LDLN no 436 est sortit . Fidèle à son habitude la revue propose des cas inexpliqués . En effet Daniel Robin consacre un article sur le dossier suivant : Un immense triangle noir près du LHC de Genève .
Puis un dossier d’histoires d’observations à Cleveland par Sandy Mitchell du média tripsavvy . com traduit par ma compagne Era pour son blogue AREA 51. Jean Louis le directeur de cette revue rédige un article sur les Crops Circle .
Le reste est à découvrir en achetant cette revue 100%ufologique.
Côté ouvrage présentation sous l’image de couverture ci -dessous :
Je vous propose aussi la lecture « Le dossier des O.V.N.I dans l’Yonne – la gazette éditions 89 « de notre ami ufologue de Bourgogne Rémy Fauchereau .
Cet ouvrage est le catalogue d’un véritable enquêteur dont les dossiers ne manquent pas malgré des idées reçues notre région a son lot d’observations insolites, inexpliquées etc.
Bien documenté avec des schémas et de très belles photos exécutés dans le respect de ce qui a été observé par les témoins qui ont accepté de livrer leur expérience, leur témoignage. Très bon livre à se procurer. Les ufologues , les témoins ou les passionnés ne peuvent pas ne pas avoir le livre de Rémy dans leur bibliothèque privé , c’est mon avis et pas seulement par ce que Rémy est un ami . Il bosse avec rigueur , sans compter son temps et sans se ménager . Un exemple pour moi .
L’Organisation européenne pour la recherche nucléaire (CERN) a dévoilé mardi un projet de construction du futur collisionneur circulaire (FCC) , un accélérateur de particules gigantesque conçu pour aider les scientifiques à résoudre certains des plus grands mystères de la physique.
Et comme tout ce qui pourrait avoir un impact énorme sur l’avenir, Elon Musk pourrait jouer un rôle dans le projet.
«Le directeur du CERN m’a interrogé sur la construction du nouveau tunnel du LHC par Boring Co», a tweeté Musk lundi matin, en réponse à un article sur la FCC.
Économiser Des Milliards
Le LHC est actuellement le plus puissant accélérateur de particules au monde, mais le FCC serait 10 fois plus puissant et comporterait un tunnel quatre fois plus long. Musk n’a pas immédiatement répondu à une demande de clarification pour savoir si le « nouveau LHC » qu’il a mentionné dans son tweet est le FCC, dont il est question dans l’article et sur lequel il répondait et qui nécessitera un nouveau tunnel.
Le CERN prévoit de dépenser environ 5 milliards d’euros (5,6 milliards de dollars) en coûts de génie civil pour le tunnel. Dans son tweet, Musk a affirmé que le creusage du tunnel par la société Boring permettrait «d‘économiser probablement plusieurs milliards d’euros [sic]».
En d’autres termes, il pense que son entreprise pourrait potentiellement réduire les coûts de creusement de plus d’un tiers.
Débat Prolongé
Cela pourrait représenter une économie considérable pour le CERN, mais il est difficile de dire si la Boring Company pourrait répondre aux attentes de Musk. Après tout, son seul projet achevé à ce jour est un tunnel de démonstration de 1,14 kilomètre de long à Los Angeles. Rien de comparable à celui de la FCC ,n’est encore achevé.
Néanmoins, étant donné que le CERN ne s’attend pas à ce que la FCC soit prête à fonctionner avant 2040, l’entreprise de creusement de tunnels de Musk pourrait avoir le temps d’acquérir un peu plus d’expérience avant de se lancer dans ce projet colossal et qui pourrait changer à jamais notre compréhension de l’univers.
Mise à jour investigations ufoetscience,le : 22/01/2019 à 12h05.
Fusion nucléaire : le CEA et le Japon préparent l’après-Iter
La construction d’Iter n’est pas encore terminée mais l’urgence de remplacer les énergies fossiles par des sources d’énergie concentrées est telle que son successeur, Demo, est déjà à l’étude. Le CEA et le Japon travaillent ensemble sur ce vrai prototype de réacteur industriel pour la production d’électricité. Éléments clés, les puissants aimants posent des contraintes énormes. Après des essais réussis, ils sont partis au Japon.
L’ Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), une organisation internationale sous l’égide de l’ONU, comme le Giec, a rappelé l’année dernière que la Chine est en train de développer la production d’énergie nucléaire à un rythme record malgré ses efforts eux aussi considérables pour développer l’énergie solaire. Cela ne surprendra pas ceux qui savent, comme l’a expliqué notamment le regretté physicien et mathématicien David Mackay sur TEDx et dans un livre grand public en accès libre (L’énergie durable — Pas que du vent !), que l’humanité ne pourra pas relever les défis du XXIe siècle sans une combinaison des énergies renouvelables et nucléaires.
Les réacteurs à fission ont des limites et l’idéal serait sans aucun doute de les remplacer dans la seconde moitié de ce siècle par des réacteurs à fusion contrôlée. La Chine, la Corée du Sud, les États-Unis, l’Inde, le Japon, la Russie et l’Union européenne en sont conscients et c’est pourquoi ces pays ont lancé il y a dix ans le programme Iter (acronyme de l’anglais International Thermonuclear Experimental Reactor, ce qui signifie Réacteur thermonucléaire expérimental international). Rappelons qu’il ne s’agit pas de réaliser un prototype de réacteur industriel pour la production d’électricité, mais de donner une preuve de principe qu’un tel réacteur est possible. Ce rôle opérationnel sera celui de Demo (de l’anglais DEMOnstration Power Plant), la machine qui devra succéder à Iter.
Contrairement à Iter, Demo devra fabriquer une partie de son carburant thermonucléaire comme sous-produit de son fonctionnement. En l’occurrence, il s’agit d’un isotope de l’hydrogène, le tritium radioactif, dont il n’existe pas de sources naturelles sur Terre. La fusion sera effectuée entre ce tritium et le deutérium (extrait de l’eau de mer). Le flux des neutrons engendré devrait à son tour produire des noyaux de tritium, par exemple à partir d’une couverture en lithium de l’intérieur du réacteur de Demo.
Or, le temps presse, car comme l’expliquent depuis quelque temps Jean-Marc Jancovici en France ainsi que le climatologue James Hansen et Michael Shellenberger aux États-Unis, il nous faut diminuer fortement au plus vite l’usage des énergies fossiles pour limiter les conséquences dramatiques du réchauffement climatique. Changer de mode de consommation ne suffira pas sans l’énergie nucléaire, qu’elle soit basée sur la fission dans un premier temps puis sur la fusion. C’est pourquoi on travaille déjà sur Demo dans le cadre de ce qui a été appelé l’« approche élargie » d’Iter.
Le CEA est depuis longtemps impliqué dans cette voie. Dans le projet Iter, il l’est par exemple avec le tokamak doté d’aimants supraconducteurs Tore Supra réalisé et opéré à Cadarache par l’Institut de Recherche sur la, CEA-IRFM. Cet instrument permet la poursuite du projetWest, dont Futura avait déjà parlé il y a quelques années.
À la base de l’accord de l’« approche élargie » d’Iter signé en 2007 entre l’Europe et le Japon il y a eu la négociation finale entre les partenaires du projet sur le lieu de la construction d’Iter. Le Japon a accepté qu’il soit construit en France en échange d’une aide de l’Europe pour préparer Demo.
La recherche sur la fusion magnétique contrôlée ne s’est pas figée au moment où la construction d’Iter a été lancée. De nouveaux modes de confinement du plasma ont été envisagés pour produire davantage d’énergie qu’Iter. Le Japon veut les étudier de plus près en gardant Demo à l’esprit. C’est pourquoi le projet prévoit d’upgrader JT-60U (Japan Torus-60 Upgrade), le tokamak japonais qui est l’équivalent du mythique JET (acronyme de l’anglais Joint European Torus, littéralement Tore commun européen).
JT-60SA (pour Super Advanced) sera équipé de 18 bobines en forme de D constituant des aimantssupraconducteurs en niobium-titane refroidis avec de l’hélium liquide supercritique à quelques degrés au-dessus du zéro absolu. Quand il sera opérationnel à l’horizon 2020, il sera le plus grand tokamak doté de ces aimants en fonctionnement, en attendant Iter qui le détrônera.
Cette technologie avec des aimants supraconducteurs en niobium-titane est très similaire à celle utilisée pour les aimants du LHC, elle-même dérivée en partie du projet Tore Supra. Elle permet d’atteindre de forts champs magnétiques du fait de l’annulation de la résistance au passage du courant, sans quoi l’effet Joule produit ferait fondre ces aimants. D’infimes surchauffes peuvent toutefois s’y manifester, rendant localement les aimants à nouveau résistifs. Il se produit alors un « quench » ou, en français, une transition résistive locale. Ce qui provoque bien sûr un échauffement par effet Joule plus important de l’aimant et de l’hélium liquide, lequel va se vaporiser, ce qui ne va rien arranger. On sait gérer ce genre de problème en s’arrangeant pour que l’énergie stockée dans les aimants soit dissipée dans une résistance externe. Cela permet de minimiser l’augmentation de température et les contraintes mécaniques qui pourraient apparaître.
Les aimants supraconducteurs du tokamak japonais JT-60SA testés et intégrés au CEA/Irfu
L’Europe a fourni vingt aimants supraconducteurs par sécurité pour le JT-60SA. Dix ont été fabriquées sous la responsabilité du CEA par GE Power à Belfort en France et les autres en Italie. Mais tous devaient faire l’objet de contrôles afin de vérifier que les marges de stabilité évitant les transitions résistives sont bien celles demandées par le cahier des charges. Là encore, l’expertise du CEA a été mobilisée. Les aimants ont donc patiemment été mis en situation de transition résistive dans la station d’essai cryogénique située sur le centre de recherches du CEA à Saclay (Essonne), dont le dernier en janvier 2018.
De manière générale, la technologie liée à la cryogénie à très basses températures est capitale pour le succès de bien des entreprises, aussi bien en ingénierie qu’en science fondamentale (LHC, NeuroSpin). Et c’est pour cette raison, là aussi, que le CEA est partie prenante de l’usine cryogénique destinée à refroidir les aimants du JT-60SA, via l’Institut nanosciences et cryogénie(CEA Inac) situé à Grenoble.
Les membres du centre de recherches du CEA à Saclay sont aussi intervenus au niveau des structures mécaniques associés aux aimants car il est capital qu’ils gardent leur forme pour assurer des configurations de champs magnétiques bien précises. En effet, des aimants parcourus par des courants vont vouloir se déformer sous l’action de ces champs, ce qui n’est pas donc acceptable.
Après plus de dix années d’effort, la saga de ces aimants vient donc de s’achever en ce début d’année 2018. Du moins en Europe, car elle va continuer au Japon où ces aimants sont transportés.
Un verrou à faire sauter pour la fusion : les flux de neutrons
On ne sait pas encore quel matériau sera capable de supporter suffisamment longtemps le flux de neutrons produit par la fusion du deutérium et du tritium. Il faudra peut-être en concevoir de nouveaux, par exemple à l’aide de simulations numériques sur supercalculateur. En tout état de cause, des expériences seront nécessaires et le CEA est également impliqué dans la construction d’un accélérateur de particules à Rokkasho au Japon, le LIPAC, (Linear IFMIF Prototype Accelerator), qui permettra de produire des flux de neutrons pour tester les matériaux qui seront utilisés pour assurer le fonctionnement de Demo.
CE QU’IL FAUT RETENIR
Le réacteur Iter ne servira qu’à démontrer qu’il est possible de produire de l’énergie grâce à la fusion thermonucléaire. Devra lui succéder Demo (pour Demonstration power plant), le premier véritable prototype de réacteur pour la commercialisation d’électricité, prévue à l’horizon 2050.
L’étude de sa conception a déjà commencé, en particulier en France et au Japon, au moyen d’un nouveau tokamak supraconducteur, JT-60SA, dont les aimants ont été fabriqués en Europe et ont été testés au CEA.
Ces travaux sont menés dans le cadre de l’approche élargie d’Iter. Elle étudiera aussi le problème des matériaux qui devront résister au flux de neutrons dans le réacteur Demo.
photo crédit CIA La France aussi enquête sur les ovnis depuis 40 ans (photo: une photo déclassifiée de la CIA)
Avec le Geipan, la France aussi enquête sur les ovnis depuis 40 ans (et tout est public)
Article source : huffingtonpost.fr/
ESPACE – Une révélation qui a tout pour plaire aux adeptes de la théorie du complot. Le New York Timesaffirme, preuves à l’appui ce samedi 16 décembre, que le Pentagone a mené pendant 5 ans un programme de recherche sur de possibles ovnis. De 2007 à 2012, des images étranges ont été analysées par le « Programme d’identification de menace aérospatiale avancée », avec un budget annuel de 22 millions de dollars.
L’organisme a avant tout étudié des vidéos d’avions militaires américains face à des objets volants non-identifiés, au sens propre du terme. Si tout cela semble bien mystérieux, il faut rappeler que la France aussi étudie les PAN, ou phénomènes aérospatiaux non identifiés. Et ce depuis 40 ans.
L’organisme chargé de cela s’appelle le Geipan et dépend du Centre national d’études spatiales (Cnes). D’ailleurs, son directeur, interrogé par Le HuffPost, ne trouve pas la révélation du New York Times si incroyable. « Il est normal que la Défense enquête sur les choses inconnues auxquelles sont confrontés les pilotes américains, et ce sans chercher spécialement des extraterrestres« , explique Jean-Paul Aguttes, responsable du Geipan depuis 2016.
9% des phénomènes restent un mystère
D’ailleurs, de récentes archives déclassifiées montraient que la CIA également s’était intéressée à ces témoignages de personnes affirmant avoir vu un phénomène étrange dans le ciel. Il y a par contre une spécificité française. Les données du Geipan, qui existe depuis 1977, sont publiques.
« Nous ne travaillons pas avec la Défense. Nous analysons des anomalies observées par l’homme de la rue« , explique Jean-Paul Aguttes. Ainsi, en 40 ans, les équipes du Geipan, qui comptent trois personnes et un mi-temps, plus une quarantaine de bénévoles, ont mené l’enquête sur 2687 cas. En règle générale, les phénomènes trouvent une explication (ou sont simplement impossibles à identifier, par manque de données).
Depuis le début des analyses, seuls 9% des phénomènes sont considérés par le Geipan comme « non identifiés ».
Deux nouvelles particules ont été découvertes au grand collisionneur de hadrons (LHC), a annoncé mercredi le Cern, l’organisation européenne pour la recherche nucléaire à Genève. L’existence de ces particules baptisées Xi_b’- et Xi_b*- est prédite par la théorie, mais jusqu’à présent, elles n’avaient jamais pu être observées. Ces nouvelles particules sont des baryons, famille dont les membres les plus célèbres sont le proton et le neutron.
« Ariane commence bien l’année avec ce premier lancement réussi, lanceur d’une valeur sure et s’inscrivant dans la durée pour ce domaine particulier. Mais » nous sommes « toujours avec le même type de lanceur avec le même procèdé en mode de propulsion.«
Video ( youtube) et texte du CNES ci-dessous
Publiée le 6 févr. 2014
Pour son 1er lancement de l’année 2014, Ariane 5 a mis en orbite 2 satellites de télécommunications, dont Athena-Fidus pour le compte du CNES. Le décollage a eu lieu à 18h30 (Kourou), 22h30 (Paris) depuis le Centre spatial guyanais.
Le phénomène O.V.N.I. serait-il lié aux religions ? A en voir ces différents tableaux, la question reste ouverte.
As-t’on affaire à des peintres allucinés, à des gogos, ou à des initiés ayant fait les liens entre ce phénomène et les textes anciens ?
Certains de ces tableaux sont controversés et des explications plus terre à terre méritent d’être prises en compte. Par contre, on ne saurait mettre tout dans le même panier et il faut quand même avouer que quelques-uns sont très troublants.
L’Annonce de Saint Emidius (1486)
Peinture de Carlo Crivelli (1430-1495)« l’Annonce de Saint Emidius » (1486) visible à la National Gallery, Londres. Un disque brillant en haut du tableau, en grossissant on peut voir des anges tourbillonants à l’intérieur de ce gros nuage en forme de cercle…
crédit: actuwiki.fr/
Le Baptême du Christ ( 1770 )
« Le Baptême du Christ » de l’artiste flemish Aert de Gelder peint en 1710 et visible dans le Fitzwilliam Museum, Cambridge. Un disque et des rayons lumineux au dessus du Baptiste de Jésus.
crédit: actuwiki.fr/
La crucifixion – Kosovo ( 1350 )
Ces deux objets proviennent d’une fresque intitulé « La crucifixion » datant de 1350. Elles sont au Kosovo dans le monastère Visoki Decani, placés au-dessus de l’autel. Les OVNI seraient les deux objets étranges sur les côtés de la croix .
crédit: actuwiki.fr/
La Madone et saint Giovannino – Italie ( XVème )
La » Madone et saint Giovannino » a été peint au 15ème siècle par Domenico Ghirlandaio ( 1449-1494 ) et fait partie de la collection » Loeser » ( Palazzo Vecchio ). Au-dessus de l’épaule de Marie un homme regarde un disque volant !
La scène représente Jésus et Marie sur ce qui semble être des nuages lenticulaires. Le tableau « le Miracle de la Neige » et a été peint par Masolino Da Panicale et est visible à l’église de Santa Maria Maggiore, Florence, l’Italie.
crédit: actuwiki.fr/
Nuremberg – Allemagne ( 4 avril 1561 )
Des boules bleues, noires et rouges sang, ainsi que des disques et des croix rouges sang sortant de deux immenses cylindres noirs, se livrèrent bataille dans le ciel de Nuremberg. Certaines de ces sphères se seraient écrasées au sol à l’extérieur de la ville. Gravure sur bois de Hans Glasser. Collection Wickiana, Zurich Bibliothèque Centrale.
Bâle – Suisse ( 17 et 18 juillet puis 7 août 1566 )
Au-dessus de Bâle, pendant 2 jours en juillet et encore le 7 aout se déroula une bataille entre des sphères noires qui apparurent à l’aube. » Beaucoup devinrent rouges et ardentes, finissant par se consumer et disparaître « , écrivit Samuel Coccius, un étudiant qui consigna les étranges événement du 7 août 1566 dans la gazette de la ville.
crédit: actuwiki.fr/
Livre des Bonnes Moeurs – France ( 1338 )
Image provenant du « Livre Des Bonnes Moeurs » de Jacques Legrand, disponible à Chantilly au musée Condé. Il n’y a pas de Montgolfiere en 1338 … Elles n’existaient pas …
Rémy Fauchereau, ufologue de l’AEPA, nous informe que le 02 décembre 2013, une personne a observé une boule jaune-orange dans le département de l’Yonne.
Observation d’une boule jaune-orange venant de la direction de Migennes et se dirigeant sur AUXERRE.
Elle est passée assez haut, au-dessus de la colline de fleury la vallée.
Elle n’allait pas très vite, puis à mi-parcours elle s’est immobilisée un moment pour repartir ensuite tranquillement.Elle était moins grosse que la pleine lune, sans bruit, il y a eu deux témoins.
L’observation a duré environ 3 minutes, le ciel était clair et étoilé, sans lune. Il était 23 heures. La boule allait du nord au sud.
Si vous avez observé un phénomène similaire, veuillez contacter Rémy à l’adresse suivante: