Article source : futurism.com
Les observations de l’exoplanète HAT-P-26b ont élargi notre connaissance de la façon dont les univers sont formés. Les nouveaux satellites lancés en octobre nous donneront encore plus d’informations.
QUELS SONT LES ASTRONOMES SUR LA HAT-P-26 b? Les scientifiques de l’Université d’Exeter ont découvert des aspects particuliers de l’exoplanète HAT-P-26b de taille de Neptune utilisant les télescopes spatiaux Hubble et Spitzer de la NASA. Leurs résultats contribuent à notre connaissance de la diversité des planètes ainsi qu’à leur forme.
Comme la planète située à environ 437 années-lumière de la terre – est passée devant son soleil, permettant aux télescopes de la mesurer, les scientifiques ont découvert une atmosphère riche en hélium, en hydrogène et en vapeur d’eau. Hannah Wakeford, co-chef de la nouvelle étude et chercheuse postdoctorale du Goddard Space Flight Center de la NASA (GSFC), a déclaré que cette atmosphère entraînerait « un ciel très étranger […] une sorte de ciel scintillant, délabré et gris. «
La planète est également intéressante à cause de sa formation. Dans le système solaire de la Terre, la métallicité (terminologie de l’astronomie pour tout ce qui est plus lourd que l’hélium) tend à diminuer à mesure que la masse augmente, mais le HAT-P-26b défie ce modèle. Alors qu’il s’agit de la taille de Neptune, sa métallicité est plus intégrée à Jupiter.
Par conséquent, pourquoi cela importe-t-il? David Sing, professeur à l’Université d’Exeter, a déclaré: «cette nouvelle découverte sur son atmosphère ressemble à une grande percée dans notre poursuite pour en savoir plus sur la façon dont les systèmes solaires sont formés et sur la façon dont cela se compare au notre» parce que « Cette nouvelle découverte passionnante montre qu’il y a beaucoup plus de diversité dans les atmosphères de ces exoplanètes que nous l’ avons précédemment pensé. »» Et, tandis que l’on a découvert des milliers d’exoplanètes, nous savons(connaissons) relativement peu des compositions de leurs atmosphères.
C’est le premier dans ce qui promet d’être une série de percées qui apparaîtront à mesure que de nouveaux télescopes lancés dès le mois d’ octobre prochain. Le télescope spatial James Webb (JWST) nous permettra d’explorer davantage avec un miroir qui a un diamètre de 6,5 mètres par rapport au 2,4 mètres de Hubble-Telescope. En plus de cela, le satellite Transition Exoplanet Survey (TESS) fournira des «caractérisations détaillées des planètes et de leurs atmosphères» et devrait enquêter sur plus de 200 000 planètes au cours de sa mission de 2 ans.
References: Scientific American, Science , Sci-News via futurism.com/
Traduction à l’aide de traducteurs en ligne Matisse-Sylvain pour
Mise à jour investigations ufoetscience, le : 16/05/2016 à : 10h20.