Quatre défis juridiques à résoudre avant de s’installer sur Mars.

Illustration d’une colonie sur la planète Mars
Crédit image : futurism.com

Article source :futurism.com

 Par Dan Robitzski  le 06/12/2018

                                                                                     Traduction :

Quatre défis juridiques à résoudre avant de s’installer sur Mars Avant que les humains ne s’installent ou

ne mettent même le pied sur Mars, ingénieurs et scientifiques doivent résoudre toutes sortes de problèmes, tels que la protection des voyageurs de l’espace contre les radiations dangereuses. Cela sera extrêmement difficile, mais cela ne doit pas occulter d’autres types de défis – comme les questions juridiques et politiques – soulevés par la colonisation extraterrestre.

Règles De L’espace!

Dans un essai publié mardi à Aeon , Marko Kovic, consultant et président d’un groupe de réflexion nommé The Zurich Institute, a analysé ce qu’il considère comme les quatre questions les plus importantes non résolues pour les structures politiques des colonies hors monde. .

Décomposer

Tout d’abord, Kovic pose la question de savoir qui est réellement autorisé à coloniser l’espace. Les nations individuelles devraient-elles établir leurs propres colonies ou ce droit devrait-il être réservé aux coalitions internationales? Qu’en est-il des sociétés puissantes ?

Deuxièmement, il faut élaborer des lois pertinentes pour la vie sur Mars ou ailleurs. À l’heure actuelle, les astronautes sont soumis aux lois de leur pays d’origine, mais Kovic affirme qu’il est insensé d’attendre les nombreuses semaines ou mois et qu’il faudrait aux systèmes juridiques terriens enquêter sur le premier meurtrier de l’espace. Au lieu de cela, la colonie aurait besoin de sa propre structure juridique qui ne dépende pas de la Terre.

La troisième question de Kovic n’a peut-être jamais de réponse claire. Il se demandait comment différentes nations, comme les États-Unis, pourraient réagir différemment aux colonies rebelles. Quand ces colonies devraient-elles devenir indépendantes,  et si elles le devraient ?

Quatrièmement, Kovic a fait valoir que les décideurs, qu’ils soient indépendants ou non, devraient déterminer exactement comment différentes colonies sur la Lune, Mars ou ailleurs allaient toutes interagir entre elles et avec la société terrestre. Tous tomberont-ils dans une coalition gouvernementale ou seront-elles des entités séparées ?

Culture Analogique

Le défi qui se pose à chacun d’entre eux vient du fait que les analogues terrestres ne tiennent pas toujours le coup – les futures sociétés de l’espace pourraient avoir besoin de structures gouvernementales entièrement nouvelles. Sur Terre, la colonisation et la succession éventuelle des nations gouvernantes ont souvent été un gâchis sanglant. Ce n’est donc pas comme si nous avions des exemples historiques utiles pour nous guider.

Si vous prenez en compte le fait que divers gouvernements terrestres ayant des philosophies et des structures opposées (pensez aux démocraties représentatives par rapport aux dictatures) auront tous des intérêts dans les implantations spatiales, il devient encore plus difficile de trouver une solution qui plaise à la population.

Et Maintenant?
Au-delà du Traité sur l’espace extra-atmosphérique de 1967 qui stipule que l’espace doit être exploré, non exploité ni utilisé à des fins militaires, très peu de règles régissent l’espace. Et même ce traité ne fonctionne plus aussi bien qu’avant – Kovic a déclaré dans son essai qu’il interdirait à la Russie, à la Chine ou à l’Amérique de coloniser la Lune ou Mars, mais pas à une entité privée comme SpaceX ou Blue Origin .

Avant de remettre les clés de la galaxie à Elon Musk ou Jeff Bezos, nous devrions peut-être prendre un moment pour proposer des règles de base actualisées .

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Note de la rédaction Futurism : Ce billet avait précédemment mal identifié le groupe de réflexion présidé par Kovic comme étant «l’Institut zambien d’analyse et de recherche des politiques». Il a été mis à jour.

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Ici je glisse en complément pour de la réflexion ( d’ailleurs  mes articles  qui ont plus ou moins servis de support  pour mes ouvrages)  les liens interne ( notre  autre site web  des articles en 3 volumes que j’ai réalisé à partir de 2011.

J’évoque brièvement la question éthique à la fin  du dernier  et troisième volet intitulé : « De l’exploitation à l’exploration spatiale « vol .3 » un futur incertain…. »

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Cliquez sur les bannières ci-dessous:

Enjeu du siècle?

Pronostics et évolution volet 2 de : l’exploration et exploitation spatiale…

De l’exploitation à l’exploration spatiale « vol .3 » un futur incertain….

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Mise à jour investigations ufoetscience, le : 07/12/2018 à : 11h05.

Projet de terraformation pour la NASA?

champs -magnétique
crédit illustration: tpe-irm.e-monsite.com/

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Article source : trustmyscience.com/

Stéphanie Schmidt  Espace & Astrophysique

6 mars 2017

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La NASA souhaite générer un énorme champ magnétique pour que Mars puisse retrouver son atmosphère.

Suite

 

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Mardi 7 Mars 2017 à 11h45:

Cet article suggère la terraformation, une technique qui ne semble pas encore à la portée de l’être humain. Même si l’article mentionne plutôt de générer un champ-magnétique, cela peut -il nous amener à penser que d’autres projets tout aussi ambitieux sont dans les petits papiers de cette agence gouvernementale américaine?

Je ne peux m’empêché  de penser à David Percy décrit comme un imposteur. J’ai brièvement parlé dans mon ouvrage intitulé O.A.N.I / O.V.N.I, enquête, méthode, réflexion publié en janvier 2016 par les éditions SAINT MARTIN de ce qu’il  disait au sujet du visage de Mars sur le site nommé Cydonia Mensae situé au 41° de latitude de l’hémisphère nord de cette planète, par la NASA à propos du « visage de Mars », survolé le 25 juillet 1976 par l’orbiteur Viking 1. Ce site a été le sujet brûlant pendant quelques années. Pour la NASA il ne s’agit qu’un jeu d’ombre et de lumière. Faux ! d’après Richard Hoagland et David Percy commentant les clichés pris par la sonde.

David Percy prétend que Mars ait pu avoir une atmosphère en se basant sur des clichés présentés à la NASA le 31 juillet 1976. Il explique ceci, que vous pouvez voir dans mon ouvrage. Ce qui est intéressant par rapport à cet article c’est ce qui suit:

Au siège des nations unies le 27 février 1992 à New -York, David Percy, en s’appuyant sur les travaux de R. Hoagland ( sous le titre la connexion terrestre),  argumente que Mars ne sera jamais une planète identique à la terre en raison d’une rotation trop lente et par conséquent seule une intelligence peut rendre au moins temporairement une atmosphère à la planète rouge. Une  technique avec des disques tournants installés  dans un cratère serait une nouvelle technologie qui permettrait l’énergie nécessaire pour non seulement alimenter  des vaisseaux spatiaux mais aussi pour injecter des graviterons sur la planète qui aurait pour conséquence d’augmenter sa masse apparente  pour tourner à la bonne vitesse et ainsi de  posséder une atmosphère. Pour avoir un résumé plus complet concernant les allégations de ces hommes, qui sont pour l’heure rangés à la thèse conspirationniste et non crédibles. ( pages 42 à 45 dans mon livre) 

Alors cet article ci-dessus mentionnant une telle perspective, un tel projet, celui de rendre une atmosphère sur cette planète est à suivre de près, surtout les techniques utilisées.

Texte Matisse sylvain ©2017 pour  (  droits d’auteur)

Mise à jour investigations ufoetscience, le : 07/03/2017 à 11h45.

Une « pierre non-contrôlée » martienne interloque les scientifiques

© Photo : zelenyikot.livejournal.com

Article source: french.ruvr.ru/

Par La Voix de la Russie | Le chef de l’équipe scientifique de rover Opportunity, Steve Squyres a reconnu ce qu’on appelle une « pierre non-contrôlée », découverte sur la surface de Mars, comme un phénomène difficile à expliquer. C’est ce qu’a déclaré Squyres lors d’une conférence de presse consacrée au dixième anniversaire depuis le début de fonctionnement du rover.
Cette « pierre errante » a été découverte en janvier 2014 sur les images faites par le rover Opportunity. Ainsi, il s’est avéré qu’elle n’était pas présentée sur les photos du 3536ème jour martien, mais apparaît au cours du 3537 ème jour martien.
Source:

Mise à jour investigations ufoetscience, le : 19/01/2014 à : 00h55.

Un «pourcentage élevé d’eau» trouvé par Curiosity dans le sol martien

Une photo de Mars prise par le robot curiosity, le 23 août 2012 N.A.S.A./SIPA

 

Source:20minutes.fr

ESPACE – On pourrait tirer environ un litre d’eau de 0,03 mètre cube de sable martien…

Environ 2% du sol à la surface de Mars est formé d’eau, révèle l’étude d’un échantillon effectuée par le robot Curiosity, une découverte qui ouvre de nouvelles perspectives pour l’exploration habitée de la planète Rouge.

«Un des résultats les plus emballants de l’étude du premier échantillon analysé par Curiosity est le pourcentage élevé d’eau dans le sol martien, qui est d’environ 2%», se félicite Laurie Leshin, du Rensselaer Polytechnic Institute, dans l’Etat deNew York, co-auteur de ces travaux parus en ligne jeudi dans la revue américaineScience.

L’échantillon -qui a été chauffé jusqu’à 835 degrés Celsius- a aussi dégagé des proportions significatives de dioxyde de carbone (CO2), d’oxygène et de composés de soufre, mais l’eau était l’élément gazeux le plus abondant, souligne-t-elle.

«Presque partout sur la planète»

Selon cette scientifique, on pourrait tirer environ un litre d’eau de 0,03 mètre cube de ce sable martien, ce «qui est beaucoup». «Jusqu’alors Mars était vu -en dehors des régions polaires- comme un désert très sec, et bien qu’il s’agisse d’une proportion d’eau nettement moindre que celle trouvée dans un échantillon de sol terrestre, c’est substantiel et une importante ressource» pour les futurs explorateurs de la planète rouge, explique-t-elle.

«Cette eau se trouve presque partout sur la planète dans le sol en surface, sous vos pieds et si vous être un astronaute il suffit de chauffer un peu de ce sol pour avoir de l’eau», relève-t-elle.

De l’eau en abondance sur Mars

«Mars est recouvert d’une sorte de couche de sable qui est mélangée et se déplace sur l’ensemble de la planète à cause des fréquentes tempêtes de poussière, ce qui fait qu’un échantillon de ce sol revient à avoir une collection microscopique de toutes les roches martiennes…. et une bonne idée de l’ensemble de la surface de Mars», pointe-t-elle.

L’eau existe en abondance sur Mars sous forme de glace dans les régions polaires. En 2003, la sonde européenne Mars Express, en orbite autour de la planète, avait confirmé la présence de glace d’eau dans la calotte polaire sud. Peu après elle découvrit la présence d’un permafrost autour du pôle nord s’étendant sur des centaines de kilomètres carrés. Outre les travaux sur l’analyse des gaz dans le sol martien, quatre autres recherches effectuées avec les autres instruments à bord de Curiosity sont également publiées jeudi dans Science. Elles ont permis de faire avancer la compréhension de la nature et de la structure du sol martien, ainsi que le rôle de l’eau.

 Avec AFP

Plus d’informations sur ce sujet en vidéo

Mise à jour investigations ufoetscience, le : 27/09/2013 à : 09h55.