Le nouveau dispositif de cerveau de la DARPA augmente la vitesse d’apprentissage de 40%
Article source :futurism.com
Traduction sylv1 pour à l’aide traducteur en ligne
Le nouveau dispositif de cerveau de la DARPA augmente la vitesse d’apprentissage de 40%
Article source :futurism.com
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Article source: journaldemontreal.com via l’AQU.
Un couple de Mirabel a tout récemment raconté les détails d’une soirée pour le moins troublante qu’il a dit avoir vécue le 10 juin 2010, à Sainte-Scholastique, en prenant part à un enregistrement organisé par l’Association québécoise d’ufologie.
Alors qu’ils revenaient du ciné-parc Saint-Eustache par la 148 vers 23 h, l’homme et la femme ont aperçu un étrange objet volant non identifié pourvu de lumières blanches voler à très basse altitude tout près de leur véhicule, à environ 150 mètres au-dessus d’eux.
Selon l’un des témoins, l’objet émettait une vibration et avait la grosseur d’une maison. «Ça ne se peut pas qu’un objet aussi gros soit aussi près d’un boisé. Si c’était un avion, il y aurait eu un écrasement.»
L’objet a été vu d’assez près (moins d’une centaine de mètres), confirmant qu’il ne s’agissait pas d’un appareil conventionnel.
En arrivant à la maison, ils s’en parlent. Ils se couchent vers minuit. Vers 1 h du matin, la femme se fait réveiller par les jappements de son chien, qui se trouve dans sa cage au sous-sol. L’animal aboie de manière hystérique, contrairement à sa nature plutôt calme. En ouvrant les yeux, la résidente aperçoit une lumière blanche éblouissante illuminant sa chambre à coucher. Prise de panique, elle tente de réveiller son conjoint, qui a habituellement le sommeil léger, mais en vain.
Le président de l’Association québécoise d’ufologie, Gilles Milot, s’est entretenu avec les deux témoins. Voici ce qu’ils lui ont raconté.
Vidéo ovni expert sur youtube
« C’est en revenant du Ciné-Parc St-Eustache en direction de Mirabel le 10 juin 2010 vers 23h00 qu’un couple observa un étrange objet oblong pourvu de lumières blanches qui survolait un champ à très basse altitude.
Lire le rapport complet : http://ovni-expert.com/2015/07/28/cin…
L’objet a été vu d’assez près (moins d’une centaine de mètres) pour confirmer qu’il ne s’agissait pas d’un appareil conventionnel. De retour à la maison, le couple, bien qu’encore ébranlé, se prépara à aller se coucher. Une fois au lit, la jeune femme aperçut une intense lueur blanche envahir leur chambre. Tandis qu’elle tenta, en vain, de réveiller son conjoint qui dort généralement d’un sommeil très léger, le chien jappait frénétiquement, d’une manière inhabituelle. Prise de peur, elle trouva refuge sous les couvertures et réalisa soudain qu’elle avait dormi toute la nuit, malgré la crainte qui l’habitait.
Quelle était donc cet objet qui inonda de lumière leur chambre à coucher ?
Ufologue-enquêteur : Gilles Milot
Conception et réalisation : André Gauthier et Jonathan Laporte »
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Mise à jour investigations ufoetscience, le : 24/09/2015 à: 12h10.
Article source: technofuture.canalblog.com/
C’est un paradoxe prédit théoriquement. Chauffé à des températures dépassant un milliard de degrés, un réseau cristallin d’atomes d’or ne se met pas à fondre mais au contraire devient plus résistant… Cette étrange prédiction vient d’être vérifiée expérimentalement par des chercheurs de l’université de Toronto au Canada.
Dans un métal, les atomes se présentent sous forme d’ions positifs, situés aux nœuds du réseau, entre lesquels circule un gaz d’électrons libres. Lorsqu’on chauffe un métal, l’agitation des ions augmente et ils finissent par surmonter les forces d’attractions qui les maintenaient dans leurs sites au sein du réseau cristallin : le métal fond. Il intervient aussi le fait que les électrons se retrouvent en moyenne à plus grande distance des ions et les forces répulsives entre ces derniers deviennent plus intenses.
Mais ce scénario ne vaut pas pour l’or… Les calculs indiquent que le chauffage des électrons du métal se traduit par une augmentation temporaire des forces de liaisons entres les noyaux. Au lieu de s’amollir, le métal devient ainsi plus dur !
Pour tester cette prédiction surprenante, qui ne se produit que lorsque la température de chauffage dépasse le milliard de degrés, R.J. Dwayne Miller, professeur de chimie et de physique à l’université de Toronto au Canada, a utilisé, avec les membres du groupe qu’il y dirige, la technique de la diffraction électronique femtoseconde (UED, Ultrafast Electron Diffraction).
Comment chauffer de l’or à un milliard de degrés ?
On commence par produire le phénomène de renforcement temporaire des forces entre noyaux d’or en envoyant une impulsion de lumière laser ultracourte de telle sorte qu’un petit échantillon d’or voit sa température grimper à plus de un milliard de degrés. Pour observer le phénomène d’augmentation derésistance, qui ne dure évidemment qu’un temps très court, un faisceau d’électrons constituant une impulsion, d’une durée se mesurant en femtosecondes, est envoyé sur l’échantillon où les ions enmouvement le diffractent. L’image de diffraction obtenue permet de déduire les mouvements de ces ions et ainsi de remonter aux forces s’exerçant sur eux.
Pendant un bref instant, les chercheurs ont donc pu vérifier que de l’or chauffé à une température cent fois supérieure à celle régnant au cœur du Soleil, non seulement ne fond pas, mais voit même son point de fusion augmenter temporairement. Les détails de l’expérience sont exposés dans un article de Science du 22 janvier 2009.
Mise à jour investigations ufoetscience, le : 02/10/2013 , 17h30.
Chronique de sylv1 adm:
Mardi 17 Septembre 2013 à : 13h00
« Dans le récit des témoins , notons une certaine manipulation , qui bien souvent est réélle en ce qui concerne les abductions ou les contactés, d’ailleurs ces deux critères définis a bien le même problème celui de à qui ou à quoi a-t-on affaire ?
Alors lorsque le mystère s’épaissit bien souvent par un manque d’éléments concrets à analyser, les ufologues sont tentés et c’est bien naturel quelque – part d’assembler les O.V.N.I avec les abductions, et ainsi de conclure rapidement ,trop rapidement que ceci est l’oeuvre d’une ou plusieurs entités extraterrestres, et certains franchissent le pas de dire que c’est l’oeuvre de reptiliens argumentant le serpent, le lézard partout pratiquement sur terre , textes,dessins, symboles et pour prouver se réfugient derrière les illuminatis et en n’oubliant pas de prendre les théories exotiques d’un certain Zacharie Sichin qui était un brillant savant. Comme les prôneurs et fanatiques de fin du monde qui vont se servir sur une base astronomique et ainsi diluer le tout avec un zeste d’astrologie et un bon pourcentage de prophéties en y incluant les catastrophes de toute nature et de ce qui est à la mode à présent ,le réchauffement de la planète.
Tout ceci pour dire que chacun a sa théorie et même ceux qui prétendent le contraire et qui n’admettent même pas qu’ils en ont une, préférant se réfugier ,se ménager.
Cela est dû qu’au final au fait qu’ il n’ y a pas de réponses satisfaisantes entourant les (vrais O.V.N.I), alors comment affirmer que les abductions soient d’une nature délibérée d’une civilisation extraterrestre? Même si c’est possible , après tout pourquoi pas? N’est-il pas judicieux et censé d’examiner tous les critères et pas seulement ceux qui nous arrangent ou nous interpellent ?
La manipulation mentale date , et ce n’est pas d’hier , l’homme étant par nature un prédateur sur sa planète, puis en est un envers ses congénères, et ainsi les conflits n’ont jamais cessé et malheureusement cela ne va pas s’arranger…
Alors voyons un petit exemple de ce qui a pu se faire à une certaine période dans ce registre ingénieux autant que détestable sur les expériences du cerveau humain et de ses capacités dont certaines sont elles aussi un mystère pour les scientifiques actuels.
Regardez d’un oeil interrogatif ce reportage et demandez vous si au fond l’hypothèse E.T arrangerait bien certains bourreaux puissants de cette planète, tout autant que pour certains les prototypes humains arrangent les sceptiques pour démonter l’hypothèse extraterrestre, car au fond les deux opposés pourraient à moitié avoir tort et raison à la fois.«
Vidéos Dailymotion
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Mise à jour investigations ufoetscience, le : 17/09/2013 à : 13h00.
Article source: ESA via le site de jack 35 étrange et insolite
L’ESA a achevé la fabrication du spectrographe dans le proche infrarouge NIRSpec, l’un des deux
instruments qu’elle est chargée de fournir au télescope spatial international James Webb. Le lancement de cet observatoire spatial par un lanceur Ariane-5 est prévu en 2018.
Le télescope spatial James Webb, ou JWST, est en cours de fabrication dans le cadre d’un partenariat entre la NASA, l’ESA et l’Agence spatiale canadienne. Il deviendra le successeur du télescope spatial Hubble grâce auquel de grandes avancées ont été possibles.
Avec son miroir primaire segmenté qui atteint un diamètre total de 6,5 mètres, le JWST sera le plus grand télescope astronomique jamais envoyé dans l’espace. Ce miroir réfléchira la lumière vers quatre instruments scientifiques extrêmement sophistiqués, notamment le spectrographe dans le proche infrarouge NIRSpec, fabriqué par Astrium GmbH en Allemagne pour le compte de l’ESA.
Le NIRSpec est conçu pour détecter le rayonnement émis par les premières étoiles et galaxies qui se sont formées au début de l’existence de l’Univers, quelque 400 millions d’années après le Big Bang. Durant cette période, les conditions étaient très différentes de ce qu’elles sont aujourd’hui, environ 13,8 milliards d’années plus tard.
Le spectrographe décomposera le rayonnement infrarouge de ces objets spatiaux en fonction de ses différentes couleurs, générant ainsi un spectre qui fournira aux scientifiques des données capitales sur la composition chimique, les propriétés dynamiques, et l’âge de ces objets, ainsi que sur la distance qui les sépare de la Terre. Le NIRSpec sera capable d’observer simultanément pas moins de 100 de ces objets.
Du fait de sa grande polyvalence, le NIRSpec servira en outre à étudier les premières phases de la formation d’étoiles à travers la Voie lactée et à analyser les propriétés atmosphériques de planètes en orbite autour d’autres étoiles. On pourra ainsi évaluer les possibilités de présence de vie sur d’autres planètes de l’Univers.
« La remise officielle du NIRSpec par Astrium à l’ESA représente une étape importante et enthousiasmante de la participation de l’Europe à la mission JWST, » a déclaré M. Alvaro Giménez, Directeur Science et Exploration robotique de l’ESA, lors d’une cérémonie organisée ce jour dans les locaux d’Astrium GmbH à Ottobrunn, en Allemagne.
« Après la livraison de l’instrument MIRI (caméra/spectrographe dans l’infrarouge moyen) à la NASA l’an dernier, nous sommes très heureux que les ingénieurs et les chercheurs européens continuent de jouer un rôle capital dans cette mission internationale très importante. »
Après avoir subi des tests rigoureux en Europe, le NIRSpec sera envoyé à la NASA plus tard ce mois-ci, en vue de son intégration au module d’instruments du JWST. Il subira ensuite d’autres tests et fera l’objet d’étalonnages au fil du montage de l’observatoire dans son intégralité.
« C’est une grande joie pour nous d’apprendre que l’ESA a mené à bien le projet NIRSpec et nous sommes impatients que ce dernier vienne prendre place aux côtés des autres instruments scientifiques du télescope James Webb au Goddard Space Flight Center de la NASA » a ajouté M. Eric Smith, Directeur par intérim du programme JWST de la NASA.
Le lancement par Ariane-du JWST intégralement assemblé 5 est prévu en 2018 depuis le port spatial de l’Europe à Kourou en Guyane française. Le télescope sera ensuite placé à 1,5 million de kilomètres de l’orbite de la Terre autour du Soleil, dans une zone gravitationnellement stable dénommée point de Lagrange L2. Là-bas, l’observatoire et ses instruments refroidiront derrière un immense écran solaire jusqu’à des températures inférieures à –233°C. Ils entameront alors des observations scientifiques qui pourront durer jusqu’à dix ans.
« L’achèvement du NIRSpec nous rapproche un peu plus des objectifs scientifiques du JWST et des réponses à des questions encore en suspens dans le domaine de l’astrophysique, notamment sur la manière dont les premières galaxies et les premières étoiles se sont formées et ont évolué » a déclaré M. Peter Jensen, chef du projet JWST au sein de l’ESA.
Pour en savoir davantage
Le JWST est un projet mené conjointement par la NASA, l’ESA, et l’Agence spatiale canadienne. Son lancement est prévu en 2018 et il embarquera quatre instruments scientifiques : une caméra dans le proche infrarouge (NIRCam), un spectrographe dans le proche infrarouge (NIRSpec), une caméra/spectrographe dans l’infrarouge moyen (MIRI), et un double instrument composé d’un détecteur de guidage de précision et d’un imageur dans le proche infrarouge et spectrographe sans fente (FGS-NIRISS).
Le JWST et ses instruments sont spécialement conçus pour observer les rayonnements infrarouge afin d’étudier la lumière provenant de galaxies lointaines ou de traverser le voile de poussières qui entoure certains objets tels que les étoiles en formation.
Placés en orbite à 1,5 million de kilomètres de la Terre, loin des perturbations dues à l’atmosphère, maintenus dans l’obscurité et dans le froid derrière un écran solaire de la taille d’un court de tennis, le JWST et ses instruments pourront procéder à des observations d’un niveau de précision sans précédent.
Le NIRSpec fonctionnera sur la gamme de longueurs d’ondes allant de 0,6 à 5 micromètres, couvrant l’extrémité rouge du spectre de lumière visible jusqu’au proche infrarouge. Il a été fabriqué par l’industrie européenne sous la direction de l’équipe de projet JWST de l’ESA à l’ESTEC aux Pays-Bas, avec Astrium GmbH, établi à Ottobrunn, en Allemagne, en guise de maître d’œuvre. Les sous-systèmes de détection et de micro-volets du NIRSpec sont fournis par le Goddard Space Flight Center de la NASA.
À propos de l’Agence spatiale européenne
L’Agence spatiale européenne (ESA) est la porte d’accès de l’Europe à l’espace. L’ESA est une organisation intergouvernementale créée en 1975, dont la mission consiste à gérer le développement des capacités spatiales de l’Europe et à faire en sorte que les investissements dans l’espace bénéficient aux citoyens européens et du monde entier.
L’ESA compte 20 États membres : l’Allemagne, l’Autriche, la Belgique, le Danemark, l’Espagne, la Finlande, la France, la Grèce, l’Irlande, l’Italie, le Luxembourg, la Norvège, les Pays-Bas, la Pologne, le Portugal, la République tchèque, la Roumanie, le Royaume-Uni, la Suède et la Suisse. 18 d’entre eux sont également membres de l’Union européenne (UE).
L’ESA a signé des accords de coopération avec 8 autres États membres de l’UE. Le Canada participe à certains programmes de l’ESA au titre d’un accord de coopération.
L’ESA coopère également avec l’UE à la mise en œuvre des programmes Galileo et Copernicus.
En coordonnant les ressources financières et intellectuelles de ses membres, l’ESA peut entreprendre des programmes et des activités qui vont bien au-delà de ce que pourrait réaliser chacun de ces pays à titre individuel.
L’ESA développe les lanceurs, les satellites et les moyens sol dont l’Europe a besoin pour jouer un rôle de premier plan sur la scène spatiale mondiale.
Aujourd’hui, elle lance des satellites d’observation de la Terre, de navigation, de télécommunication et d’astronomie, elle envoie des sondes jusqu’aux confins du système solaire et elle mène en coopération des projets d’exploration humaine de l’espace.
Pour en savoir davantage, consultez le site Internet http://www.esa.int.
(Source : ESA)
Mise à jour investigations ufoetscience, le: 07/09/2013 à : 09h45.
Article source: futura-sciences.com/
Le 18/08/2013 à 15:37 – Par Relaxnews
La Royal Astronomical Society of Canada a décerné la mention de Dark-Sky Preserve au parc national Wood Buffalo, au Canada. Cela fait du parc la plus grande réserve mondiale de ciel étoilé, et une destination de choix pour fuir la pollution lumineuse.
Le grand parc canadien Wood Buffalo, qui s’étend de l’Alberta aux Territoires du Nord-Ouest, a été déclaré plus grande réserve mondiale de ciel étoilé par la Royal Astronomical Society of Canada au début du mois. Le but de cet organisme : protéger l’environnement nocturne des effets de lapollution lumineuse. Si la lumière artificielle émanant des métropoles empêche l’observation desétoiles, elle est également jugée responsable de la destruction des écosystèmes et du gaspillage d’énergie. Elle aurait aussi des effets néfastes sur la santé, selon l’International Dark-Sky Association.
La mention Dark-Sky Preserve (réserve de ciel étoilé) permettra de limiter la luminosité, en durée et en volume, mais aussi de contrôler la couleur de la lumière artificielle pour en minimiser l’impact sur le ciel nocturne et sur la faune locale (d’importantes populations de chauves-souris, d’engoulevents et de hiboux ont élu domicile dans le parc). En l’absence de ces lumières artificielles, les visiteurs pourront pleinement profiter des aurores boréales, uniquement visibles dans des conditions d’obscurité totale.
La pollution lumineuse troublerait le rythme circadien, causant troubles du sommeil, dépression,cancers et autres maladies cardiovasculaires, selon l’International Dark-Sky Association. L’exposition prolongée à la lumière dégagée par les lampadaires et les immeubles serait aussi responsable de la baisse de l’acuité visuelle. Le parc national de Wood Buffalo est déjà protégé par l’Unesco pour la richesse de sa biodiversité. Le parc abrite en outre la plus grande population nord-américaine de bisons.
Mise à jour investigations ufoetscience, le: 20/08/2013 à : 10h25.
Vidéo ;et texte ci-dessous Youtube
Publiée le 27 juin 2013
Un objet volant non identifié, généralement désigné sous l’acronyme ovni, désigne un phénomène aérien qu’un ou plusieurs témoins affirment avoir observé sans avoir pu l’identifier, ou encore une trace qui peut avoir été enregistrée par différents types de capteurs (caméra vidéo, appareil photo, radar, etc.) mais dont on ne connaît pas l’origine ou la nature exacte.
L’acronyme anglais UFO (unidentified flying object) fournit la racine du mot ufologue, personne étudiant le phénomène ovni. La discipline qui en découle est l’ufologie. Selon l’astronome Josef Allen Hynek, des dizaines de milliers de témoignages auraient été faits à travers le monde1.
Dans la culture populaire, le terme ovni est généralement utilisé pour désigner un vaisseau spatial extraterrestre hypothétique, la soucoupe volante étant un terme régulièrement utilisé.
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Il s’appelle Spaun. Sa particularité : il est le réseau neuronal le plus représentatif du cerveau humain. Avec ses 2,5 millions de neurones informatiques, il est capable de répondre à 8 types de requêtes. C’est peu par rapport aux capacités cérébrales humaines, mais le prototype tend à être amélioré. De plus, ce ne sont pas ses succès qui le rendent unique, mais plutôt ses échecs…
Les animaux, dont l’être humain, sont dotés d’un cerveau complexe, alternant ou combinant diverses activités, comme la mobilité, la vision, la mémorisation, etc. Face à l’étendue des mystères autour de notre matière grise, les scientifiques tentent de développer des cerveaux artificiels qui diffèrent des superordinateurs. Ces premiers sont conçus pour imiter le fonctionnement de l’encéphale quand ces derniers doivent trouver le plus vite possible la meilleure solution à un problème très complexe.
Par exemple, le Blue Brain Project lancé par IBM imite la structure spatiale et la connectivité du cerveau humain. En revanche, les cerveaux artificiels ne produisent aucun comportement : ils ne voient rien, n’ont aucune mémoire ou ne reconnaissent pas un objet qu’on leur présente.
Les choses vont désormais changer avec Spaun. Développé par des chercheurs de l’université de Waterloo (Canada), ce cerveau artificiel vient de révéler son potentiel dans la revue Science. Il est capable de dessiner ce qu’il voit à l’aide d’un œil virtuel et d’un bras robotisé, et il sait reconnaître les nombres écrits manuellement par différentes personnes. Il peut aussi répondre à des questions portant sur des séries de nombres ou encore terminer un dessin après en avoir vu un ou plusieurs modèles.
Spaun, imitateur de cerveau humain
En tout, Spaun est en mesure de compléter 8 types de requêtes différents, grâce à un réseau de 2,5 millions de neurones artificiels. C’est bien peu en regard de la centaine de milliards de neurones d’un cerveau humain. Mais Spaun a été conçu pour ressembler à certaines régions spécifiques : le cortex préfrontal, le ganglion basal et le thalamus.
Ainsi, comme le décrit Chris Eliasmith, qui a supervisé le travail, « en fonction de ce qui se passe dans le cortex, il prend l’information depuis une région du cortex et l’envoie dans une autre. Chaque fois qu’il fait cela, il met à jour l’état du cortex et essaie de comprendre quelle est la meilleure chose à faire ensuite. »
Là où Spaun nous ressemble, c’est qu’il commet les mêmes erreurs que nous et manifeste des comportements identiques. Lorsqu’on lui pose une question, il marque un temps d’hésitation, ou plutôt de réflexion, d’une durée équivalente à celui d’un être humain. Aussi, s’il doit mémoriser une liste de nombres, il se trompe si celle-ci est trop longue. De plus, il se souvient mieux des nombres du début et de ceux de la fin, victime comme nous des phénomènes de primauté et de récence. Les premiers nombres assimilés sont les plus répétés, ils intègrent donc la mémoire à moyen terme (primauté). Les nombres à la fin de la liste sont les derniers récités et n’ont pas encore quitté la mémoire à court terme (récence).
À l’interface entre neurologie et intelligence artificielle
On reste malgré tout très loin des performances humaines, car Spaun nécessite une grande puissance de calcul pour effectuer la moindre de ses actions. Mais les applications qui pourraient découler de ce type de projet sont nombreuses, autant en neurologie qu’en nouvelles technologies.
Ce serait un outil pertinent pour mieux comprendre le fonctionnement et l’organisation du cerveau humain, doté d’une grande variabilité. Il pourrait aussi devenir le cobaye d’expériences qu’on ne peut pratiquer sur les humains, du fait de leur immoralité. Ainsi, on éteindrait peu à peu ses neurones, à la même vitesse que les neurones humains meurent avec l’âge, de manière à préciser l’impact du vieillissement sur les capacités intellectuelles et cognitives.
Des robots à l’intelligence artificielle plus flexible
Spaun pourrait aussi intégrer les robots ou les outils d’intelligence artificielle, de manière à leur conférer plus de flexibilité. Ceux-ci sont conçus pour répondre de manière spécifique à un stimulus donné. Avec Spaun ou des modèles ultérieurs plus évolués, ils pourraient faire preuve d’un peu plus d’adaptabilité. Exactement comme nous le faisons.
Dès maintenant, les chercheurs canadiens travaillent à la mise à niveau de leur cerveau artificiel pour intégrer de nouvelles fonctions et améliorer encore son temps de réponse. Malgré les progrès dans l’informatique, il faudra encore de longues années avant qu’un ordinateur puisse modéliser parfaitement notre matière grise…
Source image:http://static-tv.com/
Note de sylv1,adm:
Canada décembre 1965: chaud pour la saison , un O.V.N.I est repéré par radar avant de s’écraser quelque part en Pennsylvanie .
Une intrigue pas encore résolue apparamment comme beaucoup d’affaires ufologiques. Des contradictions et des interrogations souvent sans réponses troublent les faits.Que s ‘est-il vraiment passé cette nuit là ?
Les autorités ont elles étouffées « l ‘incident et pourquoi? » Une chose est certaine: cette affaire est presque passée inaperçue dans les médias comme bien d’autres malheureusement!!
Ce documentaire de PLANETE CHOC tente de reconstituer cet événement.
Source reportage :planete choc reprise sur YOUTUBE
Ajoutée par 69blackbox le 20 mai 2011
L’OVNI de Kecksburgh (1965) : Le Nouveau Roswell
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