L’Organisation européenne pour la recherche nucléaire (CERN) a dévoilé mardi un projet de construction du futur collisionneur circulaire (FCC) , un accélérateur de particules gigantesque conçu pour aider les scientifiques à résoudre certains des plus grands mystères de la physique.
Et comme tout ce qui pourrait avoir un impact énorme sur l’avenir, Elon Musk pourrait jouer un rôle dans le projet.
«Le directeur du CERN m’a interrogé sur la construction du nouveau tunnel du LHC par Boring Co», a tweeté Musk lundi matin, en réponse à un article sur la FCC.
Économiser Des Milliards
Le LHC est actuellement le plus puissant accélérateur de particules au monde, mais le FCC serait 10 fois plus puissant et comporterait un tunnel quatre fois plus long. Musk n’a pas immédiatement répondu à une demande de clarification pour savoir si le « nouveau LHC » qu’il a mentionné dans son tweet est le FCC, dont il est question dans l’article et sur lequel il répondait et qui nécessitera un nouveau tunnel.
Le CERN prévoit de dépenser environ 5 milliards d’euros (5,6 milliards de dollars) en coûts de génie civil pour le tunnel. Dans son tweet, Musk a affirmé que le creusage du tunnel par la société Boring permettrait «d‘économiser probablement plusieurs milliards d’euros [sic]».
En d’autres termes, il pense que son entreprise pourrait potentiellement réduire les coûts de creusement de plus d’un tiers.
Débat Prolongé
Cela pourrait représenter une économie considérable pour le CERN, mais il est difficile de dire si la Boring Company pourrait répondre aux attentes de Musk. Après tout, son seul projet achevé à ce jour est un tunnel de démonstration de 1,14 kilomètre de long à Los Angeles. Rien de comparable à celui de la FCC ,n’est encore achevé.
Néanmoins, étant donné que le CERN ne s’attend pas à ce que la FCC soit prête à fonctionner avant 2040, l’entreprise de creusement de tunnels de Musk pourrait avoir le temps d’acquérir un peu plus d’expérience avant de se lancer dans ce projet colossal et qui pourrait changer à jamais notre compréhension de l’univers.
Mise à jour investigations ufoetscience,le : 22/01/2019 à 12h05.
Illustration représentant le spin des vecteurs de l’hélium liquide tandis qu’ils forment des demi-vortex quantiques. Crédits : Ella Maru Studios
De nouvelles structures quantiques dans l’hélium-3 superfluide renseignent sur les débuts de l’Univers
Article source : trustmyscience.com
Thomas Boisson
PhysiquePlus les scientifiques veulent étudier les premiers instants de l’Univers, plus les contraintes technologiques et énergétiques sont élevées. Mais il est possible de sonder l’Univers primitif ailleurs que dans les accélérateurs de particules, et en se passant de télescopes. Des scientifiques ont en effet mis en évidence de nouvelles structures quantiques au sein de l’hélium-3 superfluide, mimant certaines structures réputées être apparues à l’issue du Big Bang.
Pour la première fois, des chercheurs ont mis en évidence le phénomène de « murs liés par des cordes » dans l’hélium-3 superfluide. L’existence d’un tel objet, prévu à l’origine par les cosmologistes, peut aider à expliquer comment l’Univers s’est refroidi après le Big Bang. Grâce à la nouvelle possibilité de recréer ces structures en laboratoire, les scientifiques disposent enfin d’un moyen d’étudier de plus près certains des scénarios possibles qui auraient pu se produire dans l’univers primitif.
Les résultats, publiés dans la revue Nature Communications, montrent que deux transitions de phase briseuses de symétrie sont intervenues au laboratoire à basse température de l’Université Aalto (Finlande). Non seulement l’hélium reste fluide aux températures cryogéniques, mais il devient un superfluide à une température suffisamment basse. Un matériau superfluide a essentiellement une viscosité nulle, ce qui signifie qu’il s’écoule indéfiniment, sans perte d’énergie.
Lorsqu’ils sont confinés dans des volumes au sein de structures nanométriques, les chercheurs peuvent utiliser les phases superfluides de l’isotope hélium-3 pour étudier des effets tels que les tourbillons demi-quantiques — des tourbillons dans le superfluide où la quantité d’hélium s’écoulant est strictement contrôlée par les règles de la physique quantique.
« Nous pensions initialement que les vortex demi-quantiques disparaîtraient lorsque nous abaisserions la température. Il s’avère qu’ils sont restés stables même lorsque l’hélium-3 a été refroidit à une température inférieure à -273.149 °C — un mur non-topologique est alors apparu » explique Jere Mäkinen, physicien à l’université Aalto.
Bien que ce ne soient pas des murs physiques, qui bloqueraient l’écoulement de l’hélium-3, les murs non-topologiques modifient les propriétés magnétiques de l’hélium. Les chercheurs ont pu détecter les changements en utilisant la résonance magnétique nucléaire.
Certains cosmologistes pensent qu’au cours des premières microsecondes suivant le Big Bang, tout l’univers aurait connu des transitions de phase, ressemblant à un superfluide dans un volume nano structuré lorsqu’il est refroidi.
Selon les modèles théoriques, les fluctuations quantiques ou les défauts topologiques, tels que les murs de domaine et les tourbillons quantiques dans l’univers ultra-condensé, ont été gelés au cours de l’expansion de l’univers. Avec le temps, ces fluctuations gelées sont devenues les galaxies que nous voyons aujourd’hui.
De plus, la structure de ces défauts semblables aux ouragans, créés par Mäkinen en laboratoire, constitue également un modèle potentiel pour l’étude de l’informatique quantique topologique.
« Alors que l’hélium-3 liquide serait trop difficile et coûteux à maintenir en tant que matériau pour un ordinateur en état de marche, il nous fournit un modèle de travail permettant d’étudier des phénomènes pouvant être utilisés dans des matériaux plus accessibles à l’avenir » conclut-il.
Un filament long de 2.3 années-lumière Crédit image : | NSF/VLA/UCLA/M. Morris et al.
L’infiniment grand me fait penser à l’infiniment petit quelquefois.
Ci-dessous cet article que je reprend ici pour vous le démontre quelque part.
– Comme pour les nano structures que l’on trouve
dans la nature microscopique en biologie ou en physique, l’univers de ce petit monde de l’imagerie ressemble à s’y méprendre avec les images capturées par des instruments qui ,composent un télescope, pour l’infiniment grand .Les accélérateurs de particules ou les microscopes à balayage électronique, pour l’infiniment petit , ou je ne sais quel autre outils à usage scientifique qui capture des éléments qui m’intriguent .
Toujours est-il que des images semblent être de la même nature. Est -ce seulement une impression , une illusion ?
L’infiniment petit l’infiniment grand ou l’infiniment lointain possèdent -ils tous la même composition? L’univers se confond certainement dans ces deux opposés.
Je ne parle que d’images pour faire ce genre de comparaison , pour le reste, aux experts scientifiques d’éclairer ma petite lanterne.
Ce filament mystérieux à un petit air de déjà vu pour moi. Peut-être la MEB qui consiste en un faisceau d’électrons balayant la surface d’un échantillon à analyser qui, en réponse, réémet certaines particules. Ces particules sont analysées par différents détecteurs qui permettent de reconstruire une image en trois dimensions de la surface. ( Travaux de Max Knoll et Manfred von Ardenne dans les années 1930, » référence-wikipédia » )
Les différentes techniques utilisées par les scientifiques semblent renvoyer les mêmes images une fois reconstituées par leurs outils. Un trompe l’œil ?
Les astronomes sont intrigués par un filament étrange situé au centre de notre galaxie.
Article source : trustmyscience.com parStéphanie Schmidt le
Des astronomes ont capturé une image nette d’un filament long de 2.3 années-lumière, serpentant autour du trou noir supermassif situé au centre de la Voie lactée.
La structure en elle-même a été découverte en 2012, mais cette nouvelle image révèle que la longue ligne semble être assez proche du cœur sombre de la galaxie. Tandis que pouvoir observer de plus près ce filament mystérieux aide à affiner les hypothèses sur ce que cela pourrait être, les astronomes sont encore loin d’avoir une quelconque réponse.
Une équipe de chercheurs a pu produire cette image en utilisant les données du National Radio Astronomy Observatory’s (NRAO) Karl G. Jansky Very Large Array, et a utilisé une nouvelle technique d’imagerie pour aider à mettre en lumière les détails.
Pour les astronomes, ce filament est un mystère passionnant, qui nécessite une réponse : « Une partie du suspens de la science réside dans les mystères qui ne sont pas faciles à résoudre », annonce l’astronome Jun-Hui Zhao, du Harvard-Smithsonian Center for Astrophysics à Cambridge (Massachusetts, USA). « Bien que nous n’ayons pas encore la réponse, le chemin pour la trouver est fascinant. Ce résultat motive les astronomes à construire des radiotélescopes de nouvelle génération avec une technologie de pointe», ajoute-t-il.
Il n’est pas inhabituel de trouver de longs flux gazeux ou des lignes de particules incandescentes s’étendant à travers de grandes régions de l’espace.
Des structures telles que celle-ci, également appelées filaments radio non-thermiques (NRF – nonthermal radio filament), ont déjà été observées auparavant dans notre galaxie. La plupart sont beaucoup plus longues, mais leurs origines sont encore mystérieuses.
À l’origine, les chercheurs soupçonnaient qu’ils avaient quelque chose à voir avec les champs magnétiques de la Voie lactée. Mais à mesure que d’autres filaments de ce type étaient découverts et qu’ils possédaient des « directions » étranges, cette idée fut abandonnée.
Ce qui rend ce filament spécifique si inhabituel, c’est qu’il semble chatouiller l’horizon des événements de Sagittaire A* (Sgr A*), le trou noir supermassif situé au centre de notre galaxie. Cela permet d’aboutir à d’intéressantes hypothèses expliquant pourquoi de longs filaments de particules émettent de la lumière dans la plage des ondes radioélectriques du spectre électromagnétique.
Tout d’abord, éliminons l’option qui serait la moins intéressante. Il se pourrait qu’il ne s’agisse de rien d’important : un simple filament qui semble connecté à un trou noir. En d’autres termes, il pourrait être l’équivalent astronomique d’un cheveu devant l’objectif. Mais selon les astronomes, cette option est extrêmement improbable, même si nous ne pouvons pas la rejeter totalement à l’heure actuelle.
L’hypothèse favorite des chercheurs, suggère que le filament est constitué de particules qui se font happer par Sgr A*. En effet, des tourbillons de particules qui se précipitent dans un trou noir peuvent générer un champ magnétique puissant, qui agit à son tour comme un accélérateur de particules. Des particules chargées et canalisées à une telle vitesse extrême pourraient expliquer ce flux mince et rougeoyant.
L’autre possibilité, plus excitante mais moins probable, est qu’il s’agisse en réalité d’un objet hypothétique connu sous le nom de corde cosmique. Les cordes cosmiques sont considérées comme des défauts « topologiques » unidimensionnels immensément massifs qui se forment entre différentes parties d’un vide, à mesure que l’espace se dilate. En d’autres termes, ils ressemblent à des fissures dans l’espace qui se sont formées lorsque notre Univers naissant s’est étiré. (Concept qui ne doit donc pas être confondu avec la théorie des cordes).
Étant donné que ces objets devraient être extrêmement massifs, si les cordes cosmiques existent bel et bien, alors le milieu d’une galaxie serait un bon endroit pour en chercher. Mais jusqu’à présent nous n’en sommes pas certains, alors les astronomes continueront à recueillir de plus en plus d’éléments pour pouvoir exclure l’une ou l’autre des hypothèses.
Mais dans tous les cas, définir avec précision la nature de ce filament mystérieux, sera une aubaine pour l’astronomie. S’il s’agit de particules se faisant happer par Sgr A*, cela nous en apprendrait davantage sur les champs magnétiques dans cette zone très chaotique située autour des trous noirs. De plus, repérer une corde cosmique dans la nature serait une découverte majeure, qui nous en apprendrait beaucoup sur la nature même de l’Univers et ses origines. « Nous continuerons à chasser les informations jusqu’à ce que nous ayons une explication solide concernant cet objet. Et nous visons à produire par la suite des images possédant encore une meilleure qualité et qui soient plus révélatrices », a déclaré Miller Goss, de la NRAO.
L’univers: Les Extraterrestres Existent (2011) -La plus grande découverte de l’homme après le feu serait bien celle de trouver une vie sur une autre planète. qu’elle soit unicellulaire ,polycellulaire ,voir même avec une intelligence développée inférieur ,égale ou supérieur a la notre ,cette découverte pourrait bien changée la facon de voir notre univers… (univers espace cosmos mystères voyage documentaire apocalypse 2011 2012 2036 planète découverte science terre solaire pulsar extraterrestre vie atome zone51 roswell monde lumière nucléaire film étoiles big bang matière infini technologie evolution biologie technologie science documentaire atome protons LHC collisionneur chimie fusion futur ions noyau neutrons génétique adn humain création nucléaire hadron newton einstein découverte nature microbe histoire secrets nano macro micro.
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