Des astronautes de la NASA sont sur le point d’identifier des micro-organismes inconnus, se développant dans l’espace.
article source: trustmyscience.com/
13 août 2015
crédit image:
darium.over-blog.com/
Article source:msn.com/
Le 02 mars, lors de la retransmission en direct de la station spatiale internationale, un OVNI de taille spectaculaire est apparu sur les écrans de près de 140 000 internautes alors que la NASA a maladroitement tenté de censurer ces images… Mais selon les experts, il ne s’agit que d’une réflexion de la lentille de la caméra. Mais à vous de juger !
Remarque en août 2015 déjà, une vidéo du même acabit était en ligne.
Mise à jour investigations ufoetscience, le: 08/03/2017 à :19h50.
Article source:.rtflash.fr/r publie le: Mardi, 22/09/2015 – 14:19
crédit photo:
rtflash.fr
Une équipe de chercheurs français (Inserm/Université Claude Bernard Lyon 1), dirigée par Peter Ford Dominey, directeur de recherche CNRS, a développé « une mémoire autobiographique » pour le robot Nao, qui lui permet de transmettre des connaissances à des humains, après les avoir lui-même apprises d’autres êtres humains.
Cette avancée technologique pourra notamment être utilisée pour les opérations sur la Station spatiale internationale où le robot, seul membre permanent de la station, serait le trait d’union pour le partage des connaissances entre les différents équipages, renouvelés tous les six mois.
La culture humaine se compose de connaissances acquises par l’expérience partagée de la société. La transmission culturelle permet aux nouveaux membres de la société d’apprendre rapidement de cette expérience accumulée. Pour qu’un robot appréhende le comportement coopératif, nécessaire à la transmission culturelle des connaissances, les chercheurs ont créé un système grâce auquel un agent humain peut enseigner à l’humanoïde Nao de nouvelles actions par démonstration physique (en plaçant les membres du robot dans la bonne position), par imitation visuelle (via un système Kinect) ou par commande vocale. Ces actions individuelles sont ensuite rassemblées en procédures et stockées dans la mémoire autobiographique du robot, développée par les chercheurs, afin qu’il puisse les restituer si nécessaire à d’autres agents humains.
Ce système de mémoire autobiographique doit répondre au défi de la coopération entre les hommes et les robots, de plus en plus une réalité, notamment dans le domaine spatial, l’humanoïde Robonaut 2 volant désormais de façon permanente à bord de la Station spatiale internationale.
Grâce à ce type d’apprentissage, si une même panne se reproduit, le robot pourra montrer à un nouveau membre de l’équipage, via un système vidéo, la réparation qui avait déjà été réalisée. Il pourra également répondre à des questions sur l’événement précédent tout en aidant à la nouvelle réparation. Si une panne légèrement différente se produit, le robot pourra partager son expertise sur les défaillances de ce type, tout en enregistrant les tâches à mener pour résoudre ce nouveau problème et les transmettre aux scientifiques de l’équipage suivant.
Article rédigé par Georges Simmonds pour RT Flash
Mise à jour investigations ufoetscience, le: 09/10/2015 à :10h15.
Article source: lejournal.cnrs.fr
Le 11 février, l’Agence spatiale européenne doit lancer l’IXV, la première navette sans pilote européenne. Sa rentrée dans l’atmosphère permettra de vérifier la résistance de son bouclier thermique, testé jusqu’ici dans le four solaire du CNRS à Odeillo.
C’est un drôle d’engin qui s’élancera demain, le 11 février, de la base spatiale de Kourou en Guyane. Baptisé IXV (pour Véhicule expérimental intermédiaire), cet appareil sans pilote, sans ailes et de la taille d’une voiture, développé par l’Agence spatiale européenne (ESA), sera mis sur orbite par une fusée avant de redescendre seul en vol plané. En cas de succès, ce Soyouz pourrait ouvrir la voie à la première navette spatiale européenne capable de ramener des charges utiles de l’espace, voire même des astronautes dans un futur plus lointain.Depuis l’arrêt des navettes spatiales américaines en 2011, aucun véhicule spatial n’est aujourd’hui en mesure de ramener sur Terre autre chose que les astronautes qui travaillent dans la Station spatiale internationale (ISS). Ce sont actuellement les capsules russes Soyouz qui font le va-et-vient entre le sol et la Station. Quant aux vaisseaux automatiques tel l’ATV européen, ils apportent bien de la nourriture, de l’eau et du matériel à l’ISS, mais ils se consument dans l’atmosphère à l’issue de leur mission.
Vidéo ESA via Youtube
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Mise à jour investigations ufoetscience, le: 10/02/2015 à : 20:00
Article source : french.ruvr.ru/
Par La Voix de la Russie | L’entreprise privée américaine Sierra Nevada prévoit organiser le premier vol d’essai de son vaisseau spatial Dream Chaser en novembre 2016 et souhaiterait utiliser pour le lancement et l’atterrissage la base de lancement de Cap Canaveral en Floride.
Pour la direction de Sierra Nevada, dont font partie, entre autres, d’anciens astronautes, le nouveau vaisseau servira à voler en orbite terrestre basse, et pourra donc aller vers la Station spatiale internationale. Il pourra accueillir un équipage de sept personnes.
Source:En bonus l’administration investigations ufoetscience
inclus une vidéo youtube
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Mise à jour investigations ufoetscience, le : 26/01/2014 à : 20h15.
Kevin Ford, Oleg Novitski et Evgueni Tarelkine
© RIA Novosti. Grigorii Sisoev
13:01 25/09/2012
Article source: http://fr.rian.ru/
La composition des équipages principal et de doublure de la prochaine mission vers la Station spatiale internationale (ISS) a été approuvée mardi, a annoncé à RIA Novosti un porte-parole du Centre russe d’entraînement des cosmonautes.
L’équipage principal sera composé des cosmonautes russes Oleg Novitski et Evgueni Tarelkine ainsi que de l’astronaute de la NASA Kevin Ford. L’équipage de réserve comprend les cosmonautes russes Pavel Vinogradov et Alexandre Missourkine, ainsi que de l’astronaute de la NASA Christopher Cassidy. Les équipages de la prochaine mission vers l’ISS ont passé avec succès les examens appropriés.
Le lancement du Soyouz TMA-04M qui acheminera les membres du nouvel équipage à bord de la Station spatiale internationale est prévu le 23 octobre 2012 depuis le cosmodrome russe de Baïkonour, au Kazakhstan.
L’ISS est actuellement pilotée par l’Américaine Sunitha Williams, le Russe Iouri Malentchenko et le Japonais Akihiko Hoshide.