LDLN no 436 est sortit . Fidèle à son habitude la revue propose des cas inexpliqués . En effet Daniel Robin consacre un article sur le dossier suivant : Un immense triangle noir près du LHC de Genève .
Puis un dossier d’histoires d’observations à Cleveland par Sandy Mitchell du média tripsavvy . com traduit par ma compagne Era pour son blogue AREA 51. Jean Louis le directeur de cette revue rédige un article sur les Crops Circle .
Le reste est à découvrir en achetant cette revue 100%ufologique.
Côté ouvrage présentation sous l’image de couverture ci -dessous :
Je vous propose aussi la lecture « Le dossier des O.V.N.I dans l’Yonne – la gazette éditions 89 « de notre ami ufologue de Bourgogne Rémy Fauchereau .
Cet ouvrage est le catalogue d’un véritable enquêteur dont les dossiers ne manquent pas malgré des idées reçues notre région a son lot d’observations insolites, inexpliquées etc.
Bien documenté avec des schémas et de très belles photos exécutés dans le respect de ce qui a été observé par les témoins qui ont accepté de livrer leur expérience, leur témoignage. Très bon livre à se procurer. Les ufologues , les témoins ou les passionnés ne peuvent pas ne pas avoir le livre de Rémy dans leur bibliothèque privé , c’est mon avis et pas seulement par ce que Rémy est un ami . Il bosse avec rigueur , sans compter son temps et sans se ménager . Un exemple pour moi .
Fusion nucléaire : le CEA et le Japon préparent l’après-Iter
La construction d’Iter n’est pas encore terminée mais l’urgence de remplacer les énergies fossiles par des sources d’énergie concentrées est telle que son successeur, Demo, est déjà à l’étude. Le CEA et le Japon travaillent ensemble sur ce vrai prototype de réacteur industriel pour la production d’électricité. Éléments clés, les puissants aimants posent des contraintes énormes. Après des essais réussis, ils sont partis au Japon.
L’ Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), une organisation internationale sous l’égide de l’ONU, comme le Giec, a rappelé l’année dernière que la Chine est en train de développer la production d’énergie nucléaire à un rythme record malgré ses efforts eux aussi considérables pour développer l’énergie solaire. Cela ne surprendra pas ceux qui savent, comme l’a expliqué notamment le regretté physicien et mathématicien David Mackay sur TEDx et dans un livre grand public en accès libre (L’énergie durable — Pas que du vent !), que l’humanité ne pourra pas relever les défis du XXIe siècle sans une combinaison des énergies renouvelables et nucléaires.
Les réacteurs à fission ont des limites et l’idéal serait sans aucun doute de les remplacer dans la seconde moitié de ce siècle par des réacteurs à fusion contrôlée. La Chine, la Corée du Sud, les États-Unis, l’Inde, le Japon, la Russie et l’Union européenne en sont conscients et c’est pourquoi ces pays ont lancé il y a dix ans le programme Iter (acronyme de l’anglais International Thermonuclear Experimental Reactor, ce qui signifie Réacteur thermonucléaire expérimental international). Rappelons qu’il ne s’agit pas de réaliser un prototype de réacteur industriel pour la production d’électricité, mais de donner une preuve de principe qu’un tel réacteur est possible. Ce rôle opérationnel sera celui de Demo (de l’anglais DEMOnstration Power Plant), la machine qui devra succéder à Iter.
Contrairement à Iter, Demo devra fabriquer une partie de son carburant thermonucléaire comme sous-produit de son fonctionnement. En l’occurrence, il s’agit d’un isotope de l’hydrogène, le tritium radioactif, dont il n’existe pas de sources naturelles sur Terre. La fusion sera effectuée entre ce tritium et le deutérium (extrait de l’eau de mer). Le flux des neutrons engendré devrait à son tour produire des noyaux de tritium, par exemple à partir d’une couverture en lithium de l’intérieur du réacteur de Demo.
Or, le temps presse, car comme l’expliquent depuis quelque temps Jean-Marc Jancovici en France ainsi que le climatologue James Hansen et Michael Shellenberger aux États-Unis, il nous faut diminuer fortement au plus vite l’usage des énergies fossiles pour limiter les conséquences dramatiques du réchauffement climatique. Changer de mode de consommation ne suffira pas sans l’énergie nucléaire, qu’elle soit basée sur la fission dans un premier temps puis sur la fusion. C’est pourquoi on travaille déjà sur Demo dans le cadre de ce qui a été appelé l’« approche élargie » d’Iter.
Le CEA est depuis longtemps impliqué dans cette voie. Dans le projet Iter, il l’est par exemple avec le tokamak doté d’aimants supraconducteurs Tore Supra réalisé et opéré à Cadarache par l’Institut de Recherche sur la, CEA-IRFM. Cet instrument permet la poursuite du projetWest, dont Futura avait déjà parlé il y a quelques années.
À la base de l’accord de l’« approche élargie » d’Iter signé en 2007 entre l’Europe et le Japon il y a eu la négociation finale entre les partenaires du projet sur le lieu de la construction d’Iter. Le Japon a accepté qu’il soit construit en France en échange d’une aide de l’Europe pour préparer Demo.
La recherche sur la fusion magnétique contrôlée ne s’est pas figée au moment où la construction d’Iter a été lancée. De nouveaux modes de confinement du plasma ont été envisagés pour produire davantage d’énergie qu’Iter. Le Japon veut les étudier de plus près en gardant Demo à l’esprit. C’est pourquoi le projet prévoit d’upgrader JT-60U (Japan Torus-60 Upgrade), le tokamak japonais qui est l’équivalent du mythique JET (acronyme de l’anglais Joint European Torus, littéralement Tore commun européen).
JT-60SA (pour Super Advanced) sera équipé de 18 bobines en forme de D constituant des aimantssupraconducteurs en niobium-titane refroidis avec de l’hélium liquide supercritique à quelques degrés au-dessus du zéro absolu. Quand il sera opérationnel à l’horizon 2020, il sera le plus grand tokamak doté de ces aimants en fonctionnement, en attendant Iter qui le détrônera.
Cette technologie avec des aimants supraconducteurs en niobium-titane est très similaire à celle utilisée pour les aimants du LHC, elle-même dérivée en partie du projet Tore Supra. Elle permet d’atteindre de forts champs magnétiques du fait de l’annulation de la résistance au passage du courant, sans quoi l’effet Joule produit ferait fondre ces aimants. D’infimes surchauffes peuvent toutefois s’y manifester, rendant localement les aimants à nouveau résistifs. Il se produit alors un « quench » ou, en français, une transition résistive locale. Ce qui provoque bien sûr un échauffement par effet Joule plus important de l’aimant et de l’hélium liquide, lequel va se vaporiser, ce qui ne va rien arranger. On sait gérer ce genre de problème en s’arrangeant pour que l’énergie stockée dans les aimants soit dissipée dans une résistance externe. Cela permet de minimiser l’augmentation de température et les contraintes mécaniques qui pourraient apparaître.
Les aimants supraconducteurs du tokamak japonais JT-60SA testés et intégrés au CEA/Irfu
L’Europe a fourni vingt aimants supraconducteurs par sécurité pour le JT-60SA. Dix ont été fabriquées sous la responsabilité du CEA par GE Power à Belfort en France et les autres en Italie. Mais tous devaient faire l’objet de contrôles afin de vérifier que les marges de stabilité évitant les transitions résistives sont bien celles demandées par le cahier des charges. Là encore, l’expertise du CEA a été mobilisée. Les aimants ont donc patiemment été mis en situation de transition résistive dans la station d’essai cryogénique située sur le centre de recherches du CEA à Saclay (Essonne), dont le dernier en janvier 2018.
De manière générale, la technologie liée à la cryogénie à très basses températures est capitale pour le succès de bien des entreprises, aussi bien en ingénierie qu’en science fondamentale (LHC, NeuroSpin). Et c’est pour cette raison, là aussi, que le CEA est partie prenante de l’usine cryogénique destinée à refroidir les aimants du JT-60SA, via l’Institut nanosciences et cryogénie(CEA Inac) situé à Grenoble.
Les membres du centre de recherches du CEA à Saclay sont aussi intervenus au niveau des structures mécaniques associés aux aimants car il est capital qu’ils gardent leur forme pour assurer des configurations de champs magnétiques bien précises. En effet, des aimants parcourus par des courants vont vouloir se déformer sous l’action de ces champs, ce qui n’est pas donc acceptable.
Après plus de dix années d’effort, la saga de ces aimants vient donc de s’achever en ce début d’année 2018. Du moins en Europe, car elle va continuer au Japon où ces aimants sont transportés.
Un verrou à faire sauter pour la fusion : les flux de neutrons
On ne sait pas encore quel matériau sera capable de supporter suffisamment longtemps le flux de neutrons produit par la fusion du deutérium et du tritium. Il faudra peut-être en concevoir de nouveaux, par exemple à l’aide de simulations numériques sur supercalculateur. En tout état de cause, des expériences seront nécessaires et le CEA est également impliqué dans la construction d’un accélérateur de particules à Rokkasho au Japon, le LIPAC, (Linear IFMIF Prototype Accelerator), qui permettra de produire des flux de neutrons pour tester les matériaux qui seront utilisés pour assurer le fonctionnement de Demo.
CE QU’IL FAUT RETENIR
Le réacteur Iter ne servira qu’à démontrer qu’il est possible de produire de l’énergie grâce à la fusion thermonucléaire. Devra lui succéder Demo (pour Demonstration power plant), le premier véritable prototype de réacteur pour la commercialisation d’électricité, prévue à l’horizon 2050.
L’étude de sa conception a déjà commencé, en particulier en France et au Japon, au moyen d’un nouveau tokamak supraconducteur, JT-60SA, dont les aimants ont été fabriqués en Europe et ont été testés au CEA.
Ces travaux sont menés dans le cadre de l’approche élargie d’Iter. Elle étudiera aussi le problème des matériaux qui devront résister au flux de neutrons dans le réacteur Demo.
Un filament long de 2.3 années-lumière Crédit image : | NSF/VLA/UCLA/M. Morris et al.
L’infiniment grand me fait penser à l’infiniment petit quelquefois.
Ci-dessous cet article que je reprend ici pour vous le démontre quelque part.
– Comme pour les nano structures que l’on trouve
dans la nature microscopique en biologie ou en physique, l’univers de ce petit monde de l’imagerie ressemble à s’y méprendre avec les images capturées par des instruments qui ,composent un télescope, pour l’infiniment grand .Les accélérateurs de particules ou les microscopes à balayage électronique, pour l’infiniment petit , ou je ne sais quel autre outils à usage scientifique qui capture des éléments qui m’intriguent .
Toujours est-il que des images semblent être de la même nature. Est -ce seulement une impression , une illusion ?
L’infiniment petit l’infiniment grand ou l’infiniment lointain possèdent -ils tous la même composition? L’univers se confond certainement dans ces deux opposés.
Je ne parle que d’images pour faire ce genre de comparaison , pour le reste, aux experts scientifiques d’éclairer ma petite lanterne.
Ce filament mystérieux à un petit air de déjà vu pour moi. Peut-être la MEB qui consiste en un faisceau d’électrons balayant la surface d’un échantillon à analyser qui, en réponse, réémet certaines particules. Ces particules sont analysées par différents détecteurs qui permettent de reconstruire une image en trois dimensions de la surface. ( Travaux de Max Knoll et Manfred von Ardenne dans les années 1930, » référence-wikipédia » )
Les différentes techniques utilisées par les scientifiques semblent renvoyer les mêmes images une fois reconstituées par leurs outils. Un trompe l’œil ?
Les astronomes sont intrigués par un filament étrange situé au centre de notre galaxie.
Article source : trustmyscience.com parStéphanie Schmidt le
Des astronomes ont capturé une image nette d’un filament long de 2.3 années-lumière, serpentant autour du trou noir supermassif situé au centre de la Voie lactée.
La structure en elle-même a été découverte en 2012, mais cette nouvelle image révèle que la longue ligne semble être assez proche du cœur sombre de la galaxie. Tandis que pouvoir observer de plus près ce filament mystérieux aide à affiner les hypothèses sur ce que cela pourrait être, les astronomes sont encore loin d’avoir une quelconque réponse.
Une équipe de chercheurs a pu produire cette image en utilisant les données du National Radio Astronomy Observatory’s (NRAO) Karl G. Jansky Very Large Array, et a utilisé une nouvelle technique d’imagerie pour aider à mettre en lumière les détails.
Pour les astronomes, ce filament est un mystère passionnant, qui nécessite une réponse : « Une partie du suspens de la science réside dans les mystères qui ne sont pas faciles à résoudre », annonce l’astronome Jun-Hui Zhao, du Harvard-Smithsonian Center for Astrophysics à Cambridge (Massachusetts, USA). « Bien que nous n’ayons pas encore la réponse, le chemin pour la trouver est fascinant. Ce résultat motive les astronomes à construire des radiotélescopes de nouvelle génération avec une technologie de pointe», ajoute-t-il.
Il n’est pas inhabituel de trouver de longs flux gazeux ou des lignes de particules incandescentes s’étendant à travers de grandes régions de l’espace.
Des structures telles que celle-ci, également appelées filaments radio non-thermiques (NRF – nonthermal radio filament), ont déjà été observées auparavant dans notre galaxie. La plupart sont beaucoup plus longues, mais leurs origines sont encore mystérieuses.
À l’origine, les chercheurs soupçonnaient qu’ils avaient quelque chose à voir avec les champs magnétiques de la Voie lactée. Mais à mesure que d’autres filaments de ce type étaient découverts et qu’ils possédaient des « directions » étranges, cette idée fut abandonnée.
Ce qui rend ce filament spécifique si inhabituel, c’est qu’il semble chatouiller l’horizon des événements de Sagittaire A* (Sgr A*), le trou noir supermassif situé au centre de notre galaxie. Cela permet d’aboutir à d’intéressantes hypothèses expliquant pourquoi de longs filaments de particules émettent de la lumière dans la plage des ondes radioélectriques du spectre électromagnétique.
Tout d’abord, éliminons l’option qui serait la moins intéressante. Il se pourrait qu’il ne s’agisse de rien d’important : un simple filament qui semble connecté à un trou noir. En d’autres termes, il pourrait être l’équivalent astronomique d’un cheveu devant l’objectif. Mais selon les astronomes, cette option est extrêmement improbable, même si nous ne pouvons pas la rejeter totalement à l’heure actuelle.
L’hypothèse favorite des chercheurs, suggère que le filament est constitué de particules qui se font happer par Sgr A*. En effet, des tourbillons de particules qui se précipitent dans un trou noir peuvent générer un champ magnétique puissant, qui agit à son tour comme un accélérateur de particules. Des particules chargées et canalisées à une telle vitesse extrême pourraient expliquer ce flux mince et rougeoyant.
L’autre possibilité, plus excitante mais moins probable, est qu’il s’agisse en réalité d’un objet hypothétique connu sous le nom de corde cosmique. Les cordes cosmiques sont considérées comme des défauts « topologiques » unidimensionnels immensément massifs qui se forment entre différentes parties d’un vide, à mesure que l’espace se dilate. En d’autres termes, ils ressemblent à des fissures dans l’espace qui se sont formées lorsque notre Univers naissant s’est étiré. (Concept qui ne doit donc pas être confondu avec la théorie des cordes).
Étant donné que ces objets devraient être extrêmement massifs, si les cordes cosmiques existent bel et bien, alors le milieu d’une galaxie serait un bon endroit pour en chercher. Mais jusqu’à présent nous n’en sommes pas certains, alors les astronomes continueront à recueillir de plus en plus d’éléments pour pouvoir exclure l’une ou l’autre des hypothèses.
Mais dans tous les cas, définir avec précision la nature de ce filament mystérieux, sera une aubaine pour l’astronomie. S’il s’agit de particules se faisant happer par Sgr A*, cela nous en apprendrait davantage sur les champs magnétiques dans cette zone très chaotique située autour des trous noirs. De plus, repérer une corde cosmique dans la nature serait une découverte majeure, qui nous en apprendrait beaucoup sur la nature même de l’Univers et ses origines. « Nous continuerons à chasser les informations jusqu’à ce que nous ayons une explication solide concernant cet objet. Et nous visons à produire par la suite des images possédant encore une meilleure qualité et qui soient plus révélatrices », a déclaré Miller Goss, de la NRAO.
OVNI ou lueur naturelle liée à une activité sismique ou volcanique? Janvier 2017 : Popocatepetl. Caméra automatique de surveillance de la ville de MEXICO. Capture d’écran Youtube
Nous évitons au préalable de diffuser des vidéos d’amateurs sur nos sites web, car sans les circonstances mentionnées avec des détails cela ne constitue pas une preuve suffisante pour accréditer un OVNI au sens littéraire du terme. Après si les cas présentés en vidéo sont véridiques, il manquera toujours l’explication ferme et définitive, un doute étant toujours possible.
Pour autant, nous pouvons quelquefois faire exception à notre règle. Cette vidéo que nous partageons ici, peut aider en un sens. En effet, nous avons assez de témoignages qui se rapprochent de ces globes lumineux.
Cette vidéo n’engage que la bonne foi de celles ou ceux qui les ont mis en ligne, pas la nôtre.
Nous partageons cette vidéo, car elle peut en un sens aider des témoins, des enquêteurs lors de recueils de témoignages. Ainsi un observateur pourrait dire, voilà ici ça se rapproche de ce que j’ai vu, et ô combien même que la vidéo peut être discutée sur son authenticité des faits.
Le cerveau des astronautes modifié après un long vol dans l’espace
article source : 7sur7.be/
Par Sarah Winkel 2/11/17 – 13h56 Source: CNN, New England Journal of Medicine
Selon une étude publiée mercredi dans le « New England Journal of Medicine », le cerveau des astronautes a tendance à se déplacer vers le haut de leur boîte crânienne lors de voyages spatiaux prolongés.
Si on savait déjà que les séjours spatiaux avaient des conséquences sur le corps des astronautes, on apprend aujourd’hui qu’ils en ont également sur leur cerveau. Pour arriver à une telle conclusion, des chercheurs de l’Université de Caroline du Sud, aux Etats-Unis, ont effectué des radios du cerveau de 34 astronautes avant et après leur séjour dans l’espace. Ces examens IRM ont révélé des modifications cérébrales chez les majorités d’entre eux revenant de missions spatiales à long terme: après trois mois, le cerveau avait tendance à se déplacer vers le haut de leur boîte crânienne. « Il semble y avoir une augmentation du liquide céphalo-rachidien et un déplacement du cerveau dans le crâne« , explique à CNN le professeur Rachael Seidler, qui a travaillé sur des études similaires. Ce déplacement « serre » ainsi le crâne, et rend l’espace entre les différentes régions du cerveau plus petit. « Il est désormais important de poursuivre avec des études supplémentaires pour examiner la durée de ces changements« , a-t-elle ajouté. Source Mise à jour investigations ufoetscience, le : 21/11/2017 à 13h30.
Cet article ci-dessous tombe à pic à l’heure ou l’on me taxe de faire des thèses conspirationnistes. Pour moi il y a surtout des faits qui dérangent certains, souvent par peur. Alors ils préfèrent fermer les yeux et à ce titre je les approuve quelque-part.
J’ai toujours été pondéré dans mes propos qu’ils soient très terre à terre ou à la limite de la fantaisie et je ne dérogerai pas à ma ligne de conduite. Alors je met en garde contre les allégations que diffuse le média Sputnik dont nous savons la limite de leurs articles et de leurs informations parfois douteuses,mais aussi parfois véridiques .
Vrai ou faux ne nous voilons pas la face, notre monde est tout sauf clean, beau et gentil, n’en déplaise à mes détracteurs ! Les seuls derniers événements sur notre sol en sont la bien triste preuve et il n’est pas besoin d’aller plus loin pour décrire le genre humain, qui n’ a d’humain que le nom pour certains de nos congénères!
Passons. L’armement atteint un tel niveau de technologie que rien ne me surprend pour ma part. Lorsque l’on s’informe sérieusement, on trouve. J’en ai esquissé très sommairement les contours dans mon premier ouvrage, le second le fera également afin de démontrer aux gens certains faits.
Nous dépensons plus d’argent pour l’armement que pour la recherche médicale encore que cette dernière peut dériver elle aussi sur des armes ( toxiques, biologiques et chimiques). De quoi nous laisser dormir sur nos deux oreilles ? A chacun sa sensibilité pour répondre à cette petite question pertinente et agaçante!
IEM(impulsions électro-magnétique) ou EMP ( Electromagnetic Pulse (Electromagnetic Pulse), lasers , rayons de haute fréquence, infra sons, exosquelettes, lunettes thermiques et infra rouge, rayons gamma, robots, intelligence artificielle, vaisseaux spatiaux, etc, il y a de quoi vous pulvériser après vous avoir dénichés. « -Il n’y a pas besoin d’avoir peur ! « aurait dit sous forme de boutade (ironique) de mauvais goût mon grand père.
Voyons ensemble le contenu de l’article ci-dessous. Vrai ou faux ? Ceci ne présage pas du bon, mais cela présage-t-il forcément du mauvais ? Si je veut être optimiste, je dirais que ce n’est pas la première fois que nous sommes au bord de la troisième guerre mondiale ( du gouffre si vous préférez !) à laquelle nous échappons pour l’heure. Mais pour combien de temps encore ?
Hors sujet concernant l’article ci-dessous, mais tout de même, je ne peut m’empêcher de me poser cette question.
Les OVNIS ne seraient-ils pas des AVNIS ( Armes volantes non -identifiées) quelque-part?
J’espère que nous n’aurons pas la réponse, car cela voudrait dire que nous en serons victimes!
Une arme «secrète» russe fait trembler les Britanniques
Article source: fr.sputniknews.com/
14 h 14,le : 01.10.2017:
La Russie développerait une arme secrète «plus puissante» que la bombe nucléaire, capable de mettre hors de combat des armées entières, s’alarme le Daily Star.
Le tabloïd britannique Daily Star tire la sonnette d’alarme, affirmant que des fabricants russes développeraient de nouveaux gadgets puissants qui pourraient s’avérer plus efficaces que les armes nucléaires.
Le média fait savoir que l’industrie de la défense russe aurait conçu un puissant missile électromagnétique, l’Alabouga, capable de désactiver les ogives de missiles et les systèmes de communication à bord des avions ennemis à une distance de 3,5 km.
Les journalistes du Daily Star affirment que le missile serait en mesure de bloquer les mécanismes de chargement des chars, de faire exploser les munitions d’artillerie à l’intérieur de leur tourelle, voire de tuer des soldats ennemis retranchés à une profondeur de 100 m sous la terre.
Le média évoque également le Listva, un véhicule de déminage qui pourrait utiliser des rayons de haute fréquence pour neutraliser les explosifs à distance.
Les médias avaient déjà publié l’information sur le développement en Russie d’un puissant missile électromagnétique Alabouga.
Vladimir Mikhéev, directeur général du groupe Radioelectronnyïé tekhnologuii (Technologies radio-électroniques), avait précédemment déclaré que l’Alabouga n’était pas une arme concrète, mais un ensemble de recherches scientifiques top secret visant à définir les grands axes du développement de l’arme radio-électronique du futur.
A 10h00, une fusée SpaceX Falcon 9 lancée depuis le Kennedy Space Center portant le drone spatial X-37B et ce qui pourrait être l’une des charges personnelles les plus mystérieuses de tous les temps. Le Falcon 9 a décollé dans les délais prévus, malgré les premières préoccupations concernant les conditions météorologiques.
Quelques minutes plus tard, le Falcon 9 a réussi à atterrir sur Terre, bien que cette fois-ci ne soit pas dans la péniche flottante d’SpaceX, mais plutôt sur une zone d’atterrissage préparée à la station de l’Armée de l’air de Cap Canaveral. Il s’agit du 10e atterrissage de Falcon 9, et du 41e vol de fusée réutilisable à ce jour.
En ce qui concerne cette charge utile mystérieuse, c’est une foule de premières pour SpaceX. Alors que la roquette de Elon Musk a garanti des missions dans le cadre de contrats gouvernementaux – comme ses missions de réapprovisionnement pour la NASA – Aujourd’hui la première mission est lancée par SpaceX pour l’armée de l’air américaine. En juin de cette année, SpaceX a obtenu un contrat de l’armée de l’air américaine pour transporter le drone X-37B en orbite, marquant la cinquième mission pour ce véhicule d’essai orbital sans pilote (OTV) et le premier qu’il a réalisé en utilisant une entreprise spatiale privée de lanceurs. C’est aussi la première fois que le X-37B a été lancé sur une plate-forme verticale.
On ne sait pas grand-chose sur les missions du X-37B- OTV, mais bien sûr, ce que l’armée de l’air américaine choisit de révéler à ce sujet est au compte gouttes. En dehors de cela, nous savons que le drone spatial a progressivement étendu son temps en orbite pour chacune de ses missions. Cette mission particulière, par exemple, héberge l’analyseur thermique avancé, structuré et intégré pour de l’étude de la Force aérienne (ou ASETS-11), des instruments conçus pour une orbite spatiale prolongée.
Edgar Mitchell, Gordon Cooper, Deke Slayton, Brian O’Leary, Marina Popovitch, Mary Anne Stefany Shyn-Piper, Tom Jones, Edwin «Buzz» Aldrin, Paul Hellyer. Que penser de leurs révélations ?
Pour l’astronaute français de l’Agence Spatiale Européenne (ESA) Jean-François Clervoy, l’existence Ovnis n’est plus à débattre : les incursions de ces engins non-terrestres sont une réalité.
« Ça n’est pas une question de croire ou de ne pas croire, ces phénomènes sont prouvés » déclare-t-il dans le documentaire Enquêtes Extraordinaires diffusé à l’été 2013 sur la chaîne M6. « Il y a des phénomènes aérospatiaux non identifiés avérés (…) pour lesquels il n’y a aucune explication connue en aéronautique, en spatial, en matériaux, en capacité d’évolution, en vitesse, en taux de virage, etc. Donc ça, c’est connu : il n’y a pas à les remettre en doute.
« Reste l’hypothèse extraterrestre »
Et l’astronaute français de poursuivre : « Ce qui est fascinant, c’est qu’il y a des phénomènes avérés qui sont racontés de la même façon par des personnes différentes qui ne se connaissent pas forcément. Et il y a plusieurs points communs : c’est très furtif, aucun bruit ; c’est très agile, ça peut suivre un avion qui évolue. Donc il y a une forme d’intelligence dans ce phénomène ou cet objet, mais aujourd’hui, avec tout ce que l’on connaît de possible sur Terre, on ne peut pas l’expliquer. Donc qu’est-ce qui reste comme hypothèse ? L’hypothèse extraterrestre. »
« Ceux qui pensaient qu’on était tout seul sont de moins en moins nombreux. »
« Dans l’univers visible, il y a entre cent et deux cent milliards de galaxies et, dans chaque galaxie, il y a de l’ordre de cent milliards d’étoiles. Ça fait 10 avec 22 zéros étoiles ; autour des plus proches, on trouve des planètes … Vous imaginez le nombre de planètes probablement existantes dans l’Univers ? La probabilité que l’une d’entre elles soit similaire à la Terre et puisse abriter la vie est forcément d’un niveau raisonnable qui permet de penser que c’est vraiment possible. Il ne faut pas s’interdire de croire que la vie existe ailleurs, ni d’ailleurs la vie intelligente. Il ne faut pas s’interdire de croire non plus qu’on est tout seuls. Mais ceux qui pensaient qu’on était tout seuls sont de moins en moins nombreux. »
Jean-françois Clervoy est diplômé de l’Ecole polytechnique, de l’Ecole nationale supérieure de l’aéronautique et de l’espace, détaché par la Délégation générale pour l’armement auprès du CNES en 1983, puis auprès de l’Agence spatiale européenne depuis 1992. Il est aussi l’un des rares astronautes ayant à son actif trois missions à bord de la navette spatiale en 1994, 1997 et 1999 pour réparer le télescope Hubble.