Dans un nouvel article, un scientifique de la NASA soutient que les extraterrestres sont peut-être déjà parmi nous.
Pour le professeur Silvano P. Colombano, informaticien au centre de recherches Ames de la NASA diplômé en biophysique, l’être humain, qui s’attend à voir des bonshommes verts, a peut-être cohabité avec une forme de vie extraterrestre sans même s’en apercevoir.
«Je veux simplement démontrer que l’intelligence que l’on pourrait trouver, ou qui pourrait choisir de nous trouver (si ce n’est pas déjà fait), n’est probablement pas le produit d’organismes issus du carbone comme nous», a-t-il expliqué dans son court article.
Selon lui, il pourrait s’agir d’une «entité super-intelligente, extrêmement petite», qui s’est peut-être approchée de notre planète à bord d’OVNIs. Toutes ces manifestations «ne peuvent être expliquées ou niées», souligne le professeur.
Selon sa théorie, si les extraterrestres ont réussi à s’approcher de nous, cela signifierait qu’ils ont mis au point des technologies bien plus avancées que les nôtres.
«Si nous adoptons une nouvelle série d’hypothèses concernant une forme d’intelligence et une technologie supérieures que nous pourrions trouver, certains phénomènes pourraient correspondre à des hypothèses spécifiques, et on pourrait commencer des enquêtes sérieuses», a-t-il conclu.
Modèle « Janus » de Jean-Pierre PETIT, le futur de la cosmologie ? Crédit : agoravox.fr
Mercredi 26 septembre 2018 à 14h10.
Les travaux de Jean -Pierre Petit sont intéressants même si ce savant est contesté par ses pairs issus de la communauté scientifique elle même.
Ce qu’il propose dans son document ci-dessous ouvre une porte concernant la physique et je pense qu’il faut que les autres scientifiques travaillent ou regardent les travaux de Jean- Pierre Petit que plutôt de chercher à le démonter systématiquement .
Ce serait utile pour ne pas dire bénéfique pour la science d’appréhender comme il se doit les travaux de Jean- Pierre petit et même si des éléments ne sont pas entièrement exactes , ô combien même qu’il y ait des erreurs, les travaux du savant apporteront des réponses, des orientations qui feront évoluées nos connaissances, car la science à besoin plus que jamais d’évoluer et pour cela il faut parfois accepter ce qui paraît inconcevable lorsque sont livrées de réels arguments. Jean -pierre Petit apporte des éléments qui ne demandent qu’à être examinés, à exploiter. Nous sommes à un tournant historique au niveau de la recherche fondamentale en cosmologie. Alors ne ratons pas le virage. La physique quantique elle même décriée fait son chemin petit à petit et les réfractaires deviennent au fil du temps et grâce aux nouvelles technologies et des récentes découvertes de moins en moins nombreux. Alors la science frileuse doit se remettre en question si non tôt ou tard elle n’avancera plus.
Une pétition est lancée je l’ai signé afin de contribuer à la recherche d’une certaine manière. ( disponible sous ce texte et les références utilisées .)
* Le document de Jean -Pierre Petit est disponible en version PDF ( cliquer sur l’image ) tout en bas de mon petit article
Pétition adressée à l’Institut des hautes études scientifiques de Bures sur Yvette.
Depuis de nombreuses années, Monsieur Jean-Pierre Petit, ancien directeur de recherche du CNRS à l’Observatoire de Marseille cherche à présenter le fruit de ses recherches (modèle cosmologique Janus) au séminaire de cosmologie de Bures sur Yvette. Malgré de nombreuses demandes, aucune réponse ne lui a jamais été donnée.
Pour que la recherche ne soit pas exclusivement institutionnelle, que des idées nouvelles sortant du formalisme académique puissent s’exprimer, apportez votre soutien.
Par avance merci afin d’appuyer cette demande je tiens à préciser que les principaux éléments de cette théorie ont été édités dans des revues à comité de lecture, et que cette même théorie est conforme à de nombreuses données observationnelles.
Pour plus d’informations je vous invite à visionner la série de vidéos réalisées par l’auteur et diffusées sur youtube intitulées Janus (25 épisodes) ainsi qu’un lien vers la traduction du dernier article publié.
Article source: futura-sciences.com- Publié le 04/04/2018 par Xavier Demeersman
À quelques dizaines de millions de kilomètres de nous, Vénus, sœur jumelle de la Terre, a mal tourné sans que l’on sache vraiment quand et pourquoi. À sa surface, si belle au crépuscule ou à l’aube, c’est en effet l’enfer… Plus proche du Soleil et soumise à un puissant effet de serre, la planète subit une température moyenne au sol de 450 °C. La pression atmosphérique y est énorme (92 fois celle de la Terre) et il y pleut de l’acide sulfurique. Dans ces conditions, donc, difficile d’imaginer que de la vie puisse exister au sol.
Et pourtant, « certains modèles suggèrent que Vénus avait autrefois un climat habitable avec de l’eau liquide sur sa surface pendant 2 milliards d’années. C’est beaucoup plus long que [la durée estimée] sur Mars », souligne Sanjay Limaye, spécialiste des atmosphères planétaires et l’auteur principal d’une étude qui vient de paraître dans Astrobiology. Toutefois, si de la vie a émergé durant ce laps de temps, elle a disparu depuis longtemps avec les océans, et ses traces ont été recouvertes par des coulées de lave récentes à l’échelle géologique. Selon le chercheur de l’université de Wisconsin-Madison et ses collègues, ce n’est donc pas là qu’il faudrait chercher de la vie qui aurait survécu mais dans son atmosphère. C’est là qu’elle aurait trouvé refuge. Et se trouverait sous nos yeux depuis des décennies qu’on observe notre voisine dans l’ultraviolet.
L’idée d’une vie dans les nuages de Vénus n’est pas nouvelle. Elle a été émise en 1967 par les célèbres Harold Morowitz et Carl Sagan. Un peu plus tard, les sondes spatiales qui ont approché notre ardente voisine ont montré qu’entre 40 et 60 kilomètres d’altitude, les températures (entre 0 et 60 °C) et les pressions (entre 0,4 et 2 atmosphères) sont plus favorables. En outre, les nuagessont riches en souffre et en dioxyde de carbone.
Efflorescence de bactéries dans les nuages de Vénus ?
Ce qui a donné envie à Sanjay Limaye de creuser cette question, ce sont les mystérieuses taches sombres observées depuis près d’un siècle déjà dans les basses couches de l’atmosphère de Vénus. « Vénus montre quelques taches épisodiques riches en soufre, avec des contrastes allant jusqu’à 30-40 % dans l’ultraviolet, et une absorption des longueurs d’onde plus longues. Ces taches persistent pendant des jours, changeant constamment de forme et de contraste et semblent dépendre de l’échelle », explique le chercheur. Son collègue Grzegorz Słowik, de l’université de Zielona Góra (Pologne), qui s’est associé à ces recherches, lui avait parlé quelque temps auparavant de bactéries terrestres dont les propriétés d’absorption de la lumière sont comparables à ces particules sombres de nature inconnue. Et elles ont presque les mêmes dimensions.
Il serait possible qu’après la disparition de ses océans, des bactéries se soient réfugiées en altitude dans ce milieu plus hospitalier. Après tout, des bactéries vivantes ont bien été retrouvées dans l’atmosphère terrestre, jusqu’à 41 kilomètres au-dessus du sol. Alors, pourquoi pas sur Vénus ? Sans oublier que des bactéries s’épanouissent aussi dans des environnements très acides comme les sources chaudes à Yellowstone ou tout aussi hostiles (pour nous) que les sources hydrothermales dans les profondeurs des océans. « Sur Terre, nous savons que la vie peut prospérer dans des conditions très acides, se nourrir de dioxyde de carbone et produire de l’acide sulfurique. » Alors, comme il y a du dioxyde de carbone et de l’acide sulfurique avec des gouttelettes d’eau dans les nuages de Vénus… On peut imaginer que certaines formes de vie puissent y survivre.
Alors, à l’image des résidus poudreux de bactéries fixant le soufre concentré dans l’herbe en décomposition qu’il a observés au bord du lac salé de Tso Car — en altitude, dans le nord de l’Inde — et flottant dans l’atmosphère, Sanjay Limaye n’exclut donc pas que des colonies de bactéries fleurissent dans les nuages de Vénus.
Ce sont bien sûr des hypothèses. Personne ne possède encore de preuves d’une vie sur Vénuspour l’instant. Mais on pourrait aller le vérifier et pour cela l’équipe propose de dépêcher sur place une sonde dotée d’instruments qui permettraient de trancher la question. L’engin pourrait ressembler au projet Vamp (Venus Atmospheric Maneuverable Platform), capable de flotter comme un dirigeable et de collecter des échantillons. « Pour vraiment savoir, nous devons y aller et goûter les nuages, lance Rakesh Mogul, qui a cosigné l’étude. « Vénus pourrait être un nouveau chapitre passionnant dans l’exploration de l’astrobiologie. »
CE QU’IL FAUT RETENIR
La possibilité que de la vie puisse survivre dans les nuages de Vénus a été émise dés 1967.
Entre 40 et 60 km d’altitude, les sondes ont montré que les conditions sont compatibles avec la vie.
Des chercheurs émettent l’hypothèse que les taches sombres remarquées dans l’ultraviolet dans les nuages de Vénus pourraient être des efflorescences de bactéries.
J’ai déjà abordé ce thème plus ou moins, ceci reste une des nombreuses possibilités du moins en théorie.
Une civilisation biologique éteinte a -t-elle engendré un autre genre d’être vivant avant de disparaître ?
Une relève pas très rassurante pourrait vagabonder dans l’espace et le temps.
-Les créatures évoluées pourraient -elles être artificielles genre cyborg ou autre? Elles auraient alors rectifié leur créateur puisqu’il serait devenu insignifiant pour ces machines. La visite d’OVNI est sans doute de cet acabit, des vaisseaux autonomes qui s’adaptent à l’environnement visité avec ce net avantage de ne pas être fait de chair et sang ce qui résous en partie le problème des vitesses supraluminiques quand elles seront atteintes et bien d’autres désagréments. Lorsque la formule sera découverte, et les matériaux trouvés, alors les applications deviendront réalisables ,certainement. Les vaisseaux seraient vides de toute vie biologique. Ils seraient alors une intelligence itinérante et ils seraient une forme de vie à part entière, capables d’évoluer par eux même , puis s’adapter , corriger, s’améliorer . C’est ce que fera sans doute l’IA (Intelligence Artificielle) , chez nous sur notre planète tôt ou tard . L’humain cherche un être semblable, pour se rassurer sans doute et une planète habitable pour rester immortel et présent dans l’univers à travers les âges. Mais ce petit jeu à un prix. Celui de perdre son identité au profit de sa création qui deviendrait arrogante et conquérante. Alors ce serait l’ironie du sort. A vouloir tout maîtriser le maître pourrait se voir puni par son élève.
Un hologramme, un androïde, un vaisseau changeant de forme, l’intelligence artificielle pourrait prendre différentes formes et tout autant d’orientations sur le destin sans oublier aussi qu’elle choisira sa destination avec ou sans but précis.
Les OVNI et les OANI pourraient-ils avoir une origine purement artificielle qui se serait auto améliorée depuis sa création? Qui serait ce créateur, d’où viendraient ces machines et quel âge auraient elles ?
La question primordiale est sans doute celle-ci. Pouvons nous envisager ce scénario qui est pour l’heure de la SF ( Science Fiction) ?
OVNI ou lueur naturelle liée à une activité sismique ou volcanique? Janvier 2017 : Popocatepetl. Caméra automatique de surveillance de la ville de MEXICO. Capture d’écran Youtube
Nous évitons au préalable de diffuser des vidéos d’amateurs sur nos sites web, car sans les circonstances mentionnées avec des détails cela ne constitue pas une preuve suffisante pour accréditer un OVNI au sens littéraire du terme. Après si les cas présentés en vidéo sont véridiques, il manquera toujours l’explication ferme et définitive, un doute étant toujours possible.
Pour autant, nous pouvons quelquefois faire exception à notre règle. Cette vidéo que nous partageons ici, peut aider en un sens. En effet, nous avons assez de témoignages qui se rapprochent de ces globes lumineux.
Cette vidéo n’engage que la bonne foi de celles ou ceux qui les ont mis en ligne, pas la nôtre.
Nous partageons cette vidéo, car elle peut en un sens aider des témoins, des enquêteurs lors de recueils de témoignages. Ainsi un observateur pourrait dire, voilà ici ça se rapproche de ce que j’ai vu, et ô combien même que la vidéo peut être discutée sur son authenticité des faits.
L’astéroïde `Oumuamua intrigue avec sa forme allongée. Trop petit pour être le vaisseau Rama, du roman d’Arthur Clarke, ne pourrait-il pas être tout de même une sonde interstellaire de passage dans notre Système solaire ? C’est la question que semblent se poser les membres du programme Seti ayant écouté le voyageur avec des radiotélescopes.
CE QU’IL FAUT RETENIR
L’origine interstellaire de l’objet désormais nommé 1I/2017 U1 ( Oumuamua) est confirmée.
Il s’agit du premier astéroïde venu d’ailleurs jamais observé.
Nombre de télescopes le suivent de très près. Les premières mesures montrent qu’il est très allongé, « une forme extrêmement inhabituelle » pour un astéroïde. Pourrait-il être une sonde interstellaire équipée d’une super IA, comme dans le roman Rendez-vous avec Rama, d’Arthur Clarke ?
Pour tous les fans de science-fiction, en particulier ceux qui se sont dirigés vers les sciences sous son influence, la découverte de `Oumuamua, l’astéroïde venu d’un autre système planétaire, ne peut que faire songer à Arthur Clarke et son célèbre roman Rendez-vous avec Rama. L’ouvrage met en effet en scène la découverte, en 2131, par les radars terrestres destinés à protéger la Terre des géocroiseurs, d’un astéroïde de grande taille dont les paramètres orbitaux indiquent une origine en dehors du Système solaire.
Baptisé Rama en l’honneur d’un dieu du panthéon hindou, l’objet se révèle en fait rapidement être un gigantesque cylindre quasi parfait, dont l’envergure est d’environ 50 km de long par 20 km de diamètre. Il s’agit donc incontestablement d’un artefact d’une civilisation ET technologiquement avancée.
Le cerveau des astronautes modifié après un long vol dans l’espace
article source : 7sur7.be/
Par Sarah Winkel 2/11/17 – 13h56 Source: CNN, New England Journal of Medicine
Selon une étude publiée mercredi dans le « New England Journal of Medicine », le cerveau des astronautes a tendance à se déplacer vers le haut de leur boîte crânienne lors de voyages spatiaux prolongés.
Si on savait déjà que les séjours spatiaux avaient des conséquences sur le corps des astronautes, on apprend aujourd’hui qu’ils en ont également sur leur cerveau. Pour arriver à une telle conclusion, des chercheurs de l’Université de Caroline du Sud, aux Etats-Unis, ont effectué des radios du cerveau de 34 astronautes avant et après leur séjour dans l’espace. Ces examens IRM ont révélé des modifications cérébrales chez les majorités d’entre eux revenant de missions spatiales à long terme: après trois mois, le cerveau avait tendance à se déplacer vers le haut de leur boîte crânienne. « Il semble y avoir une augmentation du liquide céphalo-rachidien et un déplacement du cerveau dans le crâne« , explique à CNN le professeur Rachael Seidler, qui a travaillé sur des études similaires. Ce déplacement « serre » ainsi le crâne, et rend l’espace entre les différentes régions du cerveau plus petit. « Il est désormais important de poursuivre avec des études supplémentaires pour examiner la durée de ces changements« , a-t-elle ajouté. Source Mise à jour investigations ufoetscience, le : 21/11/2017 à 13h30.
Edgar Mitchell, Gordon Cooper, Deke Slayton, Brian O’Leary, Marina Popovitch, Mary Anne Stefany Shyn-Piper, Tom Jones, Edwin «Buzz» Aldrin, Paul Hellyer. Que penser de leurs révélations ?
Pour l’astronaute français de l’Agence Spatiale Européenne (ESA) Jean-François Clervoy, l’existence Ovnis n’est plus à débattre : les incursions de ces engins non-terrestres sont une réalité.
« Ça n’est pas une question de croire ou de ne pas croire, ces phénomènes sont prouvés » déclare-t-il dans le documentaire Enquêtes Extraordinaires diffusé à l’été 2013 sur la chaîne M6. « Il y a des phénomènes aérospatiaux non identifiés avérés (…) pour lesquels il n’y a aucune explication connue en aéronautique, en spatial, en matériaux, en capacité d’évolution, en vitesse, en taux de virage, etc. Donc ça, c’est connu : il n’y a pas à les remettre en doute.
« Reste l’hypothèse extraterrestre »
Et l’astronaute français de poursuivre : « Ce qui est fascinant, c’est qu’il y a des phénomènes avérés qui sont racontés de la même façon par des personnes différentes qui ne se connaissent pas forcément. Et il y a plusieurs points communs : c’est très furtif, aucun bruit ; c’est très agile, ça peut suivre un avion qui évolue. Donc il y a une forme d’intelligence dans ce phénomène ou cet objet, mais aujourd’hui, avec tout ce que l’on connaît de possible sur Terre, on ne peut pas l’expliquer. Donc qu’est-ce qui reste comme hypothèse ? L’hypothèse extraterrestre. »
« Ceux qui pensaient qu’on était tout seul sont de moins en moins nombreux. »
« Dans l’univers visible, il y a entre cent et deux cent milliards de galaxies et, dans chaque galaxie, il y a de l’ordre de cent milliards d’étoiles. Ça fait 10 avec 22 zéros étoiles ; autour des plus proches, on trouve des planètes … Vous imaginez le nombre de planètes probablement existantes dans l’Univers ? La probabilité que l’une d’entre elles soit similaire à la Terre et puisse abriter la vie est forcément d’un niveau raisonnable qui permet de penser que c’est vraiment possible. Il ne faut pas s’interdire de croire que la vie existe ailleurs, ni d’ailleurs la vie intelligente. Il ne faut pas s’interdire de croire non plus qu’on est tout seuls. Mais ceux qui pensaient qu’on était tout seuls sont de moins en moins nombreux. »
Jean-françois Clervoy est diplômé de l’Ecole polytechnique, de l’Ecole nationale supérieure de l’aéronautique et de l’espace, détaché par la Délégation générale pour l’armement auprès du CNES en 1983, puis auprès de l’Agence spatiale européenne depuis 1992. Il est aussi l’un des rares astronautes ayant à son actif trois missions à bord de la navette spatiale en 1994, 1997 et 1999 pour réparer le télescope Hubble.
Article et illustration source: futurism.com/ – traduction sylvain à l’aide de traducteurs en ligne pour
Une carte simple de Voyager peut guider les extraterrestres vers la terre. Les sondes Voyager 1 et 2 contiennent chacune une copie de la carte pulsar de Frank Drake, qui pourrait mener la vie intelligente à la Terre. La carte a été réalisée plusieurs années avant les lancements de l’un des vaisseaux spatiaux. Il y a plus de 40 ans, la NASA a lancé le vaisseau spatial Voyager et un plan a été conçu dans le cas où la vie intelligente voulait trouver son point d’origine. Ce plan impliquait la création d’une carte qui conduirait les chercheurs des sondes Voyager à la Terre. Maintenant, il ne pouvait pas s’agir d’une ancienne carte qui utilisait des directions comme les régions nord, sud, est, ouest ou vagues comme «la troisième planète du Soleil». Au lieu de cela, l’astrophysicien Frank Drake a décidé de créer une carte qui utilisait les pulsars ces massives étoiles à neutrons qui peuvent vivre pendant des millions d’années. Elles ont souvent l’air de scintiller, mais elles tournent constamment, et ralentissent avec l’âge, et en synchronisant ces scintillements, vous pouvez comprendre leur vitesse de rotation. Comme expliqué par Nadia Drake à National Geographic, un être intelligent qui a trouvé le Voyager et la carte associée pourrait mesurer le taux de rotation actuel d’un pulsar et le comparer au taux d’essorage noté sur la carte, en évaluant en combien de temps la sonde avait voyagé.
Frank Drake et son collègue astrophysicien Carl Sagan en ont décidé en 1971, six ans avant que l’un des Voyager ne soit lancé. 14 pulsars ont été utilisés pour la carte originale, qui contient des lignes reliant chaque pulsar au Soleil en tant que point central. Les taux de rotation individuels des pulsars sont écrits sur les lignes en code binaire, avec l’intégralité de la carte inscrite sur Voyager Golden Record.
« Il y avait une magie sur les pulsars … aucune autre chose dans le ciel n’avait de telles étiquettes sur eux », a expliqué Drake. « Chacun avait sa propre fréquence de pulsation distincte, de sorte qu’il pouvait être identifié par n’importe qui, y compris d’autres créatures après une longue période de temps et loin, loin ». Plus d’une voie pour trouver une planète, la carte de Pulsar n’est pas la seule façon dont nous avons fourni à la vie extraterrestre avec une façon de nous suivre. Il est largement connu que nous avons envoyé des messages radio et des signaux dans l’espace, y compris le message Arecibo initialement envoyé en 1974. Même des signaux involontaires ont été envoyés par diverses émissions de radio et de télévision au cours des années.
Actuellement, des organisations comme Messaging Extraterrestrial Intelligence (METI) mettent davantage de fonds dans l’envoi de messages supplémentaires aux étoiles, tandis que l’initiative Breakthrough Message encourage un nouveau cycle de débats sur ce qui devrait être dit si / quand on trouve une vie extraterrestre (ou nous trouvent-t-ils ?). Ces efforts vont jusqu’à la concurrence, pour que les gens présentent les «meilleurs» messages numériques, mais il n’y a aucun plan pour les envoyer tout de suite. Certains sont contre l’idée de laisser continuellement à l’Univers l’assurance que nous sommes ici et comment nous trouver. En ce qui concerne la sonde Voyager, cependant, il est peu probable que la carte atteigne ce but et que n’importe qui qui peut la lire. « Ce qui se passe, c’est quelque chose comme 10 kilomètres (6 milles) par seconde, à quelle vitesse faudrait-il, pour la séparation typique des étoiles ?- Environ un demi-million d’années pour aller d’une étoile à l’autre », a déclaré Drake. « Et bien sûr, ce n’est pas destiné à une étoile, ça va juste où ça se passe ».