Des chercheurs du Massachusetts Institute of Technology (MIT), dirigés par John Romanishin, ont mis au point un système de cubes robotisés, capables de s’assembler et de se déplacer les uns par rapport aux autres pour former une structure qui évolue en permanence.
Ces chercheurs du Laboratoire d’Informatique et d’Intelligence Artificielle (MIT, États-Unis) ont imaginé et conçu des M-Blocks, robots de forme cubique, capables de se regrouper et de modifier en permanence leur position les uns par rapport aux autres. Ces robots-cubes peuvent ainsi former une structure souple, capable de se reconfigurer en permanence en fonction du déplacement de chaque cube.
Pour se repositionner constamment, ces M-Blocks se déplacent de manière très astucieuse, grâce à de petits volants d’inertie implantés dans chacun de ces cubes et dont la vitesse de rotation peut atteindre les 20 000 tours par minute.
Ces cubes robotisés sont également munis d’aimants placés sur les arêtes des cubes, dont les pôles s’inversent selon le mouvement qui est effectué par le cube en déplacement. Ce système permet l’arrimage et le désarrimage pratiquement instantané de chaque cube.
Ces robots cubes pourraient avoir de multiples applications et servir par exemple de vecteur pour acheminer des médicaments dans une région précise de l’organisme.
Article rédigé par Georges Simmonds pour RT Flash
Mise à jour par Era pour Investigations Ufoetscience, le : 20/10/2013 à : 15h00
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Info du 1er Juillet 2013 que nous reprenons sur le site Rhedae Magazine
Auteur : Sébastian SEIBT
Une nouvelle équation a été mise au point aux États-Unis pour calculer la probabilité de détecter des formes de vie sur d’autres planètes. Ce n’est pas la première fois que les mathématiques servent à chercher des extraterrestres.
N=N*xf(q)xf(hz)xF(o)xF(l)xF(s) : c’est peut-être la nouvelle clé mathématique de la quête humaine d’une vie extraterrestre . Cette équation, élaborée il y a une semaine par l’astrophysicienne duMassachusetts Institute of Technology (MIT) Sara Seager , tente en fait de déterminer la chance de trouver une forme de vie ailleurs que sur la Terre dans les dix années à venir.
Le N dans la formule de cette spécialiste des exoplanètes (les planètes qui sont en orbite autour d’une étoile autre que notre soleil) représente le nombre de planètes ayant une signature gazeuse anormale qui peuvent être détectées dans la prochaine décennie.
Pourquoi chercher de tels astres ? S’il existe sur une planète un gaz qui ne devrait pas y être naturellement, c’est qu’il est produit par une forme de vie. “Sans la vie sur Terre, il y aurait 10 milliards de fois moins d’oxygène. Si des extraterrestres observaient notre planète, ils devraient déduire notre existence de par cette concentration d’oxygène”, assure Sara Seager au site scientifique américain io9.
Deux planètes ?
Selon ses propres calculs, on devrait découvrir deux planètes qui ont une signature gazeuse anormale dans les dix années à venir. De quoi mettre du baume au cœur à ceux qui grâce à des téléscopes spatiaux tels que Kepler chassent les exoplanètes habitables. Pour l’heure, sur les plus de 850 planètes extra-solaires confirmées depuis la fin des années 1990, aucune ne rentre encore dans cette catégorie.
Sara Seager n’affirme pas que ses calculs sont paroles d’évangile. Les autres termes de son équation sont des variables dont la valeur peut différer au fil du temps et selon les scientifiques qui se penchent dessus. Ainsi, par exemple, N* est le nombre d’étoiles dans une observation et F(o) le nombre de systèmes observables : deux termes de l’équation qui devraient évoluer au fil des avancées technologiques.
L’après Drake
La scientifique n’est pas la première à mettre au point une approche mathématique de la quête d’une forme de vie extraterrestre. En fait, jusqu’à présent les débats autour de cette question s’inspiraient tous ou presque d’une équation mise au point en 1961 par l’astronome américain Frank Drake, le père du projet SETI (Search for Extra-Terrestrial Intelligence), un programme qui, depuis plus de 50 ans, écoute l’espace dans l’espoir de capter des signaux extraterrestres.
Contrairement à l’équation de Sara Seager, qui s’attache aux exoplanètes, la formule de Drake cherche à déterminer le nombre de civilisations extraterrestres dans l’univers. Pour lui, il y en a cinq en plus de la nôtre. Mais les termes de cette ancienne équation sont moins scientifiques que ceux de la chercheuse du MIT : ils font appel à des notions comme “la fraction des planètes habitées désireuses et capables de communiquer” ou encore à la “durée de vie moyenne d’une civilisation”.Autant de variables auxquelles chacun peut donner sa propre valeur.
“C’est une manière merveilleuse et novatrice de réfléchir à l’existence d’autres formes de vie intelligente, mais il y a trop d’inconnues impossibles à quantifier”, explique Sara Seager à propos de l’équation de Drake. Pour autant, elle ne pense pas que son équation doit remplacer celle de son illustre prédécesseur. Il s’agit plutôt d’une formule complémentaire qui se nourrit des avancées technologiques, comme le téléscope Kepler, et des observations effectuées depuis 60 ans.
L’équation de l’astrophysicienne spécialiste des exoplanètes Sara Seager comporte sept variables :
- N : Nombre de planètes ayant une signature gazeuse anormale
- N* : Nombre d’étoiles prises en compte dans le calcul
- F(q) : Fraction d’étoiles « calmes » (en oppositon aux étoiles où une activité météorologique, gazeuse ou autre trop importante rend la présence de vie impossible)
- F(hz) : Fraction de planètes rocheuses dans la zone habitale du système solaire
- F(o) : Nombre de systèmes observables
- F(l) : Fraction de planètes avec une forme de vie connue (c’est-à-dire 1 pour l’instant : la terre)
- F(s) : Fraction de planètes qui ont une signature spectroscopique détectable (c’est-à-dire pour lesquelles il est possible d’observer la composition gazeuse)
Source
19.04.2013, 22:08, heure de Moscou
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Source :
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![]() Photo: RIA Novosti
Le 19 avril, les cosmonautes russes Pavel Vinogradov et Roman Romanenko sont sortis de la Station spatiale internationale pour installer de nouveaux et démanteler d’anciens équipements scientifiques, a déclaré le Centre de contrôle russe des vols spatiaux (Korolev, Russie). Cela fait partie des expériences Biorisk et Vinoslivost.Pour Romanenko, il s’agit de la première sortie dans l’espace, tandis que Vinogradov en était à sa septième sortie. La durée totale du travail de ce dernier dans l’espace est de 31 heures 47 minutes.L’expérience Biorisk prévoit une étude de l’effet du vol spatial sur les microorganismes et les substrats. L’expérience Vinoslivost vise à étudier l’effet de l’espace sur les caractéristiques mécaniques des matériaux conçus à des fins spatiales.
Mise à Jour Era pour Investigations Ufo et Science le 20-4-2013 à 10 h 00
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Boris Pavlichtchev
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11.03.2013, 20:15, heure de MoscouSource : french.ruvr.ru
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Un laser le plus puissant au monde sera créé en Russie. Il s’agit plus précisément d’un réacteur thermonucléaire qui sera construit à sa base. Une gigantesque installation de 360 m de long et de plus de 30 m de haut, sera construite à Sarov, dans la région de Novgorod. Sa mise en service est programmée pour 2020.Avec l’aide de ce super-laser les chercheurs espèrent d’obtenir une substance, qui se trouve dans le cœur des étoiles telles que le Soleil, afin d’étudier la façon dont est allumé et brûle le combustible thermonucléaire, et de comprendre si le réacteur laser pourra être utilisé en tant que source d’énergie alternative. Au micro Sergueï Garanine, concepteur des systèmes à laser de l’Institut de recherche de physique expérimentale : « Les lasers permettent d’étudier la physique des hautes densités énergétiques. Par conséquent, il a été décidé de créer ce genre d’installation. Elle sera accessible à tout le monde : les spécialistes russes mais aussi étrangers pourront l’utiliser ». Un laser similaire existe déjà aux Etats-Unis et un autre est en cours de création en France. Le laser russe sera de 1,5 fois plus puissant. Plus de puissance offre plus de possibilités, fait remarquer Sergueï Garanine. Aucun réacteur thermonucléaire n’a réussi à produire une quantité de chaleur assez importante par rapport à l’énergie dépensée. Cela est vrai pour les réacteurs laser mais aussi pour le principal concurrent de ceux-ci, le tokamak (chambre torique de confinement magnétique), où le plasma est allumé avec l’aide d’un puissant champ magnétique. Ni en Union soviétique, où le tokamak a été inventé, ni dans d’autres pays on n’a jamais réussi à faire marcher à pleine puissance ce genre de machines, explique Alexandre Vinogradov, ingénieur en chef du laboratoire de neutronique de l’Institut unifié des recherches nucléaires à Doubna. « L’académicien Evgueny Velikhov y a consacré toute sa vie et assurait déjà à l’époque de l’Union soviétique qu’on était sur le point d’y arriver… De nouvelles générations de tokamak étaient créées, une machine venait remplacer une autre, mais il n’y a toujours pas de production industrielle d’énergie ». L’ITER, International Thermonuclear Experimental Reactor, qui est en train d’être construit en France, est aussi de type tokamak. La Russie est l’un des pays membres de ce projet. Les chercheurs ont donc deux pistes à explorer : le tokamak et le laser. Lequel des deux sera finalement choisi pour un réacteur du futur ? Pour le moment, personne ne saurait le dire. Mise à jour par Era pour Investigations UfoetScience le 12-3-2013 à 09h30 |
Une baguette métallique édentée, pressée dans du charbon, a été retrouvée par un habitant de Vladivostok, alors qu’il était en train d’allumer le feu dans sa cheminée. Il a montré son étonnante trouvaille aux scientifiques du Primorié (dont la capitale est Vladivostok). Ils ont conclu, après une analyse scrupuleuse, que l’objet datait d’il y a 300 millions d’années et qu’il avait été fabriqué par un être humain. Ils n’ont cependant pas pu déterminer celui qui l’a fabriqué exactement.
L’étrange artefact pressé dans du charbon est loin d’être un cas unique. Toutes ces trouvailles surprenantes laissent les scientifiques sans voix, car elles sapent tous les fondements possibles de la conception de la science moderne. Le premier objet de ce type, un vase, a été découvert en 1851 au Massachusetts aux États-Unis lors des explosions des carrières. Ce vase en argent et en zinc pressé dans du charbon remonte à la période du Cambrien, commencée il y a 500 millions d’années. En 1912, en Oklahoma, un petit chaudron de 312 millions d’années a été, lui aussi, trouvé dans du charbon. En 1974, un objet en aluminium inconnu a été découvert dans les grès d’une carrière en Roumanie. La pièce, qui ressemblait à un marteau ou au support d’une des jambes du train d’atterrissage du module lunaire Apollo ne pouvait pas être confectionnée par un être humain, car elle remonte au Jurassique.
Le nouvel artefact de Vladivostok s’est avéré un casse-tête pour les scientifiques. Le charbon dans lequel cet objet a été trouvé a été apporté dans le Primorié de la Khakassie, de la région de Tchernogorie. L’âge de ce charbon a été déterminé à 300 millions d’années, donc les scientifiques ont estimé que la pièce métallique devait, elle aussi, avoir 300 millions d’années.
Lorsque les scientifiques ont délicatement brisé le charbon, ils ont découvert un objet léger et souple d’une longueur de 7 centimètres, composé à 98 % d’aluminium et à 2 % de magnésium. On peut rarement rencontrer de l’aluminium pur dans la nature, donc les chercheurs ont supposé que la pièce a été fabriquée de manière artificielle. D’un autre côté, cet alliage peu commun leur a permis de comprendre comment l’objet a pu rester dans un tel état de conservation après tout ce temps. Sous sa forme pure, l’aluminium est recouvert d’une solide couche d’oxydes, qui lui permet de résister à la corrosion. Ainsi, l’alliage d’aluminium à 98 % supporte de hautes températures et un milieu naturel agressif.
Les scientifiques se demandent si cet aluminium vient de l’espace. Grâce à l’étude des météorites, la science a appris l’existence de l’extra-terrestre aluminium 26 qui se désintègre en magnésium 26. Les 2 % de magnésium présents dans l’alliage prouveraient justement la provenance spatiale de cet objet. Toutefois, de recherches supplémentaires sont nécessaires pour prouver cette hypothèse.
La dernière chose qui a étonné les scientifiques était l’étrange ressemblance de cette pièce avec une crémaillère. Il est difficile de s’imaginer que la nature a pu concevoir un objet avec six crans parfaits et des intervalles de même distance entre eux. De plus, l’espace entre chaque cran était étrangement large par rapport aux crans eux-mêmes. Il est possible que cette crémaillère fût une partie d’un mécanisme complexe. Ce genre de pièces est utilisé dans des microscopes modernes et dans d’autres appareils. Une question survient : comment une pièce si complexe a-t-elle pu être conçue par un être humain il y a plusieurs millions d’années ?
Lorsque l’information sur cette découverte s’est répandue, certains ont émis l’hypothèse que la crémaillère appartenait aux OVNIs. Cependant, les chercheurs russes préfèrent ne pas tirer de conclusions hâtives et effectuer des études supplémentaires.
Source : 
Mise à jour Era pour Investigations UfO et Science le 23-1-2013 à 19:33
Information en provenance de la page Facebook de Jack35. Nous vous proposons cette vidéo qui dure deux heures 48.
Texte qui accompagne la vidéo mise en ligne par Blackbox le 23 mai 2011 :
Richard Hoagland, l’enquêteur de Dark Mission (« Sombre Mission »), est un ex-conseiller en matière aérospatiale pour la NASA et pour la chaine CBS. Il partage une quantité énorme d’informations sur la NASA, les missions Apollo, l’histoire potentiellement réelle de notre système solaire ainsi que son exploration passée et présente. Son dernier livre Dark Mission, est arrivé presque au sommet de la liste des meilleures ventes du New-York Times.
http://projectavalon.net/lang/fr/richard_hoagland_fr.html
Si la vidéo ne fonctionne pas cliquez ici
Mise à jour Era pour Investigation Ufo et Science le 20-1-2013 à 16h30

Source image : http://www.absolute3d.net
En 1925, le scientifique britannique A.M. Low publiait sa vision de ce que la vie allait être un siècle plus tard. Selon lui, les humains de 2025 allaient être alimentés par des tubes et réveillés au moyen de massages prodigués par leur réveille-matin.
Mais la plus grande merveille de toutes, prévoyait-il, allait être le transfert d’énergie des autres planètes vers la Terre. Un rayon ultra puissant pourrait traverser la distance séparant la Terre et Mars, pensait-il.
En 2012, personne n’a été témoin d’un tel rayon se dirigeant sur la Terre. Mais selon les données les plus récentes, de celles recueillies sur Mars par le robot Curiosity jusqu’à la découverte de ce que les astronomes du Texas croient être le plus grand trou noir de l’univers, on pourrait bien être sur le point de faire des trouvailles que le Pr Low n’aurait même pas pu imaginer.
Une gigantesque planète orpheline avançant rapidement dans l’espace, de la glace sur Mercure, la visite du lanceur privé de SpaceX à la Station spatiale internationale, une meilleure connaissance de la Lune: l’univers n’a jamais paru à la fois si près et si mystérieux.
Le Dr Robert Cockcroft, du Département de physique et d’astronomie de l’Université McMaster, à Hamilton, en Ontario, a affirmé qu’une des plus grandes découvertes de 2012 était en fait une des plus petites. Il s’agit de ce qui a été perçu par le Grand Collisionneur de hadrons, le plus grand accélérateur de particules au monde, construit en Europe.
«La détection de particules ressemblant en tous points au boson de Higgs va certainement accélérer notre compréhension de la masse et de la gravité, et nous aidera à trouver ce qui constitue la matière noire», a dit le Dr Cockcroft.
Le scientifique du planétarium McCallion, à l’Université McMaster, a aussi affirmé être très enthousiasmé par les recherches récentes sur les exoplanètes.
Au cours de la nouvelle année, les experts se pencheront sur ce que Curiosity rapportera de Mars et retiendront leur souffle pendant la mission du vaisseau Planck, qui étudiera des parties parmi les plus anciennes de l’univers.
Source : http://fr.canoe.ca/techno/sciences/
Source article et image : http://french.ruvr.ru/2012_10_13/Russie-scientifiques-ADN/
Investigation Ufo et Science reprend cet article le 26-12-2012 à 13 heures
Un groupe de géochimistes russes originaires d’Extrême-Orient tente de donner vie à la matière inanimée. Les scientifiques veulent recréer dans leur laboratoire un environnement des sources thermales de la péninsule du Kamtchatka, qui, selon eux, serait le milieu idéal pour la création de la vie.
Les scientifiques de l’Institut d’analyse complexe des problèmes régionaux de la filiale extrême-orientale de l’Académie des sciences de Russie sont en train d’expérimenter avec la matière organique qui se trouve sous l’influence des fortes températures et pression. L’évolution chimique ne peut pas se transformer en biologique sans un certain stress, a souligné dans une interview aux médias Vladimir Kompanitchenko, l’auteur de ce programme. En d’autres termes, sous une certaine combinaison de température et de pression, la vie dans la matière non-vivante pourrait apparaître. Telle est la conclusion du chercheur après l’étude des bactéries thermophiles au Kamtchatka. La mission – c’est donc recréer le berceau géothermal de la vie dans des conditions de laboratoire.
Les experts considèrent que l’expérience des géochimistes extrême-orientaux est tout à fait intéressante, mais restent sceptiques quant aux résultats de cette expérience. Après tout, il s’agit d’une nouvelle tentative d’expliquer l’origine de la vie sur Terre. Ce procédé, s’il s’avère fiable, permettra de synthétiser la vie, explique l’académicien spécialisé en biophysique Valentin Sapounov.
« Tout d’abord, nous ne savons toujours pas ce qu’est la vie, nous n’avons pas de définitions claires et ne comprenons pas comment s’est vraiment créée la vie sur Terre. Avec de telles lacunes, cette expérience ne nous avance pas. Il est presque impossible de créer une telle structure par de simples combinaisons empiriques, comme pour l’ADN ».
De nombreux scientifiques sont enclins à croire que la vie a été apportée sur Terre depuis l’espace, rappelle Valentin Sapounov. Cette version était soutenue notamment par le scientifique suédois et lauréat du prix Nobel de chimie Svante August Arrhenius et le fondateur de la biogéochimie russe, l’auteur de la doctrine de la noosphère Vladimir Vernadsky.
Cependant, de nombreux scientifiques soutiennent une autre théorie sur les origines de la vie – la théorie volcanique. Le volcanologue Evngueni Markhinine a été le premier à la proposer il y a 40 ans, et actuellement elle est développée par l’équipe de recherche américaine dirigée par le Russe Evgeny Kounine de l’Institut National de la Santé (Etats-Unis). Ces chercheurs estiment que les premiers organismes vivants sont apparus dans les eaux des lacs, qui fournissaient la chaleur et des micronutriments aux sources thermales des volcans.
L’équipe de scientifiques dirigée par Vladimir Kompanitchenko, se fonde apparemment sur l’hypothèse du biologiste soviétique Alexandre Oparine. Selon cette théorie datant de 1924, l’évolution biologique était précédée de l’évolution chimique. Elle s’est formée sous l’influence des charges électriques, existant dans les eaux de la Terre il y a 4 milliards d’années. Le milieu dans lequel s’est produit l’évolution biologique était composé d’acides aminés et des polypeptides. Les geysers de Kamtchatka ressemblent effectivement beaucoup à ce milieu.
Selon le professeur de la faculté de la géologie à l’Université d’Etat de Moscou Andreï Bytchkov, cette théorie a tout de même un grain de vérité. Selon lui, les processus géologiques qui sont liés avec l’énergie de la Terre, peuvent stimuler l’émergence de la vie. Toutefois, il est difficile de le prouver par expérience.
« Du point de vue de la géochimie, nous savons que la vie est apparue très tôt sur Terre. Son apparition doit être liée avec des processus endogènes – le volcanisme et hydrothermie. Nous ne pouvons pas être certains que dans une solution de roche ou un liquide quelconque, il n’y a rien qui soit hérité de la vie présente. C’est pourquoi, la question de l’origine de la vie, est une question très complexe, je pense ».
D’ailleurs, les expériences avec l’imitation du milieu aquatique et l’atmosphère de la Terre au cours des premières années de son existence ont déjà été réalisées. Les chercheurs ont fait passer des décharges électriques par le méthane et d’autres gaz qui existaient dans l’atmosphère terrestre. Quelques mois après le début des expériences, plusieurs molécules organiques y sont effectivement apparues. Mais aucune cellule n’a été obtenue, ce qui veut dire que la vie ne provient pas de ce milieu.
UN ARTICLE DE KEN PFEIFER WORLD UFO PHOTOS
Traduction area51blog/Investigation Ufo et Science
BEAUCOUP DE TEMOIGNAGES CONCERNANT D’ETRANGES LUMIERES AU DESSUS DE MARJAH EN AFGANISTAN
7-2-10 CAMP LEATHERNECK EN AFGANISTAN
Voici les photos que j’ai prises une nuit (aux environs du 7 février 2010) pendant que j’étais à notre bureau dans l’enceinte du MLG dans le camp Leatherneck en Afghanistan. Je sais que tous mes amis sur FB qui étaient avec nous ont vu la même chose. Elles étaient la haut assez longtemps pour que les gens partent. Elles étaient là haut pendant un long moment sans bouger. Elles sont parties puis revenues. Elles ne bougeaient pas ni ne clignotaient ni ne faisaient aucun bruit. Elles semblaient être très haut mais on n’avait rien pour se baser là dessus. Plutôt cool comme incident. Maintenant que je l’ai vu à la télé, c’est super cool que nous ayons pu en être témoins.
1. J’étais dans notre bureau dans l’enceinte du MLG dans le camp Leatherneck en Afghanistan. 2. Un des Marines de la Compagnie est venu dans le bureau pour nous parler des lumières. 3. Au début nous avons pensé à des fusées (flares) ou des ballons météo mais ils n’ont pas changé d’altitude. 4.Comme mes pièces jointes le montrent il y avait 7 lumières à égale distance dans le ciel qui ne semblaient pas se déplacer ou changer. 5.Très curieux de voir les lumières, tant de gens les ont vues et ne s’arrêtaient même pas pour les regarder. Il y avait beaucoup de choses au cours de la journée, mais rien pour nous distraire pendant l’observation. 6. je déteste le dire mais peut-être après 45 minutes nous sommes allés à l’intérieur pour travailler. j’ai 4 photos supplémentaires qui sont plus nettes mais comme j’ai bougé, les lumières semblent être en mouvement.
Merci au MUFON CMS system.
KEN PFEIFER WORLD UFO PHOTOS
AFGANISTAN ARTICLE FROM KEN PFEIFER WORLD UFO PHOTOS
MANY WITNESS STRANGE LIGHTS OVER MARJAH AFGANISTAN
2-7-10 CAMP LEATHERNECK AFGANISTAN
Here are the photos that I took one night (on or about 7 Feb, 2010) while at our office in the MLG compound on Camp Leatherneck Afg. I know that all of my friends on FB that were with us saw the same thing. They were up there long enough that people were leaving. They were up there for a long time without moving. They went away for a while and then came back. They didnt move or blink or make any noise. They looked like they were really high up but there was nothing to base that on. Pretty cool event. Now that I have seen it on TV it is super cool that we were able to witness it. 1. I was in my office in teh MLG Compound on Camp Leatherneck in Afghanistan. 2. One of the Marines in the Company came into the office to tell us about the lights. 3. At first we thought maybe flares or weather balloons but they didnt change alt. or fade out or fall. 4. As my attachments show there were 7 equally spaced lights in the sky that did not appear to move or change. 5. Very interested to see the lights, so many people saw them and didnt even stop to look at them. There was a lot going on during the day but nothing to distract us during the sighting. 6. I hate to say it but after maybe 45 minutes we just went back inside to work. I have 4 more pics they are sharper but since I was moving they make the light appear as if they were moving.
Thanks to MUFON CMS system.
KEN PFEIFER WORLD UFO PHOTOS
L’accident récent du vaisseau cargo Progress a provoqué une crise de l’approvisionnement de la Station spatiale internationale (ISS). Les experts remettent en cause la fiabilité des équipements russes. Mais aucun moyen de transport radicalement nouveau vers l’ISS n’est prévu dans les années à venir.
Le dernier accident du Progress a porté un coup non seulement à la réputation de la Russie dans le domaine spatial, mais aussi aux relations entre la NASA et Roskosmos. La fermeture, en 2011, du programme Space Shuttle a forcé les États-Unis à conclure un accord sans précédent avec l’agence russe pour les vols vers l’ISS. Pour le droit d’utiliser les navettes Soyouz pendant deux ans, les Américains sont prêts à payer 545 millions d’euros. Après les accidents de cette année, on a commencé à sonner l’alarme à la NASA. Le 29 août, le directeur du programme ISS à la NASA, Michael Saffredini, a déclaré que la station en orbite risquait, pour la première fois depuis onze ans, de passer en régime autonome si le lancement des Soyouz ne reprenait pas mi-novembre. Selon lui, la prolongation du vol du Soyouz TMA-02M jusqu’en décembre, forcera les astronautes à accomplir un atterrissage de nuit dans les rudes conditions de l’hiver dans la steppe kazakhe. En onze ans, les Américains n’ont jamais tenu de propos aussi durs. L’industrie spatiale souffre de plusieurs problèmes clés qu’il faut régler pour envisager un quelconque développement.
« C’est une crise, il n’y a pas de doute. Nous avons vécu trop longtemps sur les acquis que nous a laissés la période soviétique. En y regardant de près, il devient évident que le parc des lanceurs vient à peine de se moderniser. Le lancement de la fusée Zénith, développée avec l’usine ukrainienne Ioujmach, a mis longtemps, pour des raisons politiques, les deux pays privilégiant les modèles anciens. Après la fermeture du programme Shuttle, il ne peut plus être question de la régénération du Bouran, il faut une mise au point radicalement neuve », explique une source au sein de l’industrie spatiale. « Qui plus est, Roskosmos a échoué de manière globale dans la question des cadres : les salaires étaient très bas, chaque année le nombre de bons spécialistes chutait, et absolument rien n’était fait pour attirer les jeunes. Autrefois, on pouvait obtenir un ajournement du service militaire, mais plus maintenant. Les temps ont changé et la direction de Roskosmos doit se fixer des objectifs stratégiques, et non des missions générales du genre « créer quelque chose qui pourrait s’envoler vers la lune ». Et ces objectifs existent bel et bien, comme la création du cosmodrome Vostochnyï, tandis que les deux accidents la même semaine, au moment où arrivait un nouveau directeur, sont une coïncidence. » Le niveau d’avarie des fusées russes grimpe depuis la fin des années 1990, et aujourd’hui, il égale celui de l’Inde, de la Chine et du Japon. Les fusées américaines et européennes sont sensiblement plus fiables. Mais les États-Unis se sont concentrés entièrement sur leur propre programme, sans s’occuper des lancements commerciaux. Leurs lanceurs sont très chers pour les clients tandis que l’Europe n’est capable de produire que six fusées Ariane-5 par an. Les clients qui doivent lancer un satellite plus rapidement ou pour moins cher sont obligés d’utiliser les Protons, Soyouz et autres Potok russes. Des porteurs sont également créés, comme l’Angara, mais ils nécessitent des matériaux et des technologies nouveaux, c’est-à-dire beaucoup de moyens et de temps. L’ère des nouveaux transporteurs n’arrivera que dans 30 à 40 ans.
http://aliensx.over-blog.com/article-l-espace-aux-mains-des-russes-85767631.html
Via http://www.ufologie-paranormal.org/t8459-lespace-aux-mains-des-russes#89261