Article source: sploid.gizmodo.com/
Traduction ERA pour investigations ufoetscience.
Le vrai Enterprise de la NASA pourrait nous emmener un jour vers d’autres systèmes solaire. Le Dr Harold sony white travaille toujours sur le concept du warp drive au centre spatial Jonhson de la NASA.
Leur travail en est toujours au stade expérimental, mais cela ne signifie pas qu’ils ne peuvent pas déjà imaginer ce à quoi le vaisseau ENTERPRISE devrait ressembler dans la réalité selon leus calculs. Vous êtes en train de le regarder ( voir photos).
C’est le vaisseau qui peut nous conduire où aucun humain n’est allé auparavant.
Il m’ a fait crier comme une fillette Klingon.
Mark Rademaker artiste spécialisé de la 3D a déclaré qu’il a travaillé avec white à la conception d’un modèle mis à jour qui inclue un vaisseau élégant niché au centre de deux énormes anneaux qui créent la bulle du warp drive.
Le modèle mis à jour est celui que vous pouvez voir ci-dessus, une variation du concept original qui, selon le Dr White, a été rendue par Rademaker basé sur une idée de Matthew Jeffries, le gars qui a apporté « le look Star Trek familier. » C’est le concept original de vaisseau warp drive.
Le Docteur White dont le quotidien est de travailler à des solutions futures de propulsion pour les Voyages interplanétaires dans un avenir proche, comme les propulseurs à ion et à plasma a résolu les problèmes du concept Drive d’Alcubierre, une théorie qui permettrai le voyage plus rapide que la lumière basée sur les équations du champ d’Einstein en relativité générale, développés par le physicien théorique Miguel Alcubierre.
Un vaisseau spatial équipé d’un warp drive permettrait le voyage à une vitesse supraluminique (plus rapide que la lumière) en courbant l’espace autour de lui, raccourcissant les distances. Au niveau local, cependant, le vaisseau ne se déplacerait pas plus vite que la lumière. Par conséquent, le voyage warp drive ne viole pas le premier commandement d’Einstein: Tu ne voyageras pas plus vite que la lumière.
Voici plusieurs vues du IXS Enterprise lors de sa phase de construction, le concept que le Dr White développé avec Rademaker:
Vous pouvez regarder le discours fascinant que le Dr White a donné à la conférence SpaceVision 2013 ici :
Video youtube
Si cette vidéo ne fonctionne pas cliquez ici
Le vaisseau spatial me rappelle un peu celui de Interstellar de Chris Nolan, un film qui, en théorie – montrera un voyage supraluminique réaliste. C’est une vue partielle du vaisseau dans le film, qui a aussi une sorte d’anneau autour.
Pas un fantasme, mais de la vraie science
Mais Interstellar est de la science-fiction. Le travail du Dr White en tant que Responsable sur le thème de la propulsion avancée pour la Direction de l’ingénierie de la NASA est de la science. Et tandis que son département ne reçoit que des cacahuètes par rapport au budget de la NASA (sans parler de celui du Pentagone) je trouve ses paroles réconfortantes :
Peut-être qu’une expérience Star Trek dans notre vie n’est pas une possibilité lointaine.
Voyez-vous, le Dr White et ses collègues ne font pas un film ou une sortie avec des rendus 3D pour le plaisir de le faire. Ils ne se contentent pas de croire qu’un moteur à distorsion dans la réalité soit théoriquement possible ; ils ont déjà commencé le travail pour créer un.
La feuille de route vers le warp drive
Selon le Dr White, il s’agit d’une feuille de route qu’ils doivent suivre pour atteindre cet objectif final de Voyage interstellaire rapide. Il explique cette feuille de route dans la vidéo ci-dessus.
Si son travail est réussi, il dit que nous serions en mesure de créer un moteur qui nous mènera vers Alpha du Centaure « en deux semaines, telles que mesurées par les horloges sur Terre. » Le temps sera le même dans le vaisseau spatial et sur la terre, prétend-il, et il n’y aura pas « des forces de marée à l’intérieur de la bulle, pas de problèmes excessifs, et l’accélération propre est nulle. Lorsque vous allumez le champ, tout le monde n’ira pas se claquer contre la cloison, ce qui serait un voyage très court et triste. «
Chaque fois que je lis ce paragraphe, je souris et mon sourire est si large qu’il me fait paraître stupide.
OK, Dr White, vous avez obtenu notre attention. Faites le.
Mise à jour investigations ufoetscience, le : 12/06/2014 à :00h05.
vaisseau spatial
Tous les articles tagués vaisseau spatial
Note de l’administration :
Vendredi 31/01/2014 à 22 heures 15
L’actualité semble s’enrichir d’après le média La Voix de la Russie, si on se fie à leurs derniers articles que nous regroupons en une sorte de quadrilogie pour vous ici.
Articles source La voix de la Russie
28 janvier, 15:20
La NASA et l’ESA construisent un module de vaisseau interplanétaire
Les ingénieurs de la NASA et de l’ESA développent le vaisseau spatial Orion pour envoyer des astronautes sur la Lune, les astéroïdes et, plus tard, sur Mars. Pour l’heure, la construction du module de travail doté d’un système de survie est achevée. Un vol d’essai de 4 heures est prévu pour septembre 2014.
En décembre 2013, la fin des travaux sur le système d’interruption du lancement a été annoncée. La construction du module habité commencera prochainement.
Articles source La voix de la Russie
Des ondes dans les nuages de Vénus
Olga Zakoutnaya 30 janvier, 22:53
Les ondes gravitationnelles dans l’atmosphère de la planète auraient pu être observées à l’aide des instruments de la sonde européenne Venus Express. Cette découverte reste encore à confirmer.
Mais si cette supposition s’avère juste, cela voudrait dire que les hautes couches de l’atmosphère montrent ce qui se passe à la surface de cette planète. Ces nouvelles données seront certainement utilisées dans des modèles qui permettront de répondre à la question ce qui accélère l’atmosphère jusqu’à une vitesse de quelques centaines de kilomètres par heure.
Ce qui se passe sur Vénus, est caché par les nuages. Une couche nuageuse épaisse masque entièrement ce qui se passe sur la planète à 70 kilomètres d’altitude. Elle cache aussi ses couches de la basse atmosphère. Pour comprendre quel lien existe entre les couches hautes et basses de l’enveloppe gazeuse de la planète, les scientifiques optent pour des méthodes d’observation indirectes, en observant par exemple les nuages, dont l’aspect extérieur peut partiellement expliquer ce qui se passe en-dessous de cette couche de nuages.
C’est ce qu’ont fait les chercheurs dirigés par Arianna Piccialli du Laboratoire français atmosphères, milieux, observations spatiales (LATMOS) à l’Agence spatiale européenne (ESA). En utilisant les données d’une caméra VMC qui se trouve à bord du vaisseau spatial, Venus Express, conçu par l’ESA, les chercheurs ont analysé scrupuleusement les nuages à 62-70 kilomètres au-dessus de la surface de Vénus.
Le principal résultat de ces observations – et on peut l’observer sur plus de 300 images – c’est la présence caractéristique des ondes gravitationnelles. On peut les comparer avec les vagues à la surface de l’océan. Il ne s’agit pas du transfert des substances de manière horizontale, mais d’un mouvement vertical, comme si la couche supérieure des nuages serait en train de bouger.
Ces ondes sont divisés en quatre catégories, selon la longueur et la largeur de leur flanc. Elles peuvent être longues, moyennes, courtes, ou irrégulières (ces dernières seraient apparemment le résultat d’interaction entre les ondes des trois catégories précédentes). Outre les caractéristiques des ondes, les chercheurs ont pu établir dans quel endroit de la planète ces ondes peuvent être observées le mieux et sous quel angle la lumière du Soleil tombe dans cette région et comment est orienté le flanc de l’onde. Ces ondes sont particulièrement nombreuses à haute latitude (entre 60 et 80 degrés de latitude Nord). Elles sont aussi concentrées au-dessus de la zone Ishtar de la planète, où se trouvent les principales chaînes de montagnes.
Ces comparaisons permettent aux chercheurs de supposer qu’il s’agit bien des ondes gravitationnelles dans l’atmosphère. Ces ondes se créent notamment à cause de la montée d’air chaud ou suite au contournement d’un obstacle par ces ondes, par exemple d’une montagne.
Les scientifiques ont réussi à obtenir des preuves de l’existence des ondes gravitationnelles sur Vénus en 1986, lorsque deux aérostats soviétiques de l’expédition VEGA se trouvaient dans l’atmosphère de la planète. En outre, les données de cette fameuse Venus Express (une expérience radio baptisée VeRa), a permis en 2012 d’observer les manifestations d’ondes gravitationnelles d’après le changement de la pression et de la température de l’atmosphère.
Ainsi, ces nouveaux résultats confirment les résultats précédents. Qu’est ce qui empêche alors de reconnaître avec assurance qu’une découverte a bien eu lieu ? Pour l’instant la vitesse de diffusion de ces ondes n’a pas pu être calculée. Le système Venus Express tourne autour d’une planète sur une trajectoire qui ressemble à une ellipse allongée, s’approchant de la planète à l’hémisphère Nord. Cela permet d’améliorer la résolution des photos pris depuis l’espace par le système VMC, mais en même temps, augmente la vitesse de l’appareil, sachant que peu de temps s’écoule entre deux photos prises par ce dispositif.
Les chercheurs sont néanmoins convaincus qu’il s’agit des ondes gravitationnelles. Il s’agit actuellement d’inclure ces observations dans des modèles de circulation de l’atmosphère de Vénus. L’objectif principal est d’expliquer comment le mode de super-rotation est maintenu sur la planète. Car la haute atmosphère dans sa limite supérieure est impliquée dans un vortex géant, dont la vitesse atteint 300 à 400 kilomètres par heure. On ignore toutefois pour l’instant l’origine de ce vortex et ce qui l’alimente.
L’appareil Venus Express poursuit sa mission. Il aurait pour l’instant suffisamment de carburant pour relever des missions jusqu’aux années 2014-2015. Ensuite la mission de la sonde européenne va se terminer. Le projet du système d’atterrissage Venera-D, un dispositif qui peut relever des missions de longue durée, est en préparation en Russie. Mais son lancement ne va pas se produire avant 2022. A l’heure actuelle, la NASA et l’ESA n’ont pas de projets d’envoyer une sonde spatiale pour poursuivre l’exploration de Vénus.
Articles source La voix de la Russie
30 janvier
La Russie commence la construction d’une station spatiale pour Mars
Une station spatiale pour les vols vers Mars doit être assemblée d’ici 2025, a communiqué la corporation spatiale RKK Energia.
La station sera assemblé à partir de modules à l’instar de l’ISS. La construction des modules a déjà commencée.
La station pour les vols vers Mars sera assemblée dans le point de libration L2 situé du côté de la face cachée de la Lune où un vaisseau spatial pourra rester immobile suite à l’action de la gravitation de la Terre et de son satellite.
Il n’est pas encore décidé si la station dans son ensemble sera envoyée vers Mars ou si elle servira de base de lancement à de vaisseaux habités.
L’équipage de l’ISS s’entraîne dans la forêt à -20°C
30 janvier
Les cosmonautes de Roskosmos Guennadi Padalka et Mikhaïl Kornienko et l’astronaute de la NASA Scott Kelly ont eu un entraînement de survie après un atterrissage d’urgence dans une forêt marécageuse.
Les cosmonautes ont habillé des combinaisons chaudes dans l’appareil de descente, puis ils ont construit un wigwam, ont allumé des feux d’alerte et se sont entraînés dans les soins médicaux.
Mise à Jour Era pour Investigations Ufo et Science le 31/01/2014 à 22h15
Article source : french.ruvr.ru/
Par La Voix de la Russie | L’entreprise privée américaine Sierra Nevada prévoit organiser le premier vol d’essai de son vaisseau spatial Dream Chaser en novembre 2016 et souhaiterait utiliser pour le lancement et l’atterrissage la base de lancement de Cap Canaveral en Floride.
Pour la direction de Sierra Nevada, dont font partie, entre autres, d’anciens astronautes, le nouveau vaisseau servira à voler en orbite terrestre basse, et pourra donc aller vers la Station spatiale internationale. Il pourra accueillir un équipage de sept personnes.
Source:En bonus l’administration investigations ufoetscience
inclus une vidéo youtube
Si cette vidéo ne fonctionne pas cliquez ici
Mise à jour investigations ufoetscience, le : 26/01/2014 à : 20h15.
Article source: french.ruvr.ru/

Le vaisseau spatial habité chinois Shenzhou-10 a effectué un arrimage et un désarrimage réussis en mode manuel au module orbital Tiangong-1.
Le programme de vols habités en Chine est composé de trois étapes. La 1ère étape prévoit des lancements de deux appareils spatiaux avec des astronautes à leur bord, notamment Shenzhou-5 en 2003 et Shenzhou-6 en 2005. La 2ème étape, qui est mise en œuvre actuellement, prévoit le développement de la technologie d’amarrage des appareils en orbite. Cette étape est extrêmement importante pour la réalisation de la troisième phase du programme, dont la création de la station spatiale de la Chine en 2020.
Source :
Mise à jour investigations ufoetscience, le : 24/06/2013 à : 16h10.
Article source:french.ruvr.ru/
« Le vaisseau spatial pourrait devenir une plate-forme expérimentale capable detester de nouveaux capteurs optiques, qui pourraient être utilisés dans ce genre de missions », précise le communiqué de l’ESA. Source
Mise à jour investigations ufoetscience, le :16/06/2013 à : 05h05.
Article source: french.ruvr.ru/
Des ingénieurs russes sont en train de mettre au point un nouveau vaisseau spatial. Dans cinq ans déjà, cet appareil devrait permettre à un homme de débarquer sur la Lune.
Ce navire cosmique habité, conçu pour être envoyé sur la Lune, sera présenté par les constructeurs de la société Energuia au Salon international de l’air et de l’espace MAKS-2013, en septembre prochain. Mais on peut dès à présent découvrir la maquette complète de l’appareil.
Cet engin réutilisable de nouvelle génération est différent de l’ensemble des fusées Soyouz actuelles par la précision de son atterrissage et sa capacité d’accueil. Il peut accueillir jusqu’à sept cosmonautes à destination de la Station spatiale internationale, et jusqu’à quatre cosmonautes se rendant sur la Lune.
Ce module pour l’instant non baptisé peut être utilisé à différentes fins : pour des voyages circumterrestres, pour la récupération de débris cosmiques, mais aussi pour des itinéraires touristiques et des vols jusqu’à la Lune. Comme l’a expliqué le constructeur en chef de RKK Energuia, Vitaly Lopota :
« Il peut effectuer un vol aller-retour vers la Terre grâce à la vitesse de libération, par exemple, aller jusqu’à la Lune et en revenir. Cela n’était pas possible par le passé. »
Les concepteurs se préparent actuellement à un essai technique qui sera réalisé en juin. Pendant ce temps, des scientifiques de l’Institut de recherche spatiale de l’Académie des sciences de Russie développent un dispositif qui sera envoyé en premier dans les environs de la Lune, où devra passer la fusée, a déclaré le directeur du laboratoire de l’Institut de recherche spatiale, Igor Mitrofanov.
« Nous allons essayer d’être les premiers dans les environs du pôle sud de la Lune, pour y étudier l’environnement naturel et perfectionner notre technique et nos technologies. L’objectif est qu’en 2017, nous puissions envoyer dans cette zone un engin beaucoup plus complet du point de vue de l’appareillage scientifique. »
La prochaine étape, remarque l’expert de l’Institut de recherche spatiale, Igor Mitrofanov, sera le transport de sol lunaire polaire sur la Terre. Les scientifiques pourront ainsi mener des études approfondies en laboratoire. Ensuite, une station spatiale sera créée sur la Lune. Les scientifiques sont persuadés que le satellite naturel de la Terre deviendra une base. C’est à partir de là qu’il sera possible s’envoyer les premiers hommes sur Mars.
Rédaction en ligne, Stanislav Kaliakine
Source:
Mise à jour investigations ufoetscience, le : 16/06/2013 à : 04h55.
Article source:french.ruvr.ru
Olga Zakoutnaya, Rédaction en ligne
|
21.01.2013, 14:57, heure de Moscou
|