant deux surfaces réflectives de taille différente. Sans système mécanique ni rejet de matière, le moteur génère alors une force de poussée en direction de la plus petite surface de la cavité. Il fonctionnerait donc grâce à l’électricité et sans aucun combustible. Selon le site Nasa SpaceFlight, les scientifiques ont testé ce système de propulsion en situation « réelle », en recréant le vide spatial. Des lasers étaient envoyés dans la chambre de l’EmDrive et se trouvaient accélérés sous son influence. D’après l’article, certains auraient même dépassé la vitesse de la lumière. Ils seraient ainsi capables de parcourir environ 724 millions de kilomètres en une seule heure.
De fait, ce moteur pourrait à terme permettre d’aller sur la Lune en seulement quatre heures. Mais cette annonce n’a, semble-t-il, pas convaincu son inventeur. Roger Shawyer a affirmé qu’il faudrait dix ans à une sonde interstellaire pour atteindre ne serait-ce que les deux tiers de la vitesse de la lumière, alors que l’EmDrive accélère graduellement, d’une manière continue, tant qu’une source d’énergie vient l’alimenter.
Une technologie écologique et révolutionnaire Ces tests ont une nouvelle fois suscité un vaste scepticisme du côté des spécialistes. Les résultats doivent ainsi encore être confirmés. Mais le champ d’application de cet appareil ne se résumerait pas qu’à l’exploration spatiale. L’EmDrive pourrait également être utilisé pour créer de nouveaux moyens de transports révolutionnaires ici, sur Terre. Il réduirait à la fois le temps de transport, mais aussi la pollution qui va avec, cette technologie n’utilisant aucun carburant, uniquement l’énergie électrique. « La chose la plus importante dans tout cela c’est que l’EmDrive est écologique, pratique et viendra révolutionner notre monde dans les décennies à venir », a conclu Roger Shawyer.
Remarque adm
crédit photo :sylvain Matisse
sylvain Matisse
« De notre côté nous nous sommes très tôt intéressés à ce genre d’avancée même si certaines d’entre elles sont encore en cours de réalisation et sont bien souvent camouflées au reste du monde.
En effet comme je l’ai martelé assez souvent, je pense que certains O.V.N.I. sont des vaisseaux expérimentaux bel et bien manufacturés par la main de l’homme et pour des raisons simple, ses spécimens sont gardés secret, juste le temps nécessaire de finaliser le produit et d’avancer sur un autre encore plus élaboré avant de se dévoiler et de commercialiser ces nouveaux appareils et toute la technologie qui va avec cela va de soi.
Alors bien entendu certains resterons sceptiques tout comme ce qui concerne le sujet O.V.N.I dans son ensemble et du même coup ils rejettent l’existence possible d’extraterrestres.
Au milieu des faits des théories:
Vaisseaux futuristes (humains) et H.E.T ( Hypothèse Extraterrestre)
Ces deux hypothèses sont-elles si farfelues et éloignées au fond ? Je vous pose cette question simple dont la réponse est pour l’ heure plus difficile à répondre qu’il n’y paraît. Ce qui amène alors une troisième alternative. Des programmes plus ou moins expérimentaux issus de la rétro ingénierie sont-ils possibles et en cours? . En tout cas nos recherches continuent même dans ce domaine si particulier et fermé que celui de l’aéronautique et les disciplines que nous nommerons par convention, annexes.«
Mise à jourinvestigations ufoetscience, le: 27 /05/2015 à : 12h35.
Le vrai Enterprise de la NASA pourrait nous emmener un jour vers d’autres systèmes solaire. Le Dr Harold sony white travaille toujours sur le concept du warp drive au centre spatial Jonhson de la NASA.
crédit: sploid.gizmodo.com/
Leur travail en est toujours au stade expérimental, mais cela ne signifie pas qu’ils ne peuvent pas déjà imaginer ce à quoi le vaisseau ENTERPRISE devrait ressembler dans la réalité selon leus calculs. Vous êtes en train de le regarder ( voir photos).
C’est le vaisseau qui peut nous conduire où aucun humain n’est allé auparavant.
Il m’ a fait crier comme une fillette Klingon.
crédit: sploid.gizmodo.com/
Mark Rademaker artiste spécialisé de la 3D a déclaré qu’il a travaillé avec white à la conception d’un modèle mis à jour qui inclue un vaisseau élégant niché au centre de deux énormes anneaux qui créent la bulle du warp drive.
crédit: sploid.gizmodo.com/
Le modèle mis à jour est celui que vous pouvez voir ci-dessus, une variation du concept original qui, selon le Dr White, a été rendue par Rademaker basé sur une idée de Matthew Jeffries, le gars qui a apporté « le look Star Trek familier. » C’est le concept original de vaisseau warp drive.
crédit: sploid.gizmodo.com/
Le Docteur White dont le quotidien est de travailler à des solutions futures de propulsion pour les Voyages interplanétaires dans un avenir proche, comme les propulseurs à ion et à plasma a résolu les problèmes du concept Drive d’Alcubierre, une théorie qui permettrai le voyage plus rapide que la lumière basée sur les équations du champ d’Einstein en relativité générale, développés par le physicien théorique Miguel Alcubierre.
crédit: sploid.gizmodo.com/
Un vaisseau spatial équipé d’un warp drive permettrait le voyage à une vitesse supraluminique (plus rapide que la lumière) en courbant l’espace autour de lui, raccourcissant les distances. Au niveau local, cependant, le vaisseau ne se déplacerait pas plus vite que la lumière. Par conséquent, le voyage warp drive ne viole pas le premier commandement d’Einstein: Tu ne voyageras pas plus vite que la lumière.
Voici plusieurs vues du IXS Enterprise lors de sa phase de construction, le concept que le Dr White développé avec Rademaker:
Le vaisseau spatial me rappelle un peu celui de Interstellar de Chris Nolan, un film qui, en théorie – montrera un voyage supraluminique réaliste. C’est une vue partielle du vaisseau dans le film, qui a aussi une sorte d’anneau autour.
Pas un fantasme, mais de la vraie science
Mais Interstellar est de la science-fiction. Le travail du Dr White en tant que Responsable sur le thème de la propulsion avancée pour la Direction de l’ingénierie de la NASA est de la science. Et tandis que son département ne reçoit que des cacahuètes par rapport au budget de la NASA (sans parler de celui du Pentagone) je trouve ses paroles réconfortantes :
Peut-être qu’une expérience Star Trek dans notre vie n’est pas une possibilité lointaine.
Voyez-vous, le Dr White et ses collègues ne font pas un film ou une sortie avec des rendus 3D pour le plaisir de le faire. Ils ne se contentent pas de croire qu’un moteur à distorsion dans la réalité soit théoriquement possible ; ils ont déjà commencé le travail pour créer un.
La feuille de route vers le warp drive
Selon le Dr White, il s’agit d’une feuille de route qu’ils doivent suivre pour atteindre cet objectif final de Voyage interstellaire rapide. Il explique cette feuille de route dans la vidéo ci-dessus.
Si son travail est réussi, il dit que nous serions en mesure de créer un moteur qui nous mènera vers Alpha du Centaure « en deux semaines, telles que mesurées par les horloges sur Terre. » Le temps sera le même dans le vaisseau spatial et sur la terre, prétend-il, et il n’y aura pas « des forces de marée à l’intérieur de la bulle, pas de problèmes excessifs, et l’accélération propre est nulle. Lorsque vous allumez le champ, tout le monde n’ira pas se claquer contre la cloison, ce qui serait un voyage très court et triste. «
Chaque fois que je lis ce paragraphe, je souris et mon sourire est si large qu’il me fait paraître stupide.
OK, Dr White, vous avez obtenu notre attention. Faites le.
Mise à jourinvestigations ufoetscience, le : 12/06/2014 à :00h05.
Et si le saut temporel était possible ? C’est en tout cas la conclusion à laquelle les chercheurs de la Nasasont arrivés en étudiant un projet de voyage spatial.
io9.com
Harold White, un physicien travaillant actuellement sur ce projet, explique dans une interview donnée au site io9 qu’un déplacement supraluminique (plus rapide que la lumière) pourrait être possible.
Plutôt que de déplacer un vaisseau à une vitesse supérieure à celle de la lumière, les scientifiques pensent à une méthode proche de ce que l’on peut voir dans Star Trek avec les « Warp Drive ». Il n’existe pas de traduction exacte de ce terme en français, mais le concept qui s’en rapproche le plus est celui de la distorsion temporelle. Mais pour faire simple, il s’agit en réalité de réduire la taille de l’espace dans un champ donné. Ainsi, plutôt que de faire bouger le vaisseau, c’est l’espace autour de ce vaisseau sur lequel on agit.
io9.com
La technologie de Star Trek appliquée à la NASA ?Reste à maîtriser un critère : l’énergie nécessaire pour déplacer un vaisseau spatial sera largement supérieure à ce que l’on est actuellement en mesure de produire. Mais sur le papier, le potentiel d’un tel dispositif est énorme.Harold White explique que pour atteindre le systèmeApha du Centaure, situé à 4,4 années-lumière de nous, cela ne prendrait que deux semaines.
Bien sûr, les recherches de la Nasa se focalisent pour l’instant sur une application à petite échelle. Mais le simple fait qu’un concept illustré dans Star Trek puisse-t-être envisagé un jour risque de réjouir un paquet d’amateurs.
Mise à jourinvestigations ufoetscience, le: 11/03/2013, 15h55.