Des astronautes de la NASA sont sur le point d’identifier des micro-organismes inconnus, se développant dans l’espace.
article source: trustmyscience.com/
Article source: bioguia.es – traduit par mon neveu et sa famille maternelle que je remercie. ( Article de ce média espagnol.)
Depuis le début de l’histoire, l’être humain a attentivement surveillé les étoiles et il s’est demandé s’il est seul dans cet immense univers. Avec le développement de la technologie, observer l’espace a été rendu plus facile et il nous a été permis de l’explorer dans un plus grand détail. À partir du premier voyage sur la Lune, nous avons commencé à imaginer que dans d’autres planètes et d’autres galaxies il peut y avoir des êtres vivants possédant une technologie semblable ou beaucoup plus avancée à la nôtre, capables de construire des vaisseaux spatiaux, des soucoupes volantes, etc. Toute une branche de la cinématographie a réalisé ceci, des fantaisies dans beaucoup de films, des scénarios où les êtres humains doivent faire face à des dangers venus de l’ extérieur depuis l’espace. Nous gagnons quelques batailles, dans d’autres nous sommes annihilés. Toutefois, cela était toujours le fruit de notre imagination et le scénario dramatique était le plus important. Mais, si certains de ces faits devenaient bientôt une réalité ? Si quelque-part dans notre environnement inter galactique nous attendait un danger auquel il serait impossible de combattre ? Le plus probable , est que tous « ces cauchemars» d’une visite d’extraterrestres ayant des désirs de destruction vont se réaliser et nous ne pourrons en rien l’empêcher. Sans aucun doute, l’agence spatiale la NASA dissimule de nombreux secrets
qu’elle préfère ne pas révéler pour maintenir la société sous contrôle et en gardant ceci elle « sauvegarde » la paix et le calme. Toutefois depuis déjà des décennies l’agence gouvernementale américaine s’est consacrée à explorer l’espace extérieur. Après tant de temps, il est impossible que la seule découverte soient des astres sans grande importance distants à des milliers d’années lumière. Vérité ? Toutefois, tout ne peut et ne doit être révélé.
Par exemple, qui pendant des années, ont pu entrer en contact avec des civilisations
extraterrestres et ont pu infiltrer et intercepter des messages émis entre des vaisseaux spatiaux ?
De la même manière que Snowden a révélé d’importantes données gouvernementales.
Un hacker de la N.A.S.A a révélé que notre monde va périr prochainement. « Nous sommes un groupe de spécialistes dans le fait du piratage informatique de vaisseaux spatiaux et opérons depuis 1989. Nous découvrons alors pour la première fois l’existence d’autres civilisations capables de voyager dans des navires intergalactiques. »commente un technicien de la N.A.S.A, qui préfère garder l’anonymat afin de protéger sa famille contre d’éventuelles représailles. « Il y a une semaine mon équipe a obtenue et intercepter un message entre deux vaisseaux spatiaux militaires. Nous avons déchiffrer le message mais nous préférerions y avoir des faits plus concrets. Je signale qu’il est de mon obligation d’informer tout le monde ».
« Cet article à sensation est à prendre avec prudence. Pour notre part nous sommes toujours méfiants sur ce genre d’allégations. Le temps nous dira ce qui est et ce qui n’est pas. Encore un article d’une presse à sensations? Affaire à suivre. »
Mise à jour investigations ufoetscience, le : 25/01/2017 à 17h05.
Article source: hitek.fr/
Grâce aux progrès actuels sur l’exploration spatiale, il faut aujourd’hui cinq mois au minimum, à un vaisseau (inhabité), pour atteindre Mars. Seulement, nos vaisseaux nous limitent pour atteindre des distances importantes dans l’espace interstellaire. Nous savons que l’on peut alimenter des particules pour qu’elles atteignent la vitesse de la lumière sauf que nous n’arrivons pas à mettre en place ce projet dans l’optique de propulser un vaisseau. Mais grâce à la propulsion photonique nous tenons peut-être la solution !
En effet, Philip Lubin, un scientifique de la NASA travaille sur un système de propulsion par laser pour tenter d’envoyer un vaisseau spatial composé de voiles géantes sur Mars en seulement trois jours ! D’après ce chercheur, ce système de propulsion photonique repose sur la poussée des photons pour faire avancer l’objet en question. Lubin s’est d’ailleurs inspiré des travaux de Bill Nye qui avait déjà proposé des voiles géantes solaires. Sauf qu’ici, le scientifique n’utilise pas les rayons du Soleil, mais les rayons de lasers géants installés sur Terre. Certains sceptiques pourraient se dire que Philip Lubin est beaucoup trop optimiste mais d’après lui, « la technologie est quasiment prête et l’on pourrait l’étendre selon les besoins« . Il imagine que ces études ne sont que le début et espère développer tout le potentiel dans l’optique de réduire cette durée à seulement 30 minutes !
Mise à jour investigations ufoetscience, le : 06/05/2016 à : 10h05.
Article source ( pas l’image ci-dessus! )maxisciences.com
Publié par Lionel Huot, le 16 août 2013
Source :
Copyright © Gentside Découvertes
Note sylv1 adm:
jeudi 08 Août 2013 , 20h35:
Petit texte sylv1 à partir de la traduction de ERA pour investigations ufoetscience
« Cette animation par ordinateur de la Nasa voulait illustrer le concept de morphing, (changement de forme, métamorphose).Cette vidéo à elle même est explicite. ceci pourrait être un O.V.N.I, n’est-ce pas? «
Vidéo N.A.S.A ( youtube)
Si cette vidéo ne fonctionne pas cliquez ici
Mise à jour investigations ufoetscience, le : 08/08/2013 à : 20h35.
© Photo : http://www.nasa.gov
Article source:french.ruvr.ru/
Des astronomes ont découvert un trou géant dans l’atmosphère du Soleil au-dessus de son pôle nord.
Cette zone sombre immense couvrant environ un quart de la surface du Soleil est un grand trou coronal où la surface solaire est moins chaude et moins dense. Le phénomène a été découvert par le satellite SOHO qui est le fruit d’une collaboration entre l’Agence spatiale européenne et la NASA. Les observations ont été réalisées entre le 13 et le 18 juillet .Source
http://projectavalon.net/lang/fr/richard_hoagland_fr.html
Article source:http://www.maxisciences.com/
Mardi, des astronomes ont annoncé la découverte des deux plus petites exoplanètes jusque-là connues. Semblables à la Terre, elles seraient d’une taille similaire à notre planète et elles tourneraient autour d’une étoile, comme nous le faisons autour du Soleil, d’après une étude de la revue scientifique Nature.
Des astronomes ont découvert, grâce au satellite américain Kepler, l’existence des deux plus petites exoplanètes jusque-là répertoriées. La sonde Kepler, lancée en mars 2009 est chargée d’observer 100.000 étoiles semblables au Soleil pour découvrir des soeurs de la Terre, susceptibles d’accueillir l‘humanité. Elle a déjà découvert 28 exoplanètes et recensé plus de 2.000 « planètes candidates » potentielles. Seulement deux exoplanètes se trouveraient dans une zone « habitable » où l’état de l’eau serait liquide : Kepler-22b et Gliese. Ce système, gravitant autour de l’étoile Kepler-20, se situe à un millier d’années-lumière.
Perfectionnement des méthodes de détection
Les méthodes de détection se sont donc énormément améliorées. Cette nouvelle méthode a permis au satellite Kepler de découvrir ces petites planètes extrasolaires, Kepler-20e et Kepler-20f. Elles tournent en orbite autour d’une étoile baptisée Kepler 20. Le diamètre de Kepler-20f dépasserait de 3% celui de la Terre tandis que le rayon de Kepler-20e serait plus petit de près de 13%. Kepler-20e ressemblerait donc plus à Vénus par sa petite taille. « Auparavant l’exoplanète la moins grosse détectée était 1,4 fois plus large que la Terre« , explique François Fressin du Centre d’astrophysique Harvard Smithsonian, à Cambridge aux Etats-Unis. Il s’agit maintenant de savoir si ces exoplanètes seraient habitables. Les astronomes pencheraient pour un état rocheux de ces sphères. Le problème est que la température à leur surface demeure trop élevée pour que l’homme puisse y habiter. Les chercheurs soupçonne Kepler-20f d’être composée d’une épaisse atmosphère composée de vapeur d’eau.
Article source: http://jack35.wordpress.com/
Le projet se base sur un concept développé par l’Agence spatiale européenne (ASE), auquel la Nasa a ajouté une chambre vide susceptible de recueillir des échantillons.
Concrètement, un engin spatial irait à la rencontre de la comète “puis lancerait un harpon qui prendrait des échantillons à des endroits précis avec une précision chirurgicale”, a indiqué la Nasa. Les comètes font généralement plusieurs kilomètres de diamètre mais leur très faible gravité exclut un atterrissage à leur surface.
Harpon
“Comme un engin spatial ne peut atterrir sur une comète, il doit s’y agripper d’une manière ou d’une autre”, a expliqué Joseph Nuth, un expert des comètes de l’agence spatiale américaine. “Alors quitte à utiliser un harpon, autant s’en servir pour collecter des échantillons”.
La Nasa se contente pour l’instant d’étudier les comètes en les survolant, comme avec le vaisseau Stardust-NExT (New Exploration of Tempel) lancé en 1999 pour collecter des échantillons de la chevelure des comètes. En 2016, la Nasa lancera l’engin spatial OSIRIS-REx, qui prendra des échantillons grâce à un bras robotisé.
“La prochaine étape consiste à rapporter un échantillon extrait sous la surface (de la comète), où se trouvent les matériaux les plus purs et les plus anciens”, a déclaré un ingénieur en chef du projet de harpon, Donald Wegel.
A l’arbalète…
L’équipe s’entraîne actuellement dans un centre de la Nasa à Greenbelt (Maryland, est) en utilisant une arbalète qui lance le harpon dans du sable, de la glace ou de la roche, afin de mesurer la quantité d’explosifs nécessaire et de déterminer quelle doit être la forme du harpon pour une pénétration optimale.
“Nous ne savons pas précisément ce que nous allons rencontrer sur la comète. La surface peut être douce, duveteuse, constituée essentiellement de poussière, ou bien faite d’un mélange de glace et de pierres, voire même de roches”, a expliqué M. Wegel. “C’est pourquoi nous avons besoin de concevoir un harpon capable de pénétrer toutes sortes de substances”.
L’Agence spatiale européenne prévoit de lancer en 2014 la sonde Rosetta vers la comète 67/P Churyumov-Gerasimenko, distante de la Terre de 675 millions de kilomètres. Elle transmettra des images détaillées et enverra un robot de la taille d’un réfrigérateur accroché à la surface avec des harpons pour réaliser une analyse chimique.
(Source : AFP)
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